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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 6 La soirée « bridge »

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 6 – La soirée « bridge »

Nous avions préparé la réception des amis de ma tante et de mon oncle sous l’œil attentif aux moindres détails de Tata.

Nous avions installé la table, les chaises et le parasol dans le jardin, puisque Tonton avait prévu un barbecue.

Puis nous étions passés au salon, car c’est ici, que devait se tenir la partie de cartes prévue. Je me suis étonné de la forme de la table. En effet, j’avais vu sur internet qu’une table de bridge était carrée et pas très large. Celle de Tonton et de Tata était ronde, avec un diamètre assez large. Le plateau ne possédait pas de rebords en dessous, et seulement 4 pieds très fins le supportait.

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Tata avait mis un tapis très épais et moelleux sous la table, et les quatre chaises disposées autour de la table étaient très confortables, avec une assise en coussin de velours et un dossier souple qui épousait bien les mouvements du dos. Les volets du salon avaient été tirés à l’espagnolette et laissaient filtrer une légère lueur diffuse. Le canapé avait été repoussé le long du mur, protégé par un paravent translucide qui laissait entrevoir sa forme sans le voir clairement. Une lampe d’ambiance sur pied, était allumée à côté, recouverte d’un foulard de soie qui tamisait la lumière.

des vacances incestueuses inoubliables chapitre 6 la soirée « bridge »Tous ces préparatifs m’interpellaient, mais je faisais confiance au sens de l’hospitalité de Tata, pour penser qu’elle souhaitait que ses invités se sentent bien, durant la soirée. Ce qu’elle m’avait confirmé, d’ailleurs, en me disant :

  • « Nous aimons avec ton oncle que nos amis, quand ils viennent, se sentent comme chez eux, en toute liberté, et totalement à l’aise de vivre des moments agréables. »

Son sourire aurait dû m’alerter sur ses sous-entendus.

En début de soirée, leur couple d’amis est arrivé. Un très beau couple, bien assorti, lui grand et svelte, et elle, grande également et mince. Ils devaient être un peu plus jeunes, que Tata et Tonton, mais ils avaient dépassé la quarantaine. Ma tante et mon oncle les accueillirent, les prirent dans leurs bras et leur firent la bise. Ils me présentèrent comme leur cher neveu, en vacances pour quelques temps, et ils me les présentèrent à leur tour, Sylvie et Marc. Tous les deux, me firent la bise, Sylvie, en me saisissant la tête avec ses deux mains et en m’embrassant les joues. Lui, Marc, me prit dans ses bras et me fit la bise sur les deux joues.  La deuxième bise dérapa un peu, et je sentis le contact de ses lèvres sur la commissure des miennes. Je n’y prêtais pas attention, pensant à une maladresse.

La tenue vestimentaire de mon oncle et de ma tante, ainsi que celle de leurs amis, me surprit un peu, mais nous étions en été, et il faisait beau et chaud. Tata m’avait bien conseillé de mettre quelque chose de léger et de pratique à porter, « genre legging », avait-elle précisé.

Les hommes portaient des chemisettes légères et flottantes pas entièrement boutonnées, ce qui laissait voir leur poitrine. Ils avaient, tous les deux, un short, genre colonial, très large, flottant autour de leurs hanches.

Tata portait une robe légère, dont le haut très moulant, avec un décolleté assez large, laissait voir le galbe de ses seins, qui à mon avis n’étaient pas compressés par un soutien-gorge. Le bas, cependant lui, était très évasé, et flottait autour des cuisses de Tata, bien au-dessus du genou.

Sylvie, portait une robe différente, très moulante, et montant très haut sur ses cuisses. Le haut de sa robe galbait sa poitrine, qui semblait très importante et son décolleté en carré profond, laissait clairement voir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Le tissu élastique tendu de sa robe laissait pointer les mamelons de ses seins lourds. Le bas de sa robe moulait des fesses bien fermes, et le devant collait tellement à son corps, que je voyais presque la forme de son pubis. Le bas de sa robe ne descendait que quelques centimètres en dessous de son sexe, et laissait à penser que si elle ne portait pas de string, elle devait être nue en dessous. Je préférais ne pas trop regarder, car suivant les consignes de Tata, j’avais mis un tee-shirt en haut, et en bas, un legging, sans slip dessous, et mes formes étaient visibles. Ce n’était donc pas le moment de se mettre à bander.

