Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 17 – La surprise
Ce fut en rentrant de chez le curé, que j’eus la surprise de ma vie.
Mon père avait repris le travail, et il rentrait tard le soir. Ma mère restait seule la journée et s’occupait de sa maison, et de ses œuvres paroissiales.
J’avais l’habitude, quand je rentrais, de ne pas passer par la porte d’entrée donnant sur la rue, dont le portillon du jardin était muni d’une clochette, prévenant de l’arrivée d’un visiteur. Je passais par l’arrière de la maison, ce qui permettait de rentrer par le garage, dont la porte restait bien souvent ouverte. Ce fut le cas, ce jour-là.

Je m’apprêtais à ouvrir la porte de la cuisine, quand j’entendis comme des gémissements venant de cette pièce. Je ressortis, sans bruit, et me dirigeais sur le côté de la maison, où, en hauteur, il y avait un petit hublot donnant sur la cuisine. Je montais sur une caisse, qui se trouvait à proximité et mes yeux étaient à bonne hauteur de l’œil de bœuf pour voir ce qui se passait dans la cuisine, sans être vu depuis celle-ci.
Ma mère, jupe remontée, culotte sur les pieds, était assise sur un tabouret haut, les jambes largement écartées, les pieds posés sur le bord du plan de travail. Son corsage était ouvert, avec son soutien-gorge remonté au-dessus de ses seins (qui étaient très beaux, par ailleurs).
Mais l’énorme surprise, c’était qu’elle s’était enfoncé un concombre assez volumineux dans la chatte, et une carotte, plus petite dans le fion. Elle se branlait !
Le concombre entrait et ressortait presque entièrement de son con, et je le voyais luire de la cyprine de ma mère. Tout à coup, elle pencha sa tête vers sa poitrine, et je la vis titiller la pointe de ses seins, avec le bout de sa langue. Je l’entendais gémir, mais je pensais bien qu’elle se retenait de crier plus fort, vu l’ardeur qu’elle mettait à se bourrer les deux trous.
Ma queue était de nouveau raide, dans mon short, mais je ne voulus pas la surprendre dans sa masturbation. Aussi, je descendis de mon perchoir, ressortis par l’arrière de la maison. Je fis le tour et rentrais bruyamment par le portillon du jardin.
Quand je suis rentré dans la cuisine, ma mère s’était rajustée, mais son visage était bien rouge encore. Le concombre et la carotte étaient dans le bac évier de la cuisine.
- « Tu me sembles avoir très chaud. », lui dis-je.
- « Je viens de finir le ménage. » me répondit-elle, « Et c’est vrai que de cette chaleur, on attrape vite une suée à faire cette corvée. »
Près de l’évier, je plongeais ma main dans le bac, saisit la carotte, et la croquais à pleines dents.
- « J’adore les carottes crues ! »,
- « Non, ne fais pas ça, ces légumes ne sont pas lavés ! », me dit ma mère en saisissant mon poignet.
- « Ce n’est pas grave ! Elle est tellement bonne ! En plus, elle a un petit goût inhabituel, que je trouve délicieux. »
A ces mots, ma mère devint cramoisie. Et elle entreprit de laver le concombre, luisant de sa mouille, sous le robinet, puis de me retirer la carotte de la main, pour lui faire subir le même traitement.

- « Alors, comment cela s’est-il passé avec notre bon curé ? », me demanda-t-elle.
- « Très bien. C’est intéressant de discuter avec lui. C’est mieux qu’en confession, car tu peux aborder des sujets plus personnels. Et il est de très bon conseil. »
- « Ah bon ! Mais qu’est-ce que tu entends par des sujets plus personnels ? » me rétorqua-t-elle
- « Je ne peux pas te répondre. C’est personnel ! Et le curé, lui, il peut comprendre. »
- « Qu’est-ce qu’un curé peut comprendre, et qu’une Maman ne pourrait pas ? », me dit-elle
- « Des problèmes d’ado, par exemple. », lui répondis-je, en espérant qu’elle ne s’arrêterait pas là, et m’obligerait à lui parler de masturbation.
