Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 10 – Retour à l’hypermarché
Le lendemain matin, au réveil, j’eus l’impression que ma nuit avait été peuplée de cauchemars, mais aussi de rêves agréables.
Je revoyais toute la scène de ce que j’avais vécu la veille. Et surtout, l’épisode avec les deux blacks.
La crainte dans mon cauchemar était le fait de ne pas avoir pris de précaution dans ces rapports, mais le bon côté du rêve était d’avoir pu sentir le premier black se déverser entièrement dans mon cul. Il est sûr, qu’avec une capote, la sensation ne devait pas être la même.

Mon petit trou du cul était encore sensible. Je le sentais en y posant mon doigt, mais il n’était pas douloureux.
Ce qui rendait le regret qui me trottait dans la tête encore plus fort.
J’imaginais et je regrettais que les évènements ne se soient pas produits à l’inverse. Je revoyais l’énorme bite du black qui avait forcé ma bouche, et je l’imaginais forçant l’entrée de mon trou du cul, avec son énorme pieu. J’en avais la queue raide.
C’est ce moment que choisit mon oncle pour rentrer dans ma chambre. En pyjama, il s’assit sur le bord de mon lit.
- « Alors, bien dormi ? » me demanda-t-il. « Pas de regrets de ce qui s’est passé hier. Il m’a semblé voir la bite du noir qui t’a enculé. Elle m’a semblé bien grosse. Elle ne t’a pas blessé ? »
- « Non, Tonton, elle était plus longue, mais moins grosse que la tienne. Et pour te dire la vérité, le seul regret que j’ai, c’est de ne pas m’être fait fourré par celui qui avait la plus grosse. Quant à ma petite rosette, elle est sensible, mais pas douloureuse. »
- « Ah oui ! », me rétorqua mon oncle, « « Il ne faut pas rester comme ça. Fais-moi voir ça, si elle n’est pas trop enflammée. Mets-toi sur le ventre. »
A ces mots, il tira le drap, jusqu’à mes pieds. Il m’écarta les jambes, et avec ses mains, il prit chacune de mes fesses et les ouvrit largement. J’étais gêné, mais en même temps excité de le voir me regarder le trou du cul, comme il le faisait. Il me dit :
- « C’est effectivement un peu rouge, mais tu n’es pas blessé ! »
- « Il faudrait mettre un peu de baume dessus, pour atténuer l’irritation. » rajouta-t-il
- « J’en connais un très bon ! La salive !»
Joignant la parole aux actes, je le vis se pencher vers mon cul, et il se mit à me lécher le trou du cul, en faisant rentrer sa langue dans ma rosette. C’était bon !
Moi, sur le ventre, la tête tournée dans sa direction. Lui, debout devant mon lit, penché sur moi. Je vis, à cet instant sa bite dressée jaillir par la braguette de son pyjama. Ce fut plus fort que moi. Alors que je ne l’avais jamais sucé, je saisis sa grosse queue, et je la mettais dans ma bouche. Il continuait de me lécher l’anus, et moi, je le pompais, sa bite enfoncée jusqu’à mon gosier.
- « Puisque tu voulais la grosse bite du black dans le cul, tu vas avoir un aperçu du bien que peut te faire la mienne, même si elle est moins grosse. »
Sur ces paroles, il se mit à poil, me retourna sur le dos, saisit mes jambes et les remonta très haut, et d’un seul coup, m’encula profondément de sa grosse bite. Je ne ressentis pas de douleur, le chemin avait été bien préparé la veille, mais au contraire, un sentiment de plaisir d’avoir le ventre rempli, par son gros sexe qui me labourait le cul, avec vigueur. Tonton ne devait jamais avoir baisé de jeune homme, car il s’est vidé les couilles très rapidement, en me chuchotant à l’oreille que c’était très bon. Il ne pouvait pas gueuler, parce que Tata aurait pu entendre.
En même temps qu’il me baisait le cul, je me branlais vigoureusement, et quand je l’ai senti me remplir le ventre de son jus, j’ai joui en envoyant de gros jets de foutre sur mon ventre.

