Romuald, en froid avec sa femme Lucette depuis quelques mois, font chambre à part. Las de cette situation, et surtout le manque de sexe qu’elle adore, elle décide de se rendre dans un club libertin, dans une ville assez éloignée de son domicile.
Elle arrive, l’ambiance est électrisante, les lumières clignent au rythme de la musique, quelques personnes, surement des habitués, se pressent sur la piste de danse.
L’atmosphère est pesante. Au bar, un jeune homme, Luc, observe la scène avec curiosité. Il est toujours fasciné par la vie nocturne, par ces moments où les gens se laissent aller, où les barrières s’effondrent, pour des orgies mémorables. Ce soir, il porte une chemise noire ajustée et un jeans décontracté.
Soudain, une silhouette se détache du lot, c’est Lucette qui prend place à, une table, elle attire les regards. Elle porte une jupe très courte, avec un corsage qui laisse entrevoir une partie du sillon qui sépare les seins, sa longue chevelure ondulée, s’ajoute à son charme presque irrésistible.
Luc sent son cœur s’emballer à la vue de cette beauté. Il décide de s’approcher. Bien déterminer, avec un sourire ravageur, il l’invite à danser.
Elle le dévisage et se lève. Il lui prend la main et l’entraine sur la piste. Il l’enlace, se colle à elle. Les deux et commencent à évoluer sur le plancher fraichement ciré. Les mouvements de Lucette sont fluides. Alex se laisse emporter par le rythme. Ils échangent quelques mots, souvent Luc la fait rire. Elle trouve le jeune homme bien sympathique, bien qu’il pourrait être son fils, mais elle a tant besoin se sexe que l’âge l’indiffère, elle se sent bien dans ses bras.
La soirée avance, les deux font plus ample connaissance, les lumières du club créent une ambiance presque féérique, transformant la piste de danse en un tableau vivant. Quelques personnes se frottent l’une contre l’autre, s’embrassent se caressent sans ce soucier des autres. La température monte dans les corps
Au fil des danses, ils se rapprochent, échangent des secrets et des rires. Chaque instant passé ensemble renforce une envie d’un lien plus intime. D’ailleurs c’est pour cela que les deux tourtereaux sont venus au club. Découvrant des points communs, cela les rapprochent encore plus.
Les pressions des bassins se font plus précises. Luc donne quelques petits baisers sur le cou de Lucette qui frémit, elle pousse un gros soupir lorsqu’il lui gobe le lobe de l’oreille et le suce délicatement. Sa vulve entre en ébullition. Elle sent sa culotte s’humidifier à grande vitesse.
Elle sent contre son ventre une érection qui pointe son nez. Mais les ondulations constantes des corps, elle prend beaucoup de volume. Lucette, prend plaisir à se serrer contre lui, elle veut bien sortir contre son ventre l’engin qui ne cesse d’enfler. Elle ravale sa salive en se disant que le bougre a de bons arguments a présenter. Il lui dit en frôlant ses lèvres avec mes siennes
-J’ai envie de toi, tu vois dans que état tu me mets, touche, ce n’est pas du toc !
Lucette sans hésiter, glisse sa main entre les deux ventres et saisit fermement le membre tendu, elle le presse et dit :
-En effet c’est du réel, c’est même très tentant !
Luc lui dit :
-Viens dans une alcôve, pour gouter aux joies du sexe, je vais te déglinguer comme une chienne !
En souriant elle réplique :
-Promesse, que de promesses, moi je suis gourmande, il faut m’en donner !
En disant cela, elle serre fortement la verge emprisonnée dans le pantalon de Luc, qui se raidit en grimaçant et dit entre deux souffles :
-Toi je sens que tu es une grosse salope , je suis sûr que nous deux nous allons délirer, allez viens !
