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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 14 – Le départ

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 14 – Le départ

La dernière journée fût empreinte d’un sentiment de tristesse. Je voyais bien, que ma tante et mon oncle avaient quelques regrets à me voir partir, et moi, j’avoue, que je n’avais pas envie de les quitter et surtout j’avais du mal à imaginer que je ne reverrais peut-être jamais Marc et Sylvie, ou tout du moins, pas avant l’année prochaine, si mes parents acceptaient que je revienne en vacances chez Tonton et Tata.

Tata m’aida à faire ma valise. Et la journée s’étira en longueur jusqu’au dîner en soirée.

Au moment de monter se coucher, Tonton me dit :

  • « Si cela te fait plaisir, Tata et moi aimerions bien que tu viennes dormir avec nous, dans notre lit, pour ta dernière nuit. »
  • « Pour vous dire la vérité, je n’osais pas vous le demander. Bien sûr que cela me fait plaisir ! », lui répondis-je.

Après un passage par la salle de bains, je rejoignis mon oncle et ma tante qui m’y avaient précédé. Ils étaient déjà au lit. J’étais en pyjama.

  • « Tu ne l’as pas mis pendant les trois semaines où tu as été là. Ce n’est pas pour commencer ce soir. », me dit Tata.

Je le retirais, et me retrouvais donc nu. En entrant dans le lit, je vis que Tata et Tonton étaient également nus. Ils me firent m’installer entre eux deux.

Nous nous serrâmes tous les trois dans nos bras, en nous prodiguant des caresses sur le visage et sur le torse. Je caressais plus particulièrement les seins de ma tante, imaginant déjà le manque que j’allais ressentir, une fois rentré chez mes parents.

La main de Tonton me caressa le ventre doucement et descendit sur mes cuisses. Elle tourna autour de mon sexe qui était dressé. Je sentais sur ma cuisse la bite de mon oncle qui était très dure, et qu’il frottait tendrement sur ma peau.

Tata se tourna et se mit sur le dos. Elle m’attira sur elle, en me disant :Des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 14 - le départ

  • « Je ne te l’ai jamais permis, mais ce soir, je veux que tu gardes le souvenir de ma chatte. Alors, ce soir, tu vas pouvoir me pénétrer. »

Disant ceci, elle saisit mon sexe et approcha mon gland décalotté à l’entrée de sa chatte.

Je ne résistais pas plus longtemps et je la pénétrais d’un coup de rein puissant. Elle gémit :

  • « Dieu, que c’est bon. Oui, mets la moi bien profond. »

Dans le même temps, tonton s’était agenouillé sur la tête de Tata, lui offrant sa rondelle à lécher et me présentant son sexe devant ma bouche.

Il me remplit la bouche de son énorme queue, que je pris grand plaisir à pomper vigoureusement, tout en continuant de limer bien à fond le con de Tata.

Nous jouirent tous les trois ensemble, en hurlant notre plaisir.

Après nous être embrassés et souhaité une bonne nuit, nous nous endormirent, enlacés tous les trois.

Le lendemain matin, au réveil, je sentis les doigts de mon oncle caresser ma rondelle. Me doutant de son désir, j’écartais les jambes. Tata dormait encore.

Je sentis les doigts de Tonton, humectés de salive, lubrifier mon anus, et je compris qu’il s’enduisait la bite de sa salive. Couché sur le côté, Tonton collé dans mon dos, avec mes mains, j’écartais au maximum mes deux fesses. Je sentis le gland de Tonton pénétrer mon trou du cul et je me reculais vivement, pour m’enfoncer sa bite entièrement au plus profond de mon cul.

Tonton me limait vigoureusement à grands coups de reins. Nous gémissions tous les deux. Cela eut pour conséquence de réveiller Tata, qui voyant la scène, s’enfonça sous les draps, et emboucha ma pine toute raide. Elle me suça tendrement, en jouant avec mes boules.

Je sentis que Tonton allait jouir, quand sa bite grossit et se raidit encore plus dans mon cul. Dans le même instant où son foutre inonda mon ventre, je déversais tout mon jus dans le gosier de Tata.

