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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 20 – L’invitation faite à Éric

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 20 – L’invitation faite à Éric

Le lendemain matin de cette soirée d’initiation de Maman aux plaisirs sexuels, nous trouva, au réveil, tous les deux dans le lit parental. J’étais couché sur le côté, tournant le dos à ma mère. Je sentis son bras passer sur ma hanche, et sa main se poser sur mon ventre. Ceci eut pour effet de me réveiller totalement, et je sentis ma pine se dresser.

  • « Tu ne m’en veux pas pour ce qu’il s’est passé hier soir ? », me dit Maman, « J’avoue, que de mon côté, même si j’ai un peu honte, je ne regrette rien. Tu m’as tellement bien fait jouir. Je n’avais jamais fait l’amour, comme ça, dans toute ma vie. Depuis que tu m’as surprise, dans la cuisine en train de me masturber, il me semble voir la vie sous un nouveau jour. Je t’aime ! Je t’aime, vraiment très fort, mon Chéri. Mon fils adoré ! »

Ces mots étaient accompagnés de caresses sur mon ventre. Je sentis sa main s’aventurer sur mes cuisses, et instinctivement, je me mis sur le dos, en écartant le plus possible les cuisses. Maman dut comprendre l’invite, car sa main se saisit directement de mon sexe.

  • « Qu’il est beau ton sexe ! Et apparemment, souvent prêt à remplir son office. », me dit-elle.
  • « Non, Maman, ce n’est pas l’office qu’il veut remplir. C’est ta chatte ! Elle est tellement douce, et tellement serrée. J’ai l’impression, quand j’y mets ma queue, que c’est une main qui me serre la bite. »des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 20 – l’invitation faite à Éric
  • « Mon Chéri, pourquoi tu dis des mots vulgaires ? »
  • « Mais Maman, parce que c’est encore plus jouissif. Essaie, tu verras. Allez dis-moi, ce que tu as envie de me faire, avec mes mots, pour voir. »
  • « Tu crois ? Tu le veux, vraiment ? »
  • « Bon alors ! Je vais te la sucer ta belle bite. Je vais me l’enfoncer dans la gorge, et après tu vas me bourrer le cul avec. »
  • « Hummmm ! Je mouille comme une chienne, rien que de te l’avoir dit. C’est fou, la manière que tu as de me faire changer. Mais que c’est bon. Toi aussi, depuis tes vacances chez ton oncle et ta tante, je vois que tu as énormément changé. La sœur de ton père y est-elle pour quelque chose ? Si c’est le cas, elle ne doit donc pas être coincée du cul, comme son frère. »

J’éclatais de rire, en lui répondant :

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  • « Tu es vraiment curieuse. Je te raconterai ce que je voudrai, quand je l’aurai décidé. En attendant, tu m’avais pas dit que tu ferais autre chose que de parler, avec ta bouche. »

En lui disant cela, j’attrapais sa tête et l’approchai de ma bite. Elle me dit :

  • « Tu es pressé que je te la bouffes ta grosse pine. Je vais te la sucer à fond, et comme tu aimes m’enculer, eh bien je vais t’en faire autant avec mes doigts. Putain ! Je mouille ! Je mouille ! »

Tout en disant cela, je compris qu’elle s’enfonçait un doigt dans la chatte pour l’humecter de sa cyprine.

Sa bouche engloutit voracement mon sexe, et le pompa ardemment. Dans le même temps, je sentis son doigt titiller ma rondelle, puis pénétrer mon cul. Il ressortit aussitôt, et la bouche qui me suçait, quitta ma queue.

  • « Dis donc, mon doigt me parait bien petit quand il rentre dans ton cul. », me dit ma mère, en se redressant et en me regardant dans les yeux. « Ne me dis pas, que ton expérience, s’est également faite par là. »

Maman semblait décontenancée. Je ne savais pas quoi lui répondre. Son initiation était encore bien récente, pour lui avouer, tout ce que j’avais fait durant mes vacances. J’imaginais son effroi, si je lui racontais la double sodomie qui m’avait fait m’envoyer en l’air comme jamais. Je décidais d’y aller doucement. Je lui répondis :

  • « L’autre jour, je t’ai vu te masturber l’anus avec une carotte. Eh bien, imagine-toi, que moi je l’ai fait, pendant mes vacances, mais avec une petite courgette, pendant que je me branlais. »
  • « Oh ! », fit Maman, offusquée, « Et, tu y as pris du plaisir ? ». Mais en me disant cela, je vis que dans ses yeux, s’était allumée une petite lueur lubrique.

