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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 15 – La confession

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 15 – La confession

Des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 15 – la confessionLe retour à la maison me fut très pénible. Bien sûr, j’aimais mes parents, mais leur mode de vie austère, tourné vers les « bondieuseries », comme je disais, et à chaque fois cela faisait bondir ma mère, qui disait « qu’on ne parlait pas comme ça de la religion », ne me convenait plus. Encore moins qu’avant, après que j’aie vu comment ma tante et mon oncle, vivaient. Ils s’aimaient, se respectaient, avaient des amis qu’ils aimaient et respectaient aussi, mais sans se mettre de barrière morale sur ce qui concernait la sexualité et le fait de prendre du plaisir. Cela ne retirait rien à leur rigueur morale et leur honnêteté.

Dès mon arrivée, ma mère m’interrogea :

  • « Alors, mon chéri, tu as passé de bonnes vacances. Tonton et Tata ont été gentils avec toi ? Qu’est ce que vous avez fait d’intéressant ? »

Je ne m’imaginais pas lui raconter ce que j’avais trouvé de plus intéressant chez sa belle-sœur et son beau-frère. Aussi, je lui répondis :

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  • « Super ! J’ai passé 3 semaines super, chez Tata et Tonton. Ils m’ont fait visiter la région, et ils ont été aux petits soins, en ce qui concernait, toutes mes attentes. »

Intérieurement, je riais. Si ma mère avait su ce que je mettais derrière le terme « attentes », je pense qu’elle aurait moins souri. Mais elle reprit :

  • « Tu n’as rien vu de bizarre, chez eux ? »
  • « Non, pourquoi, j’aurais dû ? »
  • « Non ! Non ! Mais un cousin de ton père qu’on a revu récemment, nous a dit qu’ils avaient un mode de vie assez « libertaire », et que lui n’aurait pas envoyé son gamin en vacances chez eux. Tu t’imagines bien qu’avec ton père, nous nous sommes inquiétés. Alors, je te pose la question. »
  • « Ça veut dire quoi « libertaire », je lui demandais, hypocritement.
  • « C’est dur à expliquer, mais les libertaires, ce sont des gens qui ne voient pas les choses comme nous. Ils n’ont pas le même sens de la morale que nous, et souvent, ils ne croient pas en Dieu. »
  • « Ah oui, je comprends, mais non, je n’ai rien vu de particulier. »
  • « D’accord, mais cependant, j’aimerais bien, dés que tu auras repris tes marques que tu ailles voir notre curé. Et si tu veux te confesser, tu pourras peut-être lui confier des choses que tu n’oses pas me dire à moi. J’ai déjà prévenu le Père-curé. Il t’attendra demain à notre église.
  • « Mais, Maman. Je ne vais rien avoir à lui dire de plus qu’à toi. Bon, si ça te fait plaisir, j’irai. »

Le lendemain, je me rendis donc à l’église. Le curé m’y attendait. Après les politesses d’usage, il se dirigea vers le confessionnal. Je l’y suivis, bien malgré moi. Après les paroles religieuses habituelles d’ouverture de confession, il commença à me poser des questions, sur ce que j’avais fait dans la famille de mon père. Je sentis tout de suite que ses questions étaient orientées dans le sens des inquiétudes de ma mère. Je décidais de le choquer, de le brusquer.

  • « Oui, mon Père. J’ai vu des choses que je n’aurais peut-être pas dû voir. »
  • « Par exemple, mon Fils. »

Cela me faisait toujours marrer, quand un curé m’appelait « mon Fils », eux qui avaient interdiction d’avoir des gamins.

  • « Eh bien, j’ai vu mon oncle et ma tante faire des cochonneries. La porte de leur chambre était ouverte, et j’ai regardé. Et puis, j’ai vu d’autres choses encore. »
  • « Bon ! », me dit-il, « Dans le cadre de la confession, tu m’en as assez dit, pour que je me rende compte que tu as gravement pêché. Mais ce n’est pas le lieu, pour que l’on évacue toutes ces mauvaises choses de ton esprit. Tu viendras demain après-midi, dans mon bureau, et me raconteras toutes ces horreurs, pour que je puisse te retirer cela de la tête et te donner l’absolution. »

Rentré à la maison, ma mère fût soulagée de voir que les choses étaient reprises en main. Elle ne pensait pas au double sens de cette phrase.Des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 15 – la confession

Le lendemain, à l’heure dite, je me présentais au bureau du curé. Le presbytère était vide. Sa bonne était absente. Je fus très surpris de trouver le curé en soutane. Habituellement, il n’était en soutane que lors de cérémonies religieuses. Deux chaises se trouvaient devant son bureau. Il me fit m’asseoir sur l’une et s’assit sur l’autre face à moi.

  • « Alors, mon petit, raconte-moi tout, maintenant. Nous avons tout notre temps. »

Je décidais d’y aller progressivement, pour qu’il ne s’excite pas trop vite, car j’allais l’exciter, j’en étais sûr, et donc je commençais par les choses simples.

