Après leur émouvante séparation à la fin de l’été, Élise et Camille continuent à échanger des messages, partagent leurs pensées, leurs rêves, et elles s’imposent un défis quotidiens. Elles se masturbent toutes les deux à distance, elles s’écoutent geindre au téléphone, jusqu’à l’orgasme.
leur échange constant renforce leur complicité. Camille, avec ses conseils éclairés et son humour pétillant, est devenue un véritable pilier pour Élise.
Un jour, alors qu’Élise se préparait à commencer une nouvelle année, elle reçoit un message de sa tante :
-Pourquoi ne viendras-tu pas passer un week-end chez moi pour te changer les idées avant ta rentrée à l’université ?
Élise, excitée à l’idée de retrouver Camille, accepte sans hésitation.
À son arrivée, Camille l’accueille avec un grand sourire et un câlin chaleureux. directement elle se retrouvent au lit, les deux femmes tête bêche, se dévorent la chatte, Elise ose lécher l’anus de sa tante, qui se cabre et gémit :
– Oui, oui, je n’osais pas te le demander, vas-y, vas-y bouffe-moi le cul ma chérie !
Maintenant Elise sait comment faire planer sa tante, elle l’aime l’entendre geindre, la voir se tortiller sous ses caresses, la faire jouir. Les deux femmes en folies se fouillent de la langue et des doigts tout les orifices, pour atteindre la jouissance. Après un bon moment de délire Camille dit :
-J’ai préparé quelque chose de spécial !
Cette fois, au lieu de se rendre au restaurant habituel, Camille a choisi de faire un dîner en tête-à-tête, avec des plats qu’Élise a toujours aimés. La table était ornée de bougies et de fleurs fraîches, créant une ambiance intime.
Alors qu’elles dînent, Camille proposa un toast à leur relation. –
À l’audace, aux rêves et à la famille !
Elles levèrent leurs verres, et goûtent à la douceur d’un vin local; Élise sent une chaleur réconfortante l’envahir, les verres se suivent.
Après le repas, elles s’installent sur le balcon, où les étoiles brillent comme des diamants dans le ciel. Camille, avec sa voix douce, commence à raconter des histoires sur ses propres désirs, ses échecs et ses réussites. Élise, fascinée, se sent de plus en plus à l’aise pour partager ses propres pensées :
-Parfois, j’ai peur de ne pas être à la hauteur !
Avoua-t-elle.
Camille, la regarde lui prend la main et lui demande :
-De ne pas être à la hauteur de quoi ma chérie !
La nièce répond avec un peu de gêne :
-Des relations amoureuses, avec les hommes, je te signale que je suis toujours vierge !
La tante tendrement l’embrasse et dit :
N’aie crainte, ma chérie c’est un bon moment à passer, mais si tu le souhaites, je serai là pour te tenir la main, je suis certaine que tu deviendras aussi salope que ta tante, voir plus !
Les deux éclatent de rirent, Le baiser qu’elles échangent est violent. Camille, le regard plongé dans celui de sa nièce, prend une profonde inspiration, et dit :
– Élise, peut-être qu’il est temps, que tu perdes ton pucelage, il faut quand même que tu l’envisages !
Elise opine de la tête pour dire oui.
Paul, le mari de Camille et le tonton d’Élise, rentre enfin de voyage, le bougre très souvent en déplacement pour son travail, ne voit que sa femme entre deux escales. Grand et charismatique, Paul a toujours été une figure admirée dans la famille, réputé pour son humour et sa légèreté.
– Élise, Ça fait longtemps que je ne t’ai pas vue, mais maintenant tu es devenue une vraie femme, et bien roulée en plus !
Élise, un sourire un peu forcé sur les lèvres réplique :
-Merci, tonton !
Camille, observe son mari avec un regard soupçonneux, le coquin semble s’intéresser à sa nièce. Cela lui donne une idée, qu’elle vas soumettre à Elise lorsqu’elle sera seule avec elle.
Le soir même, tandis que Paul raconte des anecdotes autour d’un bon repas, Élise remarque que Camille a du mal à cacher son agitation. Les regards complices qu’elles échangeaient plus tôt étaient désormais teintés d’une certaine réserve.
Paul, plein de vie et d’optimisme, est une bouffée d’air frais.
La discussion devient rapidement une compétition amicale entre Camille et Paul, leurs rires et taquineries créant une atmosphère, qui trouble Élise. En retrait, elle observe sans comprendre.
– Tu es plutôt silencieuse aujourd’hui, Élise !
Dit Paul en lui lançant un clin d’œil. –
-Tout va bien ?
– Oui, tout va bien tonton !
Mais le ton employé pour répondre. Fait pincer les lèvres à Camille, elle réalise l’embarras de sa nièce, elle lève et lui demande.
– Tu veux sortir prendre l’air un moment, Élise ?
Elles sortent toutes deux sur le balcon, où la brise nocturne apporte un peu de fraicheur. Camille, visiblement troublée, se tourne vers Élise :
Élise, partagée entre la jalousie et la compréhension, murmura :
-C’est juste que… après tout ce que nous avons partagé, je me sens perdue quand tonton est là. »
Camille s’approcha d’Élise, son regard est sérieux. Elle lui dit :
J’ai un projet a te soumettre ?