Je décidais de la brusquer un peu, en lui répondant :

  • « Oh oui ! J’ai trouvé cela très bon, et j’ai recommencé, par la suite. »
  • « Pas à chaque fois, quand même ? », s’écria-t-elle.
  • « Presque à chaque fois, et si je pouvais avec une courgette encore plus grosse, je le faisais avec encore plus de plaisir. Tata s’étonnait d’ailleurs de la disparition de ses légumes. »
  • « Mais, mon Chéri, cela s’apparente à de l’homosexualité, ce que tu me dis là. », me rétorqua ma mère, qui, du coup, ne s’occupait plus de ma bite. Elle semblait choquée.
  • « Pas du tout, Maman Chérie. Cela s’appelle la recherche du plaisir. Comme cela t’est arrivé hier soir et ce matin. Au début, tu as eu des scrupules, puis tu t’es rendu compte, que ce n’était que de l’Amour, avec un grand A, comme je te l’ai dit, associé à la grande tendresse que nous nous portons mutuellement. Donc, le fait que j’aime aussi, avoir le cul rempli, ne retire rien à l’intérêt que je porte à la gent féminine, et plus particulièrement à toi, en ce moment. Je t’aime, Maman. »

Elle me sembla rassurée, par mon discours mais me dit :

  • « Bon, eh bien, tout cela a coupé mon élan. Je vais me lever, et aller préparer le petit déjeuner. »
  • « D’accord, je te rejoins dans quelques minutes. Car moi, je ne peux pas me lever dans cet état. Il va falloir, que j’y remédie, puisque tu ne l’as pas fait. »

Entendant cela, Maman, se leva, tira sur le drap, me découvrant entièrement, et s’aperçut que ma queue était toujours aussi raide. Elle me dit :

  • « Mais tu bandes encore, malgré notre conversation, et si j’ai bien compris, tu vas te branler ? »
  • « Oui, Maman, je vais me faire jouir. Mais, si tu veux me voir cracher mon jus, tu peux rester et me regarder. Je veux bien. Même mieux, cela me ferait plaisir, que tu me voies me tirer sur la queue. »
  • « Vas-y, mon Chéri, branle-toi bien fort. Ta Maman te regarde. »

Je n’eus pas besoin qu’elle me répète son autorisation. J’empoignais ma bite et je tirais fort dessus, décalottant mon gland jusqu’à la base de mes couilles. J’entendais ma mère geindre doucement.

des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 20 – l’invitation faite à ÉricJe décalottais entièrement mon gland, et mouillant mes doigts de salive, je lubrifiais mon gland en insistant sur le frein. Puis je mouillais à nouveau deux de mes doigts et avec, je caressais mon gland et mon prépuce doucement.

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Maman geignait :

  • « Oui, mon petit ! Fais-toi du bien ! Maman te regarde ! Qu’elle est belle, ta bite ! Et comme on voit bien qu’elle aime qu’on s’occupe d’elle. Mais arrête de la caresser, et branle toi fort. Je veux te voir te tirer fort dessus, et te voir cracher tout ton sperme sur ton ventre. Branle-toi ! Branle-toi, à en avoir mal. Je veux voir ça, maintenant ! »

Je tournais mon regard vers Maman, et je vis, à cet instant, qu’elle avait remonté sa nuisette qu’elle coinçait sous ses aisselles. Elle avait les jambes écartées, et se limait le minou avec deux de ses doigts.

