Lire l’histoire précédente de la tatie coquine
Si depuis Avril 2021, je n’avais revu ma tatie préférée, où si nous voilà en septembre, rentrant de mon bureau ce mercredi, ma femme me fait part que cette dernière qui est sa marraine lui avait téléphoné pour prendre de nos nouvelles et l’informer que si la belle période arrivait à sa fin et que nous étions à mi septembre passé , il lui serait agréable dit-elle si Gérard avait un jour prochain un peu de temps pour elle, pour juste comme chaque début d’automne lui nettoyer un peu son jardin. Et si bien sur ma moitié lui fait part qu’elle allait m’en parler à mon retour de mon bureau, lui précisant que je ne manquerai de lui passer un petit coup de fil moi même.
Alors pour vous mettre dans l’ambiance et comme je l’aurais déjà écrit dans mes récits précédents, si la tatie reste quelques bonnes années plus âgées que moi mais encore en bonne forme à tous points de vue, elle ne manque sur les plan de cul d’être encore une bonne et chaude petite salope, même si cela en reste juste avec moi son neveu. En effet, Pour aussi vous rappeler que si bien sur ni ma moitié ni personne autour de notre famille où autre ne ce serait jamais douté de cette liaison occasionnelle, combien secrète et perverse comme vous aurez pu le lire dans mes autres récits que ma tatie et moi entretenions depuis quelques années occasionnellement une ou deux fois par an. Toujours est-il que je réponds à ma moitié que j’allais bien sur rappeler tatie, me doutant bien que la garce devait être en manque et surtout l’envie de revoir une fois à nouveau celui qu’elle aura un jour baptisé « son neveu chéri », ne pouvant m’empêcher déjà de bander en fantasmant aux plaisirs qui allaient encore m’attendre de la petite garce ce fameux jour.
Si je rappelle alors cette dernière, qui de suite au téléphone ne manque d’exprimer son bonheur et me dit « comme c’est bon de t’entendre une fois à nouveau mon coquin de petit neveu chéri…., » où à converser discrètement quelques minutes, je lui propose ensuite de passer dès le vendredi à venir vers 10hrs 00, où si cela lui convient de suite n’oubliant de rajouter que surtout je devais prévenir sa filleule, que bien sur elle me garderait pour déjeuner, ce dont je me doutais bien et qui n’aura bien sur posé aucun problème auprès de ma femme.
Si arrive enfin le vendredi la météo étant encore assez douce, préparant quelques outils nécessaires, je réfléchis ensuite un instant pour alors me vêtir d’un simple polo et juste un jeans sous lequel déjà pour un peu de piment, je décide de me passer de boxer où caleçon. Et si me voilà combien impatient et heureux en route pour chez ma tatie, j’avoue que sur le chemin, à penser à cette journée, je ne manque déjà de me remettre à fantasmer et bander. Et si une demie suffira pour arriver chez ma tatie, qui bien sur n’aura manquée d’épier mon arrivée, je stationne mon véhicule comme à chaque fois un peu en retrait de sa maison, je sors les outils et bottes de mon coffre où tatie vient alors ouvrir le petit portail de son jardin me permettant de déposer mon matériel, pour de suite se saisir de plaisir de moi, me serre dans ses bras pour déjà me couvrir de quelques bisous, me disant combien elle était heureuse de me revoir, me rappelant que si cela faisait depuis avril quelle ne m’avait plus sollicitée, elle comptait bien aujourd’hui me garder juste pour elle et profiter de moi, ce qui bien sur m’aura fait sourire mais pas laissé insensible.
Si nous entrons ensuite dans la maison, je dépose ma sacoche où si nous conversons un moment, je passe ensuite mes bottes pour ensuite me rendre à l’arrière dans son jardin, où si de temps à autre tatie ne manque de me jeter un sourire, une bonne heure me prendra pour mettre au propre ce petit lopin de terre. Et si arrivé au bout, je sollicite ensuite cette dernière pour venir jeter un œil, son sourire voulait bien dire combien elle était ravie, d’avoir à présent son jardin aussi propre. Voyant ensuite que nous allions vers 11hrs 15, je ramasse les quelques déchets restants que j’emplis dans un grand sac, je nettoie mes outils, pour ensuite aller mettre tout cela dans ma voiture tout comme mes bottes et enfin revenir et entrer dans la maison pour m’asseoir un moment où tatie me fait « désolée de t’avoir cette fois encore fatigué déjà de si bon matin mon petit chéri.., » lui répondant que cela restait sans problème et que j’aurais eu trop plaisir à lui rendre cette fois encore service et surtout du bonheur de la revoir et surtout à présent d’être ensemble.
