Voici mon histoire de sexe. Je m’appelle Françoise, j’ai 50 ans. Je suis mariée à Victor qui en 38. Oui je sais, on a une grande différence d’âge, vous allez voir que ça a une petite importance pour la suite du récit érotique. Je vais être honnête avec vous, je suis ce qu’on appelle une femme aisée. Je vis de mes rentes et je suis ce que l’on appelle communément une Bourgeoise. À l’époque je m’étais trouvé un petit jeune, une sorte de gigolo pour qu’il me baise et qu’il soit endurant. J’ai fini par l’épouser, mais aujourd’hui c’est moi qui profite de lui.
Il a été mon objet sexuel pendant des années. Et puis un jour, j’ai découvert par hasard qu’il était bisexuel. Alors j’ai décidé de le coincer et de le confronter à sa sexualité. Je ne suis absolument pas fâchée, je n’ai pas l’intention de divorcer. J’étais juste un peu contrariée qu’il ne m’en ait pas parlé. Alors voilà ce que j’ai fait.
J’ai fait venir un ami dont je sais qu’il a une grosse bite. Vous vous demandez comment je le sais ? Et bien tout simplement parce que je l’ai déjà essayée ! Le rendez-vous est pris, mon ami est dans la confidence. Il vient chez nous et nous passons un début de soirée très intéressante et conviviale. Le repas se déroule tranquillement et j’invite tout le monde à passer au salon pour prendre le dessert. Mon ami qui connaissait le fin mot de l’histoire s’est mis à parler de sexe. Mon mari a commencé à être mal à l’aise quand il a vu que je commençais à parler de notre sexualité, il était très surpris.
Mon ami a dit qu’il aurait bien aimé tester le sexe avec un homme. J’ai vu tout de suite l’intérêt de mon mari pour ses propos. J’ai alors proposé ouvertement à mon ami de se faire sucer par mon mari. Si mon ami a joué le jeu et a sorti sa bite, mon mari a fait le prude. Je me suis approché de lui, je l’ai regardé dans les yeux et je lui ai dit que je savais tout de sa sexualité secrète. Ça allait être sa punition pour m’avoir mis à l’écart. Il allait devoir maintenant sucer la bite de mon ami et faire ça comme il faut !
Surpris, mais excité, mon mari s’est mis à genoux pour prendre en bouche la grosse queue de mon ami. Il faisait ça bien ! J’ai tout de suite compris qu’il avait l’habitude de sucer de la bite. Alors je demandais à mon mari de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes. Je lui écartais les fesses et j’ai craché sur son petit trou. J’ai sucé la bite de mon ami ouvertement devant mon mari. Ensuite j’ai guidé sa pine devant le cul pas si serré que ça de mon mari. Lors de la pénétration, ça rentre comme dans du beurre ! Là encore, j’avais la confirmation qu’il avait l’habitude de se faire enculer lorsque je n’étais pas là. Mon ami a limé le fion de mon mari pendant 10 bonnes minutes avant de me faire signe qu’il allait jouir. J’ai demandé à mon mari d’ouvrir la bouche pour récupérer le foutre de mon ami. Un bonheur à voir !
Une fois mon ami parti, j’ai demandé à mon mari de me baiser pour que l’on enterre la hache de guerre. Je lui ai dit que maintenant son cul m’appartenait et que je comptais le rentabiliser. Dans ce milieu bourgeois et pervers, j’avais tout un panel de connaissances prêtes à me payer pour se faire sucer par mon mari et l’enculer devant moi. Notre maison est devenue un hôtel de passe ou des hommes âgés de 20 à 70 ans viennent se vider les couilles dans la bouche et l’anus de mon mari.
Je lui donne 40 % de ce que me rapporte son cul. C’est plutôt pas mal, non ? Il semble satisfait et n’a plus à se cacher de sa sexualité. Quant à moi, ça me fait des revenus supplémentaires et des excuses toutes trouvées pour faire venir des hommes à la maison et de temps en temps me faire baiser devant mon mari.
Françoise 50 ans Nice
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