Je me tirais violemment sur la bite. La décalottant et la recalottant à fond, à la limite de la souffrance. Prenant appui sur mes deux pieds, je me cambrais au maximum, montant mes reins le plus haut que je pouvais.
Cela, allié au spectacle que m’offrait ma mère, eut rapidement le résultat escompté. Je balançais sur mon ventre et mon torse, de grands jets de foutre, bien épais et bien chaud. Un des jets de sperme atteint mes lèvres.

Maman s’agenouilla au bord du lit, et en continuant à se branler, entreprit de lécher toute la semence répandue sur mon corps. Elle gémissait, en léchant :

  • « Que c’est bon ! Mon dieu, qu’il est bon ton sperme. Ce sera le fortifiant qu’il faudra que tu me donnes, chaque matin. »

Voyant le sperme sur mes lèvres elle le lécha avec sa langue et en profita pour me l’enfourner dans la bouche, me donnant à gouter mon jus.

Ceci la fit jouir, et geignant sur ma bouche, je la vis éjaculer à nouveau. Cela devenait la conséquence habituelle de ses jouissances.

Durant le petit déjeuner, je lui dis :

  • « L’autre jour, en me baladant en ville, j’ai retrouvé un copain de bahut, que je n’avais pas vu depuis longtemps. On a pris un café ensemble, et en discutant, j’ai découvert qu’il était branché informatique. Je voudrais bien qu’il m’apprenne comment faire des programmes, car apparemment, c’est son truc. Si tu n’y vois pas d’inconvénient, je voudrais bien l’inviter un après-midi, pour qu’il me montre les rudiments de la programmation. Il s’appelle Éric, et il a le même âge que moi. »
  • « Si tu veux, mon Chéri. Tu peux même lui dire de venir cet après-midi. Je dois m’absenter quelques temps. Vous serez tranquilles. »

Un coup de téléphone à Éric, nous fit convenir d’un rendez-vous à 15 heures, chez moi. Je lui dis que nous pourrions nous intéresser à essayer de monter un programme informatique. Je n’avais pas menti à ma mère, il était féru dans ce domaine. Il me répondit qu’il était sûr que cela nous prendrait tout l’après-midi, sans laisser le temps à d’autres occupations.

En début d’après-midi, Maman vint m’embrasser avant de partir, en me disant :

  • « Je ne sais pas combien de temps, je vais être absente. Travaillez bien ! A tout à l’heure. »

Ma mère partie, je me changeais, pour adopter une tenue que je pensais plus adaptée, à ce que j’espérais que nous allions faire avec Éric. Legging et marcel.

Éric arriva à l’heure dite. Je vis immédiatement que, contrairement à ce qu’il m’avait dit lors de notre prise de rendez-vous, il avait eu les mêmes pensées que moi, car il était vêtu comme lors de notre excursion au supermarché. Pantalon de survêt et polo.

Nous allumâmes l’ordi, mais pas sur un logiciel de programmation, mais directement sur un site porno gay.

C’était des vidéos de massage gay. J’avais pris la précaution de laisser la porte de ma chambre entr’ouverte, car j’espérais secrètement que ma mère rentrerait plus tôt et profiterait du spectacle.

L’effet des vidéos ne tarda pas. Mon legging se gonfla brusquement, et je vis la culotte de survêt d’Éric prendre des formes bizarres à l’endroit de sa bite. Je posais ma main sur son sexe, et sentant qu’il bandait, je la glissais dans son pantalon. Sa bite était déjà raide, et son gland à moitié décalotté. Je le branlais doucement à l’intérieur de son vêtement. Lui, fut plus radical, il me fit me lever, baissa mon legging, libérant ainsi ma queue, qui se redressa immédiatement. Il se pencha et approcha sa bouche de mon sexe. Doucement avec ses lèvres serrées, il entreprit de me décalotter. Mon gland dégagé de sa peau, il me suça entièrement, enfonçant ma bite jusqu’à son gosier.

C’est à cet instant, qu’il me sembla entendre la porte d’entrée s’ouvrir discrètement. Éric, tout à sa besogne, n’avait rien entendu, et continuait ardemment de me pomper la queue. Je lui fis soulever légèrement le bassin, baissait sa culotte, et repris ma branlette, en dégageant bien son gland à chaque fois.

