Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 18 – Éric
Ce matin-là, je me réveillais, après une nuit agitée. J’avais rêvé toute la nuit de mes vacances chez ma tante, de Marc, de Sylvie et de toutes les aventures que j’avais vécues avec mon oncle.
J’avais la bite raide et douloureuse, malgré ma branlette de la soirée précédente.
Ma mère ne m’avait plus fait aucune allusion, à ce qui s’était passé quelques jours avant, et n’avait eu aucune attitude me laissant espérer le renouvellement de cette relation.
Le curé ne m’avait pas donné de nouveau rendez-vous. J’imaginais qu’il devait culpabiliser pour ce qui s’était déroulé entre nous, et qu’il lui faudrait un peu de temps pour accepter cette situation, et reconnaître son goût pour une relation homosexuelle, et de m’inviter à lui rendre visite à nouveau.
En attendant, j’étais en manque de sexe. Mes branlettes solitaires ne m’apportaient plus toute la satisfaction voulue. Surtout au regard de ce que j’avais vécu pendant ces vacances superbes.
Je décidais donc, d’aller en recherche de plaisirs nouveaux, dans la ville où j’habitais. Il y avait une grande surface, à la périphérie de l’agglomération, qui s’étalait sur plusieurs étages, avec des galeries commerciales à chaque niveau. Il me paraissait évident que j’y trouverais l’occasion de combler mon manque de sexe. Il me faudrait prendre le bus pour y aller.
Je choisis avec soin la tenue que je voulais porter pour cette expédition. Pas de slip, sous un legging moulant à jambes longues, et un petit coupe-vent léger directement sur la poitrine, mais assez long pour masquer mes hanches et mes fesses.
A l’arrêt de bus, sous l’abri, il n’y avait que deux personnes. Une dame âgée, avec un sac à provisions, et un garçon qui regardait les horaires affichés sur le panneau arrière de l’abri. De dos, il me semblait qu’il devait avoir sensiblement le même âge que moi. Arrivé à cet abribus, je dis bonjour, et le garçon se retourna :
- « Éric ! » m’exclamai-je, en reconnaissant un ancien copain du quartier.
- « Salut, toi ! », me répondit-il, « Cela fait combien de temps que nous nous sommes vus ? Qu’est-ce que tu deviens ? »
Cela faisait effectivement un certain temps que notre relation s’était un peu espacée. Depuis le jour, où, chez ses parents, dans sa chambre, en matant un film porno sur son ordi, nous nous branlions séparément, et, qu’il m’avait dit :
- « Tu veux que je te branle ? Et tu me branlerais aussi. Ce serait meilleur, non ? »
J’étais resté interloqué, car jusqu’alors, les branlettes entre potes, c’était de l’individuel, chacun ne touchant que sa propre bite, en matant les autres.
- « Tu crois ? »
Il rajouta :
- « Et puis, après, tu pourrais me foutre ta queue dans le cul ! Ça fait plusieurs fois que j’en rêve, et j’en ai très envie. »
Je n’étais pas prêt pour cela, et je le lui ai fait savoir en lui disant que j’étais d’accord pour le branler, mais pas pour l’enculer. (Voir Episode 5 – Préparation de la soirée).
Après cet évènement, Nous ne cherchions plus à nous rencontrer. Éric était certainement déçu de mon refus, et moi frustré de ne pas avoir accepté sa proposition, par timidité.
- « Je vais faire un tour à la grande surface, pour faire quelques achats. », lui répondis-je.
- « C’est également mon cas ! C’est pour cela que je consultais les horaires de bus. », me dit Éric, « Tu veux que nous y allions ensemble ? »
- « Volontiers ! Comme je ne la connais pas, tu me feras découvrir ce qu’il ne faut pas manquer. »
- « Tu peux compter sur moi. J’y vais très souvent. Et il y a vraiment des enseignes très originales. », en disant cela, Éric avait un petit sourire au coin des lèvres, qui me laissait penser que je ne regretterais pas mon déplacement.
Le bus arriva, et nous nous installâmes sur la banquette du fond. Il n’y avait que quelques personnes dans le car, et elles étaient essentiellement vers l’avant du bus.
