Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 23 – La visite du curé
Spéciale dédicace à TiboX de la part de l’auteur
Quelques jours plus tard, alors que nous rangions la cuisine, Maman et moi, après le déjeuner, nous entendîmes la clochette du portillon sonner, puis ensuite des coups frappés à la porte d’entrée. Maman alla ouvrir :
- « Ah ! Bonjour mon Père ! Entrez donc ! Que nous vaut le plaisir de votre visite. »
C’était le curé, que je n’étais pas retourné voir, depuis l’après-midi où je l’avais sodomisé.

Il était vêtu de sa soutane, et, instinctivement, je pensais immédiatement qu’il n’était pas venu pour voir ma mère, mais plus certainement ma petite personne, avec des idées derrière la tête.
- « Nous allions prendre le café, mon Père, désirez-vous en prendre un avec nous ? »
- « Volontiers, je vous remercie. Je passais voir votre fils, car nous avions entamé un débat intéressant dernièrement, et je souhaitais voir si nous pouvions le poursuivre. »
Et s’adressant directement à moi, il me dit :
- « Es-tu disponible cet après-midi ? Nous pourrions discuter, si tu le veux, ici, chez toi. »
- « Je ne suis pas sûr que Maman soit disposée à assister à nos échanges. », lui répondis-je, le mettant mal à l’aise, en associant ma mère à la représentation qu’il se faisait de nos « échanges ».
- « Nous pourrions discuter dans ta chambre, pour ne pas importuner ta Maman. », me dit-il.
Il devait vraiment être en manque de sexe, pour insister pareillement.
Je refroidissais immédiatement ses ardeurs, en lui répondant :
- « Maintenant, cela ne va pas être possible, car j’attends un ami, avec qui nous travaillons sur un projet informatique. Pour tout vous dire, d’ailleurs, je pensais que c’était lui qui arrivait. Mais, promis, je vous appelle au téléphone très bientôt, pour que nous fixions un rendez-vous. »
A cet instant, la clochette du portillon tinta, annonçant l’arrivée d’Éric. A son entrée, je fis les présentations, les deux personnes ne se connaissant pas. En effet Éric ne fréquentait pas l’église.
Après avoir bu notre café, Éric et moi, montèrent dans ma chambre à l’étage.
Maman et le curé continuèrent à discuter de choses et d’autres dans la cuisine.
A l’étage, Éric, sans doute, excité de savoir la présence d’un curé dans la maison, me demanda de lui faire visionner à nouveau la vidéo que j’avais réalisée, et qui avait amené ma mère à lui toucher le sexe.
Je me doutais que le fait d’accéder à sa demande, allait avoir des conséquences sur notre activité de l’après-midi.

Ce qui ne manqua pas de se produire.
Dés les premières images, Éric mit sa main dans sa culotte de survêtement, et à voir les mouvements du tissu, il était clair qu’il se branlait. Cela eut un effet certain sur ma bite, que je sentis se dresser dans mon short.
Ayant mis mon short « colonial », aux jambes très évasées, sans slip en dessous, je sortis ma bite sur le côté, et commençais à me branler aussi, en ne quittant pas des yeux, les mouvements de la main d’Éric, dans sa culotte.
Voyant cela, mon copain baissa son pantalon, jusqu’à ses pieds, et mettant sa main derrière ma tête, me força à approcher ma bouche de son gland.
Je n’avais raconté ni à Éric, ni à ma mère, ce qui s’était passé avec le curé. J’étais, donc, très curieux de savoir ce qui allait se passer ensuite.
Dans cette attente, j’entrepris de m’occuper de la bite d’Éric. Avec ma langue, je titillais son frein, puis tout en gobant ses couilles, je le faisais s’avancer sur le bord de son siège, afin de pouvoir lui introduire deux de mes doigts dans sa petite rondelle.
- « Oh oui ! Occupe-toi de mon cul ! Depuis ce matin, j’ai envie que tu me baises ! J’y ai pensé toute la matinée. Crois-tu que ça va être possible avec le curé en bas ? »
- « T’occupe ! », lui répondis-je, « Il parle avec ma mère de ses bondieuseries, il ne va pas nous déranger. »
- « Et, pour tout te dire, ce à quoi tu as pensé ce matin, j’en ai très envie aussi. »
Sur ces mots, je le fis se lever, s’appuyer sur mon bureau. Survêt retiré pour Éric, short enlevé pour moi, je lui fis écarter les jambes, et lui lubrifiais la rondelle avec ma langue, pour bien humidifier le chemin de ma queue.
Dans la cuisine, Maman et le curé avaient fait le tour des choses qu’ils avaient à voir. Le curé, avant de prendre congé de ma mère, lui dit :
Ma mère, qui devait se douter à quel genre de « mégabits » informatiques, nous nous intéressions, et excitée à l’idée de voir le curé dans une situation exceptionnelle et qu’elle pensait gênante pour lui, lui répondit :
- « Si vous voulez, mais montez discrètement, car quand ils travaillent sur leur projet informatique, ils n’aiment pas être dérangés. »
Le curé monta, sans bruit, l’escalier menant à ma chambre, et s’approchant de celle-ci, se rendit compte qu’elle était entrebâillée. J’avais, bien sûr, pris la précaution de ne pas la fermer totalement.
Le curé, le plus discrètement possible, jeta un œil dans l’entrebâillement de la porte, pour voir s’il pouvait nous interrompre dans notre travail, pour nous saluer.
Son œil s’agrandit démesurément quand il vit mon gland à l’entrée de l’anus d’Éric, et toute ma bite s’engloutir dans son fion sur la poussée vigoureuse, que je venais d’effectuer.
