Lucette et Suzanne se retrouvent dans cet espace soigneusement préparé, une pièce illuminée par la lumière douce des bougies. Lucette, impatiente et pleine d’excitation, regarde quelques accessoires disposés sur une table en bois massif : menottes en cuir, plume douce, fouet élégant, et bandeau pour les yeux.
Paul et Édouard, deux amis de confiance de Suzanne, sont expérimentés dans le domaine du sexe des délires. Ils arrivent pour les guider dans cette nouvelle aventure. Paul, avec son sourire chaleureux, s’approche des deux femmes, ses yeux pétillants de complicité. Dit :
-Bonjour, mesdames Prêtes à explorer ce nouveau territoire ensemble ?
Sa voix inspire confiance, tandis qu’Édouard, à ses côtés, hoche la tête avec un regard encourageant. Dit :
– Nous allons faire de cette expérience quelque chose de mémorable !
Suzanne déjà plus familière avec l’univers du BDSM, hoche la tête avec enthousiasme. et répond :
Oui, nous sommes prêtes !
Lucette un peu plus nerveuse mais pleine de curiosité, se tourne vers Suzanne et dit :
-J’espère que je vais réussir à me détendre, je suis si nerveuse !
Paul, remarquant l’hésitation de Lucette, s’approche d’elle avec une attitude rassurante dit :
-C’est tout à fait normal de ressentir un peu d’appréhension. L’important, c’est que vous vous sentiez à l’aise. Nous allons prendre notre temps, Suzanne va bein vous préparer, nous lui faisons confiance !
Après un moment d’échanges, les protagonistes se mettent nus. Suzanne enlace Lucette, et l’embrasse fougueusement, rapidement elles roulent sur l’épais matelas qui se trouve à même le sol. La bouche vorace de Suzanne parcourt chaque parcelle de peau de son amante, qui commence à geindre. La vorace s’acharne sur ses mamelons pour mes faire durcir le plus possible. Mais lorsque que la bouche affamée se plaque sur son clito Lucette, ne peut retenir un gémissement de bête. Suzanne lui dévore ma boule sensible, avant d’enfoncer sa langue dans le conduit brulant. Les grognements que pousse la dévoreuse de minou, ressemblent à ceux d’un animal tombé dans un piège.
Lucette défaille, elle agite son bassin en geignant de plaisir. Paul est Edouard bandent comme des cerfs en ruts. Ils se caressent la verge en ronronnant en cœur.
Paul à un membre massif, très épais un véritable défonce cul, il est impressionnant. Celui d’Edouard et en forme de sabre fortement recourbé de fort calibre aussi, des couilles monstrueuses complètent les panoplies.
Lucette gémit, elle au bord de l’explosion. C’est le moment qu’attendait Paul. Il repousse la complice Suzanne, et prend place entre les jambes de Lucette. Il enduit la vulve de lubrifiant ainsi que sa verge. Il présente son monstre à la fente dégoulinante et pousse. Lucette se cabre en grimaçant, jamais un membre aussi colossal ne l’a pénétrée.
Elle serre les dents, sa chatte s’ouvre au maximum, petit à petit la verge s’enfonce dans la gaine distendue, en la faisant geindre de douleur. Bien que la vulve soit souple, elle à beaucoup de mal à recevoir la verge énorme. Paul est très patient, et sait comment s’y prendre. Lentement il enfonce son engin dans le ventre de Lucette qui croit mourir. Suzanne l’encourage tout en lui branlant le clito :
– Oui ma chérie, encore un petit effort et tu vas l’avoir toute en toi, oui, oui, ça rentre !
Malgré le branlage vigoureux, Lucette déguste. Elle grimace elle croit que sa chatte va éclater tellement elle est distendue. Enfin Paul touche le font, il reste un moment immobile, avant d’entreprendre un lent même très lent va-et-vient. Elle s’accroche à lui en haletant fortement. Ses yeux sont pleins de larmes. Peu à peu la douleur s’estampe, et lentement, elle commence a se détendre. le va-et-vient augment en rythme. la verge redoutable racle fortement les parois du vagin en arrachant à Lucette des râles rauques. Paul augmente encore la vitesse, ses coups de reins deviennent plus violents et plus profond. Lucette s’accroche à lui en geignant de plus en plus fort.
Soudain Suzanne pousse un hurlement, Edouard vient de lui planter sa verge dans le ventre. Prise en levrette Suzanne couine comme une bête, la bite d’Edouard lui défonce la chatte. Bien qu’elle l’a déjà eu plusieurs fois dans le corps au paravent, la forme étrange de la verge lui procure une sensation inouïe.