- « Sympa ton legging ! », me dit Éric, « Et puis, c’est cool, pour aller faire des achats. »
Lui, portait un survêtement, dont le pantalon remonté assez haut, faisait ressortir les formes de ses boules et de son sexe, de manière provocante. Je sentais mon sexe commencer à gonfler dans mon legging. Je trouvais Éric, changé depuis notre dernière rencontre, plus sûr de lui, et aussi plus sexy. Était-ce mes initiations durant mes vacances, qui me provoquaient ces effets là, mais j’étais certain, que si cette fois Éric me proposait de le sodomiser, je ne refuserais pas.
- « Alors, et ces vacances ? Où es-tu allé, et qu’est-ce que tu as fait ? », me demanda-t-il,
- « J’étais chez un oncle et une tante. Ils ont été super, et nous avons fait plein de trucs, ensemble. Et j’ai appris énormément de choses, que je pourrai te raconter, si tu veux. C’est vrai, que depuis que je suis rentré, je m’emmerde un peu. Ça manque d’activités, par ici. »
- « Tu ne vas pas être déçu, tu vas voir. Au supermarché, je suis sûr que tu vas prendre ton pied. » me répondit Éric, en mettant sa main sur mon genou.
A ce contact, je sentis ma bite tenter de se redresser, coincée dans le legging. Je posais ma main sur celle d’Éric, et lui serrais en la faisant remonter sur ma cuisse.
Il me regarda, et me dit :
- « Tu as changé ! Quelle évolution ! Regarde l’effet que cela me produit ! », en disant cela il prit ma main et la posa sur son sexe, par-dessus le survêtement. Il bandait ! Comme un cerf !
Regardant si les passagers du bus pouvaient voir ce qui se passait, et constatant que nous n’attirions pas l’intérêt des autres voyageurs, je glissais ma main dans son survêtement. Comme moi, il était nu sous son pantalon. Pas de slip ! Mais une queue ! Bon dieu ! Une belle queue ! Plus grosse que dans mon souvenir.
Je le poussais, de manière que nous soyons cachés par les sièges de devant, et m’accroupis devant lui. Je tirais sur le haut de sa culotte de survêt, découvrant sa bite, toute raide, et déjà décalottée par mes caresses. J’approchais ma bouche et du bout de ma langue, je commençais à lui titiller le frein, puis je gobais ses deux couilles dans ma bouche, et je les suçais. Ma bouche remonta sur son sexe, et mes lèvres s’entrouvrirent pour emboucher son gland. Je le pompais de plus en plus vite et de plus en plus loin.
Le bus stoppa à un arrêt, et un homme monta par la porte arrière. On comprit immédiatement, qu’il avait vu la scène, car au lieu de se diriger vers le milieu ou l’avant du bus, il vint s’asseoir, en souriant, sur la banquette arrière, du côté opposé où nous étions. Son sourire m’engageant à poursuivre ce que je faisais, je repris de pomper Éric, qui bougeait son bassin, afin de rentrer sa bite encore plus loin dans ma bouche. Tournant les yeux, sur le côté, je vis que l’homme avait ouvert sa braguette, sorti son sexe, et se branlait doucement, en jetant des regards inquiets vers les passagers du bus. Je sentis qu’Éric était sur le point de jouir, et je ne voulais surtout pas qu’il crache si vite. La journée s’annonçait longue.
Alors, je lâchais sa queue, remontais sa culotte, et je me suis rassis. Mais pas à ma place. Non ! A côté du mec, qui était monté et qui continuait de se branler.
Je retirais sa main de sa queue, et je lui saisis la bite à pleine main. Je le branlais fort en le décalottant à fond. Je vis Éric, qui souriait en me regardant faire.
Je sentis la bite de l’homme se raidir encore plus, et il déchargea de longs jets de foutre qui s’étalèrent sur le dossier du siège de devant. Il sortit un mouchoir en papier, et en essuyant son sperme, il me dit :
- « Merci, Petit ! Tu m’as bien fait jouir. Je prends ce bus-là, tous les jours, à cette heure-ci. Au plaisir de te revoir, lors d’un prochain voyage. »
Je retournais m’asseoir à côté d’Éric. Il me dit :
- « Quand je parlais d’évolution, tout à l’heure, j’étais encore loin du compte. Je sens qu’on va passer du bon temps, tous les deux… et peut-être, même plus qu’à deux, d’après ce que je viens de voir. »
Le bus était arrivé au supermarché. Nous descendîmes. Éric me proposa d’aller prendre un café. Je lui fis une autre offre. Celle d’aller d’abord pisser, aux toilettes du dernier étage, s’il y en avait. Éric s’étonna :
- « Tu les connais ? Tu sais que c’est le rendez-vous des mecs qui cherchent fortune.»
