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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 11 Marc doit s’absenter

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 11 – Marc doit s’absenter

 

Le lendemain matin, Marc se présenta chez ma tante et mon oncle. Ils l’accueillirent, en lui offrant un café.

  • « Que nous vaut le plaisir de ta visite ? », lui demanda mon oncle
  • « J’ai un nouveau service à vous demander, ou plus exactement, à votre neveu. »
  • « Ah, oui ! » dit ma tante « Moins fatiguant que celui de la dernière fois, j’espère. Car il est rentré sur les genoux. Enfin, je ne te le reproche pas, car il était ravi de sa journée. »
  • « Non, là, il ne s’agit pas de boulot. Mais, voilà ce qu’il m’arrive. Par obligation professionnelle, je dois absolument m’absenter aujourd’hui et demain. Je ne suis pas tranquille à l’idée de laisser Sylvie toute seule. Et, elle n’est pas non plus très sereine. D’autant plus que nos plus proches voisins sont partis en vacances. Elle a peur de rester seule. Donc si le jeune homme, acceptait de venir faire deux jours de « woman-sitting», cela nous rassurerait tous les deux. Au cas, où il serait d’accord, je lui ai déjà préparé le canapé, pour cette nuit. Il y sera confortablement installé. Pensez-vous que cela soit possible ? »
  • « Ecoute, » répondit ma tante, en sollicitant des yeux mon oncle, « Cela ne pose pas de problème, s’il est d’accord, lui aussi. Le mieux est donc de lui demander. Je vais l’appeler, il est dans sa chambre. »

A son appel, je descendis, et fus surpris de trouver Marc en leur compagnie. Je ne l’avais pas entendu arriver.

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Ils m’expliquèrent la situation, et me demandèrent mon avis sur la question.

Hypocritement, ma réponse vint naturellement à mon esprit. Je ne voulais pas trop faire voir mon enthousiasme, bien que le sourire de mon oncle, me fasse comprendre qu’il avait déjà compris mon petit jeu.Des vacances incestueuses inoubliables chapitre 11 marc doit s’absenter

  • « Ben, ça m’ennuie un peu, car ce soir, j’avais prévu de regarder un film que je voulais voir depuis longtemps. Mais, si cela t’arrange, Marc, … »
  • « Parce que tu nous crois arriérés à ce point ? » me dit Marc, « Tu sais, nous aussi, on a la télé, au fond de notre campagne. Tu ne l’as sûrement pas vue, l’autre jour, car elle est dans un meuble télé, fermé, dans le salon. Donc tu ne louperas pas ton film, ce soir. En plus, si tu as du mal à dormir, ou si tu as l’habitude de veiller tard, tu pourras demander à Sylvie. Nous avons plein de films sur CD. »
  • « Alors, c’est OK ! J’espère que vous avez le coffret Clint Eastwood, j’adore cet acteur et les films qu’il a mis en scène. », répondis-je, sans regarder Tonton, de peur que nous éclations de rire, tous les deux.
  • « Bon, alors, attrape ton pyjama, et ta brosse à dents, si cela ne te dérange pas. Je dois partir au plus vite. »
  • « Je l’emmène, et je vous le ramène, quand je rentre demain. Au cas où je serai retardé, et que je rentre tard, je ne vous le reconduirai que le lendemain matin

Chose dite, aussitôt faite. J’étais vêtu d’un short-bermuda, avec un slip, en-dessous, et d’un polo. Je décidais de ne pas me changer, afin de ne pas éveiller quelque soupçon, dans l’esprit de ma tante. Je récupérais mon pyjama, qui ne m’avait pas beaucoup servi depuis mon arrivée en vacances, et ma brosse à dents. Je prenais aussi un bouquin, que je tenais bien en évidence.

  • « Fin prêt ! » dis-je en descendant.
  • « Encore merci à tous les trois. » dit Marc, « Je vais partir l’esprit tranquille. »
  • « Tu peux ! », rétorqua mon oncle, « Je suis sûr qu’il va bien remplir sa mission auprès de Sylvie. »

J’ai cru ne pas pouvoir me retenir d’éclater de rire.