Lucette commence à prendre du plaisir, Paul maintenant agit à sa guise, il la démonte. Sa bite bien qu’énorme coulisse de mieux en mieux dans la gaine dilatée. Une fabuleuse jouissance fait hurler Lucette, son corps se met à trembler, secoué par des spasmes violents. Un flot important de semence lui remplit le vagin, ce qui provoque sur Lucette, un nouvel orgasme aussi monstrueux que le premier. C’est au tour de Suzanne de recevoir une puissante décharge. Elle se cabre et explose , sa jouissance et violente. les deux hommes avec précaution, se désaccouplent ils regardent les chattes affreusement ouvertes. Les deux femmes haletantes restent étendues sur le matelas épais, en cherchant un second souffle.
Paul dit :
-Mesdames, il est nécessaire pour augmenter vos plaisirs sexuels d’y introduire dans vos délires sexuels, un peu de BDSM !
Il commence par leur présenter quelques accessoires. Il montre des menottes en cuir, des plumes douce, des bandeaux pour les yeux, des pinces à tétons et clito des œufs vibrants des plugs monstrueux, des fouets et plusieurs badines très fines en bambou. Il dit :
– Nous allons commencer par les menottes !
Lucette, toujours confiante, demande :
-Puis-je essayer en premier ?
Paul acquiesce et invite Lucette à s’allonger sur un banc sans dossier confortable. Pendant qu’il attache délicatement ses poignets, et ses chevilles aux pattes du banc
avec les menottes
Ensuite, c’est au tour de Suzanne. Édouard s’approche, un sourire réconfortant sur le visage, et lui demande doucement :
– Es-tu prête ?
Suzanne acquiesce, un peu nerveuse mais désireuse de se lancer dans cette aventure. Édouard l’attache comme Lucette.
Une fois les deux femmes attachées, Paul présente la plume. Il commence à caresser le corps de Lucette avec la plume, suscitant un frisson agréable. Elle rit doucement, en frissonnant. Édouard fait de même avec Suzanne, qui éclate de rire. :
-N’oubliez pas de dire ce que vous ressentez !
Rappelle Paul. Suzanne, pleine d’énergie, ajoute :
– J’adore ça !
Les rires remplissent la pièce, et la tension initiale commence à se dissiper.
Après quelques minutes de jeu avec la plume, Paul propose de bander les yeux. Il dit en souriant :
-Cela va intensifier vos autres sensations.
-Êtes-vous prêtes !
Lucette et Suzanne échangent un regard complice avant d’accepter.
Paul place doucement le bandeau sur les yeux de Lucette. Elle ne peut plus voir, mais cela éveille davantage ses autres sens. Édouard fait de même avec Suzanne. Chaque caresse devient plus intense. Paul utilise la plume et aussi le fouet, alternant entre douceur et fermeté. Le fouet, qu’il utilise avec précaution, ne fait que frôler la peau de Lucette.
La sensation du cuir glissant sur sa peau est à la fois troublante et délicieuse. Lucette sent son cœur battre plus vite, chaque coup étant une nouvelle découverte de plaisir.
Édouard, de son côté, encourage Suzanne à se concentrer sur ses sensations.
-laisse-toi aller, toi, tu connais déjà ce traitement ma chérie !
Il passe ses doigts sur son bras avec délicatesse, tandis que le fouet effleure sa peau, Chaque mouvement fait frissonner les deux soumises.
les deux femmes commencent à se laisser aller complètement, appréciant chaque sensation. Les coups de fouets deviennent plus violents.
-Oui, continue !
S’écrie Lucette, tandis que Suzanne, en serrant les dents, elle ajoute :
-Oui, oui, encore, cela m’excite encore plus, tape mon chéri, tape !
Les corps portent les traces des coups, les seins et les chattes sont privilégier. les clitos enflent terriblement, ainsi que les grandes lèvres, par les coups bien ajustés. La douleur est quand même supportable. Pour augmenter la stimulation, Paul place sur les mamelons et le clito de Lucette, les pinces spéciales et les serrent au maximum en la faisant grimacer. Lucette se cabre en geignant, c’est la première fois qu’elle subit ce gendre de traitement.
les bandeaux sont retirer, Paul veut d’aller plus loin, il décide d’introduire. Un œuf vibrant télécommandé dans la chatte bien ouverte.
Suzanne, pour l’instant n’est que spectatrice, est détachée, excitée, elle dit :
– Occupez vous bien de mon amie, je lui es dit qu’avec vous elle aller connaitre des jouissances exceptionnelles !