Elise redresse la tête et demande :
-Quel-est-tel ?
En se pinçant les lèvres Camille répond :
Eh bien voila ce n’est pas facile à dire, mais j’aimerais que ce soit Tonton qui te prenne ton pucelage !
Élise, se cabre et en balbutions, répond :
-Avec tonton tu es sérieuse là !
Camille réplique :
Paul est aussi une partie de ma vie. Je ne veux pas que cela crée de la tension entre nous, c’est pour cela que je veux le partager avec toi !
Leurs yeux s’accrochent, et une tension palpable s’installe de nouveau. Élise, réalise qu’elle ne peut pas ignorer ce que ressent sa tante, pour son mari.
Camille en soupirant dit :
-Elise ma chérie, je ne veux t’offrir à lui, c’est mon désir le plus intime !
Elise, touchée par l’honnêteté de sa tante, se penche légèrement en avant, leurs visages sont à quelques centimètres l’un de l’autre. Leurs lèvres s’effleurent. La nièce dit :
J’accepte tante !
Camille ajoute en souriant :
– Notre amour, ne changera pas à cause de Paul. Nous devons juste trouver un équilibre !
Avant qu’elles n’aient le temps de dire quoi que ce soit de plus, Paul sort sur le balcon, les interrompant.
– Qu’est-ce que vous chuchotez, les filles, Je parie que vous parlez de moi ! »
Élise et Camille se séparèrent rapidement, un sourire gêné sur le visage d’Élise :
-Non, rien du tout !
Répond Camille avec une légèreté calculée.
– Juste des secrets de filles !
Puis elle se ravise elle dit :
-Eh bien oui, nous parlons de toi, j’ai proposé à Elise que tu sois son amant, car elle est encore vierge !
Paul tombe de haut, il vient de recevoir sur la tête un coup de massue. Paul groggy, les invite à revenir à l’intérieur pour terminer la conversation.
Élise, bien que toujours troublée, se force à sourire. Mais une fois à l’intérieur, elle ne peut s’empêcher de se sentir tiraillée entre Camille et sa propositions La tension monte dans le corps Élise. Paul qui a reprit ses esprits, demande :
-C’est prévu pour quand ce dépulpage, Elise est d’accord ?
Camille regarde sa nièce et répond :
-Oui, elle y consent. Après la douche ce soir dans sa chambre !
Paul ajoute en regardant sa nièce:
-Ça serait plus excitant si ta tante, se joint à nous !
Un frisson d’excitation flotte dans l’air. Camille prend la parole :
-Mais c’est prévu mon chéri !
En souriant Paul répond :
-Tu es pleine de potentiel, et de surprise ma chérie, j’ai hâte d’être à ce soir !
Camille acquiesce un sourire. Élise sent son cœur battre plus fort, une vague d’émotions l’envahit et cela la rend nerveuse. le repas terminé, c’est l’heure de la douche. Elise est la première dans sa chambre, elle stresse fortement elle c’est enfoncée dans son lit avec les draps sous le menton. Soudain la porte de sa chambre s’ouvre, c’est sa tante, tout sourire. Elle s’avance vers elle, ôte son peignoir. Arrache les draps qui recouvrent le corps nue de la nièce, admire les rondeurs de son corps, et dit avec tendresse :
-Ma chérie, tu vas devenir une vraie femme, tonton va bien te forer, le bougre à une bonne queue, et il sait s’en servir. Mais avant je vais bien te préparer !
Elise avec de nombreux trémolos dans la voix dit :
-J’aie peur tante !
Camille trouve les mots pour la rassurer :
-Je suis là ma chérie, n’aie pas peur, je vais te guider !
Après un échange de baisers fougueux, Camille caresse les seins de sa nièce qui stresse de plus en plus. Elle joue avec ses mamelons, les étire, les presse pour les stimuler, elle les roule longuement entre ses doigts, avant de les gober à tour de rôle. Les succions avides font geindre Elise. la porte de la chambre s’ouvre Paul apparait nu. Il dit en s’approchant :
-Eh bien, on commence sans moi !
Sans répondre Camille continue son œuvre. Elise geint de plus en plus, mais lorsque la bouche de sa tante se pose sur sa vulve, elle pousse un long râle. La tante vorace lui dévore la chatte férocement. Elise est au bord de l’explosion, elle agite son bassin en grognant. Une violente jouissance la fait hurler. Paul bande terriblement, il s’assoit sur le lit, sa femme lui saisit la verge et commence à l’agiter fermement. Elise regarde le membre, en écarquillant les yeux. L’engin semble redoutable, elle ravale sa salive. La tante active, décalotte le gland et le gobe elle fait dessus, des succions puissantes et très bruyantes. Paul geint de plaisir. Au bout d’un moment, elle recrache le gland et dit :
-A toi ma chérie, fais comme moi, suce la belle queue !
