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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 4 La toilette de Tata

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 4

La toilette de Tata

Le lendemain matin, au réveil, j’ai été déçu de ne pas sentir la présence de Tata ou de Tonton, dans mon dos. Mais, le fait de repenser à ce qui s’était passé les deux matins précédents, j’avais le sexe bien raide et très dur. Les images de ma tante dans la douche, avec son gode, et le rappel du goût du sperme de Tonton sur mes lèvres me donnaient envie de me branler. Ce que je fis, en tirant fort sur ma bite, comme le faisait mon oncle, et en me mettant pour la première fois un doigt dans le cul. Quel plaisir intense ! Cela n’a pas duré longtemps, je me suis aspergé le ventre d’un foutre bien chaud et bien épais.

Je me suis levé, j’ai mis mon pyjama, et je suis descendu à la cuisine. Tonton n’était pas là. Seule, Tata était attablée devant son petit déjeuner. Elle était rayonnante dans une petite nuisette qui moulait ses seins à la perfection. Son décolleté laissait voir la naissance de ses seins, et la transparence de sa tenue montrait les aréoles de ses seins ainsi que ses tétons qui pointaient. Quand elle se leva, pour préparer mon déjeuner, je vis que sa nuisette couvrait à peine le haut de ses cuisses, et que je voyais clairement la raie de ses fesses, quand elle me tournait le dos. Quand elle vint déposer mon bol de chocolat, je ne pus m’empêcher de regarder avec insistance le triangle noir qui se distinguait sous le voile transparent de sa nuisette. Elle glissa sa main sous la table et la posa sur mon pyjama, à hauteur de ma bite qui s’était dressée, et me dit :des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 4 la toilette de tata

Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 4 La toilette de Tata
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  • « Eh bien, petit cochon, prendre ton petit déjeuner avec ta Tata, te fait un effet certain. »
  • « Dépêche-toi de déjeuner, nous avons un programme chargé, ce matin. », ajouta-t-elle.

Le petit-déjeuner expédié, en parlant de choses et d’autres tout à fait anodines, elle dit :

  • « Allez, hop ! À la douche ! Et pour gagner du temps, nous allons la prendre ensemble. »

À ces paroles, mon imagination se mit à tourner à cent à l’heure, et ma queue, à commencer à se redresser toute seule. Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous sommes montés à l’étage, et rentrés dans la salle de bains.

Tata a fait passer sa nuisette par-dessus sa tête, ce qui m’a permis de constater quels beaux seins elle avait, et moi j’ai retiré mon pyjama. Gêné, malgré tout, car ma bite était déjà toute droite, dressée fièrement. Nous sommes entrés dans la douche. C’était la première fois que mon corps nu frôlait le corps d’une femme nue. Tata sourit et me dit :

  • « Prends la grosse éponge, mets du savon liquide dessus, et c’est toi qui vas me savonner. Je te ferai la même chose après. »

Rien qu’à entendre cela, j’ai cru que j’allais jouir, avant même de l’avoir touchée.

Elle s’était tournée, je commençais donc par lui passer l’éponge sur les épaules et dans le haut du dos. Je faisais cela doucement et je l’entendis gémir :

  • « Humm, c’est bon tu fais cela tendrement et avec douceur. J’imagine déjà comment cela va être après. »

Je lui demandais de se retourner, et elle me présenta ses seins, dont les tétons pointés excitaient mon envie de les sucer. Je savonnais tendrement sa poitrine et son ventre, et pris d’une envie subite, je laissais tomber l’éponge, et pris ses seins à pleines mains. Je les caressais, je les massais, et instinctivement ma bouche alla suçoter ses tétons durcis, et je les croquais avec douceur. Tata gémissait de plus en plus.

Je la fis se retourner à nouveau, et sans reprendre l’éponge, j’entrepris de laver ses jambes. Parvenu au haut de ses cuisses, je me mis à genoux derrière elle, et avec mes mains savonneuses, je pelotais chaque fesse en faisant coulisser mes pouces au fond de sa raie. J’insistais sur sa rosette, qui exerçait un réel attrait sur moi. N’y tenant plus, j’approchais ma bouche de son petit trou, et je le léchais avidement. Tata geignait de plus en plus fort :

  • « Oh, oui, c’est bon ! Lèche-moi, petit cochon, ta langue est trop bonne ! »

À cette invite, j’écartais le plus possible de mes deux mains ses deux globes bien fermes, et j’enfonçais le plus loin possible ma langue dans son trou du cul. Elle hurla :

  • « Encore ! Encore ! Mais devant aussi ! », dit-elle en se retournant et en m’offrant sa vulve, les deux jambes écartées.

