Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 9 – Les courses à l’hypermarché
- « Bon ! Messieurs, ce n’est pas la disette, mais il n’y a plus grand-chose dans le frigo. Il faut aller faire des courses. Je ne peux pas y aller avec vous, car j’attends la visite d’une amie. Je vous ai préparé la liste des achats à faire. »
Tonton me regarda et me fit une moue, signifiant son peu d’intérêt à ce genre de corvée.
Faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, nous chargeons les sacs à provisions dans le coffre de la voiture, et prenons la route de la ville d’à côté, où se trouve le centre commercial.
Le trajet se passe sans évènement majeur. Tonton n’est pas très bavard.
Nous arrivons au centre commercial et je me dirige vers le parc des caddies, pour en prendre un. Tonton me dit :
- « Attends, on va d’abord aller prendre un café. »
Nous entrons dans la galerie commerciale. Elle est immense, bordée de boutiques, et au fond, la grande surface, où nous irons faire les courses.
Tonton se dirige vers l’escalier roulant. Je le suis. A l’étage, je suis très étonné ; tout l’étage est occupé par des restaurants, et il y a même un cinéma.
Nous allons prendre un café, dans un bar. Il est situé au fond, juste en face du cinéma, et à côté des toilettes. Nous nous étonnons, avec Tonton, du nombre d’hommes qui rentrent dans les WC. Sans plus de commentaires.
Notre café bu, Tonton me dit :
- « Allez, corvée de courses, mais avant que tu ailles chercher un caddie, on va aller pisser un coup entre hommes. »
Je le suivis. Il entra dans la partie réservée aux hommes. Incroyable ! Il y avait une rangée d’au moins vingt urinoirs, séparés par une petite plaque, très peu large et très peu haute.
En face une rangée d’une vingtaine de portes de WC. Certaines fermées, d’autres ouvertes, et certaines entrouvertes. Tonton se met devant un urinoir et commence à uriner. Moi, j’observe et ce que je vois m’intrigue.
Aux deux urinoirs du fond, deux hommes sont côte à côte et regardent ce que fait l’autre. Leurs mouvements de bras ne laissent aucun doute, sur leur occupation. Ils se branlent.
Je me mets à l’urinoir à côté de Tonton, et je lui dis doucement :
- « Regarde au fond, à droite ! »
Il tourne la tête. Moi aussi. Et là, le décor avait changé. Le bras de chacun des hommes était passé de l’autre côté du petit paravent de séparation, et clairement, ils branlaient leur voisin.
Je regardais Tonton, et à ma grande surprise, en baissant les yeux, je vis qu’il commençait à bander.
- « Viens, » me dit-il, « On va voir ça de plus près. »
Sans remettre sa bite dans sa culotte, il s’approcha du fond de la salle. Je le suivis, mais en avançant je jetais un coup d’œil vers les cabines entrouvertes. Dans une cabine du milieu, je vis un homme, assez âgé, le ventre collé le long du mur. Je ne comprenais pas ce qu’il faisait. Je m’approchais, et là, j’ai compris. Dans la cabine d’à côté, un homme plus jeune était à genoux et suçait une bite qui dépassait du mur. J’ouvris quelques portes, et je vis que toutes les cloisons étaient percées d’un trou à hauteur de bite. J’allais appeler Tonton, quand je vis qu’il était au fond de la salle, entre les mecs et qu’il leur branlait la queue à tous les deux. Je n’en revenais pas. Mais tout cela commençait à m’exciter sérieusement. Aussi, j’entrais dans une cabine, baissais ma culotte, m’asseyais sur le siège et commençais à me branler.
A ce moment, j’entendis gratter à ma cloison. Je me baissais et regardais par le trou dans la cloison. Un homme se branlait dans la cabine d’à côté. Il était bien monté. Pas aussi gros que Tonton, mais pas loin.
J’ai passé deux doigts de son côté et j’ai gratté la cloison. Tout de suite, j’ai vu la bite s’approcher. J’ai retiré mes doigts, et la bite a traversé le mur et est arrivée dans ma cabine. Je ne la pensais pas si grosse. Quand je me suis mis à genoux devant, elle m’a aussitôt rempli la bouche. Elle avait bon goût. Elle n’était pas circoncise, donc je tirai sur sa peau pour décalotter son énorme gland.
J’entendais le mec à côté qui commençait à geindre. Ça devait lui faire du bien. Je le repris en bouche et m’activais à le pomper vigoureusement. L’effet attendu n’a pas tardé à se produire. Je reçus dans le gosier un geyser de foutre bien chaud, très salé, que je m’empressais de recracher dans la cuvette, ne voulant prendre aucun risque.
J’ouvris ma porte pour voir où était Tonton, et je vis les deux mecs qu’il avait branlé à genoux devant lui, et qui lui suçaient la bite à tour de rôle.
Je refermais ma porte et repris ma branlette, quand de l’autre cloison, également percée, jaillit une bite, moins grosse que la précédente, mais plus longue et surtout, … toute noire. Je n’en avais jamais vu.
Le gland était rose foncé, cela donnait envie de le sucer tout de suite. Ce que je fis avec application.
Je le fis tellement bien que j’entendis une voix me dire :
- « Amène ton petit cul, sur le trou. Je vais te le bourrer, te le défoncer. »
J’hésitais. J’avais peur des maladies dont on entendait parler. Je lui dis :
- « J’ai pas de capote, mets-en une, si tu en as.