Arrivés chez eux Marc descendit de voiture, alla embrasser Sylvie, lui indiquant qu’il déjeunerait sur la route, un peu plus tard, me fit la bise, et prit la route.

Sylvie était vêtue d’un short très court et très moulant qui ne cachait rien de ses formes, qui lui rentrait dans la raie des fesses, et qui devant, avait le même effet, marquant précisément la fente de sa moule. En haut, un tee-shirt, genre « marcel », ne cachait pas grand-chose de ses seins magnifiques et lourds, mais les mettait parfaitement en valeur.

C’était bientôt l’heure de déjeuner. Je mis le couvert pendant que Sylvie nous préparait un repas léger.

En déjeunant, elle m’avoua :

  • « C’est moi qui ai eu l’idée de demander à Marc que tu viennes me tenir compagnie. Marc m’avait dit qu’il devait s’absenter. Qu’il espérait pouvoir conclure son affaire dans la journée, et qu’il essaierait de rentrer ce soir, même tard dans la nuit, car il savait que je ne suis pas tranquille d’être seule la nuit à la maison.

Je lui alors dit que je ne voulais pas qu’il risque d’avoir un accident, en voulant tout faire la même journée, et qu’il pourrait demander à son « ouvrier » des jours précédents de venir me tenir compagnie, pour me rassurer.

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Il a trouvé l’idée judicieuse, d’autant plus me dit-il, que cela l’aiderait dans les négociations de son affaire de ne pas sembler trop pressé.

Voici pourquoi, mon grand, tu vas passer la journée d’aujourd’hui et de demain, ainsi que cette nuit avec moi. »

  • « Tu ne peux pas t’imaginer à quel point cette idée me réjouit. » lui répondis-je, en matant avec insistance ses tétons qui pointaient sous son « marcel ».
  • « Cependant, mon Petit Père, il va te falloir attendre un peu, avant de réaliser tes projets, s’ils sont ceux auxquels je pense. Car, quand Marc s’absente comme ça, en règle générale, il me fait l’amour longuement, avant de partir.

Ce qu’il n’a pas manqué de faire une grande partie de cette nuit. Il m’a mise sur les rotules. Je suis crevée. Je vais donc faire une bonne sieste réparatrice, cette après-midi, pour pouvoir te consacrer pleinement ma soirée. »

  • « OK ! je comprends. Alors va te reposer, je vais ranger la cuisine, et faire la vaisselle. T’en fais pas, j’ai amené un bouquin. Je vais lire en t’attendant. Repose-toi bien. »
  • Si tu veux, tu as des magazines dans les tiroirs de la commode du salon. » me dit-elle, en me faisant un léger bisou sur les lèvres et en se dirigeant vers sa chambre.

Des vacances incestueuses inoubliables chapitre 11 marc doit s’absenterJe remis la cuisine en ordre, et m’apprêtais à me mettre dans le canapé avec mon bouquin, quand je repensais qu’elle m’avait parlé de magazines. J’étais curieux de voir à quel genre d’hebdomadaires ou de mensuels, Marc et Sylvie, s’intéressaient.

J’allais dans le salon, et j’ouvrais le premier tiroir de la commode. Des magazines financiers (vu le boulot de Marc, rien d’étonnant), d’autres politiques. Dans le deuxième, des revues de mode et de déco (sans doute à Sylvie), mais dans le troisième, celui du bas, rien que des magazines érotiques, ou carrément de cul, pornos.

Mon roman, d’un seul coup, m’intéressa beaucoup moins. Je pris 3 ou 4 revues. Du tiroir du bas, bien sûr, et allais m’installer dans le canapé. Je dévorais des yeux les photos, les histoires, et ma bite d’un seul coup se sentit très à l’étroit dans son slip. Alors, j’ai baissé mon short et mon slip et en regardant les revues de cul, j’ai commencé doucement à me branler.

Quand, tout à coup, j’ai entendu les mêmes gémissements que le matin où je bossais avec Marc dans son garage. Je me levais, me reculottais, et me suis dirigé vers la chambre de Sylvie.