Lui faisant ensuite part que j’aurais plaisir à juste aller me rincer un peu, sans plus tatie va me chercher une serviette de bains où alors je me rends à la salle de bains pour me nettoyer un peu. Si alors cette dernière m’informe nous préparer l‘apéro, quelques minutes passent où me voilà de retour dans le salon ayant juste remis mon jeans propre, me passant de mon polo, laissant le haut de mon corps nu, je profite quelques minutes à me laisser presque tomber dans le canapé, ce qui me fait énorme de bien, même si cela laisse ma tatie à un grand sourire, ne manquant bien sur de suite de ne manquer de porter avec attention ses yeux sur mon torse nu, pour nous alors nous servir l’apéro, venir ensuite me pousser un léger et profiter à prendre place près de moi.
Et si là, tous deux nous trinquons à ce cool moment d’intimité, tatie m’informe par la même que nous déjeunerons d’ici trois petits quart d’heures, ce qui nous laisse le temps de prendre calmement notre apéro. Et nous voilà tous deux à boire, à profiter de converser de mille choses, pour ma part toujours allongé dans ce canapé, avec ma coquine tatie assise près de moi semblant combien heureuse. Si ensuite elle dépose à un moment son verre sur le coin de la table, me remercie encore et encore d’être venu aujourd’hui, elle profite à se remettre à me déposer quelques tendres bisous sur le coin de ma bouche. Et ce jusqu’au moment , toujours en conversant, je remarque que cette dernière n’arrête de me jeter des petits regards déjà bien coquins, et soudain, sans plus, laisse partir l’une de ses mains se poser sur mon torse nu et lentement tout en me souriant, promène ses dernières sur mes petits tétons, continue vicieusement de les faire glisser de bas en haut, où si je lui fais « arrêtes tatie….., arrêtes…., stp…, stp…, » cette dernière se laisse juste à répondre « chut…, chut mon petit coquin chéri…, laisses ta tatie se faire plaisir pour une fois à nouveau que j’ai la chance de t’avoir…, laisses toi aller…, surtout qu’après avoir bien travaillé, un peu de massage ne peut te faire de mal…,»
Et si avec combien de plaisir, je la laisse continuer son jeu, la chipie ne manque à un moment de laisser son autre main, partir elle entre mes jambes, où si je ne peux me retenir à gémir, je lance quelques râles de « Oh ouiiiiii…, ouiiiiii ma tatie.., je vois que tu n’as pas changée et que tu restes toujours aussi perverse adorant ses petits jeux …, alors continues… continues et profites de ton neveu qui comme tu le sais ne peut rien te refuser et reste toujours aussi sensible à tes petites mains expertes…. ». Et si la salope à entendre mes paroles, se remet et reprend ses caresses, voilà qu’elle se met à faire glisser lentement la tirette de mon jeans, pour sans plus y faire entrer sa main bien douce et délicatement s’emparer de ma queue bien sur en érection, qu’elle me palpe alors entre ses doigts de longues minutes, tout comme mes couilles, ne pouvant me retenir à des « ouiiiiii….., oh ouiiiiii….., continues ma chipie de tatie…., c’est trop bon…, » Et si combien ses yeux étaient brillants et excités d’envies, ma petite pute se baisse ensuite sur ma bouche où si elle laisse promener sa petite langue perverse sur mes lèvres, je ne résiste à laisser ma bouche s’ouvrir où avec une envie partagée sa langue y pénètre alors, se roule et se mélange dans la mienne, se bouffant ensuite tous deux dans un moment de pure folie partagée et cela durant de longues et sublimes minutes.
Et si combien après s’être déjà dévorés ainsi tous deux, ma petite salope un peu déchainée ne se retient plus, en rien continue à me tripoter, jusqu’à extirper ma queue encore cachée derrière mon jeans et qui je l’avoue, n’attendait que cela, pour alors se mettre délicatement à me la branler, jusqu’au moment ne pouvant encore me retenir à des « Ohhh ouiiiiii…, c’est trop bon ma petite salope, termes grossiers qui dans ses moments ne font que l’exciter, me laissant à « continues.., continues…, oh ouiiiiii ma petite pute adorée…, profites de ton pervers neveu chéri…». Si à un moment, elle arrête son jeu, la chipie me fait , « ne bouges pas mon chéri.., rajoute promis !!!!!, promis !!!!!!!, me sentant trop bien, de plus avec le torse nu et ma queue toute en érection, je me plie à sa demande où elle se lève voulant faire un saut à la cuisine vérifier notre repas, revenant très vite pour me dire qu’il y en a encore pour un petit quart d’heure avant de pouvoir déjeuner. Et reprenant sans plus sa place près de moi, se ressaisit de ma queue qu’elle palpe à nouveau, me la branle lentement, passant de plus sa langue sur mon torse, arrivant à cet instant à la limite de l’explosion.
