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Des vacances incestueuses inoubliables Chapitre 8 La visite chez le médecin

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Des vacances incestueuses inoubliables

Chapitre 8 – La visite chez le médecin

Les vacances passaient trop vite, et je redoutais de devoir rentrer chez mes parents.

Un matin, au réveil, je ne me sentais pas bien, avec un mal au ventre lancinant.

Je descendis rejoindre ma tante et mon oncle, dans la cuisine. En me voyant arriver, Tata me dit :

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  • « Houlà, ça n’a pas l’air d’aller, mon garçon ! Qu’est ce qui se passe ? »
  • « Je ne sais pas, j’ai mal au ventre… », je n’ai pas eu le temps d’en dire plus, pris d’une envie de vomir, que j’allais satisfaire aux toilettes, aussitôt.

des vacances incestueuses inoubliables chapitre 8 la visite chez le médecinQuand je suis revenu dans la cuisine, Tata me dit :

  • « Tu ne vas pas rester comme ça. On va aller voir notre médecin ? Je n’ai pas envie que tes parents disent qu’on t’a rendu malade. »

Le trajet en voiture fût court ; et nous sommes arrivés au cabinet médical du médecin de famille de Tonton et Tata. Nous étions les premiers.

La porte du cabinet de consultation s’est ouverte, et le médecin est sorti.

Une femme !!!

Je ne sais pas pourquoi je m’étais imaginé que le médecin de ma tante serait un vieux monsieur. Mais là, ce n’était pas le cas. Une jeune femme, 30 ou 35 ans, jolie et souriante.

  • « Bonjour, Madame et le jeune homme. Alors, qu’est-ce qu’il lui arrive au grand garçon en vacances chez tonton et tata ? »

Mon oncle avait téléphoné, pendant notre trajet, pour avertir de notre venue.

Je me sentais infantilisé par ses propos, mais si elle avait su à quoi je pensais en la voyant, je pense qu’elle n’aurait pas employé le terme de « grand garçon ».

Elle était vêtue d’une blouse blanche très moulante, qui laissait penser qu’elle ne devait pas avoir grand-chose dessous. Les 3 bouton-pression du haut de sa blouse n’étaient pas attachés et laissaient apercevoir la naissance de deux seins, qui semblaient tenir tout seuls. Le bas de sa blouse n’était pas boutonné entièrement, et dévoilait un peu ses cuisses au-dessus du genou.

  • « Allez, entrez ! En slip, jeune homme, on va examiner tout ça. »

Je chassais de mon esprit la vision de ce médecin, que j’aurais, personnellement, bien voulu ausculter moi-même, et me déshabillais, et m’allongeais sur la table d’auscultation.

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Tata était assise devant le bureau du toubib, et son regard inquiet était tourné vers nous. En effet, il n’y avait pas de paravent qui séparait la pièce.

La toubib s’approcha de la table, le stéthoscope autour du cou, et commença à m’ausculter. Je sentais son odeur qui fleurait bon. Elle ne sentait pas un parfum commercial quelconque. Non, elle sentait LA FEMME.

J’essayais d’orienter mes pensées vers des choses moins agréables, pour ne pas être surpris par une érection, bien mal venue. D’autant plus que mon mini-slip ne m’aurait pas permis de cacher grand-chose. Je pensais donc à la rentrée scolaire, cela calma immédiatement mes ardeurs.

Elle commença par m’ausculter avec le stéthoscope, le cœur, les poumons. Pour faire cela, elle était collée à la table et je sentais son ventre toucher mon bras. Elle me fit asseoir, et écouta mes poumons dans mon dos. Puis, à nouveau allongé, elle prit ma tension. Tension que je sentais monter, car son ventre sur mon bras me torturait l’esprit.

  • « Tout va bien, côté cœur, poumons. », dit-elle, « Et la tension est bonne. Voyons voir ce ventre, maintenant. »

Elle commença sa palpation en haut du ventre, en me demandant à chaque fois si cela me faisait mal. A ma réponse négative, elle faisait sa palpation plus bas. Ses doigts arrivèrent au niveau de l’élastique de mon slip, et dans sa recherche du point de ma douleur, elle les introduisit sous l’élastique.

