Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 21 – Éric et l’ordinateur
Le lendemain matin, Maman étant occupée en bas, je visionnais l’enregistrement fait la veille au soir. Il était parfait. On me voyait parfaitement en train de me branler, puis on entendait la voix de ma mère quand elle montait à l’étage. Son casting était parfait, et les images étaient très bandantes. Surtout, quand elle me fit jouir sur son visage.
Je réglais mon ordi, pour qu’à sa prochaine ouverture, aucun programme ne s’ouvre en priorité, sauf cette vidéo. Je faisais le test. Fermeture de l’ordi. Puis ouverture. Immédiatement, c’est mon image en pleine branlette qui apparut sur l’écran. Satisfait, j’éteignais mon ordi, et descendais rejoindre Maman, qui préparait le déjeuner.
- « Maman, », lui dis-je, « Je vais inviter Éric cet après-midi, si tu n’y vois pas d’inconvénient, car je voudrais bien que l’on avance sur la programmation. »
- « Si tu veux, mon Chéri. Mais je n’ai pas à sortir, aujourd’hui. Cela ne te dérange pas que je sois là, pour ce que tu as à faire avec lui ? »
- « Non, Maman, car je veux vraiment avancer en informatique, et je ne pense pas à autre chose pour cet après-midi. »
- « Comme tu voudras, mon Chéri ! », me répondit-elle, avec un air dans lequel je crus discerner un peu de déception.
Après avoir appelé Éric, qui me donna son accord, étant disponible, nous avons déjeuné, puis rangé la cuisine. Volontairement, en faisant la vaisselle, je me frottais sur les fesses de Maman en passant récupérer les ustensiles à essuyer. Je voyais bien que cela l’émoustillait.

Quinze minutes avant l’arrivée d’Éric, je pris un air navré, pour dire à Maman :
- « Je viens de me rappeler qu’Éric, m’avait dit d’acheter un manuel bien précis pour la mise en place d’un programme sur l’ordi. J’ai complètement oublié de le faire. J’y vais rapidement. Je n’en ai pas pour longtemps. Si Éric arrive, tu n’as qu’à lui dire de monter directement à l’ordi. »
- « Par contre, il y a un mot de passe pour pouvoir l’ouvrir. Même si je fais confiance à Éric, je préfère ne pas lui confier, car de chez lui, il pourrait se connecter à mon ordi. Si cela ne te dérange pas, je préfèrerais que cela soit toi qui ouvre l’ordi en rentrant le mot de passe. »
- « D’accord, mon Chéri ! Ecris le moi sur ce papier. Je ne lui montrerai pas et je lui ouvrirai ton ordi. Mais ne sois pas trop longtemps absent, s’il te plait. »
- « OK ! Maman ! Merci pour ton aide. Je fais au plus vite. A tout de suite. »
Un petit bisou à ma mère, et je sortis de la maison. Comme je tournais au coin de la rue, je vis qu’Éric approchait de chez nous par l’autre côté de la rue.
Je ne pus m’empêcher de sourire, en pensant à la surprise qui les attendait tous les deux.
Je rentrais dans un bistrot, un peu plus loin, prendre un café, en leur laissant 15 à 20 minutes de répit. J’imaginais la scène.
Éric frappant à la porte de la maison. Maman venant lui ouvrir, lui disant bonjour en l’embrassant, et lui expliquant que j’avais dû m’absenter quelques instants.
Je suis certain que ma mère a dû lui offrir un café, qu’il a refusé, disant qu’il l’avait pris avant de partir.
Puis Maman invitant Éric à monter à l’ordi, pour commencer à le préparer, en attendant mon retour. Je les imagine, montant l’escalier tous les deux, Éric devant, car c’est un garçon bien élevé, Maman qui le suit, ne pouvant certainement pas s’empêcher de mater le cul giron d’Éric, qu’elle m’avait vu baiser la veille.
Dans ma tête, je les vois s’asseoir côte à côte, face à l’ordi, et ma mère appuyer sur le bouton de mise sous tension. C’est eux deux qui allaient être sous tension, dans quelques instants…
Maman tape le mot de passe, pendant qu’Éric tourne les yeux. Elle appuie sur « Enter », et là…
Sous les yeux ébahis des deux spectateurs, apparait mon image, en train de me branler.