Toujours à genoux, devant ces deux lèvres gonflées de cyprine et rosies de plaisir, je me jetais comme un affamé sur son petit bouton qui ne demandait qu’à être suçoté, aspiré, titillé par ma langue. Entre deux aspirations de son clito, je léchais avidement la fente de ses petites lèvres et j’enfonçais ma langue dans sa chatte. Tata hurlait maintenant :

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  • « Continue ! Continue ! C’est trop bon, petit salaud ! Mais branle-toi en même temps. Je veux te voir te tirer fort sur la queue, pendant que tu me suces. »

Je ne demandais pas mieux, et j’ai donc empoigné ma bite et je la branlais fort, tout en continuant ma dégustation de Tata.

À cet instant, j’aperçus dans un coin de la douche, le gode énorme, dont j’avais vu l’usage qu’en faisait ma tante. Je l’attrapais aussitôt, et commençais à le frotter sur la chatte de Tata.

  • « Oh, non ! » dit-elle, « Oh, non ! Pas ça ! ». Mais, en disant cela, elle avait attrapé ma main qui tenait le gode, et la dirigeait vers sa chatte. Quand le gland énorme en caoutchouc se posa sur l’entrée de sa vulve, elle hurla :
  • « Fourre-la-moi, loin ! Oui, bourre-moi le cul avec. Ouiiiiiiiiiiiiii ! »des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 4 la toilette de tata

J’étais au bord de la jouissance, mais je ne voulais pas décharger encore. Alors, je lâchais ma queue, et pris le gode à pleine main, et je l’enfonçais d’un seul coup dans la chatte de Tata. Je lui faisais faire des va-et-vient de plus en plus profonds. Et, en même temps, je léchais son bouton d’amour. Après avoir bien humecté deux de mes doigts, j’ai passé ma main dans son dos, et j’ai approché mes doigts lubrifiés de son petit trou. Je les y ai enfoncés d’un seul coup, très loin.

Ma bouche sur son clito, mes doigts dans son cul, et le gode dans sa chatte, ma tante a hurlé :

  • « Salaud ! Salaud ! Je jouis ! Je jouis fort ! Salaud ! Je n’ai jamais joui aussi fort ! »

Et j’ai été arrosé par un jet sortant de sa chatte. Je ne savais pas qu’une femme pouvait éjaculer.

Ses jambes tremblaient. Elle m’a relevé. Elle m’a serré dans ses bras, et s’est excusée d’être trop fatiguée pour me rendre le plaisir que je lui avais donné.

À ce moment, elle a ajouté :

  • « Mais, tu ne t’es pas aperçu que Tonton était rentré, et nous regardait depuis un bon moment. »

Je me retournais et aperçus Tonton, qui culotte baissée, branlait sa grosse queue, avec entrain.

Il s’approcha, la bite à la main, et me dit :

  • « Bravo, petit, tu as fait beaucoup de bien à Tata, tu mérites une récompense ! »

Je le vis s’agenouiller devant moi, commencer à me caresser les couilles, et d’un coup, approcher sa bouche de ma bite. J’étais stupéfait. Il commença par me décalotter entièrement avec ses doigts, et puis avec sa langue il léchait ma bite sur toute sa longueur. Puis, il la goba totalement, et il me la pompait en l’enfonçant au fond de sa gorge. Il accélérait ses mouvements, puis les ralentissait. Je sentais la jouissance monter dans mes reins.

C’est ce moment-là, que choisit Tata, pour écarter mes fesses et m’enfoncer son doigt, mouillé de sa cyprine, dans le cul. Je n’eus pas le temps d’avertir Tonton que j’allais jouir. Je déversais tout mon jus dans sa bouche, et je l’entendis grogner de plaisir, tout en voyant sa main s’activer sur sa grosse bite, et de gros jets de jute jaillir de sa queue, et se répandre sur mes jambes. Sans réfléchir, je me penchais en avant, et en récoltais une bonne partie sur mes doigts, que je portais à ma bouche et que je suçais goulûment.

Déjà, je me demandais, avec impatience, quelles nouveautés, mon oncle et ma tante, avaient prévu de me faire découvrir dans les jours à venir.

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5 Commentaires

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  • À chaque fois que je lis la suite de cette histoire ça me procure une très grosse envie de branlette et aussi d’etre a la place du mec
    Hmmmmm j’en ai la bite route serrée dans mon boxer alors que je suis (et mis cette histoire) au taf …
    Quel chanceux
    Vivement la suite

  • Rien ne t’oblige à laisser tes mains au repos, en lisant mes histoires. Je dis tes mains, parce que je ne sais pas si tu es droitier ou gaucher… Même moi, qui les connais bien, pour les avoir écrites, elles me font toujours le même effet, et obtiennent toujours le même résultat…
    A bientôt, pour la suite.

  • Oui mais qui va sodomisé qui ? Tel est la question…
    Es ce tonton qui va sodo son neuveu ?
    Ou le neuveu sur le tonton
    Et même le neuveu avec la tante…

    Un mixte des 3 serait trop fort et trop excitant

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