Elle était nue sur son lit, profondément endormie (cette fois-ci, j’en étais sûr), mais dans la même position que la dernière fois. Allongée sur le dos, genoux remontés, cuisses largement écartées, et les doigts enfoncés loin dans sa chatte. Elle se masturbait en dormant.

Une idée folle me vint à l’esprit. Un couple aussi accro à la jouissance, ne pouvait pas ne pas avoir de jouets sexuels. Ce n’était pas possible. Discrètement sans faire de bruit, j’allais ouvrir la porte de la table de nuit de Sylvie… Et là… Une diversité de godes de forme, de tailles différentes, des plugs anal, deux masturbateurs pour homme, un représentant un vagin, l’autre étant un tube de gonflement avec poire.

Je choisis un gode de taille modérée, refermais la porte, et posais le gode entre les cuisses de Sylvie, au contact de ses doigts. Je me reculais à la porte, prit une chaise qui se trouvait à côté, baissais short et slip, et je m’assis bien en face de l’ouverture de ses cuisses.

Le spectacle était de toute beauté. Sylvie, dans son sommeil, dut sentir la présence du gode à sa proximité, elle le saisit, et se l’enfonça entièrement dans la chatte. Elle se limait avec profondément et de plus en plus vite. La vue de cette branlette ne me laissait pas indifférent et moi, qui était éveillé, je me branlais fort en décalottant mon gland jusqu’à la base de mes couilles.

Il devait manquer quelque chose à Sylvie, car je la vis soulever son bassin, passer sa main en dessous, et s’enfoncer deux doigts dans le trou du cul. A partir de cet instant, c’était à la main qui irait le plus vite et le plus loin pour faire rentrer les objets du plaisir dans ces deux trous à combler.

Sylvie ne gémissait plus maintenant, elle commençait à gueuler.

J’ai dû sentir que cela aller la réveiller. Je me suis levé, j’ai remonté slip et short, remis la chaise et les revues en place, et me suis installé dans le canapé avec mon roman.

Sylvie est arrivée dans le salon, nue, des cernes sous les yeux :

Je lui demandais avec un air innocent.

  • « Tu as fait un cauchemar ? Je t’ai entendue crier, à l’instant. ».
  • « Sans doute, je ne me rappelle pas. Mais cela m’a réveillée. Dis-moi, tu es venu dans ma chambre, pendant que je dormais ? »
  • « Non, pourquoi ? ». Quel hypocrite !
  • « Pour rien. Bon, je vais passer un short, et on va prendre un café. J’en ai besoin. »

Le reste de l’après-midi se passa sans événement particulier. Nous nous sommes baladés dans le parc de la maison, en parlant de choses et d’autres, mais sans plus d’allusion au fait qu’elle avait retrouvé un gode sur son lit à son réveil, alors qu’elle devait bien savoir ne pas l’avoir pris avant de s’endormir.

Nous avons dîné légèrement, et sommes passés au salon. Sylvie a ouvert le meuble télé et m’a dit :

  • « Marc m’a dit que tu voulais absolument voir le film qui passe ce soir. Je vais te le mettre. »
  • « Oh, tu sais. Je l’ai déjà vu. Je l’aurais regardé chez Tata, mais Marc m’a dit que vous aviez des CD de Clint Eastwood. Si tu veux bien, je préférerais voir ça. »
  • « OK, si tu veux voir un CD, on en a plein. Je peux t’en passer un que j’adore. Mais il n’est pas de ton acteur préféré. »
  • « Ah bon, c’est de qui et c’est quoi l’histoire ? Un policier ? »
  • « Tu vas voir. » dit-elle, avec un air gourmand, en passant sa langue sur ses lèvres et en effleurant sa chatte moulée par son mini short. « Ça va te plaire, j’en suis sûre. Va t’installer dans le canapé. »

Je vais m’asseoir, et je la vois se diriger vers la commode, où j’avais trouvé les revues porno et ouvrir un petit tiroir, que je n’avais pas vu, sous le dessous du meuble. Elle fouille dans différents CD, elle en prend un, le sort de son étui et l’insère dans le lecteur. Elle revient s’asseoir à côté de moi, et avec la télécommande allume la télé et met en route le lecteur de CD.