- « Non ! Je ne suis jamais venu, mais je sais que c’est là que ça se passe, quand il y a quelque chose à voir. J’ai vécu ça, pendant mes vacances. Je te raconterai. »
Il y avait deux étages, au-dessus du rez-de-chaussée qui était occupé en totalité par l’enseigne de la grande surface. Il y avait également un sous-sol, qu’Éric me promit de me faire découvrir.
Nous montons directement au second étage. Comme chez mon oncle, ce sont des restaurants et des cafés qui occupent essentiellement la place. Au fond, à côté d’un café une porte indique WC avec le logo « Homme », et celui « Femme ». Nous entrons. La partie réservée aux hommes, est beaucoup plus petite que celle que j’ai connue en vacances. Il n’y a qu’un urinoir commun, une grande plaque d’ardoise sur le mur, avec un caniveau au pied de celle-ci, sans séparateur, pour 4 personnes, et 4 cabines avec WC à la turque, où il faut s’accroupir pour faire ses besoins. Deux cabines, seulement, ont une cloison percée d’un Glory Hole. Nous nous positionnons face à l’urinoir, et sortons nos bites.
Immédiatement la main d’Éric saisit ma bite et commença à la peloter. Je me mis à bander immédiatement.
Éric me dit :
- « Je te dois la monnaie de ta pièce, sur ce que tu m’as fait dans le bus. Viens dans une cabine. »
Par le plus grand des hasards, il choisit une des deux cabines dont la cloison était percée d’un trou.
Arrivés dans la cabine, il baissa mon legging, ouvrit mon coupe-vent, et s’agenouilla devant ma bite. Il commença par la lécher sur toute sa longueur, en n’oubliant pas de me sucer les couilles. Puis d’un coup sec, presque brutal, il me décalotta le gland jusqu’au boules. Je gémis :
- « Bon dieu, que c’est bon ! Suce-moi ! Bouffe-moi la bite, putain, que c’est bon ! Mais, fourre-moi le cul avec tes doigts, j’aime trop ça !»
Nous entendîmes la porte d’entrée s’ouvrir. Éric avait pris grand soin de ne pas fermer complètement la porte de notre cabine. Afin d’attirer l’attention d’un éventuel voyeur, je gueulais à nouveau :
- « Que c’est bon ! Putain, que c’est bon ! »
Le stratagème réussit. Une tête s’afficha dans l’entrebâillement de la porte.
Un mec !
Mais un mec qui avait une casquette sur la tête.
Un vigile !
Le gardien ouvrit la porte brusquement :
- « Qu’est-ce que vous branlez, tous les deux, là-dedans ? »
La question ne méritait qu’une réponse : « Nous ! »
- « Bon ! Remontez vos frocs, et suivez-moi au bureau, je vais appeler les flics. »
Voyant nos mines déconfites et nos bites en pleine débandade, il rajouta :
- « Y’a encore une solution, pour éviter les flics. Si ça vous dit, je peux expliquer. »
- « On vous écoute. » répondit Éric
- « Toi ! » dit-il en désignant Éric, « Tu me suces d’abord, puis tu baisses ton froc et je te fourre ma bite dans le cul. Et pendant ce temps-là, ton pote va de l’autre côté, il passe sa queue dans le trou et tu le suces en même temps que je t’encule. »
- « Vous avez le choix. Les flics ou la baise ! »
En souriant Éric et moi répondirent en même temps :
- « La deuxième solution, on prend ! »
Sur ces mots, je vis Éric baisser sa culotte de survêt, et s’accroupir devant le vigile, lui dégrafer son ceinturon, et baisser pantalon et slip. Le vigile bandait déjà. Il avait une toute petite bite, mais très épaisse.
Elle ne devait pas faire plus de 13 à 14 centimètres de long, mais facilement 5 à 6 centimètres de diamètre. Je me suis dit que cela ne rentrerait jamais dans le cul d’Éric.
Ce dernier emboucha directement la bite du vigile et le pompa vigoureusement. Le vigile releva Éric, le fit se tourner et s’appuyer à la cloison, la tête au-dessus du Glory Hole.