Mon bureau était placé, de biais, en pleine ligne de vision de la porte entrebâillée.

Je poussais des petits râles, que je voulais discrets, mais suffisamment sonores, pour être entendus au rez-de-chaussée. Je compris que ma mère montait doucement et discrètement l’escalier qui menait à l’étage.

Je continuais à astiquer le manche d’Éric en l’orientant bien dans l’axe de la porte. En jetant un coup d’œil discret vers celle-ci, je vis dans l’embrasure de la porte, la tête penchée de ma mère, dont l’œil luisait.des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 20 – l’invitation faite à Éric

Je jetais mon bassin fortement en avant, pour qu’Éric embouche encore plus loin ma pine dans sa bouche.

Je m’imaginais ce à quoi Maman devait penser, suite à la conversation du matin, mais elle ne réagissait pas violemment, comme j’aurais pu le penser. Ce qui voulait dire qu’elle avait entendu et compris le message que je lui avais fait passer ce matin. Il me semblait voir sa tête bouger, en nous regardant. Serait-il possible qu’elle se branle ? Ce serait super, car cela laisserait augurer d’autres aventures.

A cet instant, je fis se lever Éric, je descendis complètement son survêt, je le fis s’appuyer sur le bureau le cul tendu, lui fis écarter les jambes et m’agenouillant, j’entrepris de lui lécher la rondelle. Il geignait déjà, comme une chatte en chaleur :

  • « Ah oui ! Baise-moi ! Fourre-moi ta grosse queue dans le cul ! J’en ai encore plus envie depuis la dernière fois. Encule-moi ! Putain, j’aime ta bite quand elle me défonce l’oignon, et quand elle crache son jus dans mon ventre. »

Etant parfaitement de profil, pour que Maman puisse profiter du spectacle, j’approchais mon gland de sa rosette, et lui tapotait la raie des fesses avec. Puis, je mis ma bite sur l’entrée de son anus, et poussant violemment la rentrais toute entière d’un seul coup de rein. Il hurla :

  • « Putain, que c’est bon ! Ouiiiiiiiiii ! Lime- moi bien le fion ! Fort et loin. J’adore te sentir dans mon ventre. »

Là, je n’avais plus aucun doute, la tête de ma mère oscillait de plus en plus dans l’entrebâillement de la porte. Elle se branlait fort. J’en étais certain.

Tout en limant le cul d’Éric, j’avais passé mon bras autour de sa taille, et saisit sa bite que je branlais fort et à fond. Il gueula :

  • « C’est trop fort ! Arrête, ou je vais cracher sur ton bureau ! Mais je veux te sentir te vider les couilles dans mon ventre en même temps. »

Je déchargeais tout mon foutre dans son cul, tout en tirant encore plus fort sur sa queue. Il balança de longs jets de sperme, qui, effectivement arrosèrent mon bureau.

  • « Eh bien ! », lui dis-je, « On n’a pas perdu de temps pour nous donner du plaisir, mais maintenant, on a intérêt à nettoyer tout ça avant que ma mère ne rentre. Je crois qu’elle ne serait pas contente. »

J’entendis clairement Maman redescendre l’escalier, et ressortir discrètement de la maison.

Quelques instants plus tard, ma chambre remise en ordre, nous entendîmes la porte d’entrée claquer, et ma mère claironner :

  • Les garçons ! Je suis rentrée ! Je vous ai rapporté de quoi nous faire un petit gouter. Vous descendez ? ».

Nous dévalèrent l’escalier, et je vis ma mère me sourire. Je compris que j’avais gagné le droit d’avoir les plaisirs sexuels dont j’avais envie.

Le gouter expédié, Éric nous quitta en nous embrassant, ma mère et moi.

  • « Reviens quand tu veux. », lui dit Maman, en me regardant et en souriant.

Éric parti, ma mère me demanda :

  • « Avez-vous bien travaillé ? Votre projet informatique a-t-il bien avancé ? Il faudra que ton ami revienne, afin de le faire bien évoluer. Qu’en penses-tu ? »

Intérieurement, je pensais que l’émancipation sexuelle de Maman avançait plus rapidement que je ne l’avais espéré.