L’image apparait immédiatement. Une bite énorme, en gros plan, et une main féminine qui s’approche et qui s’en saisit.

A ce moment, Sylvie met le film sur pause, se tourne vers moi, et me dit :

  • « Penses-tu que ta tenue soit appropriée pour voir ce qui va suivre. Je te conseille d’enlever ton armure. Moi, en tous cas, c’est ce que je vais faire. J’adore me branler devant ce film. »

En disant cela, elle s’était levée et avait fait voler son « marcel » et son short.

Je me levais et me mis à poil, aussi, la bite déjà raide. Je voulus commencer à la prendre dans mes bras.

  • « Non, non, pas tout de suite. Regarde un peu d’abord. Tu te rappelles ce que je t’ai dit, l’autre jour, concernant le plaisir de l’attente. Regardons d’abord un peu. »

Elle remit le lecteur CD sur marche. La main qui avait saisi la grosse bite commença à tirer dessus et fit décalotter le mec complètement. Il avait un gland énorme. Je me demandais même s’il n’était pas plus gros que celui de mon black. A l’écran, juste la bite et une main de femme, quand, changement de plan, on vit un visage féminin s’approcher de la queue, et de la bouche gourmande, sortir une langue qui entreprit de lécher le membre du mec sur toute sa longueur.

Je vis, à ce moment le bassin de Sylvie s’avancer sur le bord du canapé, ses cuisses s’écarter très largement et sa main, aller caresser son minou et son petit bouton. Il ne m’en fallait pas plus, pour que j’empoigne ma bite et que je commence à la branler doucement.

Le champ de la prise de vue de la caméra s’élargit et, je compris pourquoi Sylvie était émoustillée et avait commencer à se branler. Elle connaissait le film, elle l’adorait, et donc elle connaissait la séquence qui arrivait et que j’allais découvrir.

La prise de vue de la caméra s’élargit aux deux acteurs. La femme qui léchait la bite, était magnifique, avec des seins lourds et un sexe dont la pilosité était taillée en forme de cœur.

La bite énorme qui se faisait lécher et caresser, appartenait à … une autre femme. Un trans ! Une shemale, en argot anglais. Avec une poitrine magnifique. Des seins pas très gros, mais très beaux et dont les tétons étaient dressés. Son sexe énorme, ainsi que ses couilles n’étaient pas encombrés du moindre poil. Entièrement épilés.

La femme après avoir léché la bite de sa « copine », l’avait maintenant mise dans sa bouche, et la pompait sans retenue.

J’entendis, à cet instant, Sylvie commencer à geindre, et d’un coup, crier :

  • « Il m’en faut une ! Il m’en faut une ! »

Je m’apprêtais à lui fourrer le minou avec ma queue, quand je la vis se lever, courir dans sa chambre, et revenir avec un gode énorme, qu’elle s’enfila dans la chatte, en hurlant :

  • « Oui, salope ! Fourre-le-toi, ce gros mandrin. Il va te faire du bien. Aaaaaaah »

J’avais l’impression qu’elle m’avait complètement oublié, quand je l’ai vu se pencher sur moi, saisir ma bite, la branler, et se l’emboucher profondément. Elle me suçait avec brutalité, y mettant même les dents par instant. C’était irréel, douloureux un peu, mais tellement bon. Je pensais qu’à ce rythme-là, je n’allais pas tenir longtemps et que j’allais lui cracher mon jus dans la gorge, car le gros gode que je voyais aller et venir dans la chatte de Sylvie m’excitait au plus haut point.

Le film passait maintenant, sans que nous nous y intéressions vraiment.

Sylvie, d’ailleurs, ne tarda pas à le couper. Elle attendit, quand même que la trans ait déchargé son foutre dans la bouche de sa copine.

Puis, elle m’entraina sur son lit. Seule, une petite veilleuse était allumée, qui créait une ambiance intime dans la chambre. Elle me dit :

  • « Avant que tu me baises, comme l’autre jour, parce que tu m’as fait jouir comme une folle, je veux que tu me fasses jouir, sans ton sexe. Avec ton imagination et ce que tu pourras trouver dans la table de nuit. »

L’imagination, ce n’est pas ce qui me manquait.

