Dans une ville ensoleillée du sud de la France Sa mère, trop absorbée par ses affaires, propose à Elise sa fille de dix-huit ans, de passer l’été chez sa tante, Camille, une femme à la vie bien remplie. Camille, dans la quarantaine, est un esprit libre, admirée pour son indépendance et sa passion pour l’art. Elle a une galerie d’art au centre-ville et aime s’entourer de créateurs et d’artistes. Lorsque Élise arrive chez elle, elle se sent tout de suite un peu perdue, mais, elle est heureuse de la recevoir.
Le premier soir, Camille propose de sortir dîner dans un restaurant branché. L’ambiance y est décontractée. Alors qu’elles discutent de tout et de rien, Camille, avec une pointe de malice dans les yeux, commence à partager des histoires de ses propres aventures amoureuses.
Élise, fascinée, écoute d’une oreille attentive, et se réjouit de découvrir cette facette plus audacieuse de sa tante.
Peu à peu, Élise se met à se sentir plus à l’aise. Un jour, pendant qu’elles déambulent dans un marché local, Camille prend Élise par le bras et l’entraîne dans un petit café. Là, elles commandent des boissons glacées et commencent à discuter de l’amour et de la passion. Camille, lui, prend les mains et se met à les embraser fiévreusement. Elise se met à frissonner, ses yeux rencontrent ceux de sa tante, ils jettent des éclairs. La tante commence à lui sucer un à un les doigts. Sa bouche glisse sur les doigts fins de la nièce, qui frémit.
La tante y met autant d’ardeur que si c’était une verge. Elise défaille, elle panique presque.
Camille voit le trouble de sa nièce. Elle fait encore quelques succions puis cesse. Elle prend son verre, les deux trinquent sans se quitter des yeux. Elise est rouge, sa main tremble, sa tante lui sourit. Elles terminent leurs verres et bras dessus bras dessous continuent leur promenade.
Une fois rentrée, après le repas et la douche, c’est en shorty et avec un large t-shirt, qu’Elise se jette sur son lit, rêveuse, fascinée par ce qui s’est passé, elle plane. Soudain la porte de sa chambre s’ouvre, c’est sa tante qui fait son apparition. Elle est en nuisette, elle s’assied sur le bord du lit et avec un large sourire lui dit :
-Je t’ai choqué cette après-midi ?
Elise en béguant répond :
-J’ai été surprise par ton attitude, c’est la première fois qu’une l’on me suçait les doigts !
En souriant, la tante lui demande :
-Ah et tu as trouvé ça comment ?
-Déstabilisant, mais excitant à la fois !
Camille lui reprend la main et recommence les succions, mais en plus appuyées. Elise soupire profondément. Sa main tremble légèrement. La bouche de sa tante glisse sur ses doigts, lèche langoureusement entre chaque doigt, la coquine fait durer le plaisir. La tante regarde sa nièce et demande :
-Tu aimes !
Un peu gênée, Elise répond en se raclant la gorge :
-Hum, ce n’est pas désagréable !
Tendrement Camille, ajoute :
-Tu veux aller plus loin ma chérie ?
Elise ne répond pas, sa tante la bascule doucement sur le lit, et pose sa main sur sa cuisse. Elle caresse un moment le galbe parfait de la jambe. Avant de glisser sa main par la large échancrure du shorty. La main monte jusqu’à la hanche, et se dirige vers le ventre plat de la nièce, qui ne bronche pas. La main s’aventure dangereusement vers son intimité, qui étrangement est humide. La tante demande tendrement :
-Mes caresses, ma chérie te font de l’effet, tu mouilles, j’adore ça !
Elise baisse les yeux de honte. Plusieurs fois, avec lenteur, mais avec des gestes bien calculés, la main passe sur la fente qui mouille de plus en plus. Camille arrive à saisir le clito. Elle le presse doucement, le triture longuement avant de commencer une courte masturbation, bien dosée.
Elise, souffle, geint de plaisir, mais son plaisir est de courte durée, la tante retire sa main, elle regarde droit dans les yeux sa nièce et dit :
-C’est bon ce que tata te fait, ma chérie !
Faiblement, Elise répond :
-Oh oui trop bon, c’est bien meilleur que lorsque c’est moi qui le fais !
La tante ajoute :
-Tu te branles souvent ma chérie ?
Un peu gênée, la nièce répond :
-Oh oui fréquemment tante !
Vicieusement, Camille lui dit :
-Fais voir comment tu fais ma chérie !
Après un moment d’hésitation, Elise retire son shorty, écarte les cuisses et saisit sa boule déjà gonflée. La tante, très intentionnée, dit :
-Je vais te guider ma chérie, vas-y branle-toi !
Les doigts agiles d’Elise agitent férocement le clito qui ne cesse de prendre du volume. La tension monte dans le corps de la nièce, qui grimace. Soudain la tante ordonne+ :
-Arrête, respire profondément, laisse la tension redescendre !
Elise suit à la lettre les conseils de sa tante, Camille sait lorsqu’il faut reprendre le branlage :
-Vas-y, branle-toi fort, vas-y, vas-y !
Elise s’acharne sur son clito, les grimaces, signalent, que la coquine est au bord de la jouissance. La tante ordonne :
-Stop, stop, attends que la tension redescende ma chérie !