Ma tante, ayant repris ses esprits plus rapidement que les deux hommes dans son lit, nous dit :

  • « Vous n’avez pas l’air de vous rendre compte de l’heure qu’il est, et que nous avons un horaire à respecter, aujourd’hui. Allez ! Hop ! Tout le monde, debout. Direction, petit déj’. »

Tonton et Tata me conduisirent à la gare, où je devais prendre un train qui me ramènerait chez mes parents. Toutefois, ayant un rendez-vous à honorer deux heures avant le départ de mon train, ils me déposèrent à la gare avec une confortable avance.

Tonton me glissa à l’oreille, suffisamment discrètement pour que Tata ne l’entende pas :

  • « Tu as deux heures à occuper avant ton départ. Dans une petite rue transversale en face de la gare, il y a un cinéma porno. J’y vais quelques fois. Il est pas mal. Etant donné que tu parais plus que ton âge, peut-être, vont-ils te laisser rentrer. »

Après des adieux émouvants, je me retrouvais seul dans le hall de la gare. Je décidais de tenter ma chance au ciné indiqué par Tonton. Après avoir déposé ma valise à la consigne, je ressortis de la gare, traversais l’avenue et me dirigeais vers la petite rue dont mon oncle m’avait parlé. Le ciné était à une dizaine de mètres de l’entrée de la rue. L’extérieur était assez discret. Seules les affiches placardées en devanture, laissaient deviner les films qui y étaient projetés.

Je rentrais dans le hall, et derrière le guichet, un homme d’un certain âge, pour ne pas dire d’un âge certain tenait la caisse. Je le vis me regarder avec insistance, mais il me délivra, malgré tout, un billet d’entrée.

  • « Bonne séance ! », me dit-il, avec un sourire en coin.

J’entrais dans la salle. Elle était baignée dans une douce pénombre que procurait le film sur l’écran.

Sur celui-ci, deux femmes étaient en train de s’occuper du sexe d’un homme. Un film banal !

Je jetais un coup d’œil dans la salle. Cinq rangées d’une dizaine de sièges étaient étagées avec un espacement assez important entre chacune d’elles.

Quatre hommes étaient assis dans la salle. Ils étaient éloignés les uns des autres, mais, dans la pénombre, il me semblait voir aux mouvements de leur bras, que le film ne les laissait pas insensibles.

Je m’installais au centre de la rangée du milieu, et ostensiblement, avant de m’asseoir, je baissais mon short, sous lequel, je n’avais pas mis de slip. Les quatre hommes, étant assis dans les rangées derrière moi, ne purent pas ignorer mon manège.

Quelques minutes plus tard, j’entendis que quelqu’un bougeait dans mon dos. Effectivement, en me retournant, je vis qu’un des hommes était venu s’installer juste derrière moi, et la bite à la main regardait par-dessus mon épaule, la branlette que je me faisais. C’est cet instant que choisit un deuxième spectateur, pour venir s’asseoir à ma gauche, immédiatement suivi par un autre homme qui vint se poser sur le siège à ma droite.

Le bras de l’homme du rang derrière moi, passa par-dessus mon épaule et sa main saisit ma bite, et commença à la décalotter doucement. Les deux hommes placés de chaque côté de moi saisirent mes mains et les posèrent sur leurs queues sorties de leur braguette.

Celui de gauche avait un sexe court, mais épais, et il était circoncis. Celui de droite, par contre avait une belle queue, bien longue et bien grosse, avec une peau lui recouvrant le gland. Mais il bandait mollement. En le regardant, je vis qu’il n’était plus tout jeune. J’allais devenir le spécialiste du sexe du troisième âge.

Me faisant branler par derrière et branlant les deux mecs sur mes flans, le quatrième homme vint, face à moi, debout, me présenter son sexe et prenant ma tête dans ses mains, l’approcha de sa bite pour que je l’embouche. Je ne me fis pas prier et je le suçais goulument. Cet homme était grand et bien bâti. Je ne distinguais pas son visage, sa situation le mettant en contrejour par rapport à l’écran. Sa queue était longue et grosse, et elle était circoncise. Son gland turgescent était énorme.

Le vieux de droite, dont la queue avait bien raidi sous mes caresses me fit me lever. Comprenant ses intentions, sans lâcher la bite que j’avais dans la bouche, je me tournais sur le côté en écartant les jambes, présentant ainsi ma rondelle au vieux. Il se pencha, me fourra sa langue dans le cul et approcha son gland de mon cul, qu’il pénétra d’un puissant coup de rein.