Je tendis le bras, en restant allongé sur le lit, ouvris la porte du coffre à « malices », attrapais un plug anal, et récupérais le gros gode que Sylvie avait rapporté du salon.

Muni de ces deux jouets, je commençais avec la pointe du gode à titiller la fente de la chatte de Sylvie, et avec le plug, sa petite rosette. Sylvie commençait à geindre. Je frottais alors, le gode dans toute sa longueur, dans la fente bien lubrifiée de mon amante, et j’humidifiais le plug de sa cyprine, avant de lui entrer dans le trou du cul. Elle gémissait :

  • « Que c’est bon ! Que c’est bon ! Baise-moi bien des deux côtés. Oui, fais-moi jouir fort ! »

Alors, je mis le gros gode à l’entrée de son minou, mais je n’en faisais rentrer que quelques centimètres, et je le retirais aussitôt. Elle gémit :

  • « Vas-y ! Fourre-le-moi, bien loin ! Enfonce-le-moi, bien fort ! »

Tout en lui suçotant le clito, je pris un malin plaisir à lui répondre :

  • « Tu sais bien qu’il faut savoir attendre, pour que ce soit meilleur encore. C’est toi qui me l’as dit. Alors, tu vas attendre, encore et encore. Jusqu’à ce que tu me supplies de te l’enfoncer jusqu’à la gorge. »

Tout en lui disant cela, je l’excitais davantage, en jouant avec le bout du godemichet, juste sur le bord des lèvres de sa chatte.

En même temps, j’avais resserré ses pieds, de manière à ce que je puisse fourrer ma pine, entre ses deux plantes de pieds, que je limais, comme si c’était son sexe. Une branlette avec ses panards. Quel pied !

D’un seul coup, brusquement, je lui enfonçais le gode au fond du vagin, et j’appuyais sur le bouton commandant la fonction « vibreur ». En même temps, je sortais et rentrais alternativement son plug anal.

C’en fut trop, pour Sylvie qui me hurla sa jouissance, et pour la deuxième fois de ma vie, je vis une femme éjaculer. Elle m’envoya en pleine face, de longs jets puissants d’un liquide qui était sans odeur et sans couleur, mais que j’ai eu plaisir à recueillir dans ma bouche que j’avais ouvert en grand.

Sylvie était étalée sur son lit, les yeux fermés, cernés de brun, les bras en croix. J’ai cru qu’elle s’était endormie. Elle rouvrit les yeux, et me lança un regard qui valait tous les mots qu’elle aurait pu me dire.

  • « Heureusement que tu pars bientôt. » me dit-elle, quelques minutes plus tard. « Je crois que j’aurais fini par ne plus pouvoir me passer de toi ! »
  • « A mon tour de te faire du bien ! »

Sur ces paroles, elle ouvrit la porte de sa table de nuit, et sortit le masturbateur pour homme, modèle « sexe de femme » que j’avais vu l’après-midi.

Elle me fit allonger sur le dos, écarter les jambes, plaça un traversin sous mes reins, et s’agenouilla entre mes jambes. Je fermais les yeux, ne voulant que ressentir ce qu’elle allait me faire, pas le voir. Comme j’ouvrais les yeux pour voir ce qu’elle s’apprêtait à me faire, elle me dit :

  • « Non ! Tu n’as pas le droit de regarder. Tu dois juste te concentrer sur les sensations que tu vas ressentir. »

Elle se redressa et récupéra dans sa table de nuit un masque de sommeil, qu’elle me posa sur les yeux. Elle reprit sa position, entre mes cuisses, et je me laissais aller, suivant ses conseils.

Je sentis ses mains sur mon torse, me caresser, pincer mes tétons jusqu’à une douleur supportable, puis descendre sur mon ventre en légers effleurements. Ce fût à mes cuisses de subir le même traitement et je sentis avec délectation, les mains de Sylvie s’approcher de leur centre d’intérêt, ma bite.