Maladroitement, Elise s’empare de la verge, et l’enserre dans sa main tremblante. Elle sent le sang battre dans le manche vivant. Elle décalotte doucement le large chapeau, l’observe un long moment avant de Le gober. Comme sa tante, elle suce et tète l’engin avec ardeur. Paul ne peut s’empêcher de dire :
-Oh la vache, elle apprend vite, la coquine !
Sous la bouche de sa nièce il geint comme une bête malade. Camille l’encourage :
-Suce bien ma chérie, tonton va te remplir la bouche de son sperme, il faudra, que tu l’avales ma chérie, il ne faut jamais gâcher une bonne semence !
Elise suce voracement le gland et comme l’a prédit sa tante, elle reçoit dans la bouche un flot de sperme visqueux. Surprise par la décharge, elle repousse son oncle, regarde sa tante en faisant une moue affreuse. Camille insiste :
-Avale ma chérie, avale !
En se pinçant les lèvres, Elise avale la semence. La félicite, et lui demande de s’allonger, c’est le moment d’offrir son pucelage à son oncle.
Paul prend place entre les cuisses de sa nièce, place sa verge contre la chatte dégoulinante, et en s’accrochant à ses hanches pousse. La tante bien intentionnée, lui saisit le clito et le branle doucement. La verge s’enfonce lentement dans le ventre d’Elise, elle serre les dents en grimaçant. Rapidement la progression et stoppée, une résistance se fait ressentir. Sa tante dit, tout en accélérant le branlage :
-Vas-y Paul, c’est le moment !
L’oncle donne un violent coup de reins, l’hymen explose. Elise se cabre une violente brûlure lui traverse le ventre, elle s’agrippe à son oncle en soufflant comme un taureau. Paul entreprend un lent va-et-vient. Elise s’accroche à lui en lui griffant le dos. La douleur, semble stimuler le tonton qui accéléré le rythme. La verge gonflée, coulisse dans la gaine brulante en raclant le parois sensibles la douleur s’estampe peu à peu.
La tension monte dans le corps d’Elise, elle s’agite en grognant sur le pal qui voyage dans son ventre, la tante sentant que la libération approche, agite le clito avec plus d’ardeur. Le gland frappe à chaque enfoncement le col de l’utérus, la nièce, n’avait jamais ressentit autant de plaisir. Soudain une violente explosion la fait hurler, sa jouissance est fabuleuse. Elle s’accroche à son oncle en marmonnant :
-Oh tante, tante, c’est fantastique, mon Dieu comme il me prend, je vais re-jouir oui, oui, sa vient !
Un seconde jouissances la fait encore hurler, c’est l’occasion pour la tante de lui écraser le clito. l’effet est immédiat, une nouvelle jouissance fait cabrer Elise. Paul ne retient plus ses coups, il la défonce en marmonnant :
-Oh putain, ce qu’elle est bonne, oh putain oui !
Il se bloque, se raidit, et remplit le ventre de sa nièce, avec son sperme épais. La douce chaleur du liquide qui se répand dans son ventre la fait fait frémir, comme une feuille au vent d’automne. L’oncle amant se retire, il un filet blanchâtre, mêlé à du sang qui s’écoule lentement de la chatte béante. Camille se penche sur sa nièce et l’embrasse sauvagement. Après le baiser brulant elle dit :
– Tu es une femme maintenant ma chérie, il te reste bien des choses à apprendre. Regarde ma chérie, ce que tonton va me faire !
Elle se met à quatre pattes sur le lit, Paul se place derrière elle, et appuie son gland gluant contre son anus. Il s’accroche à elle et pousse. Elise yeux écarquillés, regarde sa tante se faire sodomiser. La verge qui coulisse lentement dans le rectum, fait geindre Camille comme une bête blessée. Elise regarde émerveillée, elle en à déjà entendue parler et vu en vidéo, mais là, c’est sous ses yeux que cela se passe.
Camille semble aimer ce genre de pénétration, elle gémit de plaisir à chaque coups de reins que lui donne Paul. Elle atteint rapidement l’orgasme, Paul aussi d’ailleurs, il déverse dans le rectum de sa femme plusieurs jets de sperme. Il se retire, Elise regarde l’anus béant qui suinte de semence visqueuse. En haletant Camille dit :
-Lorsque tu seras prête ma chérie, tu pourras si tu le désir, en te faisant sodomiser par ton tonton, avoir une jouissance anale exceptionnelle !
Les trois restent étendu sur le lit un long moment, sans se dire un mot. Camille et Paul échangèrent un regard, un mélange de complicité les anime. L’atmosphère lourd redevient normale. Élise sait qu’un nouveau chapitre vient de commencé.
Alors que la soirée avance, Élise est partagée, entre sa tante et son oncle. Elle apprécie l’attention de Paul, mais elle sait que sa relation avec Camille est tout aussi précieuse. Trouver un équilibre entre ces deux relations va devenir un défi. Elle ne peut s’empêcher de se demander comment tout cela va évoluer.
Pendant la nuit, Elise avec bonheur subit, encore les assauts de sa tante et de son oncle.
Linsee
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