- « J’en n’ai pas non plus, mais t’as rien à craindre. Allez, donne-moi ton cul. S’il est aussi bon que ta bouche, je vais bien jouir. »
L’envie que j’en avais était tellement forte, que je crachais sur mes doigts et me lubrifiais la rondelle avec ma salive. Je présentais mon trou du cul, à la hauteur du trou dans la cloison. J’entendis le black, à côté, me dire :
- « Elle est belle ta petite rondelle, dommage que je ne puisse pas y mettre ma langue avant. Mais, tu vas voir comme ma grosse bite va lui faire du bien. »
A ce moment, il pointa son gland sur mon trou du cul et poussa. Son gland, trop gros avait du mal à rentrer. Alors j’ai poussé fort mon cul sur la cloison. Il est rentré d’un seul coup, tout entier. Cela m’a fait mal, alors que la bite de Marc ne m’avait jamais fait souffrir. Il se mit à me limer comme un fou, et plus il me baisait le cul, moins j’avais mal, et plus le plaisir s’installait. Finalement, j’aurais presque préféré qu’elle soit plus grosse,encore.
Après quelques bons coups de bite, je ne ressentais plus que sa grosse bite qui m’emplissait le cul et me faisait du bien. J’aimais ça. Et j’en redemandais. Je m’entendis crier, comme Sylvie :
- « Encore ! Encore ! Bourre-moi bien mon cul de petite salope, avec ta grosse bite ! »
- « Tiens ! Tiens ! T’aimes ça, ma salope. » disait mon black, en donnant des coups de reins rageurs qui faisaient trembler la cloison.
Avec mes deux mains, je me branlais et me malaxais les couilles, quand la porte s’est ouverte, et qu’un autre black est rentré, en me disant.
- « Tu fais du bien à mon pote ! Pourquoi tu m’en ferais pas à moi aussi ? »
En disant cela, il baissa sa culotte, et je vis un sexe monstrueux. Plus gros que celui de Tata, dans sa douche. Il l’approcha de ma bouche et me força à ouvrir les lèvres. Il fourra son gros gland dans ma bouche et pris ma tête à deux mains et il me baisa la bouche, comme s’il avait baisé un cul.
J’avais deux énormes bites de black qui me baisaient ; une, dans le cul ; l’autre, dans la bouche. Mais le pire, c’est que j’aimais ça. Je couinais comme un goret qu’on égorge.
Je sentis au raidissement de la bite du premier black, qu’on était proche du dénouement. Effectivement, je le sentis vider toute sa semence dans mon cul, et il devait y en avoir une sacrée quantité, car j’avais l’impression qu’il n’arrêtait pas de se vider. Il gueulait ! Cela eut de l’effet sur son copain, car à son tour, il se vida, mais lui, dans ma bouche. Comme son pote, cela devait faire longtemps qu’il ne s’était pas vidé les couilles, car son sperme débordait de ma bouche, alors qu’il continuait à me baiser jusqu’au gosier.
Je crachais tout son jus dans la cuvette. Il rit, et me dit :
- « T’aurais dû l’avaler. C’est bon. Celui de mon pote, tu vas avoir du mal à le recracher. »
Le deuxième noir, celui qui m’avait enculé rentra à son tour dans la cabine. Ils étaient beaux, tous les deux, et jeunes. Mais plus âgés que moi. Le premier me dit :
- « Allez, on va pas être égoïstes. Tu nous as bien fait jouir, et sans te vanter, tu peux dire que t’es un sacré bon coup. On va te finir. Tu veux avec la main ou avec la bouche ? »
Je m’entendis leur répondre :
- « Avec vos quatre mains, mais avec un doigt dans le cul. »
Ils rirent, mais me branlèrent à la perfection, en me limant le trou du cul de leurs gros doigts, jusqu’à ce que je les éclabousse avec une belle éjaculation.
En partant, ils me dirent :
- « Si tu reviens, cela sera un plaisir de te revoir et de recommencer. »
J’avais la bite, le cul et la bouche endoloris, mais j’avais pris un pied phénoménal, et j’avais aimé ça.
Heureusement, dans leurs WC, les architectes avaient prévu des cabines avec lavabos. Je pus faire un brin de toilette.
Quand je sortis de la cabine, mon oncle n’était plus dans les WC. Je le retrouvais au bar devant un café.
- « T’en veux un ? » me dit-il, « Et, raconte. Tu as eu l’air de prendre ton pied. Je t’entendais crier. Moi, je me suis fait sucer par des experts, qui m’ont tiré tout mon jus. Il faut dire que je les avais bien branlés. »
- « Non, je ne vois pas ce que tu veux dire. Je suis allé aux toilettes, et j’étais constipé. Si j’ai crié, comme tu dis, ça doit être pour ça. »
Il éclata de rire, et me dit :
- « Tu es sûr que c’est en sortant que ça t’a fait mal ? C’est pas plutôt en rentrant. »
J’ai éclaté de rire, à mon tour.
- « Bien sûr, pas un mot de tout ça à ta tante…. Elle regretterait de ne pas être venue. »
Et, nous éclatâmes de rire tous les deux.
hum je kifferai sa
Hmmm pas mieux dit
Super histoire ! C’est agréable de suivre ces aventures sur plusieurs chapitres. Continue vivement la suite.