  • « Si tu veux, Maman. D’accord ! Peut-être même, pourras-tu nous aider à le faire avancer, car, me semble-t-il, avant ma naissance, tu bossais dans un service informatique. Je vais monter prendre une douche maintenant. »

des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 20 – l’invitation faite à ÉricJ’embrassais tendrement Maman, avant de monter, et de gagner la salle de bains.

J’étais sous la douche, dos tourné à la porte, quand, soudain, je sentis une présence derrière moi. C’était ma mère, que je n’avais pas entendu entrer.

  • « Je suis venu te frotter le dos, mon Chéri. », me dit-elle, « Si cela te fait plaisir, bien sûr. »

Sur ces paroles, elle saisit une grosse éponge qu’elle enduisit de gel douche, et m’empêchant de me retourner, elle entreprit de me savonner le cou, les épaules, les reins. Elle agissait doucement en mouvements circulaires, très légers. C’était très bon.

Puis, je sentis la grosse éponge me masser les chevilles, puis les mollets et enfin les cuisses. Ma mère ne disait rien.

L’éponge arriva finalement sur mes fesses, qu’elle massa doucement en tournoyant.

  • « Penche-toi bien vers l’avant, et appuie tes mains sur le mur. », me dit Maman, « Je vais maintenant nettoyer ta raie, et il faut bien me la montrer. »

Je reculais mes jambes en les écartant largement, je me penchais en avant, les mains appuyées sur le mur du fond de la douche, le torse formant une équerre avec mes jambes. J’imaginais le spectacle qui s’offrait à ma mère.

Ma raie du cul bien dégagée, la rosette ouverte en son centre, et entre mes jambes, pendantes, ma paire de couilles et ma bite au repos.

Maman passa l’éponge dans ma raie, puis la laissant tomber, entreprit de me savonner le cul, la rosette et le service trois pièces, avec ses mains. Cela eut un effet immédiat sur mon sexe, qui commença à se redresser.

A cet instant, j’entendis Maman me dire :

  • « Tu sais, j’ai eu du mal, mais j’ai bien compris tout ce que tu m’as dit ce matin. Je vous ai regardé avec envie, tout à l’heure, avec ton ami. J’ai vu que tu savais donner du plaisir aux femmes, mais aussi, que tu savais bien faire jouir quelqu’un du même sexe que toi. C’était beau à voir. Cela me donnait envie de vous rejoindre et de participer à vos ébats. Mais je me suis retenue, en me branlant fort. Je n’aurais jamais imaginé ceci, quelques semaines plus tôt. «

Tout en me tenant ce discours, elle m’avait passé le bras autour de la taille et de sa main gauche, saisit la bite, qu’elle caressait doucement. Deux doigts de sa main droite étaient enfoncés dans mon anus, et le limaient profondément.

  • « Comme j’ai compris aussi, que tu aimais bien te faire limer le cul, je t’ai réservé une surprise. Non ! Ne te retourne pas ! »

A cet instant, je la sentis se pencher, puis en se redressant, appuyer quelque chose sur mon trou du cul.

Le bout semblait gros, mais arrondi. Je le sentis commencer à entrer dans mon anus. Cela ne rentrait pas trop difficilement. Puis, d’un coup, Maman m’enfonça la chose, entièrement dans le cul. C’était long, gros et lisse. Putain, que c’était bon de se faire remplir le ventre, par ce « truc ».

  • « Mon Chéri ! Tu as aimé, l’autre jour, me voir me masturber la chatte avec le gros concombre. Eh bien, ce beau légume, après avoir fait jouir ta Maman Chérie, il va faire jouir son fils adoré. C’est lui qui est enfoncé, tout entier dans ton cul. Et maintenant, je vais te défoncer le fion avec lui, en te limant fort. »

Tout en disant cela, Maman me branlait maintenant violemment la bite et m’enculait le plus brutalement qu’elle le pouvait avec le concombre, en l’enfonçant profondément tout en le faisant tourner dans mon cul.