- « Tu peux tout me dire, à moi aussi, tu sais. J’ai eu ton âge, et ton père aussi. Je sais que ce n’est pas toujours facile, à cet âge-là. »
- « Non, je ne peux pas t’en parler, parce que déjà, à la façon dont tu m’as interrogé sur Tata et Tonton, je vois bien qu’il y a des choses que tu ne peux pas comprendre. »
- « Veux-tu dire qu’on ne peut pas parler de sexualité ? »
- « Oui, c’est ça ! »
- « De sexualité et de masturbation ? C’est cela qui te préoccupe ? », ajouta-t-elle. « Parce que tu t’imagines que je ne vois pas les tâches dans tes slips et dans les draps. Je sais bien que tu te masturbes, et c’est normal à ton âge. Je pense que tous les garçons le font. Et les filles, bien qu’elles disent le contraire, le font aussi. »
- « Oui, mais Maman, c’est normal jusqu’à quel âge ? », lui rétorquais-je vicieusement.
- « C’est une question difficile. Cela dépend des circonstances de la vie. »
Je continuais mes questions perfides.
- « Parce que, même adulte, tu crois qu’il y a des grandes personnes qui le font encore ? »
- « Je ne sais pas. Je ne peux pas te répondre. »
Je lui assénai le coup de grâce.
- « Pourquoi tu mens, Maman ? Je t’ai vue, tout à l’heure, en rentrant par le garage. Tu avais l’air d’y prendre beaucoup de plaisir, et la carotte aussi, d’ailleurs, vu son bon goût. »
- « Mon Chéri ! », dit-elle, en me serrant dans ses bras, « Je t’en supplie, ne dit rien à Papa. Il se fâcherait très fort. Mais tu sais, ce n’est pas aussi simple que tu peux le croire. Pour te dire la vérité, il y a des années que ton père n’a plus de besoins sexuels, et ne peux plus me contenter. Moi, au contraire, j’ai toujours des envies très fortes, et comme je ne veux pas tromper ton père, je les satisfais par moi-même. Tu as dû être très choqué de me voir tout à l’heure ? »
- « Oh non Maman, j’ai trouvé cela très beau, et voyais que cela te faisait du bien. Mais, je t’ai interrompue et tu n’as certainement pas pu te faire jouir comme il aurait fallu. C’est pour cela que j’ai croqué la carotte, en rentrant. Pour que tu te laisses aller et que tu me parles. »
En disant cela, je me serrais encore plus fort contre elle, et elle-même m’enserra plus tendrement.
- « Tu es un bon garçon. » me dit-elle, « Cela restera un secret entre nous. »
- « Mais… Tu bandes ! Donc, comme un secret doit toujours être scellé par un pacte qui unit les deux protagonistes, alors… »
Sur ces paroles, elle se recula, se baissa, et fit tomber mon short à mes pieds.
- « Quel beau morceau, mon fils. Tu vas en rendre heureuses des filles avec un membre pareil. »
Elle empoigna ma bite, et commença à la branler doucement. Je lui dis de tirer fort dessus et de me décalotter à fond. Elle se mit alors à me branler frénétiquement, tout en me massant les couilles de son autre main. Je n’osais pas lui demander de s’occuper aussi de ma rosette. Chaque chose en son temps ! Elle me branla tellement bien, et la situation nouvelle firent que je lâchais toute ma jute sur son visage, après quelques allers et retours. Je la vis lécher le foutre qui dégoulinait sur son visage, et le déguster avec délectation.
Après lui avoir dit que j’avais joui très fort, je lui dis la chose suivante.
- « Je voudrais que tu te branles encore et je voudrais te regarder. »
Elle m’entraina dans sa chambre, emportant le concombre et la carotte mordue, se mit entièrement nue, et s’allongea sur son lit, cuisses bien écartées.
- « Viens voir plus près. », me commanda-t-elle, « Mais, ne fais rien d’autre que regarder. »
Elle s’enfonça alors le concombre d’un seul coup dans la chatte, et je compris à cet instant que de me branler l’avait excitée au plus haut point. Elle se frotta la carotte sur le clito, et se l’enfourna dans la rondelle. J’étais aux premières loges, et je voyais les deux légumes entrer et sortir de sa chatte et de son cul à toute vitesse. Je lui dis de se laisser aller et d’exprimer sa jouissance bien fort. Elle se mit alors à crier, à gémir que c’était bon. Et soudain, elle jouit si fort, qu’elle éjacula, comme j’avais déjà vu Sylvie le faire.
- « Oh ! Que c’était bon. Il y a très longtemps que je n’avais pas joui aussi fort. C’est la première fois de ma vie que j’éjacule. Merci, mon Chéri ! tu m’as libérée de mes chaînes. »
J’étais ravi de la tournure des évènements, et je comptais bien en faire profiter notre bon curé, car cela laissait augurer de bons moments à venir.
Très bon précis, j’ai hâte de lire la suite, je vous avis et vous souhaite beaucoup de plaisir.