  • « Eh bien, mon Père, … »
  • « Non, non, ne m’appelle pas mon Père. Nous ne sommes pas en confession, nous sommes là pour clarifier tes idées. Appelle moi Paul, c’est mon prénom. »
  • « D’accord, Paul. Eh bien, avant de partir chez ma tante, comme vous le savez, cela m’arrivait parfois, comme je vous le disais en confession de toucher mon sexe. Mais c’était pas souvent. »
  • « Oui, je sais. Et alors ? »
  • « Eh bien, chez ma tante, une fois, je l’ai vue sous la douche… J’ose pas vous dire. »
  • « Mais si, mon petit. Dis-moi tout. »
  • « Eh bien, elle mettait ses doigts dans son sexe et elle les bougeait et elle criait. Mon sexe était tout raide, alors je l’ai pris dans ma main, et je me suis masturbé. »
  • « Jusqu’au bout ? » me demanda le curé, dont je voyais les yeux devenir un peu plus luisants.
  • « Oui, jusqu’au bout. J’en avais plein les mains. Mais le pire, c’est qu’après dès que j’étais tout seul, je repensais à ça, et je recommençais à toucher mon sexe. »
  • « Jusqu’au bout à chaque fois ? »
  • « Oui, Paul, jusqu’au bout à chaque fois. »
  • « Mais, pas tous les jours, quand même ? » me dit le curé, dont les joues prenaient des couleurs.
  • « Si, Paul, même plusieurs fois par jour. Et j’aimais ça. C’est pas bien, hein ? »
  • « Non, ce n’est pas bien, mais ce n’est pas entièrement de ta faute. La coupable, c’est ta tante qui s’est montrée à toi, en train de se masturber. »

Le curé s’avança un peu sur sa chaise en écartant les cuisses. Je compris en voyant sa soutane se soulever légèrement qu’il avait besoin d’un peu d’aise parce qu’il bandait. Je décidais de lui asséner le coup de grâce.

  • « Mais le pire, Paul, c’est qu’un jour, ma tante m’a surpris dans ma chambre, tout nu sur mon lit, en train de me toucher le sexe. »
  • « Et, alors ! Que s’est-il passé ? Qu’est ce qu’elle t’a dit ? », me demanda le curé, qui n’en pouvait plus. Je voyais nettement sa soutane avoir des soubresauts à l’endroit de son sexe.
  • « Elle n’a rien dit, mais elle s’est approchée, elle a retiré ma main de mon sexe, et elle, elle a pris ma queue dans sa main à elle, en me disant qu’elle allait me montrer comment il fallait faire pour que ce soit encore meilleur. Alors elle a tiré sur la peau de mon sexe et elle a fait décalotter mon gland, je l’avais jamais fait, jusqu’en bas. Elle l’a fait deux fois, et à la troisième fois, j’ai joui et il est sorti de grands jets de sperme de mon sexe. Elle en avait… »
  • « Ça suffit ! Ça suffit, pour aujourd’hui. Nous reprendrons cette conversation plus tard. Viens t’agenouiller devant moi, que je te bénisse avant que tu repartes chez toi.

Des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 15 – la confessionA genoux devant lui, il posa ses mains sur ma tête, et marmonna quelques mots.

Mais ce à quoi il ne s’attendait pas, mais qu’il espérait peut-être secrètement, c’est que je glisse ma main sous sa soutane, entre ses jambes écartées.

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Le salaud, il était nu sous sa robe de curé. J’attrapais sa bite à pleine main. Beau calibre. Au toucher, avant de l’avoir à vue de nez, j’aurais dit, calibre entre Marc et Tonton.

  • « Non ! Non ! Ce n’est pas bien ! Ne fais pas ça ! », Mais en disant cela, le curé remontait sa soutane pour que j’ai un accès direct à sa bite.

Elle était belle, non circoncise, avec un beau gland quand on la décalottait. Je le branlais vigoureusement. Il couinait :

  • « Pardon, mon Dieu ! C’est pas bien, mais c’est tellement bon. Branle-moi fort ! Oui, vas-y, fais-moi jouir comme ta tante te faisait. »

Alors, pour le finir, j’approchais ma bouche et je me mis à lui lécher les couilles puis la bite et pour finir, je m’enfonçais sa queue dans la bouche, le plus loin possible. Il déchargea aussitôt, une quantité de foutre incroyable. Je le pompais jusqu’à la dernière goutte, en passant ma langue sur son gland.

Quand je relevais la tête, je vis un curé tout penaud, qui me dit :

  • « Qu’est ce qui m’est arrivé ? C’est la première fois que je fais ça. Ce n’est pas bien. J’ai honte. Mais c’était tellement bon. Tellement meilleur que de se branler tout seul. Tu m’en veux pas ? Tu reviendras ? »
  • « Il ne faut pas avoir honte, Paul. Ce n’est pas honteux de se faire du bien. Si je vous ai fait du bien, vous n’avez qu’à considérer cela, comme de la charité chrétienne. Je reviendrai, car j’ai encore plein de choses à vous raconter. Mais cela restera notre secret. »
  • « D’accord, mais reviens vite. J’ai hâte de savoir ce que tu as fait d’autre ? Salue bien ta Maman pour moi. »

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