Tata proposa de passer à l’apéritif. Elle avait prévu une soirée entièrement au vin rosé du pays, afin d’éviter des mélanges d’alcool, pour garder les idées claires. « Pour le bridge », avait-elle dit, avec un petit sourire, qui ne m’avait pas échappé.

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L’apéritif et le barbecue expédiés, Tata invita tout le monde à venir au salon, pour la partie de bridge.

Quand nous sommes rentrés au salon, je fus surpris par la pénombre qui y régnait. Cela faisait une ambiance « cosy », chaleureuse et intimiste.

Ils établirent les équipes, Tonton avec Marc, et Tata avec Sylvie. Ils m’invitèrent à prendre une chaise, et commencèrent à m’expliquer des règles du jeu, auxquelles je ne comprenais rien, obnubilé que j’étais par les seins de Sylvie. Tout ce que je compris, c’est qu’à chaque tour de la partie, un joueur « faisait le mort » et ne jouait donc pas.

La partie débuta, et à chaque mouvement que Sylvie faisait, je voyais ses seins qui bougeaient, et je sentais que je ne pourrais pas me retenir de bander toute la soirée. Il me semblait que les cartes n’étaient pas le centre d’intérêt principal des participants, mais je ne comprenais pas pourquoi.

Je compris quand Tata se retrouva à être à la place du « mort ». Elle se leva, pour aller boire un verre, et quand elle revint, je la vis avec surprise s’accroupir et passer sous la table, sans que les autres joueurs semblent s’en apercevoir. A ce moment, j’ai senti sa main me saisir les jambes et tirer dessus. Je compris que je devais la rejoindre sous la table. Je ne me fis pas prier davantage et me retrouvais à quatre pattes à côté de Tata sous la table.

Quel spectacle !des vacances incestueuses inoubliables chapitre 6 la soirée « bridge »

La bite toute raide de Tonton était sortie de son short, et la main de Sylvie la caressait. Sylvie, dont les cuisses étaient largement écartées, et laissaient voir que je ne m’étais pas trompé. Elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était entièrement épilée, à l’exception d’une petite touffe de poils ras au bas de son ventre.

La bite de Marc, était également sortie de son short. Il bandait ! Je vis que son sexe était moins long que le mien et un peu moins gros. Tata approcha sa bouche de cette belle petite bite, et elle l’engloutit.

Je ne savais plus où regarder, tellement le spectacle était beau. Des gens, très polis, qui faisaient semblant de jouer aux cartes, mais qui n’étaient là que pour baiser.

Tata ne me laissa pas le temps de trop réfléchir, car elle baissa mon legging pour que ma bite puisse être à l’aise, elle me saisit par les cheveux et approcha ma tête de la chatte de Sylvie. Avec une envie vorace, je me mis à lui brouter la chatte, alternant les coups de langue sur son clito, et le léchage de bas en haut de sa vulve qui dégoulinait de cyprine. Je voyais qu’elle continuait à branler Tonton. Et j’entendais les bruits de succion que faisait Tata, en pompant Marc.

A ce moment, je sentis que Sylvie reculait sa chaise. Elle m’attrapa par les cheveux, me tirant de dessous la table. Je la suivis. Elle se dirigea vers le canapé, derrière le paravent translucide, et arrivée là, elle enleva sa robe, fit sauter mon tee-shirt et mon legging, et me fit asseoir dans le canapé, sur le bord. Elle se mit à genoux, devant moi, entre mes jambes écartées. Elle prit ma bite, et la plaça entre ses deux seins. Puis elle prit ses seins à deux mains et leur fit faire des va et vient. Elle me branlait la bite avec ses gros seins. Je vis à cet instant, Tata arriver et s’allonger sur le dos. Elle se glissa de manière à avoir sa tête entre les jambes que Sylvie avait écartées. J’ai vu Sylvie s’asseoir sur la bouche de Tata. Sylvie continuait à me branler avec ses deux gros nichons superbes, en se faisant bouffer la moule par Tata, qui se branlait en se mettant quatre doigts dans la chatte et se titillait le clito avec son autre main.