Une bite dans la bouche, une autre dans le cul, il ne me restait plus qu’à prendre dans chacune de mes mains la bite des deux autres mecs. Ils s’activaient tous les quatre, et je reçus le foutre, des deux gars que je branlais, sur le visage, en même temps que celui que je pompais, m’envoyait tout son jus dans la gorge. Seul, le vieux semblait avoir du mal à jouir. Soudain, je sentis sa queue durcir dans mon fion, et aussitôt après, je ressentis la chaleur de son sperme dans mon cul. Il me remercia, remonta son slip et son pantalon et prit le chemin de la sortie.

Les trois autres me dirent qu’ils ne pouvaient pas me laisser avec les couilles pleines alors que je les avais si bien fait jouir. Ils se mirent alors à me branler, à me mettre leurs doigts dans le cul, jusqu’à ce que je les éclabousse avec de grands jets de jute.

Quand je sortis de la salle, le vieux qui m’avait encaissé à l’entrée, m’attendait dans le hall. Il me dit :

  • « Suis-moi, je dois vérifier quelque chose. »

Il me fit entrer dans la cabine, où il encaissait les entrées et me demanda ma carte d’identité. Je la lui montrais. Il me fît alors remarquer que je n’avais pas l’âge pour assister aux séances de son cinéma. L’entrée étant réservée au plus de vingt et un ans.

  • « Il y a deux solutions. », me dit-il, « Ou bien j’appelle les flics, et tu imagines les emmerdements qui t’attendent. Ou bien, après ce que j’ai vu que tu étais capable de faire, quand depuis la salle de projection, j’ai regardé ce qui se passait en bas, tu me fais une petite gâterie. »
  • « Parce que, pour tout te dire, j’ai soixante treize ans, et ça fait longtemps que je n’ai pas bandé. Et j’espère bien que tu arriveras à me faire dresser la bite et pourquoi pas, à cracher un peu de jus. »

Entendant cela, je lui dis de baisser sa culotte et son slip et de s’asseoir sur son siège devant son guichet.

Des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 14 - le départJe m’agenouillais sous son comptoir, je lui écartais les jambes, et, là, je découvrais l’ampleur de la tâche qui m’attendait.

Une petite bite, toute rabougrie, qui pendait sur une paire de couilles énormes et poilues. J’approchais ma bouche. Il sentait fort, le vieux ! Réprimant mon écœurement, je mis ses couilles dans ma bouche, et je les suçais. Cela eut l’air de lui faire un peu d’effet, car il m’a semblé que sa queue frémissait. Je décidais de tenter une expérience. Je le fis s’avancer un peu sur son siège, pour découvrir son trou du cul, plein de poils, lui aussi. Tout en lui caressant le sexe, en gardant ses couilles dans ma bouche, je me mis à lui titiller le trou du cul avec mes doigts. Lâchant ses couilles, je lui léchais la raie avant de lui enfoncer ma langue dans le cul. Cela lui fit de l’effet, car sa bite se redressa péniblement. Tout en commençant à le branler doucement, je lui enfonçais le plus que je pouvais ma langue dans le fion. Sa bite commençait à prendre une taille respectable. Finalement, il était bien monté, le vieux. L’heure de mon train approchant, je décidais d’accélérer les choses. Je prenais sa queue dans ma bouche et je le pompais vigoureusement, le décalottant le plus possible avec mes lèvres à chaque mouvement. Je ne manquais pas de l’enculer avec deux doigts que j’avais humecté de salive.

Le résultat fut rapide. Il m’envoya son jus, peu opulent, dans la bouche, et discrètement, je le recrachais à ses pieds.

En se réajustant, il me dit :

  • « Petit, chaque fois que tu passes dans le coin, n’hésite pas à t’arrêter. Tu pourras assister aux séances gratuitement. Mais en sortant, tu n’oublieras pas le « pourboire en nature », pour le vieux guichetier. »

Je regagnais la gare, en courant, récupérais ma valise à la consigne, et me dirigeais vers le quai où mon train n’allait pas tarder à partir.

Mon train était à quai, je montais dans le wagon indiqué sur mon billet. C’était un wagon récent, avec une rangée de chaque côté d’une allée centrale.

Ma place se situait à quelques rangs de l’entrée de la cabine. Trois rangs plus loin, était placée les 2 banquettes, face à face. Nous n’étions que deux dans ce wagon. Un homme d’une cinquantaine d’année et moi-même. L’autre voyageur était installé dans l’espace à quatre, face à moi, qui était de l’autre côté de l’allée. L’homme me sourit, et je lui rendis son salut.