Le traitement fut efficace, car je ne tardais pas à jouir pour la troisième fois de la journée. Je gueulais en jouissant :

  • « Je t’aime ! Maman ! Je t’aime ! Mais tu es vraiment devenue une experte, en peu de temps. »
  • « Oui, tu m’as dévergondée. Mais Bon Dieu, que c’est bon ! Je deviens une vraie salope ! »
  • « Tu es ma Maman salope adorée. », lui dis-je, en me retournant et en embrassant sa bouche, d’un baiser passionné.
  • « En attendant, je suis impatiente que tu me racontes vraiment ce qu’il s’est passé durant tes vacances, car, pour tout te dire, j’ai été très étonnée que ce gros concombre, qui faisait entre 5 et 6 centimètres de diamètre, rentre aussi facilement dans ton cul. Il me semble que le chemin était déjà bien préparé, n’est-ce pas ? »
  • – « Je pense que maintenant, tu es prête à entendre certaines choses, que je n’aurais pas pu te raconter, une semaine plus tôt. », lui répondis-je.

Il ne nous restait plus qu’à attendre l’heure du coucher, pour savoir si nos corps réclameraient encore un besoin de jouissance.

Après avoir diner, je dis à ma mère :

  • « Je monte travailler un peu sur l’ordi. Il n’y a rien à la télé qui m’intéresse, ce soir. »
  • « Si tu veux mon Chéri. Mais tâche de ne pas veiller trop tard, car si tu le veux bien, je souhaite que tu viennes dormir dans mon lit, si tu en as envie. »
  • « On verra ! », lui dis-je, avec déjà mon idée derrière la tête.

Je montais dans ma chambre, branchais l’ordi sur le site de massage gay, me mis à poil, et surtout, je branchais la webcam sur enregistrement, en l’orientant de façon que l’objectif me filme en entier, assis sur ma chaise, en train de me branler.des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 20 – l’invitation faite à Éric

Ce que j’avais prévu, se réalisa plus vite que je ne l’avais pensé. J’entendis Maman monter l’escalier, en me disant :

  • « Tu avais raison ! Il n’y a rien de bien, à la télé. Tu travailles bien ? Je peux entrer ? »

Sans réponse de ma part, ma mère poussa la porte de ma chambre, et me voyant m’astiquer le membre, s’exclama :

  • « Mais, c’est pas possible ! Qu’est-ce que tu es encore en train de faire ? »

Tout en disant cela, elle s’était rapprochée de moi, et j’étais certain qu’elle était entrée dans le champ de l’objectif de la webcam.

S’agenouillant à côté de moi, elle me dit :

  • « Laisse-moi voir cela ! Il me semble que tu ne t’y prends pas comme il faut, pour faire du bien à ce beau morceau. »

A ces mots, elle retira ma main qui tenait ma bite, saisit délicatement ma queue, et commença à me branler doucement, en décalottant bien à fond, mon gland à chaque mouvement.

  • « Je n’ai pas pris mon dessert, ce soir ! Mais je crois que je vais l’avoir maintenant. », dit-elle, en approchant sa bouche de ma queue, et en l’engloutissant voluptueusement.

Elle me pompa le gland, si bien et si tendrement, qu’elle sentit ma jouissance arriver, et sortant ma queue de sa bouche, elle la reprit avec ses mains, et près de son visage me branla jusqu’à ce que j’éclabousse ses yeux, ses joues, sa bouche avec tout le foutre que j’éjaculais.

Mon sperme roulait sur son visage, et avec sa langue, elle léchait les gouttes de sperme qu’elle pouvait récupérer.

J’étais certain que la vidéo que j’avais enregistrée serait réussie, et je savais déjà quel usage j’en ferais.

Maman partit se préparer pour aller au lit. Je stoppais l’enregistrement de la cam, l’enregistrais sur l’ordi, et après être passé à la salle de bains, rejoignit Maman dans son lit, où nous nous endormirent, tendrement enlacés.

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1 commentaire

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  • Très belle histoire
    J’en ai la bite toute raide et une forte envie de tiré dessus et en sortir le jus aussi :)

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