Sans voir ce qui se passait sur le palier, car malgré sa discrétion, je l’avais entendu monter, j’imaginais que sa bite s’était redressée, toute droite et raide, sous sa soutane, où il ne devait pas avoir mis de slip.
Notre position, à Éric et à moi, de profil parfait, par rapport à la porte, faisait que le curé ne devait rien manquer du spectacle de ma queue qui entrait et sortait du cul de mon pote. Il devait également, sans doute, entendre les petits râles qu’Éric émettait à mes pénétrations vigoureuses.
Passant mon bras devant Éric, j’empoignai sa bite, que je me mis à branler à fond, tirant fortement sur la peau de son gland pour bien le décalotter.
Maman, seule dans sa cuisine, trouva que le curé mettait beaucoup de temps à redescendre, et se décida à venir voir ce qui se passait au pied de l’escalier.
Et là…
Quelle surprise !
Quelle énorme surprise !
Le curé avait remonté sa soutane, qu’il avait coincée sous ses bras. Il était nu, en dessous !
Et sa main droite branlait une grosse bite, alors que les doigts de sa main gauche, serrés entre ses fesses, fouillait son trou du cul avec application.
Maman n’en revenait pas ! Son curé, qui prêchait la chasteté, en train de se branler devant deux jeunes, dont elle se doutait qu’ils étaient en train de se donner du plaisir.
Cela l’émoustilla à un point qu’elle n’aurait pas imaginé. Ses mains saisirent ses seins, pour pincer ses tétons, puis soulevèrent sa robe, et elle glissa sa main dans sa culotte. Sa chatte était déjà toute trempée, et ses doigts glissaient aisément dans sa fente, pour titiller son clitoris.
Sa stupeur était totale. Voir son curé se branler en regardant deux jeunes faire l’amour. Elle n’aurait jamais imaginé cela ! Elle monta doucement les marches, sans faire de bruit, et arriva derrière le curé sans qu’il ne l’ait entendu arriver.
- « C’est beau, n’est-ce pas ? », lui murmura-t-elle à l’oreille.
- « Mais, qu’est-ce que je fais ? Qu’est-ce qu’il m’arrive ? J’ai honte. », dit le curé en lâchant sa bite et en retirant les doigts de son cul.
- « Il ne faut pas. », lui dit ma mère. « Regardez, je fais la même chose, en vous voyant caresser votre sexe. »
Le regard du curé se posa, alors, sur la main de ma mère dans sa culotte. Sa robe, relevée, était coincée par sa ceinture, et permettait de voir les mouvements de branlette de ma mère.
Les yeux du curé étaient exorbités. Il voulait voir ! Il n’avait jamais vu de chatte de femme, réellement, seulement dans des revues porno.
Quand Maman lui saisit la queue à pleine main, il lui arracha presque sa culotte, tant il lui descendit avec vigueur. Il regarda son sexe, avec étonnement et se mit à genoux devant. Il écarta les jambes de Maman, et fourra sa langue dans sa chatte mouillée.
Maman saisit à deux mains la tête du curé et l’appuya fortement sur sa chatte, l’obligeant à fourrer sa langue encore plus loin. Le curé était au bord de l’étouffement, le nez et la bouche enfouis dans la fente de ma mère.
Il avait attrapé sa bite et se la branlait fortement.
C’est le moment que choisit ma mère pour pousser vigoureusement la porte de ma chambre, montrant aux yeux ébahis d’Éric, le curé en train de lui lécher le minou et de s’astiquer le manche.
- « Eh bien ! », dit celui-ci, fortement, pour être entendu de tous, « Il a un beau goupillon, ton curé. J’aimerais bien qu’il vienne me bénir le trou du cul. »
Entendant cela, le curé abandonna la chatte de ma mère, me poussa, et présenta son pieu sur la rosette de mon ami. Il l’encula d’un seul coup, profondément. Éric gueula !
Ne voulant pas laisser le curé, seul prendre son pied, je fis asseoir Maman devant le bureau, en bonne position pour faire une fellation à Éric. Ce qu’elle fit immédiatement, en embouchant le sexe de mon pote, jusqu’au gosier.
Dans le même temps, je me positionnais derrière le curé qui limait profondément le fion de mon ami, et de mes deux mains, j’écartais largement ses fesses, pour mettre en valeur son trou du cul, que je m’empressais de remplir avec ma bite.
A ce moment, nous entendîmes le curé crier :
Auteur
- « Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pardonne-moi, pour ce que je fais ! Mais c’est tellement bon ! Oui, vas-y, baise-moi bien le cul, pendant que je bourre ton copain. Et que c’est beau, de vous voir, vous Madame, sucer le garçon en vous fourrant la chatte avec vos doigts. Si vous le voulez bien, il faudra m’y accueillir, aussi, car cela ne m’est jamais arrivé. »
Maman intervint à cet instant :
- « Je vous interdit de jouir comme ça ! Je veux vous voir vous branler devant mes yeux et tous les trois me cracher votre jus sur le visage. »
Ce que nous fîmes, et Maman le visage dégoulinant du sperme des trois acteurs, nettoya la queue de chacun, en la suçant et en aspirant les dernières gouttes du précieux nectar.
Merci pour ce nouveau chapitre tres sexcitant.
Vivement la suite.
vraiment excellent et en mème temps comico délirant ,trop bon le cureton qui se fait le dépucelage de sa vie
Ça a l’air de beaucoup te plaire :)
@vac14 tu as un admirateur de plus
☺