Le convoi se mit en marche, et atteint rapidement une allure de croisière, qui me berçait. Fatigué de mes exploits de la nuit et de la matinée, je m’endormis rapidement.

Je me mis à rêver de Tata et de Tonton, je voyais leur sexe, dressé et énorme pour mon oncle et ouvert et luisant de cyprine, pour ma tante. Je ne me voyais pas dans mon rêve, mais je sentais que je ne restais pas inactif.

Cela me réveilla, et je m’aperçus, avec effroi, que je bandais. Mon short, sans slip en-dessous, étant très large et ample, avait laissé ma bite se redresser, tout à son aise. La bosse, sur mon « bermuda colonial », était parfaitement visible. C’est ce moment que choisit le contrôleur, pour venir vérifier les billets. J’étais gêné. Après avoir poinçonné le billet de l’autre voyageur, il vint vers moi, et je remarquais que son regard se portait vers mon entrejambes, et que ses yeux marquaient une surprise certaine. Tout en contrôlant mon billet, son regard se faisait insistant, vers ma bite.

Voyant que cela ne le laissait pas indifférent, je décidais de le provoquer un peu. J’avançais mon bassin vers le bord du siège en le soulevant légèrement, en portant mon regard vers son sexe. Il me sembla voir son pantalon grossir un peu, au niveau de sa bite. Mais peut-être, n’était ce qu’une impression, car il me rendit mon billet en me souhaitant un bon voyage.

Je remarquais, à cet instant, que mon compagnon de voyage n’avait pas perdu une miette de ce qui venait de se passer. Il me regarda en souriant, et reprit la lecture de son journal, qu’il tenait droit devant lui, me cachant à sa vue.

Je passais ma main sur ma bite, par-dessus le short, en me disant que j’allais aller aux chiottes, me branler, car je ne pouvais pas rester comme cela.

A ce moment, levant les yeux, je vis que le journal de l’homme était tombé par terre, et que celui-ci tenait dans ses mains une revue, dont la couverture ne laissait aucun doute sur son contenu. C’était une revue gay. Il me regarda avec insistance, en me souriant, et du regard, me fit comprendre de venir m’installer en face de lui. Ce que je fis, aussitôt.

Tout en continuant sa lecture, je le vis se débarrasser de son mocassin, et avançant son bassin au bord du siège, allonger sa jambe dans ma direction.  Une chaussette fine recouvrait son pied.

Il posa la plante de son pied sur le renflement de mon short et entama de lents mouvements de va et vient du bas vers le haut sur mon sexe, encore abrité par mon short.

  • « Tu ne me reconnais pas ? », dit-il en caressant plus fort mon sexe avec son pied.
  • « Tu m’as sucé, tout à l’heure, au cinéma. C’est moi qui était face à toi. Quand j’ai du temps avant de prendre mon train, je vais toujours me faire une séance dans ce cinéma. C’est la première fois que tu venais ? Je ne t’avais jamais vu avant. »
  • « Par contre, quand tu t’es endormi, tout à l’heure, je regardais à l’endroit de ton sexe, et j’ai vu ton short, soudain, se redresser. Je me suis rendu compte que tu commençais à bander. Et comme tu avais les jambes écartées, par l’ouverture de la jambe de ton short, j’ai entr’aperçu ton gland recouvert de sa peau qui se mettait à bander. Cela m’a donné envie de sortir ma revue de cul, et de t’appâter avec. »

Tout en disant cela, son pied appuyait plus fermement sur ma queue. N’y tenant plus, je déboutonnais mon short, et fis descendre la fermeture éclair, pour libérer ma queue, afin de rendre son massage plus efficace.

Il retira sa chaussette, et reposa son pied nu sur ma bite. Avec ses orteils, il me décalotta brusquement, et tira fort vers le bas de ma verge, jusqu’à mes couilles. J’ai cru que j’allais jouir. Mais je retirais son pied et me retins.