Tonton, remis de ses émotions, me dit :
- « Tes blacks, ils doivent y être souvent au centre commercial. Si tu veux la grosse bite de celui que tu dis qu’il est encore mieux monté que moi, on peut y retourner. Je vais trouver un prétexte, pour ta tante. »
Comment répondre autre chose que « oui » à une telle proposition.
Quand nous descendîmes dans la cuisine, Tata nous demanda ce qu’on faisait dans ma chambre, pour avoir été si longs avant de venir prendre le petit déjeuner.
- « On parlait. » dit Tonton, « Au fait, nous allons devoir retourner au centre commercial. J’ai oublié quelque chose au bistrot où nous avons pris un café. »
- « Qu’est ce que tu as oublié ? »
- « Oh, rien de bien important, mais j’y tiens. »
- « Bien ! Mais ne restez pas trop longtemps. Je ne voudrais pas vous attendre, comme hier. »
A l’arrivée au centre commercial, Tonton me dit :
- « Va directement là-haut. Je fais un tour pour voir si je peux trouver tes blacks, et je te rejoins. »
Je montais donc directement aux « WC Hommes », et comme j’y entrais, un autre homme y entrait aussi. Le vieux, que j’avais vu se faire sucer la veille. « Quelle santé ! » je me suis dit. Il avait plus de soixante dix ans, à voir son visage. Il me sourit, et je lui rendis son sourire. Je rentrais dans une cabine, et d’un regard appuyé, je lui montrais la cabine voisine.
Dans la cabine, je me mis directement à poil, et je n’attendis pas longtemps pour voir une bite passer par le trou de la cloison. Elle était belle, bien raide, d’une taille normale. J’entendis le vieux, à côté.
- « Vas-y, mon petit, suce-moi bien. Je pourrais être ton grand-père. Je suis sûr que tu sais être gentil avec les vieux. »
Je saisis sa bite à pleine main, et je la décalottais. Son gland était doux, je le frottais sur mes lèvres, et je donnais des petits coups de langue de la base de sa queue jusqu’au frein de son prépuce. J’entendais le vieux gémir.
- « Que c’est bon ! Bon Dieu, que c’est bon ! Fais-moi jouir, petit. Tarde pas. A mon âge, tu sais on bande pas longtemps. »
Alors, je l’enfournais entièrement dans ma bouche, et je le pompais jusqu’à ce qu’il décharge son jus dans ma bouche. Son foutre n’était pas copieux, ni épais, mais je le crachais aussitôt dans la cuvette.
- « Oh ! Merci petit. », me dit le vieux, « Cela faisait longtemps, qu’on ne m’avait pas pompé pareillement, et que j’avais joui aussi fort. Merci. J’espère bien que tu reviendras. »
J’entendis la porte de sa cabine se refermer. J’avais la queue raide. Cela m’avait terriblement excité de sucer ce vieil homme.
J’entendis à ce moment, mon oncle m’appeler. « On a de la visite ? T’es où ? »
J’ouvris ma porte, mon oncle et les deux blacks étaient là. Ils souriaient tous les trois, car ils avaient vu le vieux sortir de sa cabine, la mine réjouie, et ils avaient compris que je n’étais pas resté inactif en les attendant. Ils entrèrent tous les trois. Nous étions un peu à l’étroit mais pour ce que nous allions faire, c’était parfait.
Voyant que j’étais à poil, ils se déshabillèrent aussi. Nous bandions déjà, tous les quatre. Les blacks ne perdirent pas de temps en préliminaires. Ils nous firent mettre à genoux, mon oncle et moi, et nous présentèrent leur bite à sucer. Tonton et moi ne nous firent pas prier. Je pris la plus grosse, celle que j’avais déjà sucé la veille, et Tonton, celle qui m’avait enculé. C’était presque le concours de celui qui se l’embouchait le plus loin. Les blacks étaient ravis et je vis qu’ils avaient chacun mis un doigt dans le cul de leur copain, et qu’ils se limaient le fion profondément.
Puis, ils nous relevèrent, nous firent nous tourner et prendre appui avec nos mains sur le mur derrière la cuvette. Tonton et moi, étions penchés en avant, le cul bien en évidence. Les blacks nous écartèrent les jambes, s’agenouillèrent, et se mirent à nous lécher la rondelle avec frénésie.
