Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 5 — Préparation de la soirée « bridge »
En dehors de ces séances « d’initiation aux jeux sexuels », mes vacances avec mon oncle et ma tante se
déroulaient tout à fait normalement. C’est-à-dire, qu’ils n’étaient ni l’un ni l’autre, obnubilés par le
sexe. Leur vie au quotidien se déroulait, on ne peut plus normalement. Nous allions nous promener,
nous baigner à la piscine municipale, et toutes les choses ordinaires d’une vie simple.
Pour moi, bien évidemment, les choses n’étaient pas pareilles. J’étais avide de découvrir ce monde des
plaisirs, auquel ils m’avaient initié. Et chaque fois que l’occasion se présentait, l’axe central de mes
occupations était ma bite. L’après-midi, après le déjeuner, quand ma tante et mon oncle allaient se
reposer, lors d’une petite sieste, durant laquelle je n’entendais pas de soupirs de jouissance, je montais
dans ma chambre, je me mettais tout nu sur mon lit et je me branlais en repensant à ce qui m’était
arrivé depuis le début des vacances. En n’oubliant pas, ce que Tonton m’avait fait découvrir, de branler
mon petit trou, avec mon majeur, bien humecté de ma salive. Je découvrais même de nouvelles
manières de me faire jouir.
Un jour, par hasard, ayant monté ma tasse de café, et la petite cuiller, dans ma chambre, pour ma sieste,
je commençais à me branler, comme je le faisais habituellement. La petite cuiller en inox attira soudain
mon attention. Ma queue, n’étant pas comme celle de Tonton, circoncise, elle est largement pourvue de
peau qui recouvre mon gland, sur laquelle j’aime tirer fort pour me décalotter.
Ma queue était bien dure, raide et recalottée, je saisis la petite cuiller et y mis de la salive. Je décalottais
mon gland vivement jusqu’à la base et je posais le réceptacle de la cuiller, rempli de salive, sur le frein de
mon prépuce. Puis, je me suis recalotté, en maintenant la cuiller entre mon gland et la peau qui le
recouvrait. La fraicheur du métal, allié à la sensation procurée par cette incursion, m’amenèrent au bord
de la jouissance. Je me calmais un peu, puis j’entrepris de faire tourner la cuiller dans son fourreau tout
autour de mon gland. L’inévitable arriva rapidement. Je déchargeais abondamment. La cuiller, étant bien
placée, se remplit de mon jus. Une telle occasion ne pouvait pas se laisser passer. Je l’ai mise dans ma
bouche et je me suis délecté avec gourmandise de ce dessert inhabituel.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, Tonton, dans son pyjama, qui dans la position assise, faisait
s’entrouvrir la braguette de sa culotte, et laissait apercevoir les poils de son pubis ainsi que la naissance
de sa queue, qui même au repos semblait très grosse, me dit :
– « Ce soir, nous recevons nos voisins et amis avec qui nous jouons au bridge. Nous allons donc
préparer le salon en conséquence, car nous jouons sur une grande table, car nous trouvons les
tables de bridge trop exiguës. »
Ne voyant pas les raisons de ces explications, je n’y prêtais pas plus attention, malgré le sourire en coin
de Tata.
– « Si tu ne connais pas ce jeu, » reprit Tonton, « Cela sera l’occasion pour toi de le découvrir. Je
compte donc que tu restes avec nous, plutôt que d’aller regarder la télévision. »
Sur ces paroles, Tata, dans une nuisette, encore plus excitante que celle d’un matin précédent, intervint :
– « Bon, nous avons de la préparation à mettre en place. Tous à la douche ! »
Je demandais, alors :
– « Qui y va en premier ? »
Le sourire de Tata aurait dû m’éclairer sur ses intentions…
– « Tous les trois ensemble. Cela te pose un problème ? »
– « Non, bien sûr ! » lui répondis-je, en sentant déjà ma queue se redresser dans mon pyjama.
Nous sommes montés, et comme je devais d’abord passer aux toilettes, quand j’arrivais dans la salle de
bains, Tata et Tonton étaient déjà sous la pomme de douche qui coulait. Tonton avait enlacé Tata, et
l’embrassait sur la bouche. Je voyais son gros sexe, déjà gonflé, tout dur, sur le ventre de ma tante qui s’y
frottait.