Je lui dis :Des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 14 - le départ

  • « J’ai adoré sucer votre queue, tout à l’heure. J’adore sucer des gros glands circoncis. C’est mon oncle, qui m’a conseillé ce ciné, car il y vient de temps en temps. »
  • « Eh bien, dis donc, » me répondit-il, « Il en a de drôle de conseils, ton oncle. »
  • « Et c’est tout, ce qu’il t’a conseillé, cet homme ? », rajouta-t-il.
  • « Oh non, durant les trois semaines de vacances chez lui et ma tante, j’ai découvert plein de choses. D’ailleurs, je vais vous montrer. »

A ces mots, je me mis à genoux devant lui, je dégrafais sa ceinture et j’ouvrais sa braguette. Il se souleva légèrement, et je fis descendre son pantalon et son slip sur ses genoux. Sa queue était raide et droite. Son gland énorme était violacé. Je commençais à lécher son membre sur toute sa longueur, en faisant un petit passage sur ses couilles qui étaient sans poils (il devait se les raser), et grosses, elles aussi.

Puis de ma langue, je titillais son frein, et en remontant je poussais la pointe de celle-ci sur son méat. Il geignait doucement.

  • « Ton oncle est un bon professeur, tu as bien appris tes leçons et tu es doué en travaux pratiques, mais suce-moi, maintenant, oui, suce-moi bien, je veux te l’enfoncer loin dans la gorge. »

J’embouchais sa queue doucement en serrant fort mes lèvres humides, et en descendant doucement jusqu’à ce que ma bouche arrive à ses couilles. Son gland touchait ma luette, au fond de ma gorge. Il n’avait jamais du être sucé comme cela, car maintenant il gueulait que c’était très bon.

En même temps, je me branlais vigoureusement, en tirant fort sur ma queue.

  • « Tu vas me faire jouir dans ta bouche. Et un peu plus tard, on ira aux WC, et je te la bourrerai dans le cul, car j’ai vu le vieux tout à l’heure. Il avait l’air de prendre un sacré panard. »
  • « Mais ! Qu’est-ce que vous faites ? », claironna une voix forte dans le wagon.

Le contrôleur ! Tout à nos ébats, nous ne l’avions pas entendu revenir.

Je me relevais vivement et remontais mon short. Le voyageur, qui avait débandé rapidement, se rajusta en remontant, slip et pantalon et en remettant chaussette et chaussure.

  • « Vous rendez-vous compte que vous êtes dans un lieu public, et que c’est une atteinte à la pudeur, que de se comporter ainsi. »

Le contrôleur semblait offusqué et très en colère, bien que, la bosse qui déformait le devant de son pantalon d’uniforme, me laisse plutôt penser qu’il était envieux de ce que je faisais à son client.

  • « Vous allez me suivre à ma cabine, avec vos papiers et vos billets. Je vais vous dresser un procès-verbal, pour atteinte aux bonnes mœurs dans un lieu public. »

Mon partenaire semblait tout penaud, et avait vraiment l’air d’un coupable. Quant à moi, j’étais curieux de connaître la suite des évènements.

Nous suivîmes le contrôleur, et entrèrent dans sa cabine. C’était un espace assez réduit, occupé seulement par un petit bureau, une couchette rabattable et un petit lavabo.

Il s’assit à son bureau, sorti un carnet à souches, et demanda la pièce d’identité de l’autre voyageur.

Son bureau, sans fond, étant face à nous, je vis ses jambes écartées, et la bosse de son pantalon me semblait avoir grossi encore davantage.

  • « Monsieur le contrôleur ! Effectivement, ce que vous avez surpris n’est pas bien de notre part. Mais, imaginez l’état de mes parents, quand ils vont être informés. Et, Monsieur, a peut-être une famille, une femme, des enfants. Vous vous rendez compte du scandale que cela va provoquer. N’y aurait-il pas un moyen de s’arranger et que cela reste entre nous. »

A ces paroles, je vis le voyageur se détendre. Il trouvait surement gonflé que je pose cette question, mais c’est parce qu’il n’avait pas vu l’état d’excitation dans lequel était le cheminot.

  • « Ah oui ! et quel arrangement es-tu en mesure de me proposer ? », me rétorqua l’agent de la SNCF, dont les yeux luisants, laissaient comprendre quelle solution il attendait que je lui propose.
  • « Celui-ci, par exemple ! », dis-je, en m’avançant et en m’agenouillant sous le bureau.

Voyant cela, je le vis dégrafer sa ceinture, ouvrir son pantalon, baisser culotte et slip, et avancer son bassin au bord de son fauteuil. Sa bite était raide. Un modèle standard, avec une peau qui recouvrait un gland, absolument ordinaire. Je me dis qu’il ne serait pas difficile à convaincre.