-Bien!
s’exclame Paul en souriant. Avec précaution, il place l’œuf de bonne taille, dans l’orifice remplit de sperme de la volontaire. Bien dilatée, Lucette stresse un peu. Mais dès que Paul actionne l’engin, elle se cabre, des vibrations surprenantes, lui traversent le corps. Elle se cabre fortement en grimaçant. Il place un vibro sur le clito enserré par la pince et appuie sur la boule de chair violacée. Paul augmente la vibration, Lucette reçoit comme des décharges électrique dans la vulve, cela la rend hystérique, elle hurle :
-Oui, oui, mon Dieu c’est trop bon, Suzanne, Suzanne ils me tuent, je vais jouir, je vais jouir !
Une explosion de jouissance inouïe, la fait hurler. Son corps entravé, retombe lourdement sur le banc. Après ce un moment fabuleux d’étourdissement, Lucette déclare le souffle court :
– C’était incroyable, je ne pensais pas que ce serait aussi intense !
Paul et Édouard échangent des sourires satisfaits, Paul retire les pinces et caresses le corps pour atténuer les picotements qu’ont fait les pinces trop fortement serrées sur les parties sensibles. Lucette dit à Suzanne :
-Je n’aurais jamais pensé que je pourrais ressentir cela !
Lucette et Suzanne échangent un regard complice, conscientes que cette aventure n’est que le début d’un voyage fascinant, riche en découvertes et de plaisir partagé. On libère Lucette, maintenant c’est au tour de Suzanne de subir les mêmes outrages. C’est Edouard qui s’y emploie. Mais lui innove, il attache sur le banc Suzanne sur le ventre avec un gros coussin sous le ventre pour bien mettre en évidence les orifices. Paul lui écarte les fesses avec ses mains, pendant que son complice s’empare d’une badine.
Il tapote avec la fine baguette de bambou l’anus de Suzanne, qui serre les dents. Plusieurs coups violents la font geindre et cabrer. L’anus devient méconnaissable.
Du bout des doigts, Edouard le caresse, il appuie dessus plusieurs fois pour enfin y faire pénétrer son doigt.
L’intrus disparait comme aspiré par l’anus boursoufflé. Un deuxième doigt se joint au premier pour un ramonage bien dosé. Suzanne geint de plaisir, Edouard lui fouille le cul avec de plus en plus de rage, il dit dans une excitation extrême :
-Tu aimes ça hein salope !
En gémissant, Suzanne ne peut le nier :
-Oui, c’est trop bon !
Edouard satisfait de la réponse, retire les intrus et place sa verge contre l’anus enfin libre. Il s’accroche aux hanches larges de sa victime et pousse. Son sabre de chair s’enfonce dans le rectum de Suzanne en la faisant grimacer. Bien qu’elle connaisse parfaitement la verge d’Edouard ce genre de pratique, mais avec ces deux hommes là, les pénétrations sont toujours pénible. La verge étrange s’enfonce jusqu’aux couilles dans son corps, tous cela sous le regard inquiet de Lucette.
La sodomie est violente, mais c’est ce qu’adore Suzanne, elle couine :
-Oui, oui, défonce-moi bien le cul, oh comme tu m’ouvres mon cochon, vas-y, vas-y, oh putain, oh putain, que c’est bon !
Les coups de reins violents font geindre Suzanne de bonheur, bien que son anus soit extrêmement distendu, elle éprouve un plaisir intense à ce brutal enculage. Paul vient en aide à son complice, il asséné sur le dos de Suzanne des coups de cravache de plus en plus violents. Elle se cabre en gémissant comme une bête malade. Les marques strient sa peau laiteuse. Sa jouissance rapide, est fabuleuse, elle se cabre et explose en hurlant. Lucette et tétanisée devant une telle jouissance.
Enfin, avec un plug de bonne taille lui est planté dans le cul, par Edouard. Suzanne et réattachée sur le dos, elle a droit elle aussi à l’œuf. Paul demande à Lucette de jouer avec les mamelons de son amie. Elle s’y emploie volontiers, les aspirations, et les succions qu’elle applique, les font doubler de volume. C’est dans cet état que Paul voulait voir les mamelons. Il repousse doucement Lucette, et pendant qu’elle s’agite sous les vibrations intenses de l’œuf, il lui asséné sur les seins de violents coups de fouets.
Suzanne hurle on ne sait si c’est de douleur ou de plaisir, mais on n’a vite la réponse. Elle se cambre comme un pont, est explose de jouissance. Enfin Edouard la détache, Suzanne reste étendue sur le banc haletante. le plug et retiré de son anus, Paul en admirant le trou béant dit :
-Tu l’as bien ouverte, Eduard, j’aime voir les anus bien dilaté, cela m’excite !
Linsee
Ajouter un commentaire