Le vigile sortit de la poche de son blouson, un tube de lubrifiant dont il enduisit généreusement la rondelle de mon pote, et son sexe. Il posa son gland sur la rondelle d’Éric, et commença à pousser. Je pensais que cela n’était pas possible, qu’il rentre sa queue dans un si petit trou, mais contrairement à ce que je croyais, je vis sa queue rentrer progressivement, sans forcer, dans le cul de mon ami, et celui-ci commencer à gémir.
Le vigile me dit :
- « Allez, va de l’autre côté et met ta bite dans le trou, que ton pote soit bourré des deux côtés. »
Je ne me fis pas prier. Je passais rapidement dans la cabine d’à côté, et ma bite bien droite passa aisément dans le trou de la cloison. Heureusement, le mec qui avait fait le trou à bite, avait également pensé à la possibilité de voir. Il y avait un petit rectangle découpé à hauteur des yeux, et un petit miroir était installé en haut du mur opposé au Glory Hole. Ce qui permettait de voir ce qui se passait dans l’autre cabine. Le vigile, qui devait le savoir avait fait tourner Éric. Je les voyais donc, de profil, Éric le visage tourné sur le côté, avait englouti en totalité ma queue dans sa bouche et il me pompait le dard avec bonheur.
Placé comme je l’étais, je voyais Éric me sucer, et le vigile enculer mon copain. Sa bite entrait facilement dans le cul de mon pote, et j’en déduis que cela n’était pas la première fois qu’Éric se faisait enculer. Éric couinait, la bouche pleine de mon sexe, et lançait ses fesses à la rencontre du ventre du vigile qui l’enfilait entièrement jusqu’au couilles. Je vis que le gardien, pas égoïste, avait passé son bras autour de la taille d’Éric, avait chopé sa bite et le branlait très fort, en le décalottant jusqu’à la base.
L’envie me prit soudain de vouloir enculer le vigile. Je retirais ma queue du trou et, discrètement, je regagnais la cabine où le gardien limait le cul d’Éric. Il était arc-bouté sur le dos de son partenaire, les jambes écartées, et je voyais que sa rondelle suintait légèrement. Je me penchais, et lui enfonçais ma langue dans le cul. La surprise lui provoqua un mouvement qui fit sortir sa bite de son nid douillet. Il la renfonça violemment d’un coup. Je remis ma langue en l’enfonçant encore plus loin. Cela lui fit le même effet, et il dut trouver cela bon, car maintenant, il sortait entièrement sa bite du cul de mon copain et la lui réenfonçait à fond.
Je crachais sur mon gland, et cette fois, au lieu de ma langue, je mis ma queue à l’entrée du cul du gardien.
Il gueula : « Non, pas ça ! »
Sans m’occuper de son refus, d’un vigoureux coup de rein, je lui enfournais la longueur de ma queue dans l’anus. Il était très serré. Il n’avait jamais dû se faire enculer. Dans le mouvement, il avait pénétré complètement le cul d’Éric, et les deux éléments combinés, je sentis aux contractions de son anus, qu’il était en train de balancer son jus dans le cul de mon pote.
Il gueula :
- « Salaud ! Tu m’as enculé. J’voulais pas ! Mais t’as bien fait ! C’était trop bon ! Mais, j’avais dit « non », et même si j’ai apprécié, ta désobéissance mérite une sanction. Tu vas lécher le trou du cul de ton copain, et aspirer tout le foutre que je lui ai envoyé dans le fion. »
S’il avait cru me punir en m’imposant cela, il se trompait complètement. Cela ressemblait plutôt à une récompense, pour moi. Je m’agenouillais, et enfonçais ma langue dans l’anus d’Éric, en recueillant le maximum du jus du gardien. Éric geignait qu’il adorait. Pour ne rien perdre, je finis en lui léchant la raie du cul.
En se réajustant, le vigile nous avoua, ne jamais s’être fait sodomiser, mais que finalement, il avait aimé. Il nous raconta, que, souvent, il surprenait des mecs se faire des câlineries dans les chiottes, et qu’à chaque fois qu’il pouvait, il en profitait pour tirer un coup. Il nous dit aussi, que même si ce n’était pas dans son rôle, il lui arrivait d’inspecter les cabines des femmes, et qu’il en avait surpris à se masturber, et d’autres à faire l’amour à plusieurs. Pour les femmes, cela se passait surtout le soir. Il savait, aussi, profiter de sa fonction de vigile dans ces cas-là.