Je n’en croyais pas mes yeux, et je me concentrais pour ne pas juter dans les seins de Sylvie. Je voulais jouir le plus tard possible. C’est à ce moment que j’ai distingué au travers du paravent, que Tonton et Marc étaient allongés tête-bêche sur le tapis et se faisaient un 69 avec gourmandise. Le fait que le paravent soit translucide et non pas transparent donnait un côté surréaliste à cette scène. Les femmes ne les voyaient pas, mais devaient entendre les forts bruits de succion qu’ils faisaient en se suçant la bite, et aussi les grognements de satisfaction qu’ils émettaient à se faire pomper le dard.

Un peu plus tard dans la soirée, après que Sylvie, tout en continuant de me branler avec ses seins, avait penché la tête pour prendre mon gland dans sa bouche et me faire éjaculer entre ses lèvres, et que tous les participants aient pris leur pied, chacun à leur façon, Tata offrit un rafraîchissement, à base de ginseng et de gingembre. J’en déduisis qu’apparemment la soirée n’était pas terminée.

Effectivement, après des moments tendres où tout le monde se caressait, je vis d’un coup la bite de Tonton, reprendre de la vigueur. Quelle santé, ce Tonton. A un petit signe de sa part, je vis Tata sortir de la pièce, et revenir quelques instants plus tard avec un ustensile que je n’avais jamais vu. Marc me prit par la main, m’entraina et me dit :

  • « Viens, tu verras, le spectacle est plus bandant par là. »

Il me fit asseoir sur le canapé et s’assit à côté de moi. Sa bite avait, également retrouvé une belle raideur. La mienne aussi, d’ailleurs.

Derrière le paravent, je vis Tata enfiler une sorte de ceinture, sur laquelle était fixé un gode de dimensions respectables (pas aussi gros que celui de sa douche, mais pas loin). Marc m’expliqua :

  • « C’est un gode-ceinture. Bien apprécié des lesbiennes ! »

Je vis alors, Sylvie se mettre à quatre pattes, et Tonton, dans la même position venir derrière elle.

  • « Il va l’enculer ! », me dit Marc, « Elle adore ça ! »

des vacances incestueuses inoubliables chapitre 6 la soirée « bridge »Effectivement, malgré le flou provoqué par le paravent, je vis nettement le gros dard de Tonton pointer sur la rondelle de Sylvie, et y entrer progressivement sur toute sa longueur. J’entendais Sylvie couiner que c’était bon, et Tonton lui dire que son cul était étroit, en la limant vigoureusement. Mais le plus surprenant restait à venir.

Je crus que ma bite allait éclater, quand je vis Tata se mettre à quatre pattes derrière Tonton, et poser le bout de son gode sur la rondelle de mon oncle. Il dut le sentir et l’attendre, car il recula vivement d’un coup ses fesses, et se trouva empalé sur la bite de Tata.

Chaque fois que d’un coup de rein Tonton rentrait sa bite dans le cul de Sylvie, je voyais la bite en caoutchouc de Tata sortir du cul de Tonton. Et, l’inverse se produisait également à chaque pénétration de l’un ou de l’autre.

Ils criaient tous les trois leur plaisir.

C’est le moment que choisit Marc, pour me prendre la bite dans sa main et commencer à la branler avec une douceur surprenante. Tout en me branlant, il mit sa main derrière ma tête, et m’attira vers lui. Il n’était pas brutal, mais son geste amenait irrémédiablement ma tête au niveau de son sexe. Il le frotta sur mes joues et sur mes lèvres, puis glissa son doigt dans ma bouche. Je compris ce qu’il attendait, et bien que réticent, car je n’avais jamais sucé de bite, j’entrouvris mes lèvres, et il y glissa son gland. Ce n’était pas désagréable, et comme son sexe n’était pas d’une taille imposante, je pris du plaisir à l’engloutir entièrement et à le sucer comme me le faisait ma tante. Je découvris le plaisir de faire une pipe à un homme, et aussi à y prendre goût, en variant ma succion. Tantôt, je titillais son frein avec la pointe de ma langue, tantôt j’enfonçais sa bite loin dans ma gorge, tantôt je me contentais de suçoter son gland avec le bout de mes lèvres.

  • « Pour une première fois, tu es un expert. », me dit-il en gémissant de plaisir

Tout en me disant cela, il continuait de me branler doucement.

Alors, il sortit sa bite de ma bouche, se mit à genoux devant le canapé entre mes jambes et tira pour que mon cul soit au bord de l’assise. Je me laissais faire, bien que anxieux de savoir ce qu’il voulait.