Je commençais à ne plus pouvoir penser à la foutue rentrée scolaire.

La toubib se tourna vers ma tante et lui dit :

  • « Je ne sens rien d’anormal, donc par pure précaution, je vais faire un touché rectal. »

J’entendis avec angoisse ma tante lui répondre :

  • « Faites ce qu’il faut, Docteur. Je veux le rendre à ses parents en bon état. »des vacances incestueuses inoubliables chapitre 8 la visite chez le médecin
  • « Allez, garçon, on fait tomber ce petit slip, ravissant, entre nous soit dit. »

Je ne savais plus où me mettre. Je sentais ma queue commencer à durcir, et à l’idée qu’elle me mette un doigt dans le cul, je ne maîtrisais plus mes émotions.

Je retirai mon slip et me retrouvais nu sur la table, sous l’œil amusé des deux femmes, qui se doutaient certainement de mon tourment.

  • « Allez, on replie et on écarte les jambes. » me dit le médecin

Elle avait enfilé un gant en latex et mis un peu de vaseline au bout de son doigt.

Quand elle me l’introduisit dans le cul, elle me regarda bizarrement, et j’en déduisis qu’elle avait compris qu’elle n’était pas la première à passer par là. Et que, peut-être, il y avait eu plus gros que son doigt à visiter cet endroit. A partir de cet instant, son attitude changea. Elle se colla encore plus sur mon bras, et ses frottements me semblèrent plus fréquents qu’auparavant.

Son doigt entré dans mon cul, je sentis qu’elle le faisait aller et venir en tournant légèrement. Cela me parut étrange, mais c’était bon.

Elle retira son doigt et dit :

  • « Rien de particulier. Donc, je suis désolée, mais je vais devoir examiner ton sexe, pour voir si le problème ne vient pas de là. »

Je vis Tata ouvrir des yeux dans lesquels je crus lire du plaisir, et je la vis se déplacer légèrement, pour ne rien perdre du spectacle.

Il me semblait que la toubib avait le souffle plus court, et je voyais sous sa blouse, ses seins se gonfler plus vite que quelques instants auparavant.

Elle mit une paire de gants en latex, et s’approcha entre mes cuisses. Elle prit mes boules dans ses deux mains et commença à les palper. Le résultat ne se fit pas attendre. Je vis avec effroi ma bite commencer à se redresser, et tout à coup finir raide et bien droite devant les yeux du toubib.

  • « Eh bien, dis donc, apparemment, ce n’est pas de ce côté qu’il faut chercher un problème. », me dit la toubib, avec une voix que je trouvais plus rauque que précédemment.
  • « Rien de particulier aux testicules. Je vais donc regarder ton sexe. »

J’avais envie de lui crier :

  • « Oui, regarde le si tu veux, mais surtout, touche-le, branle-le, fais-lui du bien. »

Bien sûr, je n’ai rien dit. Mais j’attendais l’examen impatiemment.

Elle saisit délicatement la peau de mon prépuce, et commença doucement à tirer vers le bas pour me décalotter. J’ai eu l’impression qu’elle y prenait plaisir. Tata n’en loupait pas une miette.

La toubib approcha alors sa tête de ma bite, j’ai cru qu’elle allait la sucer. Mais non, elle voulait simplement voir mon gland de plus près. Elle remit un peu de vaseline sur son doigt, et m’en enduisit le gland. Ensuite, elle me recalotta et me redécalotta brusquement. Elle recommença ce mouvement plusieurs fois de suite, à mon grand plaisir.

  • « Est-ce que tu te masturbes ? » me demanda-t-elle « Souvent ? »

J’étais gêné, et je ne répondis pas.

