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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 7 – Marc demande de l’aide

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 7 – Marc demande de l’aide

Un matin qui suivait cette formidable soirée, nous étions à la table du petit-déjeuner, avec mon oncle et ma tante, quand le téléphone sonna. Tata se leva et alla décrocher.

  • « Ah ! Bonjour Marc. Comment ça va ? »
  • « ……… »
  • « Attends, je lui demande, »
  • « Chéri, Marc demande si tu peux lui donner un coup de main, ce matin. Il a un boulot à faire dans son garage. »
  • « Non, tu sais bien que ce matin, nous avons rendez-vous chez le garagiste. », lui répondit Tonton
  • « Mais, lui », dit-il en me regardant « S’il veut bien, il pourrait y aller. »

Je ne répondis rien, en faisant celui qui se désintéressait de la conversation, mais mon esprit tournait déjà à cent à l’heure, à l’idée de retrouver Marc.

  • « Marc, nous ne pouvons pas, mais notre neveu peut te rendre ce service, s’il est d’accord. À vélo, il en a pour 5 minutes à être chez vous. » dit ma tante.
  • « Pourquoi pas. » dit Marc, « cela n’est pas dur et cela ne sera pas long. »

Tata, ayant mis le haut-parleur, j’entendis la réponse de Marc, et je me retins de dire qu’au contraire, j’espérais bien que ce serait très dur et très long. Bien évidemment, je ne pensais pas au travail.

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  • « Bien, écoute, s’il est d’accord, il sera chez toi dans 30 minutes. Sinon, je te rappelle. »

Et Tata raccrocha le téléphone.

  • « Tu veux bien rendre service à Marc. », me demanda-t-elle.des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 7 – marc demande de l’aide
  • « Si ça vous fait plaisir, et que cela lui rende service, je veux bien y aller. » dis-je, en cachant bien mon enthousiasme.
  • « Va te préparer, pendant que je sors le vélo. » me dit Tonton

Je montais dans ma chambre, et pris un soin tout particulier à choisir ma tenue. Un « marcel » très moulant pour le haut, et un « cycliste » très collant, en bas. Sans slip, évidemment.

Tonton m’attendait dehors, auprès du vélo, et m’expliqua comment me rendre chez Marc et Sylvie.

Je me mis en route, sans rouler trop vite. Je ne voulais pas arriver en sueur, et essoufflé.

Marc était dans sa cour devant son garage. Je compris immédiatement ses intentions en le voyant. Il était torse nu, et portait un short genre « running ». Très ample, très évasé, et surtout fendu très haut sur les côtés.

  • « Bonjour, » me dit-il, en me faisant la bise, sans équivoque. « Merci d’être venu. Cela me rend bien service, j’ai des cartons encombrants à déplacer dans le garage. Et je ne peux pas le faire seul. »
  • « Cela me fait plaisir de te rendre ce service », lui répondis-je, en rajoutant, « Sylvie n’est pas là ? »
  • « Si, mais elle dort encore. C’est une grosse dormeuse. »
  • « Allez ! Au boulot ! » me dit-il, en se dirigeant vers le garage.

Dans celui-ci, au fond, était posée une échelle, devant des étagères montant jusqu’au plafond.

Marc m’expliqua :

  • « Je vais monter sur l’échelle attraper les cartons qui sont là-haut, et je te les passerai. Tu feras attention, ils contiennent des objets fragiles. »
  • « OK, allons-y ! »

Marc grimpa sur l’échelle, et moi, en bas, levant les yeux, je vis ce que j’espérais secrètement. Il ne portait pas de slip sous son « running », et je voyais parfaitement ses couilles et sa bite. Cette dernière, au repos, bien sagement. Je n’espérais qu’une chose. C’était de pouvoir en profiter prochainement. Très prochainement. J’étais déjà excité à cette idée, et je sentais mon « cycliste » commencer à se gonfler.

Marc était tout à son labeur, et me passait les cartons. Chaque fois que j’en prenais un, je profitais du spectacle de sa bite et de ses couilles.

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Tout à coup, j’entendis comme des gémissements.

  • « Marc, Sylvie doit être malade. Je l’entends gémir. »
  • « Viens avec moi. » me dit Marc « Allons voir ce qui se passe. »

des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 7 – marc demande de l’aideNous rentrons dans la maison, traversons la cuisine, la salle, et nous arrivons devant la porte de leur chambre grande ouverte.