Alors, il releva mes jambes le plus haut possible. Mon cul et ma bite étaient à portée de sa bouche. Il commença par me lécher les couilles et la bite, puis il s’intéressa à ma rosette, il me lécha les fesses, autour de mon trou du cul, puis pointa sa langue dessus, et enfonça autant qu’il put sa langue dans mon cul. Quelle sensation étrange et agréable. Alors, il mouilla son doigt et me le mit dans le cul. Voyant que j’aimais cela, il le retira et l’associa à un deuxième doigt. Deux doigts qu’il mouilla abondamment de salive dans sa bouche. J’appréhendais la suite, mais comme de son autre main, il me branlait toujours aussi doucement, je ne résistais pas.

Il pointa ses deux doigts à l’entrée de mon cul et caressa ma rosette, puis doucement, il les introduisit lentement. Passé le picotement de l’introduction, je pensais, « Un doigt, c’est bien ! Deux, c’est mieux ! ».

Il allait et venait en mouvements doux dans mon cul, tout en continuant à me branler. Et je me surpris à gémir comme une femelle en chaleur. J’eus envie, à ce moment-là, de quelque chose de plus long, de plus gros et de plus dur dans mon cul. Je m’entendis lui dire une chose que je n’aurais jamais imaginé quelques temps plus tôt :

  • « Baise-moi ! Fourre-moi ta bite dans le cul ! J’en ai envie ! Encule moi fort ! »

Il me regarda, d’abord l’air étonné, puis saisit à deux mains ma tête et approcha ses lèvres des miennes. Je ne m’étais pas trompé à son arrivée. Il avait cherché ma bouche. Il m’embrassa, rentrant sa langue dans ma bouche, et nos langues se cherchaient, se touchaient. Je n’avais pas embrassé beaucoup de filles, jusqu’à lors, mais là, c’était un vrai baiser, mais avec un…homme.

Il se pencha de nouveau vers mon cul, après m’avoir demandé de remonter mes jambes le long de mon torse et de les tenir avec mes bras.

Ma rosette lui était toute offerte, sur le bord du canapé. Il se pencha et cracha sur mon trou du cul, puis il lubrifia sa queue avec sa salive et amena son gland sur ma rosette. Je ne sais pas si c’était la première fois pour lui aussi, ou si c’était la première fois qu’il dépucelait le trou du cul d’un ado, mais il semblait aussi intimidé que moi.

Il commença à pousser doucement. Je sentis le bout de son gland forcer l’entrée de mon cul, puis, je compris que tout son gland était rentré. Je n’avais pas eu mal. Il ressortit alors et lubrifia à nouveau sa bite, mais sur toute la longueur, cette fois.

Je sentis son gland se poser à nouveau sur ma rosette, et j’eus envie qu’il me rentre toute sa bite dans le cul. Je criais fort :

  • « Vas-y ! Baise-moi ! Défonce-moi le cul ! J’en meurs d’envie ! Encule-moi loin, putain !»des vacances incestueuses inoubliables chapitre 6 la soirée « bridge »

Il poussa doucement son gland, et quand il vit que celui-ci était rentré, d’un coup de rein violent, il me pénétra d’un coup, en entier. J’hurlais de plaisir, je n’avais jamais ressenti une impression pareille. Il me pilonnait le cul et j’avais l’impression que mon trou du cul mouillait comme la chatte d’une femme. Je couinais, je geignais de plaisir, de bonheur.

Sa main ne restait pas inactive. Il me branlait, mais cette fois-ci, vigoureusement. Je sentis le plaisir monter, et je déchargeais sur mon ventre une quantité de foutre incroyable.

Dans le même temps, je l’entendis crier, et je sentis la chaleur de son sperme dans mon ventre. Il se vidait dans moi. Il retomba sur moi, et chercha mes lèvres immédiatement pour un baiser d’une fougue qui montrait tout le plaisir que nous avions pris tous les deux.

Dans cette affaire, nous avions complètement zappé les autres. En relevant la tête, nous nous aperçûmes qu’ils étaient là, tous les trois à nous regarder, avec des yeux pleins d’envie.

  • « Eh bien, mon garçon, tu as de bonnes prédispositions, pour l’amour ! », me dit Tonton.

La soirée se termina avec une coupe de champagne, et surtout la promesse d’une nouvelle soirée de « bridge », avant que je ne reparte chez mes parents.

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