- « Mais qu’est-ce que c’est que ça ? », dit ma mère
Éric sourit, car il pense déjà, qu’il s’agit d’un scénario bien écrit par mes soins :
- « C’est votre fils, Madame, en train de se donner du plaisir. », lui répondit-il, courtoisement.
Mais déjà, venant des haut-parleurs, retentit la voix de ma mère :
- « Tu avais raison ! Il n’y a rien de bien, à la télé. Tu travailles bien ? Je peux entrer ? »
- « Mais, c’est pas possible ! Qu’est-ce que tu es encore en train de faire ? »
Et sous les yeux ébahis de ma mère, et sous ceux, amusés d’Éric, défilent les images montrant ma mère s’agenouiller, puis me saisir la bite, me branler, et me sucer.
J’imaginais la réaction de ma mère.
- « Ah, non ! J’ai trop honte ! », dirait-elle, en se levant.
Éric l’empêchant de se lever, l’oblige à se rasseoir, en lui disant :
- « N’ayez pas honte ! Il ne faut pas ! C’est très beau, au contraire. Si vous saviez à quel point, j’envie votre fils de pouvoir vivre des choses aussi belles. »
Ma mère, rassurée par ces propos, se détend, tout du moins je l’imagine, et, sans doute commence-t-elle à être excitée à l’idée de regarder la pipe qu’elle fait à son fils, en compagnie du meilleur ami de celui-ci.
Je l’imagine aussi, regarder timidement vers l’entrejambe d’Éric, et certainement être très émoustillée à voir la bosse qui se profile sous son pantalon.
J’imagine parfaitement voir la main d’Éric saisissant la main de Maman et tenter de l’amener vers son sexe. Je suis sûr qu’elle doit résister un peu malgré le fait qu’elle doit en mourir d’envie.
Il est temps, maintenant, pour moi, de rentrer à la maison. Discrètement, bien entendu.
Je paie mon café, sors du bistrot, et rentre directement à la maison. J’ouvre la porte sans bruit, retire mes chaussures, et monte à l’étage. La porte de ma chambre est à moitié ouverte. La disposition de mon bureau me permet de voir les deux acteurs de profil.
Je vois ma mère et Éric, regarder avec attention l’écran sur lequel Maman est en train de m’administrer une fellation d’anthologie.
Je vois que le bras de ma mère est déporté vers sa gauche, et que sa main est dans la culotte d’Éric. Je vois la bosse de sa culotte de survêtement monter et descendre doucement.
Maman est en train de branler mon pote. Ma mère lui fit comprendre de se lever. Elle baissa son pantalon, et regarda avec ébahissement son sexe. En le caressant de ses deux mains, je l’entendis lui dire :
- « Tu as une belle bite, toi aussi. Aussi belle que celle de mon fils. Pourquoi avez-vous des queues si belles, qu’on a aussitôt, envie de les sucer ? »
Disant cela, je la vis se pencher, sur le sexe d’Éric, et l’enfourner entièrement dans sa bouche. Éric lui appuyait sur la tête, pour faire pénétrer son sexe encore plus loin dans la bouche de Maman. J’entendais celle-ci couiner, et je vis, à ma grande stupéfaction qu’elle avait remonté le bas de sa robe, sous laquelle, il n’y avait pas de culotte (elle avait dû avoir quelques idées cochonnes à la pensée de savoir qu’Éric nous rendrait visite l’après-midi, et elle s’était changée, mettant une robe légère, sans culotte dessous), et qu’elle se doigtait la chatte profondément.
C’est le moment que je choisis pour rentrer dans la chambre.
- « Mais, qu’est-ce que vous faites ? Je n’en crois pas mes yeux ! Toi, Éric, tu te fais sucer par ma mère. Et toi, Maman, tu te branles en le suçant. C’est incroyable ! Je n’aurais jamais cru cela possible, venant de vous deux. », m’écriais-je, en prenant un air outré.
Maman, se redressant, me sourit, et me dit :
- « Allez ! Ne joue pas au Père la Pudeur. Tu avais bien manigancé ton petit scénario, pour que nous en arrivions là, tous les deux. Alors, déshabille-toi, et viens nous rejoindre, plutôt que de nous faire des sermons. ».