  • « Alors, », me dit-elle, « Réponds-moi. Il ne faut pas être gêné. Tout le monde le fait. Ce n’est pas grave, tu sais. C’est même un excellent anti-stress. »

Je lui répondis :

  • « Oui, je me branle. Souvent, même, Et parfois, plusieurs fois par jour. »
  • « Et, tu te fais jouir à chaque fois ? Et tu éjacules beaucoup, à chaque fois ? »
  • « Ah, oui, je m’en mets plein sur le ventre à chaque fois. Mais… »
  • « Oui, mais quoi, … ? qu’est-ce que tu veux dire ? »
  • « Ce matin, j’ai pas pu me branler et décharger. »
  • « Ok, j’ai compris, je vais te donner un traitement. » me répondit le toubib, dont je voyais les seins se gonfler de plus en plus vite. Je les voyais d’autant mieux qu’un quatrième bouton s’était dégrafé, et laissait voir, sans aucun doute, qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.

Sur ces mots, elle saisit ma bite à pleine main et me décalotta à fond. De la vaseline dans le creux de sa main, elle me branla sans faire coulisser la peau sur mon gland. Seul le rond qu’elle formait avec ses doigts montait et descendait sur ma tige. Que c’était bon.

des vacances incestueuses inoubliables chapitre 8 la visite chez le médecinA cet instant, je laissais glisser mon bras le long de la table, et mis ma main sur son genou. Elle écarta les jambes et je remontais le long de sa cuisse, pour m’apercevoir, o surprise, qu’il n’y avait pas de culotte sous sa blouse. Mes doigts atteignirent sa fente qui était toute trempée. Je ne m’étais pas trompé. Elle avait conduit son auscultation pour en arriver là. J’entrais deux doigts dans sa chatte, et, dans ma position, il m’était facile avec mon pouce de lui titiller le clito.

Je vis à ce moment-là, ma tante qui avait tourné sa chaise vers nous, culotte sur les chevilles en train de se branler. Cela m’électrisa. J’ai retiré ma main de la chatte du toubib, et j’ai fait signe à ma tante d’approcher. Quand elle fût proche de la table je lui fis comprendre par le regard ce que je voulais. Elle comprit rapidement ce que j’attendais, et s’assit par terre, le dos appuyé à la table. Elle attira la toubib vers elle et lui dégrafa les derniers boutons de sa blouse. Quel beau corps ! Des seins hauts et fermes et un petit minou, avec juste un léger duvet de poils. Elle lui écarta les jambes, et la chatte du médecin à hauteur de la bouche de ma tante, elle se mit à lui bouffer goulument le minou.

La toubib, qui ne s’attendait certainement pas à ça, couinait :

  • « Elle est belle ta bite. T’es bien monté pour ton âge. Je vais te la bouffer, ta grosse bite et tu vas me donner son jus dans le fond de mon gosier. Petit salaud, tu m’as bien eue. »

Puis reprenant son souffle :

  • « Ouiiiiii, toi, la tata, bouffe-moi bien le minou, avec ta langue, avec tes lèvres. Mais, je t’en supplie, n’oublie pas mon petit trou derrière. Il a faim, aussi. »

A la suite de ces paroles, elle se jeta sur ma bite et l’engloutit d’un seul coup dans sa bouche. Elle me pompait avec vigueur, tout en me pétrissant les couilles. Je guidai, alors sa main vers mon cul, pour pas qu’elle n’oublie pas de satisfaire aussi mon trou du cul. Le gant en latex allié à la vaseline fit que se furent trois doigts qui forcèrent l’entrée de mon cul.

Je ne tins pas longtemps à ce petit jeu, et je déversais tout mon jus dans le fond de sa gorge, comme elle me l’avait demandé. Je pense que Tata était également arrivée à ses fins, car en même temps qu’elle recevait mon foutre dans le gosier, la toubib se trémoussait du cul, et couinait, la bouche pleine.

Je pense que Tata avait également pris son pied, car je l’entendais marmonner :

  • « C’est trop bon ! Putain, que c’est bon ! »

Je vis alors qu’elle ne s’était pas oubliée. Elle s’était mis un écarteur gynécologique dans la chatte, et s’était branlé avec.

Une fois, rhabillés et revenus au bureau, la toubib nous dit :

  • « Je ne vous fais pas d’ordonnance. Le traitement réalisé ce jour devrait suffire. Toutefois, si les symptômes recommençaient, n’hésitez pas à revenir me consulter. »
  • « Cela fait 35 Euros. Consultation spécialisée. Mais, … remboursée par la Sécu. » dit-elle, en riant.

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