Sylvie est là, sur son lit, allongée sur le dos, entièrement nue, les cuisses largement écartées, et les genoux relevés. Ses yeux sont fermés, mais sa chatte épilée, mis à part la petite touffe de poils au bas de son ventre est largement ouverte et emplie par trois doigts de sa main gauche qui s’activent en va et vient profonds, pendant que de sa main droite, entre son pouce et son index, elle fait rouler son clito. Le spectacle est hallucinant !

Marc me saisit le bras, et me mettant la main sur la bouche, m’entraine dans la cuisine.

  • « C’est fréquent ! » me dit-il « Même en dormant, elle se branle. »
  • « Elle dort ? » mon étonnement n’était pas feint. « Tu es sûr ? »
  • « Absolument. » me répondit-il. « Allez, on retourne au boulot. »

Cette scène avait fait des effets sur moi. Mon « cycliste » présentait maintenant une grosse bosse, certifiant que ma bite n’attendait qu’une chose. Etre libérée, pour pouvoir se dresser fièrement.

Marc remonta sur son échelle, mais de mon poste d’observation, au pied de celle-ci, je vis que le spectacle n’avait pas ému que moi. La bite de Marc, sans être bandée, avait atteint une grosseur, qui laissait penser qu’elle attendait qu’on s’occupe d’elle. Au voyage suivant que je fis, je vis que Marc avait écarté ses jambes, et que ses pieds étaient maintenant chacun le long des montants de l’échelle. Il avait les bras en l’air et ne me voyait pas. Je posais alors ma main sur son mollet et lentement, je la remontais sur sa cuisse.

Je le sentis frémir. Alors, je glissais ma main dans son « running », et saisit sa bite bien dressée, à pleine main. Il grogna de plaisir.

  • « Descends d’un barreau. » lui dis-je

A cette hauteur, sa bite se trouvait juste au niveau de ma bouche. Son « running » descendit rapidement sur ses chevilles, et sa queue se retrouva bien au chaud, dans ma bouche. Je la pompais avec avidité, en lui malaxant les couilles d’une main.

Je mouillais mon doigt de salive, et trouvais le chemin de son trou du cul. Il s’arc bouta en arrière pour me faciliter le travail. Mon doigt caressa sa petite rosette, et brusquement, je l’entrais en totalité dans son cul. Il hurla de plaisir. Ma langue ne restait pas inactive. Elle titillait le frein de son gland, pendant qu’avec ma bouche je le pompais ardemment.

  • « Arrête ! Arrête ! Je vais jouir ! » gueula-t-il, « Oh, c’est trop bon ! Je jouis ! Aaaaaah, putain que c’est bon ! »

Effectivement ma bouche était pleine de son sperme. J’en avalais goulûment une partie, mais en gardais un peu pour la surprise que je lui réservais.

Il descendit de son échelle, les jambes flageolantes, et en bas, je l’accueillis en le prenant dans mes bras et en lui roulant une pelle, pleine de son foutre.

Il commençait à peloter ma bite par-dessus le « cycliste », quand on entendit :

  • « A table, les hommes ! » C’était Sylvie qui nous appelait ? Nous n’avions pas vu passer le temps.
  • « Tu ne perds rien pour attendre ! », me dit Marc, en me claquant les fesses.

Sylvie nous attendait dans la cuisine. Elle avait simplement passé un petit déshabillé, très court, et totalement transparent sur sa nudité. Dans l’état où j’étais, cela n’arrangeait pas les choses.

Marc s’absenta, pour aller aux toilettes.

Sylvie s’approcha de moi, mit sa main sur mon sexe, et me dit :

  • « J’ai adoré l’autre soir, quand tu m’as bouffé la chatte, sous la table. C’était très bon ! Et j’ai surtout adoré te pomper la queue et que tu m’inondes la bouche de ta jute. J’adore ta bite. »

En disant cela, elle serrait ma bite au travers du « cycliste ». J’ai cru que j’allais décharger dans mon short.