Je compris que Sylvie m’avait enfilé le sexe dans le tube à poire, quand je sentis ma bite comme aspirée, et pompée. J’ai eu l’impression qu’elle s’allongeait et grossissait encore plus. Puis je compris que c’était le faux sexe en caoutchouc qui remplaçait le tube. Il était parfaitement lubrifié et Sylvie le faisait monter et descendre sur ma queue. C’était génial ! Ne rien voir, et se laisser branler par une femme experte des jeux érotiques. Je me concentrais uniquement sur le plaisir que je sentais monter dans mes reins.

A cet instant, je sentis Sylvie étaler du lubrifiant mentholé sur mon trou du cul. Comment je savais qu’il était à la menthe ? Parce que, en plus de l’odeur qui montait jusqu’à mes narines, je sentais un léger échauffement à mon anus. Alors, Sylvie commença à titiller ma rosette avec le bout d’un gode, que j’imaginais être le même que celui avec lequel je l’avais fait jouir. Puis elle me l’enfonça entièrement dans le cul, en mettant la fonction vibration en marche.

Je la sentis bouger sur le lit, et compris ce qu’elle faisait, quand je me retrouvais avec sa chatte sur la bouche. Je la léchais avec avidité. Elle enfourna totalement ma bite dans le masturbateur-chatte et mis la vibration de celui-ci en marche.

Le gode vibreur dans le cul, et la bite enfoncée dans ce faux vagin qui vibrait aussi, en même temps que je bouffais la moule de Sylvie, cela fût trop fort. Je ne pus pas me retenir plus longtemps. Je lâchais tout mon foutre dans la fausse chatte en gueulant ma jouissance.

  • « Petit salaud ! » me dit Sylvie, « Je ne voulais pas que tu jouisses. Je voulais que tu me baises encore et encore. Ne t’imagine pas que maintenant tu vas faire dodo, et laisser ta petite Sylvie dans l’état d’attente de baise, où elle est. On va aller boire un verre, et après tu vas me faire jouir à nouveau. Tu vas me baiser toute la nuit. »

Elle avait dû préparer son projet, car elle m’emmena dans la cuisine prendre une boisson énergisante, et fumer un « pétard ».

Comme elle l’avait annoncé, je n’ai pas tardé à reprendre des forces et ma bite, une allure faite pour la satisfaire.

  • « Maintenant, tu vas me baiser comme tu m’as baisé l’autre jour ! Je veux jouir, comme une bête, aussi fort que la dernière fois. », me dit Sylvie.

Allongés sur le lit, je commençais par lui enduire la rondelle, avec le lubrifiant mentholé, qu’elle avait utilisé précédemment. J’en déposais une belle noix sur le bout de l’énorme gode qu’elle s’était fourrée dans la chatte en regardant le film porno. Puis je commençais à lui titiller l’anus avec l’engin. En même temps, je m’enduisais le gland du gel, qui me provoquait une sensation de froid très agréable. D’un seul coup, je lui enfonçais le gode dans le cul, tout en le mettant sur vibration maxi, et je lui enfournais ma bite, le plus loin possible. Je la baisais à grands coups de reins, tout en lui limant le cul avec l’olisbos.

A ce moment je sentis les bras de Sylvie dans mon dos, et ses mains s’approcher de mon cul. Elle m’enfonça un plug vibrant dans l’anus.

Sylvie hurlait :

  • « Baise-moi ! Baise-moi, petit salaud, pendant que je t’encule ! Oooooh, c’est trop bon ! fourre-moi ta bite, loin, bien à fond ! Je vais jouir ! Aaaaaah, putain que c’est bon ! »

Il ne m’en fallut pas plus. Entre les vibrations du plug, dans le cul, et celles que je ressentais sur mon prépuce au travers de la mince membrane qui séparait le vagin et l’intestin de Sylvie, je lui envoyais tout mon foutre dans la chatte. Et, Sylvie, dans le même temps, hurlait sa jouissance, en éjaculant, elle aussi, et en m’inondant le ventre de sa jute.

Nous ne nous sommes endormis que sur le petit matin, dans les bras l’un de l’autre, complètement vidés.

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L’auteur de cette superbe série

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