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Enceinte, je m’offre à un vieux de 65 ans

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Je m’appelle Sophie, j’ai 28 ans, et je vis à Bordeaux, dans une petite maison en périphérie, près de la Garonne. Nous sommes en juillet 2025, la chaleur enveloppe la ville d’un voile moite, l’odeur du fleuve se mêlant à celle des vignes au loin. Je suis mariée à Julien depuis cinq ans, un commercial souvent absent, et je porte notre premier enfant, six mois de grossesse qui arrondissent mon ventre et gonflent mes formes. Mon corps a changé : mes seins sont lourds, pleins, mes hanches plus larges, ma peau tendue et chaude sous cette canicule. C’est dans ce bouleversement que Monsieur Dubois, un voisin de 65 ans, a su s’immiscer dans mes désirs.

Monsieur Dubois – Bernard, comme il m’a demandé de l’appeler – habite la maison d’à côté, un retraité veuf, grand et voûté, avec une chevelure blanche clairsemée et des mains noueuses marquées par le temps. Il a toujours été courtois, m’aidant à porter les courses ou à tailler les rosiers du jardin, ses yeux bleus délavés s’attardant parfois sur moi avec une lueur que je feignais d’ignorer. Depuis que Julien part des semaines entières pour son travail, Bernard est devenu une présence familière, un réconfort dans ma solitude grandissante.

Ce jour-là, un après-midi brûlant, je l’ai trouvé dans son jardin, torse nu sous un vieux chapeau de paille, occupé à arroser ses tomates. Ma robe légère, verte, collait à ma peau, mon ventre proéminent et mes seins débordant du tissu. “Vous semblez fatiguée, Sophie,” m’a-t-il dit, posant son arrosoir, sa voix grave teintée d’une sollicitude qui m’a touchée. J’ai souri, “cette chaleur m’épuise.” Il m’a invitée chez lui, “venez boire un verre d’eau fraîche,” et je l’ai suivi, mes pas lourds dans l’herbe sèche, sans me douter de ce qui allait suivre.

Son salon était sombre, les volets mi-clos, une odeur de bois ancien et de tabac froid flottant dans l’air. Il m’a servi un verre, s’est assis près de moi sur un canapé usé, et nos doigts se sont frôlés quand il me l’a tendu. “Vous êtes rayonnante, enceinte,” m’a-t-il murmuré, et ses yeux ont glissé sur ma poitrine, mon ventre, mes cuisses dévoilées par la robe remontée. J’ai rougi, mais une chaleur autre que celle de l’été m’a envahie. “Merci,” ai-je répondu, et il a posé une main sur mon genou, hésitante, puis plus ferme. “Je ne devrais pas, mais vous me troublez,” a-t-il avoué, et je n’ai pas bougé, captivée par cette audace inattendue.

Il m’a attirée contre lui, ses lèvres, sèches mais chaudes, ont trouvé les miennes, et j’ai cédé, mes mains sur son torse ridé, ses poils blancs sous mes paumes. Il a relevé ma robe, dévoilant mon corps généreux, mes seins gonflés qu’il a libérés de mon soutien-gorge, lourds et tendres sous ses doigts calleux. Il les a sucés, lentement, sa langue râpeuse tournant autour de mes tétons, un filet de lait perlant sous sa pression, et j’ai gémi, surprise par cette sensation qui irradiait dans mon ventre rond. “Vous êtes magnifique,” a-t-il soufflé, et j’ai senti sa main descendre, écarter ma culotte, explorer ma fente trempée malgré ma grossesse.

J’étais moite, ouverte, mon sexe brûlant sous ses doigts qui glissaient entre mes lèvres épaissies par les hormones. Il m’a caressée, doucement d’abord, puis plus fort, ses yeux rivés aux miens, et j’ai écarté les cuisses, offrant mon intimité à cet homme dont l’âge aurait pu être celui de mon père. Il s’est agenouillé, maladroit sur ses articulations usées, et sa bouche a remplacé ses doigts, sa langue plongeant dans ma chair, léchant ma moiteur mêlée de sueur et de désir. J’ai saisi ses cheveux, tirant légèrement, mes hanches ondulant contre son visage, un plaisir brut qui montait malgré la culpabilité.

Il s’est relevé, a défait son pantalon, révélant une queue noueuse, encore ferme malgré les années, luisante au bout sous une peau ridée. “Je peux ?” m’a-t-il demandé, et j’ai hoché la tête, “oui, prenez-moi.” Il m’a allongée sur le canapé, mes jambes écartées autour de mon ventre bombé, et il m’a pénétrée, lent mais profond, son souffle court contre mon cou. Sa chair m’emplissait, rude contre mes parois sensibles, et je sentais chaque mouvement, chaque frottement, mon corps généreux s’adaptant à lui. “Vous êtes si douce,” a-t-il grogné, ses mains pétrissant mes seins, le lait coulant entre ses doigts.

Il m’a prise ainsi, longtemps, ses hanches claquant doucement contre mes cuisses épaisses, mon ventre qui dansait sous les coups. J’ai joui, un spasme qui m’a secouée, ma chatte se resserrant autour de lui, et il a suivi, un râle profond, son sperme chaud se répandant en moi, glissant sur mes cuisses quand il s’est retiré. Nous sommes restés là, haletants, moi encore nue, lui à moitié vêtu, la pièce silencieuse hormis nos respirations. “Vous êtes un trésor,” m’a-t-il dit, et j’ai souri, troublée mais comblée.

Julien ne saura jamais, et Bordeaux garde mon secret, mais Bernard a éveillé en moi une faim que je ne soupçonnais pas, enceinte ou pas.

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