Après un court instant d’arrêt, la tante commande :
Vas-y, vas-y !
Mais rapidement la tension refait surface.
-Stop, stop, souffle, un peu, détends-toi, voila !
Puis l’ordre change :
-vas-y -vas-y, recommence !
Plusieurs fois, elle l’arrête dans sa masturbation, juste avant l’explosion, pour la lui faire reprendre ensuite. L’ordre final arrive enfin :
-Vas-y, vas-y, vas jusqu’au bout ma chérie, jouis !
Pour Elise, ce jeu est démentiel, mais bon à la fois, elle ignorait ce genre de masturbation exceptionnelle. Le branlage que s’impose la nièce est violent, une puissante jouissance, la fait hurler.
Soudain, elle se recroqueville, en grinçant des dents , plaque ses mains sur sa vulve et la presse très fort, elle serre aussi les cuisses en grimaçant. Jamais elle n’a connu une telle jouissance. Sa tante la félicite, et profite qu’elle retire ses mains et qu’elle reprenne sa position initiale, pour intervenir :
– Je vais te récompenser ma chérie !
Elle plaque sa bouche sur la chatte en ébullition, aspire tout le jus qu’elle rejette, avant d’enfoncer sa langue profondément dans le vagin détrempé. Elle en fouille chaque recoin. Elise est sur une autre planète. Mais lorsque sa tante lui gobe le clito, là, elle se cambre comme un pont, en geignant comme une bête malade. Camille, lui, travaille le clito férocement, pour atteindre un chemin de non-retour.
La nièce pousse un gémissement terrible, et explose une seconde fois de jouissance. Enfin la tante rejoint sa chambre, satisfaite de son travail. Elise reste étendue sur le lit dans un état second.
Un soir, lors d’une soirée improvisée avec quelques amis de Camille, l’ambiance devint électrique. Musique, rires, et verres de vin s’entremêlent. Élise se surprend à admirer la confiance que sa tante dégage. Elle la voit danser, rire et flirter avec un ami d’une trentaine d’années. À ce moment-là, Elise ressent une envie de vivre ces mêmes sensations.
Camille, ayant remarque le regard admiratif de sa nièce qui la dévore des yeux, s’approche d’elle, et lui dit :
-Tu sais, la vie est faite de moments comme celui-ci. N’aie pas peur de vivre, et d’aimer, la vie est si courte !
Ces paroles résonnèrent en Élise comme une révélation.
Camille rejoint son cavalier, et les deux s’enlacés, se frottent l’un contre l’autre en dansant. Elise et choisit par un homme beaucoup plus âgé qu’elle. Il la serre très fort dans ses bras. Les bas-ventres ondulent au rythme de la douce musique, Elise sent contre son ventre la verge de l’homme qui prend du volume. Elle ravale sa salive, enfin la danse se termine.
Camille sourit à son ami. Il l’enlace, la serre très fort dans ses bras et l’embrasse fougueusement. Elise, reçoit comme un coup de poignard en plein cœur. Elle reste sur sa chaise, écœurée, en refusant toutes invitations. Camille disparait avec son ami un long moment avant de réapparaitre. Elise est comme dans un état dépressif, elle regarde méchamment sa tante, qui se rajuste. Lorsque Camille passe à côté d’elle, elle dit :
-Je te hais !
Cela fait quelques jours qu’elle ne lui adresse plus la parole.
Un soir, sa tante l’invite sur le bacon, alors qu’elles discutent, sous un ciel étoilé, la tension est retombée, Élise se tourne vers sa tante avec une lueur dans les yeux :
-Je veux être comme toi, audacieuse et libre, comment fais-tu ?
Camille, touchée, répond :
-C’est simple, ma chérie. Sois honnête avec toi-même et avec les autres. Ose prendre des risques, même si cela fait peur !
Cette conversation marque un tournant dans la relation entre Élise et Camille. Élise, commence à comprendre que la vie est un mélange d’audace et de vulnérabilité. Elle s’ouvre davantage à sa tante, elle avoue ses appréhensions sur le sexe et ajoute :
-Tante, je suis encore vierge, j’ai un peu peur du dépucelage. Camille l’enlace et l’embrasse sauvagement, elle dit avec une pointe d’ironie :
-Tu es toute neuve ma chérie, mais si tu veux, je peux t’arranger une rencontre avec un bon mâle !
Elise hésite encore, mais avant de prendre une décision, retrouve souvent sa tante dans sa chambre pour des jouissances linguales et digitales fabuleuses.
Les vacances touchent à leur fin, mais le lien qu’elles ont tissé est indélébile. À l’heure du départ, Élise étreint sa tante avec une chaleur sincère, elles échangent un baiser fougueux :
-Merci pour tout, Camille. Je ne me sens plus seule maintenant Camille, émue, lui répondit :
-Souviens-toi, Élise, tu es forte et unique. Ne laisse jamais personne te faire douter de toi. »
Cet été avait été le début d’une aventure pour Élise, une aventure où elle est certaine de pouvoir compter toujours sur sa tante, qui est devenue bien plus qu’une simple parente, mais une véritable amie et une amante exceptionnelle.
Linsee
Ajouter un commentaire