Je commençais par saisir son sexe dans ma main, et à le branler. Il avait un prépuce serré, et pas facile à faire décalotter.

  • « Je vais être obligé de le mouiller, pour faire découvrir votre gland. », lui dis-je.
  • « Oui, vas-y, petit, fais-moi ça. J’ai toujours eu du mal à décalotter. Mais toi, je suis sûr que tu vas faire ça très bien. «

Je pris sa pine dans ma bouche et de ma main, je tirais doucement sur la peau de son gland. Je sentis entre mes lèvres, celui-ci se découvrir peu à peu.

Quand, il fut décalotté complètement, j’humectais mes doigts de salive et en badigeonnais tout le renflement du pourtour de son gland. Après quoi, je fis un anneau de mes doigts, et le fis coulisser le long de sa tige sans le recalotter. Après quelques va et vient sur sa queue, je l’entendis dire à l’autre passager :

  • « Mais vous, Monsieur, ne vous imaginez pas que vous allez vous en tirer à si bon compte. Baissez-moi ce pantalon et ce slip, j’ai cru voir, tout à l’heure que vous aviez un beau mandrin. Et, même si cela vous surprend, j’adore avoir un gros sexe dans le cul, pendant qu’on me branle. »

Mon compagnon de voyage ne se le fit pas dire deux fois. Il baissa culotte et slip. Il bandait à nouveau vigoureusement. Son gland violacé se dressait fièrement au bout de sa pine.

IL fit le tour du bureau, invita le contrôleur à se lever, repoussa le fauteuil et appuya sur le dos du cheminot, pour que celui-ci ait le buste allongé sur le bureau et que sa croupe lui soit offerte sur un plateau.
Je le vis enlever le pantalon et le slip du verbalisateur et écarter ses jambes. Il se pencha et commença à lui lécher la raie en insistant particulièrement sur sa rondelle.

Moi, j’avais suivi le mouvement et je continuais la branlette mouillée du pieu du contrôleur.

J’étais aux premières loges pour voir le gland du voyageur s’approcher du trou du cul de notre « gendarme », et s’y enfoncer d’un seul coup. Le contrôleur gueula :

  • « Putain, qu’elle est grosse ! Et longue ! Putain, j’en ai jamais eu une grosse comme ça dans le cul.

Bourre-moi bien, putain ! Fous moi tout dans le fion ! Et toi, gamin, arrête de me branler et suce-moi. »

Nous nous regardions, le voyageur et moi, et nous sourîmes tous les deux, de la tournure que prenait notre voyage.

L’agent de la SNCF couinait, gueulait que c’était bon et d’un seul coup lâcha tout son sperme dans ma gorge. Sa petite queue ramollit immédiatement dans ma bouche.
Et je vis au soubresauts que fit mon partenaire de voyage, qu’il était en train de remplir le cul du contrôleur de sa jute.

Des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 14 - le départ
L’auteur de cette saga

Celui-ci gueulait :

  • « Putain, c’est bon. Il est chaud ton foutre, et y’en a une sacré quantité. »

Nous nous réajustâmes, tous les trois et le contrôleur déchira devant nous la souche qu’il avait commencé à établir.

  • « C’est bon ! Vous pouvez retourner à vos places. Mais si vous avez encore des envies avant l’arrivée, j’aime autant que vous alliez les satisfaire dans les chiottes. Cela évitera les problèmes.

Car, moi, je suis remplacé au prochain arrêt. Je le regrette, parce que j’aurais bien aimé jouer un deuxième tour. Et mon remplaçant, c’est pas le même genre. Il est coincé du cul. »

En retournant à nos places, mon compagnon de voyage me dit :

  • « Malheureusement, nous n’aurons plus le temps pour que je t’encule, comme j’en avais envie et que je l’espérais. Dans cette affaire, tu n’as pas joui, toi ! Arrête-toi aux WC, je vais te sucer ! »

Ce qu’il fit parfaitement, en n’oubliant pas de me limer le cul avec ses doigts. Il trouva le goût du foutre que je lui ai envoyé dans la gorge délicieux.

Avant de nous quitter, il me donna ses coordonnées, au cas où je passerais dans le coin ? Il me précisa que cela ne poserait pas de problème que je l’appelle, car il vivait seul. Il habitait un petit village, à quelques kilomètres de la ville où je résidais. Dans un petit pavillon, isolé, au bout d’une impasse. Je me promis de lui rendre visite, un jour prochain.

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