Avec Tonton, nous nous regardions et sourions, impatients qu’ils nous fourrent leur bite dans le cul.
Ce qui ne tarda pas ! Moi, qui avait rêvé de la plus grosse, et qui avait déjà eu un aperçu avec celle du Tonton le matin, je ne fus pas déçu. Mon black avait du mal à faire rentrer son gros engin dans mon petit cul. Il dut s’y reprendre à plusieurs fois. Il se crachait sur le gland, me léchait la rondelle, et réessayait.
Pendant ce temps-là, Tonton, lui, se faisait déjà enculer profondément par son blackos, qui le limait à grands coups de reins.
Le mien finit par arriver à me fourrer son énorme bite dans le cul. Il avait eu tellement de mal à y parvenir qu’il est entré tout entier, d’un seul coup. J’ai eu l’impression qu’on m’ouvrait en deux. Mais, immédiatement après, la sensation d’avoir le ventre rempli de sa queue énorme, me fit oublier la douleur ressentie quand il me l’a rentrée dans le cul. Il me limait fort et loin. Et puis, d’un coup, il est ressorti entièrement, et il l’a rentrée à fond à nouveau. Plusieurs fois de suite. Que c’était bon ! Cette sensation d’être ouvert en deux, et aussi, ce manque quand il sortait. Je voyais que Tonton prenait aussi un pied d’enfer, car il geignait doucement.
Quand mon black se remit à me limer le cul à fond, je passais mon bras entre mes jambes, et avec ma main, j’attrapais ses couilles que je serrais fort. Je l’entendis grogner de plaisir.
Sur un regard qu’ils se lancèrent, les deux blacks passèrent leur main devant nous et nous attrapèrent la bite. Ils nous branlaient fort, tirant à fond sur nos queues. Et comme dans un ballet bien réglé, nous avons joui, pratiquement tous ensemble.
J’ai senti, dans mon cul, la bite de mon amant grossir et durcir encore plus, et de longs jets de foutre m’ont rempli le ventre. J’avais l’impression d’un robinet ouvert. J’ai éjaculé, moi aussi, en envoyant de gros jets de sperme sur le mur.
A entendre, les deux autres acteurs, ils avaient dû aussi arriver au bout de leur aventure, car leurs cris avaient cessé.
Les deux blacks nous retournèrent, nous agenouillèrent et nous dûmes, Tonton et moi nettoyer leur bite, pleine de sperme en les suçant.
J’ai adoré sucer la bite, qui m’avait donné tant de plaisir, et qui était en train de ramollir. Je me suis délecté de déguster les dernières gouttes de son jus et de retrouver sur sa bite le goût que j’avais de mon doigt, après me l’être fourré dans le cul.
Après s’être rhabillés, mon merveilleux amant, me dit :
- « A quand la prochaine ? »
- « Malheureusement pas avant l’année prochaine, peut-être. Les vacances se terminent bientôt. », m’entendis-je lui répondre.
Un peu plus tard, devant nos cafés, Tonton me dit :
- « C’est bizarre qu’ils n’aient pas retrouvé ce que j’ai oublié hier, ici. Bon, mais ça n’a pas d’importance. L’essentiel, c’est qu’on soit venus. »
Un énorme fou-rire nous prit, tous les deux.
En repartant vers la maison, une question me taraudait l’esprit.
- « Dis-moi, Tonton, tu crois que je suis homo ? Pourtant, l’autre jour avec Sylvie, j’ai bien aimé, et j’ai pris aussi beaucoup de plaisir. »
- « Je crois surtout, que comme moi, tu es « bi ». C’est-à-dire que ce que tu aimes, avant tout, c’est le plaisir sexuel. »
- « Avant de partir, il faudra quand même que je retourne voir Sylvie, pour savoir. »
J’ignorais, à cet instant, que l’occasion de réaliser mon vœu, se présenterait aussi rapidement.
- « Mais ma parole, tu es irrassasiable ! », me répondit-il, dans un éclat de rire.

Le plaisir et le désir m’envahit
Tout comme @pierre sur sa photo j’ai mon sexe bien raide là …
J adore vivement la suite