Elle a ouvert la porte. C’était, je ne sais pas, ma dixième ou douzième fois que je la voyais. Elle portait une toute petite robe noire qui couvrait à peine ses fesses serrées. Je suis entré dans son appartement. Elle m’a offert un siège et quelque chose à boire. Elle a mis quelques cubes de glace dans une tasse en plastique rouge et a versé l’alcool. Elle en a pris aussi, mélangé avec du coca.
Elle a suggéré qu’on aille dans sa chambre. Elle m’a tendu la main en me conduisant dans le couloir. La sienne était douce et mince comme sa taille. Ses talons rose vif ont claqué contre le plancher de bois franc comme d’habitude. Juste ce bruit a fait sauter ma grosse bite dans mon short. Son butin en forme de cerise se balançait en m’appelant par mon nom.
On s’est assis sur son lit. Son matelas était le plus confortable que j’aie jamais senti. On a bu et j’ai sorti une clope. Oui, elle me plaisait de plus en plus.
Elle n’était pas idiote. Elle avait des pensées et des opinions. Les bons. Et même quand je n’étais pas d’accord avec elle, elle pouvait facilement me faire comprendre son point de vue. Je pense qu’elle doit vraiment être une manipulatrice. Sensation de bourdonnement, je pose ma boisson sur la tablette à côté du lit. C’est comme si elle lisait dans mes pensées. Elle se leva et commença à se déshabiller. Elle dansait lentement en se déshabillant. Elle a travaillé cette robe sur tout son corps, sexy et lente.
J’ai enlevé mon T-shirt à manches longues et mon short très vite. J’avais ma bite dans la main. Je l’ai caressée en la regardant jouer pour moi. Ses seins étaient comme des petits boutons avec des tétons gonflés. J’avais hâte de goûter ça. Elle s’est retournée quand la robe est tombée de son cul. C’était si parfait, ferme et doux à la fois. Elle s’est retournée et sa propre bite se balançait.
Elle s’est approchée de moi. Les talons claquent encore. Mon cœur bat plus vite. Elle s’est emparée de ma bite. Elle s’est agenouillée et a embrassé mon gland. Je voulais crier. Merde, je voulais mettre mes lèvres sur les siennes. Je n’avais jamais fait ça avant. Ses lèvres juteuses et sa bouche chaude et humide m’ont fait frissonner. « Ooh, » j’ai grogné.
Je lui ai relevé la tête et j’ai regardé dans ses jolis yeux brun clair. Je lui ai dit que je la voulais maintenant. Elle est montée sur le lit comme une chatte en chaleur. Sensuelle et dragueuse. J’ai rampé derrière elle. Traquer son cul sexy. Elle s’est couchée sur le ventre. Ce n’est pas suffisant. Je l’ai retournée sur le dos. Elle avait un regard dans les yeux comme un cerf dans les phares. Elle savait que j’étais un aigle aux yeux d’acier qui s’affûtait sur sa proie depuis le ciel. Je m’abaissai sur sa peau lisse et soyeuse de chocolat au lait. J’ai doigté son cul serré pour la détendre pendant que je léchais et suçais ses mamelons. Elle avait un goût de bonbon.
Elle ronronnait fort et se tortillait pendant que je poussais un doigt, puis deux dans son rectum. Je veux qu’elle soit prête aussi vite qu’elle peut l’être. Quand j’ai eu l’impression que je pouvais l’enlever, je l’ai fait. Je lui ai fait signe de lever les jambes en l’air. Elle s’est conformée. Je me suis mis à genoux et j’ai guidé ma bite en elle.
Elle se plaignait. Je l’ai fait taire. Je n’arrêtais pas de pousser. Elle s’est mordu la lèvre inférieure et a fermé les yeux. Elle a pris une grande respiration. Sa chatte d’homme a commencé à céder. J’ai pris mon temps du mieux que j’ai pu. Son trou me serrait comme une folle. On aurait dit un gant chaud sur cette bite. J’ai attrapé ses chevilles et écarté ses jambes. Je me suis abaissé sur elle en lui piégeant les jambes avec les bras. Les yeux en l’air, je lui coupe les fesses avec mes mains. Je serre les petites beautés souples et fermes à la fois. J’ai des frissons quand je sens son cou. Elle a toujours le parfum parfait.
Elle gémit pendant que je baise doucement tout ce qu’elle a pu avoir de masculinité ou de testostérone. C’est une femme complète maintenant. Et, elle est toute à moi. Elle prend ma bite comme je veux la donner ce soir. Je m’en fiche. Ses gémissements et ses supplications ne la ralentissent pas. J’ai enfoncé toute ma queue épaisse en elle avec toute la force que je peux rassembler.
Elle commence à en profiter. Elle crie de plaisir. Elle me supplie de le lui donner. Elle m’a dit de baiser son cul de pédé. Je lui mords l’oreille comme une réprimande. Je lui dis que je n’aime pas l’entendre dire ce mot. C’est une fille. Que des filles. Ma copine. Je continue à la bourrer. La caresser longuement. Nos corps transpirent. Je suis tout en elle. Mes couilles profondes. Je vais à au fond de ses entrailles brûlantes.
Elle a les mains libres. Elle éjacule. J’ai l’impression d’avoir de la lave sur le ventre. Les contractions de son anus font de ma queue un enfer à contrôler. Mes couilles pleines sont plantées au plus profond d’elle maintenant. Maintenant, je suis le roi. Je décharge toute ma semence et je me répands en elle. Son conquérant. Elle me regarde avec ses grands yeux sexy.
Je me retourne. Nous conversons pendant quelques instants pendant que je la serre dans mes bras. Notre sexe a rempli la pièce. Je savoure tout ça. Elle. L’odeur. La transpiration. L’épuisement.
Tu sais ce que c’est. Les factures doivent être payées, je dois y aller. J’embrasse son front et je la laisse couchée là, haletante. J’ai mis mes vêtements et je suis parti. Je dois être au travail tôt. Je m’en vais.
Jusqu’à la prochaine fois….
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