Me voyant entrer dans la pièce, elle me dit :
– « Ne sois pas timide, enlève ton pyjama, et viens nous rejoindre. »
Je m’exécutais, et la bite bien raide, je les rejoignis sous l’eau. Tonton et Tata m’enlacèrent tous les deux,
et me serrèrent contre eux. La queue de Tonton et la mienne se frôlaient et se frottaient sur le ventre de
Tata et aussi l’une contre l’autre. J’étais radieux ! À ce moment, Tonton me dit :
– « Tata n’a jamais voulu que je l’encule, car elle a peur que je lui déchire le petit trou avec ma
grosse bite. Mais toi, l’autre jour, quand tu lui as fait sa toilette, tu lui as mis deux doigts dans le
cul, et elle a adoré. Elle a bien regardé ta queue, et elle pense que cela ne doit pas être différent
de la largeur de tes deux doigts. »
– « Cette nuit, elle en a rêvé. Elle voyait tellement bien la scène dans son rêve, que cela l’a
réveillée et que sa chatte était toute trempée. Tu penses bien qu’elle ne pouvait pas se
rendormir comme cela, et comme je dormais, elle s’est branlée. Mais tu sais bien que quand elle
jouit, elle crie. Cela m’a réveillé et elle m’a tout raconté. Comment dans son rêve, elle avait vu
que je la baisais et que toi, en même temps, tu l’enculais, elle m’a dit que c’est ce qu’on ferait
sous la douche, ce matin. »
– « Voilà, maintenant que tu as tout compris, Tata va se mettre à genoux et nous sucer la bite à
tous les deux, pour qu’elles rentrent bien dans ses petits trous d’amour. »
Tata s’agenouilla et prit la bite de Tonton dans sa bouche. Elle le pompait à fond, et en même temps, elle
me branlait en tirant très fort sur ma bite. Je vis Tonton mouiller son doigt dans sa bouche, et me
doutant de ce qui allait se passer, je tendis mes fesses en arrière, pour qu’il puisse bien rentrer son doigt
dans mon cul, très loin. À ce moment, Tata lâcha la bite de son mari et engloutit la mienne dans sa
bouche. Elle la glissait entre sa joue et ses dents. C’était sublime, car en même temps, Tonton me limait
le cul avec son doigt. Je leur demandais d’arrêter, car j’allais jouir, et je voulais absolument décharger
mon foutre dans le cul de Tata. Je n’avais jamais enculé personne (un copain de mon quartier, Éric, me
l’avait proposé, mais je n’avais pas voulu, bien que je l’aie regretté par la suite, et que je me branlais
souvent en pensant à ce moment).
Voulant participer pleinement à la scène, j’ai attrapé la grosse bite de mon oncle, et je l’ai amenée à
l’entrée de la chatte de ma tante. Il a poussé fort, et il est rentré tout entier d’un seul coup. Tata s’est
mise à hurler, et elle m’a commandé de lui fourrer ma bite dans le cul aussitôt.
Je suis passé derrière elle, j’ai décalotté ma queue, et craché sur mon gland. Je voyais sa petite rosette,
car elle tendait les fesses en arrière. J’ai posé mon gland à l’entrée de son petit trou, et contrairement à
Tonton, j’ai poussé tout doucement. Mon gland était rentré et je faisais de petits va-et-vient, sans
l’enculer davantage.
– « Salaud ! Salaud ! Baise-moi ! Fous-la-moi au fond ! Salaud, encule-moi à fond ! »
Tata hurlait, alors que mon oncle lui pilonnait la chatte. Elle voulait être enculée à fond.
Je retirais mon gland de sa rosette, et crachait à nouveau un jet de salive dessus.
– « Ah, non ! Ne sors pas ! Reviens ! Fourre-la-moi entièrement, très fort ! »
Tata n’en pouvait plus, et me suppliait de l’enculer.
Je posais à nouveau mon gland sur sa rosette, et d’un puissant coup de reins, j’entrais en entier dans son
cul. Elle hurla, et ses jambes plièrent sous elle. Elle n’était maintenue debout que par les deux pieux qui
la pilonnaient.
Dans son cul, derrière la mince membrane qui nous séparait, je sentais la grosse bite de Tonton qui
s’activait dans sa chatte.
Tata n’en pouvait plus de jouissance :
– « Ahhhhhhhhh ! Salauds ! Salauds ! Vous êtes des salauds à me faire jouir comme ça. Mais j’aime
vos bites. Baisez-moi ! Baisez-moi ! Bon Dieu, je suis une salope. Faites-moi gueuler ! J’aime trop
ça, que vous me baisiez comme ça ! Aaaaaaaaaaaah ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! Encore !
Encore ! »
À ce moment-là, j’explosais, et je sentis mon jus partir en grandes rasades dans son cul. Elle le sentit
aussi, et dit à son mari, qu’elle voulait le sucer pour qu’il décharge son foutre dans sa bouche. Il ne se fit
pas prier, et je l’entendis gémir, quand elle le pompa jusqu’à la dernière goutte.
Ce à quoi, je ne m’attendais pas, c’est qu’elle se retourne et qu’elle m’embrasse sur la bouche, en me
faisant partager la semence de Tonton. Sa langue tournant dans ma bouche, me faisait déguster le
sperme de mon oncle… Inoubliable.
Il fallut bien se résoudre à préparer la soirée de réception des amis, même si nous étions fatigués.
Vraiment trop bon
Encore tout excité de ces chapitres de cette histoire taboue. Vivement la suite …
Comme le dit @zeus2802 , c’est trop trop bon hmmm