Tout en disant cela, je la vis faire sauter sa robe, sous laquelle elle était entièrement nue, puis retirer le pantalon de survêtement et le polo d’Éric.
Nous étions nus, tous les trois. Éric et moi avions le sexe raide et le gland décalotté, quant à Maman, elle regardait ces deux bites dressées avec des yeux remplis de gourmandise.
- « Venez dans ma chambre. », nous dit-elle, « Nous serons plus à l’aise sur mon lit. »
Disant ceci, elle nous attrapa par la queue, tous les deux, et en nous branlant, nous amena à sa chambre.
Arrivés là, ma mère nous fit nous allonger, et s’intercala entre nous, mais la tête aux pieds.
Sa tête était à hauteur de nos deux bites, et Éric et moi avions son bassin au niveau de nos bouches.
Maman commença à nous branler et à nous sucer alternativement, pendant que Éric et moi avec nos langues et nos doigts, nous lui titillions, qui le trou du cul, qui la chatte. En n’oubliant pas de lui caresser le ventre et les seins.
Maman gueulait :
- « Oui, léchez-moi bien à fond, pendant que je m’occupe de vos belles bites, et avant qu’elles ne viennent combler mes deux trous qui ne demandent que ça. »
Je n’en revenais pas. Ma mère, si prude, encore quelques jours auparavant, se lâchait totalement. Et Éric, de renchérir :
- « Elle est bonne ta chatte ! J’adore te la bouffer, et j’ai hâte d’y fourrer ma queue. »
Vu son discours, je pensais que j’allais devoir me satisfaire de remplir le trou du cul de Maman, ce qui ne gâchait pas mon envie.
J’attrapais les hanches de ma mère, lui fit faire un demi-tour et l’amenais à enjamber le corps d’Éric, de façon à placer sa vulve au-dessus du sexe de mon copain. Celui-ci voyant la manœuvre, cambra ses reins puissamment, et pénétra entièrement le con de Maman. Elle hurla :
- « Oh ! Comme tu me l’as bien enfoncée loin. Putain, qu’elle est grosse ! Elle est bonne. Lime-moi fort. Je veux te sentir me remplir le ventre. »
Me sentant un peu délaissé, je m’accroupis derrière ma mère, et après avoir craché sur mon gland, je le mis à l’entrée de son anus, et enfonçais toute ma bite d’un seul coup dans son cul.
- « Salauds ! Salauds ! Vous me défoncez la chatte et le fion ! Mais, j’aime ça ! Bourrez-moi ! Bourrez-moi bien ! Je vous sens tous les deux dans mon ventre. Putain, je vais jouir, comme jamais cela ne m’est arrivé. »
Elle n’en pouvait plus. Maman ahanait sous nos coups de reins puissants, et quand nous l’entendîmes crier sa jouissance, Éric et moi avons joui, également. Nous lui avons envoyé de gros jets de foutre dans la chatte et dans le cul.
- « Votre jus, dans mon ventre, dans ma chatte, dans mon cul. Comme il est chaud ! Je jouis ! Je jouis encore ! Je vous aime ! ». Elle éjacula, à son tour, inondant nos bites et les draps de sa mouille.
Disant cela, elle quitta notre étreinte, et se glissa à hauteur de nos deux sexes, qu’elle entreprit de nettoyer d’une bouche gourmande.
Tout en faisant cela, elle envoya les doigts de ses mains cueillir le foutre qui sortait de ses deux orifices, et nous les tendit à sucer. Ce que nous fîmes aussi avec gourmandise, en profitant pour nous embrasser, Éric et moi.
Nous descendîmes prendre une légère collation, durant laquelle Maman dit à Éric :
- « Penses-tu que tes parents verraient un inconvénient à ce que tu restes dormir ici, si tu leur demandais ? Si cela te fait plaisir, et si tu en as envie, bien sûr. »
- « Pour moi, j’en serais ravi, mais effectivement, il faut que je leur demande. Je ne pense pas qu’ils y verront un inconvénient, mais ils sont assez stricts sur les formes. »
Ses parents lui donnèrent leur accord.
Cela nous laissait augurer d’une bonne soirée.
Vivement la suite hâte de découvrir leurs prochaines parties à 3. Sacré bande de coquin ces 3 là !!