Elle m’a payé son loyer en retard avec son cul

Bonjour,

Certains diront que mon histoire tabou est un pur fantasme pourtant, j’ai bien vécu cette histoire et je m’en souviens très bien car cela s’est passé le mois dernier.

Je possède un appartement dans un immeuble de Strasbourg, mais j’ai la chance également d’en posséder un second sur le même palier. J’ai bien longtemps hésité à tomber la cloison entre les deux pour en faire un immense appart », mais comme tout le monde, j’ai besoin d’argent et le louer était la meilleure des options pour moi. Et je crois que j’ai bien fait !

J’ai comme locataire une jeune femme de 25 ans qui est coiffeuse, mais qui a bien souvent du mal à joindre les deux bouts. J’ai pour ma part 50 ans et moi aussi, mon salaire ne me suffit pas et heureusement que j’ai ce loyer. Je ne suis pas embêtant sur ce point, mais j’aime bien tout de même être payé dans les temps. Voyant que le loyer n’arrivait pas, je me suis permis de glisser un mot dans sa boîte aux lettres. Le soir même, elle est venue sonner à ma porte. Elle était en larmes. Je l’ai fait entrer et lui ai offert à boire. Non je ne l’aie pas saoulée, ce n’était qu’un verre d’eau ! Elle m’a expliqué alors avoir des problèmes ce mois-ci pour payer le loyer.

Comme c’était la première fois, je lui ai dit de se rassurer et qu’elle pourrait me le donner un peu plus tard. Elle a posé sa main sur ma cuisse et m’a remercié en me disant que de toute façon, on trouverait certainement un moyen de s’arranger pour le désagrément. En me faisant un sourire des plus ravageurs. Cette jeune fille est une bombe atomique et je mentirais si je vous disais que je n’ai absolument pas pensé : « tu peux me payer avec ton cul si tu veux ma chérie y a aucun problème ! »

Je ne croyais pas si bien dire. Le lendemain, j’étais à peine sorti de la douche lorsque j’ai entendu sonner à ma porte. C’était ma jeune locataire qui venait pour son loyer en retard. Elle est entrée avec une bouteille de vin et un petit sac avec des gâteaux apéritifs. Elle s’est proposé de m’offrir l’apéro pour me remercier de ce laps de temps supplémentaire. Je me dirigeais vers la chambre pour me changer et passer une tenue décente — je vous rappelle que j’étais en peignoir — lorsqu’elle m’a dit qu’il n’y avait aucun problème pour elle bien au contraire.

J’étais assis en face d’elle et j’ai débouché la bouteille de vin. J’avais beaucoup de mal à contenir mon érection qui s’était mise à apparaître en voyant la tenue très excitante de ma locataire. Elle avait les cuisses écartées et je pouvais entrevoir sa culotte qui était bien fendue sur sa moule. Je n’arrêtais pas de la regarder tout comme ses gros seins qui sont vraiment extraordinaires ! Elle s’est levée après avoir bu la totalité de son verre de vin ! J’ai compris après qu’elle avait dû faire cela pour prendre des forces et se donner du courage. Elle s’est approchée de moi, s’est assise à côté de moi et a plaqué sa main sur ma queue qui dépassait maintenant du peignoir.

Au moment j’allais ouvrir la bouche, elle m’embrassait et a fourré sa langue au fond de ma gorge. Je ne pouvais pas parler, mais entre nous, je n’en avais pas envie. Sa main avait entrepris de me branler et c’était délicieux. Je l’ai laissé faire un moment avant de moi aussi, me mettre à la caresser. Je me suis rapidement retrouvée à poil, en même temps je n’avais que le peignoir. Il ne lui aura pas fallu longtemps pour se mettre dans la même tenue que moi. Elle avait des seins énormes, une chatte parfaitement fendue et dessinée et en plus totalement épilée. Elle m’a sucé comme une goulue avant de se mettre en 69. Elle m’a offert sa petite chatte serrée qui ruisselait de mouille dans ma gorge. Je lui ai avalé la chatte tandis qu’elle m’avalait la bite.

Nous nous sommes léchés mutuellement jusqu’à ce qu’elle se mette en position de levrette. Elle a écarté les fesses en se penchant en avant en me disant que mon loyer était prêt. Je me suis glissé en elle sans même prendre la peine de la caresser ou de mettre un préservatif. Je ne voulais pas qu’elle change d’avis. J’ai frotté mon gland entre ses lèvres pour récupérer un petit peu de mouille et je me suis enfoncé de toute ma longueur. Sans être prétentieux, j’ai une grosse queue bien longue et bien épaisse ! Elle a fait un : « Ouch ! » J’ai compris que cela lui donnait du plaisir. Je me suis glissé en elle jusqu’à ce que mes couilles viennent buter contre sa vulve chaude.

Je me suis mis à la pilonner et elle a joui à deux reprises. C’est la première fois que je voyais une femme avec un multi orgasme. J’en avais déjà entendu parler, mais je ne l’avais jamais vécu. C’est très bizarre ! J’ai l’impression que cela lui avait donné mal la tête. Elle s’est mise sur le dos en position de missionnaire et m’a demandé de la prendre de face. Pendant que je me glissais en elle, elle se malaxait les seins et me regardait droit dans les yeux. J’ai senti que j’allais jouir. Je me suis retiré pour le placer entre ses seins et elle m’a offert une branlette espagnole. Je me suis branlé entre ses gros seins doux pour finir par éjaculer une grosse lampée de sperme bien chaud et bien épais qui lui a giclé sur le menton et ruisselé dans le cou.

Après cette baise intense, elle s’est rhabillée et m’a embrassé sur la joue. Elle m’a donné une enveloppe qu’elle m’a tendue. Je l’ai ouverte, il y avait le loyer. Je lui ai dit ne pas comprendre pourquoi elle avait couché avec moi si elle avait les sous du loyer. Elle m’a dit que tout cela été un stratagème. Elle n’avait aucun problème d’argent, mais elle cherchait simplement un prétexte pour se faire sauter par son propriétaire.

Elle m’a dit qu’étant donné que l’expérience était intéressante et satisfaisante, elle pensait qu’elle allait avoir de sérieux problèmes tout au long de l’année pour payer son loyer. Elle allait devoir s’offrir à moi régulièrement pour gagner du temps ! Et bien moi, cela me va très bien ! Cela s’est passé le mois dernier et j’ai déjà eu l’occasion de recoucher avec elle entre-temps. La semaine prochaine, c’est le moment pour elle de payer son loyer et de s’acquitter de sa dette. Ce n’est pas de moi de dire cela, mais j’espère sincèrement qu’elle aura des difficultés financières !

Yves, 50 ans, Reims.