Luc entraine sa proie dans une alcôve, dont une couche recouvre entièrement le sol. Ils se regardent un long moment, avant de s’embrasser fougueusement. Lucette prend l’initiative, elle déboucle la ceinture du pantalon de Luc, et le descend doucement. Au passage elle accroche le slip et l’entraine dans la descente. Elle découvre le ventre, puis tire d’un coup sec sur le pantalon. La verge bondit hors du pantalon comme un ressort qui se détend. Lucette est fascinée par l’engin qui oscille sur le bas-ventre de son futur amant. Une fois les vêtements sur le sol, c’est au tour de Luc d’effeuiller Lucette.
Avec douceur, il déboutonne son corsage, en dégage les épaules pour le faire tomber sur le grand matelas. D’un geste habile, il dégrafe le soutient gorge qui libère brutalement la poitrine généreuse de Lucette. Il regarde émerveillé, les mamelons épais, qui sont plantés au centre d’aréoles fortement grenelées. Il ne peut s’empêcher de les pincer, avant de s’attaquer à la jupe.
Il fait glisser le zip, et tire vers le bas le tissu, qui lentement découvre la culotte, il sourit en constatant qu’elle est mouillée. Il regarde intensément Lucette et lui dit :
-Tu dois être vachement bonne, toi !
Lucette ne répond pas, elle frissonne lorsque sa culotte descend doucement sur ses hanches pour finir sur la couche. Luc admire la fine toison humide qui cerne les grandes lèvres, passe doucement sa main dessus, et caresse délicatement le trésor, enfouit dans les poils souples.
Deux doigts s’insèrent entre les grandes lèvres, et montent à la recherche de la boule magique. Dans l’alcôve à côté, des gémissements monstrueux se font entendre. Une femme subit les assauts de deux mâles en ruts. les deux hommes la pilonnent férocement, en la faisant gémir comme un animal blessé. Le tempo est donné.
Luc saisit la proéminence de chair, et l’agite doucement en regardant Lucette dans les yeux. Elle serre les dents, se pince les lèvres et commence à agiter doucement son bassin. Elle ouvre les jambes encore plus, pour que son amant puisse œuvrer avec plus d’aisance. La boule enfle de plus en plus, entre les doigts agiles de Luc. Le coquin accélère, Lucette se met à geindre. Le branlage semble efficace, car Lucette en poussant un hurlement, explose de jouissance. C’est si violent qu’elle tombe a genoux face à son jeune amant. Son cœur bat la chamade, sa respiration est rapide.
Mais en voyant sur le bas-ventre de Luc, le manche plein de vie tendu, elle s’en empare, le décalotte rapidement et gobe le gland marbré. Elle suce et tète comme une vorace, Luc geint en se cambrant comme un pont. Il est vrai que Lucette est une chaude du cul, et là, elle le prouve en faisant à son amant une fellation monstrueuse. Sa bouche dévore le manche, qu’elle sent battre dans sa main. Elle fait des rotations de la tête en suçant le gland. Luc n’a jamais été sucé comme cela, il répète :
-Oh ma chérie, ce que tu es bonne, oh la vache je vais décharger, oh putain, oh putain, oui, oui, ça vient !
Il se cabre et, remplit ma bouche de la suceuse, en lui envoyant plusieurs jets se sperme. Lucette repousse son amant, et avale lentement les décharges successives qu’elle à reçue. Une fois qu’elle a tout avalée, elle ouvre la bouche toute grande pour montrer à son amant qu’elle a tout avalée. Il s’agenouille aussi, et l’enlace, il l’embrasse comme un fou en lui répétant :
-Tu es formidable ma chérie, je suis sur que tu capables faire de grandes choses. Il la bascule sur la couche, et lui gobe les mamelons qu’il maltraite férocement, mais cela ne déplait pas à Lucette qui geint de bonheur. A force de les martyriser, les bouts deviennent monstrueux. Les gémissements de Lucette excite Luc affreusement.