Je retirais sa main, pour éviter les dégâts. Elle rajouta :des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 7 – marc demande de l’aide

  • « Après le déjeuner, tu laisseras Marc retourner travailler tout seul. Tu resteras avec moi. Tu verras, tu ne le regretteras pas. Pour Marc, laisse-moi faire, je m’en occupe. »

Le déjeuner, léger, se déroula sans encombre. Après le café, Marc lança le signal du départ :

  • « Allez, garçon, on y retourne. Y’a du boulot. » dit-il en lançant un regard appuyé vers ma bite.
  • « Attends ! Laisse-le se reposer un peu ! Il est en vacances ! Vas-y tout seul, il te rejoindra après sa sieste. »
  • « Mais, où va-t-il faire la sieste ? » s’interrogea Marc
  • « Ben, sur mon lit, à côté de moi, gros béta ! »

Sylvie n’avait pas laissé d’alternative à ce qu’elle venait de dire.

Marc dit « OK » et retourna dans son garage. Sylvie se dirigea vers sa chambre, et je l’entendis s’allonger.

Je rangeais la cuisine quand j’entendis Sylvie me dire de la rejoindre.

  • « Viens t’allonger, je finirai ça tout à l’heure ! »

J’entrais dans la chambre, Sylvie était allongée sur le dos, elle avait gardé son déshabillé. Ce qui m’excitait encore plus.

  • « Ah, non, » me dit-elle, « Tu ne vas pas t’allonger sur mon lit avec tes vêtements poussiéreux. Enlève-les »

« Cycliste » et « marcel » se retrouvèrent par terre, et moi, nu comme un ver.

Je m’allongeai sur le dos, les yeux fermés, à côté de Sylvie. Intimidé, je ne bandais pas.

Je sentis qu’elle se tournait vers moi, sur le côté, et son souffle dans mon cou. Sa main vint se poser doucement sur ma poitrine, et la caresser lentement. Puis, entre son pouce et son index elle prit à tour de rôle mes tétons et les fit rouler entre ses doigts. J’étais électrisé, et je sentis ma bite commencer à se dresser.

Elle me pinçait, maintenant les mamelons. C’était douloureux, mais aussi, très bon, à la fois.

Sa main descendit doucement sur mon ventre. Elle était très douce, dans ses gestes.

Ma bite était maintenant dressée fièrement, et toute raide. Elle attendait impatiemment d’être prise, serrée dans une main ferme, branlée, voire brutalisée, mais pas ignorée, comme elle semblait l’être alors.

  • « C’est bon d’attendre, non ? » me dit Sylvie, « Ça fait partie du plaisir, et ça rend la jouissance plus forte. »

Elle avait beau jeu de me dire cela. Moi, j’attendais qu’elle empoigne ma queue, et qu’elle la branle fort.

Sa main descendit sur mes cuisses, et elle la passa tout autour de mes couilles et de mon sexe, sans jamais les toucher directement. Simplement quelques effleurements ! Je ne tenais plus. Je pensais que ma bite allait exploser.

  • « Tu as déjà fait l’amour à une femme ? » me demanda-t-elle.
  • « Non, jamais. Tata ne veut pas. Elle veut seulement que je l’encule. Je rêve de fourrer ma queue dans la chatte d’une femme. »

A ces paroles, je sentis son souffle sur mon ventre, et je sentis qu’elle embouchait ma bite. Elle me pompait à fond, en malaxant mes couilles.

Elle se redressa :

  • « C’est ton jour de chance, aujourd’hui ! »
  • « Tu vas pouvoir tremper ta queue dans ma chatte, car moi, j’ai toujours rêvé de me prendre la bite d’un puceau dans la moule, et de le faire jouir, comme il n’a jamais joui. »

En disant cela, elle se remit sur le dos, les cuisses largement écartées, et elle m’attira sur elle.

Elle prit ma bite entre ses doigts et tira violemment dessus pour la décalotter jusqu’à la base. Elle frottait mon gland dans sa fente qui mouillait abondamment, et quand mon gland touchait son clito, elle le tapait fort sur son bouton. Puis elle reprenait le massage de sa fente.

des vacances incestueuses inoubliables  chapitre 7 – marc demande de l’aideCela dura longtemps. Elle couinait, gémissait que s’était trop bon. Puis elle posa mon gland à l’entrée de sa chatte, et d’un violent coup de reins, elle se redressa, faisant entrer toute ma bite d’un seul coup dans son minou.