Le gardien parti, nous nous regardâmes avec Éric, et je lui dis :
- « Avec tout ça, tu n’as pas joui et moi non plus. »
- « On a tout le temps, pour cela. Mais c’était trop bon. Sa petite bite n’allait pas bien loin, mais elle me remplissait bien l’oignon. Et quand tu l’as enculé, tu ne peux pas savoir avec quelle force, il a juté dans mon cul. C’était trop bon. », me répondit-il, « Viens, on va prendre un café, et après, je t’emmène au sous-sol. Tu verras, c’est pas mal, non plus. »
Le café avalé, nous descendîmes au sous-sol. Il y avait peu de boutiques, mais dans le coin le plus éloigné de l’escalator, et peu visible, une boutique affichait une vitrine occultée par un rideau. Au-dessus, l’enseigne indiquait : « Au plaisir d’Eros ». Un sex-shop. Surprenant dans un centre commercial, mais Éric me dit :
- « Tu vas voir. Il est super. J’y viens assez souvent, et j’y ai mes habitudes. »
Dés l’entrée, des rayonnages étalent des romans photos porno, et des vitrines montrent diverses variétés de godemichets, plus ou moins gros et longs, toutes sortes de jouets sexuels, pour hommes et pour femmes.
La vendeuse, jolie femme, dans une tenue adéquate pour tenir la caisse d’un tel commerce, salue Éric.
- « Bonjour, vous pouvez y aller, si vous voulez. Il y a du monde et du spectacle. »
Éric me dit :
- « Viens ! Le plus intéressant est derrière le rideau. Et tu as entendu, nous ne serons pas seuls, d’après la patronne. »
Au fond de la boutique, un rideau cachait un couloir donnant sur plusieurs portes. La pénombre régnant dans le corridor, ne permettait pas de voir combien il y en avait.
- « Viens, on va aller voir quel spectacle nous est proposé. », me dit Éric.
Il ouvrit une porte dans le milieu du couloir, et là, j’eus la surprise de voir une espèce d’amphithéâtre d’une dizaine de place, devant une scène, éclairée par des spots. Sur les deux bancs des gradins, quelques hommes, assez éloignés les uns des autres, braguette ouverte ou culotte baissée se branlait en regardant deux femmes se donner du plaisir sur la scène, avec la bouche et des godes énormes. Elles gueulaient, les hommes salivaient en s’astiquant le manche. Mais aucun n’avait l’idée d’aller branler ou sucer son voisin.
Éric glissa sa main dans mon legging. Il me fit asseoir sur un banc, après avoir baissé ma culotte. Sa main habile et compétente entreprit des allées et venues tantôt douces, tantôt fermes sur mon sexe. J’étais au bord de l’explosion. Je lui demandais de calmer le jeu, ne voulant pas jouir tout de suite. C’est là, que nous nous sommes aperçus que les hommes s’étaient rapprochés et étaient plus intéressés par le spectacle que nous proposions que par celui des nanas sur la scène. Ils se mirent à nous peloter tous les deux. Un homme baissa le survêt d’Éric et entreprit de lui lécher la rondelle, pendant qu’un autre lui suçait la bite.
Un autre homme, d’un âge certain, plus de soixante-dix ans, j’en étais à peu près sûr, me demanda :
- « Tu vois, j’ai du mal à bander. », effectivement, sa bite semblait flasque et pendante, « Mais je suis certain que si tu me suçais et que t’acceptes que je t’encule, tu me ferais bander. Si tu veux, je peux te donner 50 €. »
- « Gardez votre fric, Papy ! », lui répondis-je, « Je suis là, pour prendre mon pied, pas pour faire de la thune. »
- « Alors, tu veux pas ? », me dit le grand-père, d’une voix désolée.
Alors, je me suis agenouillé devant lui, et j’ai pris sa bite molle dans ma bouche. Au fur et à mesure que je le pompais à fond, je sentais son membre durcir. Et j’entendais sa satisfaction, dans les gémissements qu’il poussait. Je sentis un doigt, enduit de lubrifiant, s’introduire dans mon cul, en tartinant bien ma rondelle du précieux produit.