Il lui mordille les mamelons les étire avec ses dents, il s’avère que le jeunot et un bon amant efficace, car Lucette pâme, elle est sur une autre planète. Sa chatte rejette un filet constant de cyprine, qui inonde la couche protéger par un voile de plastique transparent. Enfin, Luc décide de la prendre. Il se place entre ses cuisses et place son mandrin contre la fente ruisselante. Il pousse son membre s’enfonce dans le conduit, naturellement lubrifier par l’abondante cyprine qu’il sécrète. Lucette s’accroche à son amant en geignant de plaisir. La bite puissante de Luc voyage en elle en prenant de la vitesse. Lucette souffle comme un dragon, elle agite son bassin au même rythme que son amant.
Luc est vigoureux, ses coups de boutoir sont redoutables et violents, à chaque coup, Lucette pousse un long gémissement. Une explosion de jouissance la fait hurler, elle grogne en s’agrippant à son amant, qui ne cesse de la défoncer sauvagement. Une seconde jouissance la fait cabrer, ces hurlements attirent des voyeurs. Le rideau s’ouvre brutalement un couple entre dans l’alcôve, les deux sont nus, la femme s’approche et commence à caresser le corps fébrile de Lucette, étrangement, elle ne repousse pas l’inconnue. Les mains douces de la femme qui parcourent son corps, la font frissonner.
Luc ne désarme pas, il s’acharne sur son amante en donnant des coups de reins terribles. L’homme s’avance à son tour, il s’agenouille près du visage de Lucette, et présente à ses lèvres, son engin bien calibré. Inconsciemment ou trop excitée, Lucette ouvre la bouche et gobe le gland violacé, elle le suce en faisant grimacer, il se cabre, en geignant. Elle le suce l’inconnu comme surement il ne l’a jamais était, le bougre marmonne. il s’accroche à la chevelure de Lucette, en poussant des : des :
-oui, oui, continue, c’est trop bon, Suzanne regarde comme elle me suce, oh putain que c’est bon.
Suzanne qui n’est autre que sa compagne, redresse la tête et observe le travail que fait Lucette sur la queue de son homme. Luc, enfin remplit le ventre de Lucette avec sa semence brulante. Il se retire, et regarde les deux inconnus qui s’acharnent sur Lucette. Mais contre toutes attentes, Suzanne se rue entre les cuisses ouvertes de Lucette, et lui aspire les grandes lèvres, elle les suce longuement, avant d’enfoncer sa langue dans le conduit gorgé de sperme. La femme aspire le jus comme une vorace. Entre deux succions Lucette gémit avant de reprendre la fellation. Suzanne lui gobe le clito et le dévore comme une affamée. Lucette défaille, ma femme et une sacrée dévoreuse de minou. Lucette repousse l’homme, et pousse un hurlement, une violente jouissance la fait cabrer. Suzanne reçoit en plein visage un jet de cyprine.
Les trois regardent Lucette se tortiller sur la couche, elle est haletante. Suzanne en regardant Lucette dit :
-Eh bien tu es sacrée jouisseuse, mon Dieu c’est la première fois que j’en vois une comme ça, tu as beaucoup de potentiel, il ne faut pas que tu le gâches, l’utilise le, à bonne escient, si tu veux, je peux lui présenter des personnes qui sauront te faire donner tout ce que tu as dans le ventre, je te promets des jouissances dont tu ne peux en soupçonner l’ampleur !
Lucette regarde la femme en fronçant les sourcils, et lui répond :
-C’est à envisager, je vais y réfléchir !
Enfin gavés de jouissances, ils décident de quitter le club pour profiter de l’air frais de la nuit. Suzanne et Lucette discutent, elles échangent les coordonnées.
Une fois chez elle, Lucette se jette sur son lit, elle est songeuse, elle repense à sa nuit de débauche. Elle se remémore les défonces profondes qui l’on fait jouir jusqu’à l’épuisement.
Sa nuit est agitée, mais au petit matin, elle prend une décision, le sexe l’emportant sur la raison. Elle appelle Suzanne, pour qu’elle lui présente ses fameux hommes. Un rendez-vous est pris.
Linsee
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