J’adorais cette sensation d’être dans un fourreau brulant et humide. Ce n’était pas la même chose que dans le cul de Tata.

Je la limais fort, poussant ma bite toujours au plus loin dans sa chatte.

Puis, je sortis ma bite de son minou, j’attrapais ses jambes et je les remontais le long de son buste, et je soulevais un peu son cul. Je m’agenouillais à moitié entre ses jambes. La vue que j’avais était impressionnante. Sa vulve, largement ouverte et suintante de cyprine, et juste en dessous, son trou du cul.

J’approchais ma queue de l’entrée de sa chatte, et d’un coup puissant, je la rentrais tout entière, bien au fond, puis je la ressortis entièrement. Je recommençais ce petit manège plusieurs fois. Puis la dernière fois, je pointais mon gland sur son trou du cul. Je m’y enfonçais d’un seul coup. Je ressortais pour encore mieux m’enfoncer dans sa chatte, et puis dans son cul, et puis dans sa chatte, et à nouveau dans son cul.

Sylvie hurlait :

  • « Salaud ! salaud ! Tu me baises par les deux trous ! Et tu dis que t’as jamais baisé. Mais tu mens ! Encore ! Encore ! Baise-moi comme une salope ! Je jouis ! Je jouis ! Fourre-la moi bien loin dans le cul ! C’est bon ! Aaaaaaaah, c’est trop bon. »

A ce moment, je sentis un doigt qui forçait mon trou du cul. Je me retournais et je vis Marc. Nous ne l’avions pas entendu entrer. Il était à poil, en train de se branler.

  • « Eh bien, mon salaud, tu as l’air de lui faire du bien. » dit-il, en me limant le cul avec son doigt
  • « Oh, oui, il me fait du bien, beaucoup de bien ! » dit Sylvie « Regarde comme il me fourre bien mes deux trous, avec sa belle bite. Aaaaaaah, je jouis encore ; Encore ! Encore ! Baise-moi comme une grosse salope que je suis. »
  • « Je ne vais pas rester à vous regarder sans rien faire. » dit Marc, en montant sur le lit, et en se mettant derrière moi. Je tendis mon cul, en continuant de baiser Sylvie, parce que je savais ce qui allait m’arriver.

Marc se pencha et posa sa bouche sur mon trou du cul. Il enfonça sa langue dans mon cul. Je criais ; tellement c’était bon d’avoir une langue d’un côté, et la queue dans une chatte de l’autre. Marc se redressa et cracha sur son gland. Il l’approcha de ma rondelle et le posa dessus ; et d’un coup de rein puissant, il fourra sa bite dans mon cul. Quelle sensation ! Enculé par le mari, côté pile, et la bite dans la chatte de sa femme, côté face.

Nous criions comme des fous tous les trois, et nous baisions ensemble, à grands coups de reins.

J’entendis Marc gueuler :

  • « Putain, je vais jouir ! C’est trop fort. »

En même temps, je sentis son sperme inonder mon cul. Il n’en fallait pas plus pour que j’explose aussi. Je lâchais tout mon foutre dans le minou de Sylvie qui remuait le cul et hurlait qu’elle aimait ma bite, et qu’elle la voulait encore.

Nous sommes tombés tous les trois, en sueur, essoufflés, côte à côte, en riant. Nous étions heureux.

Dans les bras les uns des autres, nous nous embrassions, nous nous caressions. Je sentis le sperme de Marc couler de mon cul, J’envoyais mes doigts entre mes fesses et je les ramenais plein du foutre de Marc. Je mis ma main entre nos trois bouches, et trois langues affamées se jetèrent dessus, pour les lécher à qui mieux-mieux.

Sylvie en fit autant, en fourrant ses doigts dans sa chatte, et nous les proposa à déguster. Chose que personne ne se fit prier pour exécuter.

Un peu plus tard, quand je suis rentré chez mon oncle et ma tante, ils m’ont regardé tous les deux, et Tonton m’a dit :

  • « Eh bien, pour un petit boulot qui ne devait pas durer longtemps, et ne pas être trop dur, tu me semble bien fatigué. »

Il ne dû pas voir, le petit sourire en coin, que m’adressa Tata.

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