La bite du papy avait atteint de belles proportions. Elle était circoncise, assez longue et fine.
Je me tournais et m’accoudant sur un banc, je lui tendis mon cul, les jambes bien écartées.
- « Allez ! Vas-y, papy ! C’est ton heure de gloire. Baise-moi le cul, mais fourre-moi la bien profond. Je veux te sentir loin. »
Il ne se le fit pas dire deux fois. Il se positionna derrière moi, et posa son gland sur ma rosette. Je m’attendais à ce qu’il me la rentre petit à petit et doucement, mais il me surprit, en me l’enfonçant toute entière, d’un seul coup de rein. Il me limait bien, le vieux. Il alternait, les grands coups bien profonds, et les petites entrées sur le bord de la rondelle, doucement.
- « Oh, il est bon ton cul, mon p’tit gars ! », Il n’arrêtait pas de répéter cette phrase, et je sentais que cela n’avait pas dû lui arriver depuis longtemps.
Les hommes s’étaient mis autour de nous deux, et se branlaient en regardant le vieux m’enculer. Les deux femmes avaient déserté la scène et s’étaient jointes aux hommes. Elles se branlaient le clito, en nous matant, et elles gueulaient :
- « Vas-y, papy ! Baise le bien, le jeunot ! Défonce-lui sa petite rondelle ! On veut l’entendre gueuler, le gamin. »
Une des deux femmes m’empoigna la bite et me branla fort, jusqu’à me faire mal. Mais j’aimais ça.
Les mecs qui nous regardaient, ne purent pas se retenir davantage, et ils crachèrent leur foutre sur mon dos, sur le visage du vieux, qui riait et léchait le sperme qui lui était arrivé sur la bouche.
En tournant la tête, je vis qu’Éric subissait le même sort. Un gros mec était en train de le sodomiser, et je voyais au sourire d’Éric qu’il aimait ça.
Mon papy était arrivé au bout de son voyage. Je l’entendis hurler :
- « Putain, je vais jouir. Merde, je vais cracher mon jus dans ton petit cul de salope. Ça fait des années que j’ai pas joui. Merci, gamin, merci. Aaaaaaaaaaah, putain, je jouis. »
Je sentis son foutre inonder mon boyau. Cela devait faire, effectivement, un temps certain, qu’il ne s’était pas vidé les couilles, car il n’en finissait pas de décharger. Il n’était pas sorti de mon cul, qu’il débandait déjà.
Éric, qui avait pris sa giclée de foutre, également, vint vers moi et me dit :
- « Et, si c’était nous qui faisions le spectacle, maintenant. J’ai le cul bien lubrifié par le sperme du gros type qui m’a bien enculé. Il en avait une bien grosse, et elle était très longue. Cette fois-ci, si je te demande de me fourrer ta bite dans le cul, tu ne vas peut-être pas refuser, comme la dernière fois. »
- « Si tu savais comme j’ai regretté d’avoir dit non, et le nombre de fois où je me suis branlé en y repensant, tu ne te poserais pas la question de savoir si j’en ai envie. »
- « Viens sur la scène ! Ils veulent du spectacle, ils vont en avoir. »
Arrivés sur scène, Éric se mis à quatre pattes, et moi m’agenouillant derrière, je ne fis aucun préliminaire. Je posais mon gland sur sa rondelle, et l’enculait d’un seul coup de toute la longueur de ma bite.
- « Oh ! Putain, qu’elle est grosse, et comme elle va loin ! Oh, oui ! Baise moi fort ! Encule-moi à fond ! Eclate moi le cul ! Depuis le temps que j’attends. Je sens que je vais jouir, même sans me toucher la queue, tellement ta bite me fait du bien. Baise-moi, putain, baise-moi, je veux jouir, rien qu’avec ta queue. Aaaaaaaaaah ! Putain, je pars ! Aaaaaaaaaah ! Putain, c’est fort ! »
Je vis de longs jets de foutre sortir de sa bite, sans l’avoir touché, et cela eut le même effet sur moi.
J’enfonçais ma bite à fond dans son fion, et je lâchais tout mon foutre dans son ventre. Je n’avais rarement autant joui, même durant mes vacances.
J’étais rassuré. Mon retour à la maison, après ces vacances inoubliables, ne serait pas monotone.
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