Et si ce pervers jeu dura jusqu’à moment où ma garce de tatie avec toute l’envie qu’elle avait de moi, finit alors par se jeter sur ma queue pour l’empaler dans sa bouche et me la bouffer, la rouler autour de sa langue, où si de plus elle laisse repartir une main dans mon jeans, puis entre mes jambes que j’écarte un léger sentant très vite l’un de ses doigts se glisser dans mon trou de cul. Et si à cet instant, j’étais au summum du plaisir, ne pouvant plus me retenir, quelques secondes suffiront, où me remettant à gémir, lançant des râles terribles de plus en plus fort de ce sublime moment, je bloque alors mes mains sur la tête de ma perverse cochonne, lui bloquant ma queue bien au fond de sa bouche, me tortillant dans tous les sens pour après quelques secondes encore me laisser partir dans un plaisir démentiel et indescriptible à finir par exploser dans une jouissance démesurée, laissant gicler mon sperme bien au fond de la gorge de ma tatie qui si elle ne relâche en rien, se fait un plaisir torride à se délecter ainsi de ma queue imbibée de sperme et ce jusqu’à la derrière goutte.
Si après quelques minutes ma petite cochonne relâche alors ma queue de sa bouche, n’arrête de me remercier pour ce moment duquel je l’aurais déjà faite profiter, avec tout cette envie qu’elle avait, elle se jette sur ma bouche nous dévorant tous deux quelques instants encore, où alors je ne manque de lui promettre que la journée n’était pas terminée et que son petit neveu chéri avait bien sur lui aussi quelques envies bien perverses de sa tatie chérie. Et si cela l’aura faite sourire, elle s’excuse un instant pour alors se rendre à la salle de bains, me précisant vouloir se faire un peu belle pour moi. Et si voilà la coquine un moment à la salle, je l’entends ensuite passer dans sa chambre pour revenir après une bonne dizaine de minutes, ayant je pense profité à une rapide douche, ce sera un peu maquillée et surtout aura passée un super joli peignoir combien transparent, laissant entrevoir toutes ses formes, rendant à présent cette dernière combien aguichante à bouffer, qui de plus ne manque de se laisser avec son petit sourie vicieux « alors mon chéri…, elle te plait ta tatie ??????.., » se dandinant devant moi, où je ne résiste avant le déjeuner à l’empoigner, me laissant à lui caresser et empoigner ses jolis seins juste cachés sous le peignoir, lui les dévorer un moment et enfin reprendre quelques instants sa bouche et sa langue dans la mienne avec des envies démentes et perverses de baiser ma salope. Si toutefois la garce me fait alors « calmes toi mon petit chéri…, calmes toi.., » allons avant cela déjeuner où ensuite si tu le souhaites « je serais à toi et où tu pourras faire tout ce que tu voudras et cela sans retenue avec ta tatie….. » Et si je me ressaisi alors, nous passons tous deux à table, assis l’un en face de l’autre à se régaler de ce bon repas qu’avant ma venues tatie nous aura concocté et duquel nous nous serons régalés, accompagné d’une bonne bouteille d’un bon rosé et ce tout en bavardant en revenant sur cette matinée déjà bien torride où nous n’aurons déjà manqué de profiter un peu l’un de l’autre.
Et si tatie souriante en vient aussi à parler de son quotidien, qui m’avoue-t-elle lui convient tout à fait ayant depuis le décès de son conjoint il y a plus de dix ans pris depuis l’habitude d’être seule, même si elle à encore une fille qui vient de temps à autre lui dire bonjour et cela même si leur relation en sentiments n’est pas des plus partagés. Mais trop heureuse me dit-elle ensuite de m’avoir moi son petit neveu chéri rien qu’à elle, qui même si nous ne nous voyons que trois ou quatre fois l’année, avec cette relation coquine et aussi perverse que nous entretenons restera toujours des grands moments pour elle. Si elle précise aussi en souriant qu’à ses trop rares occasions, elle ne se retient en rien pour se laisser aller à toutes ces envies avec moi son neveu chéri, même si aux yeux de bien du monde cela reste de l’inceste, mais ce dont tous deux nous n’avons aucunement envie de tenir compte ni même d’y penser. C’est pourquoi, si notre secret jusqu’alors n’aura jamais posé problèmes, nous espérons bien sur faire perdurer cela, aussi longtemps que cela nous conviendra. Et si les aveux secrets de ma petite garce me font sourire, je la remercie de sa franchise et surtout de cette relation de plaisirs partagés, où arrivant presque à la fin de notre repas, je ne manque alors de laisser glisser l’une de mes jambes le long de celles de ma perverse tatie, ce qui ne semble lui déplaire, ne manque de bien serrer son torse contre la table, se mordant les lèvres et me souriant, écartant même un peu ses jambes pour mieux profiter de ce jeu et faire comprendre à son petit salaud de neveu, à quel point elle était prête avec cette envie folle de se faire baiser.
Si alors ma tatie me propose de retourner au salon pour aller prendre un bon café, nous nous levons tous deux , où ma petite cochonne ne se retenant encore de me remercier de tout, ne manque de me me caresser le visage et me déposer un petit bisou, me tournant ensuite le dos à préparer son café, je ne résiste à laisser partir mes mains autour de sa taille, la serre contre moi, lui faisant sentir combien ma queue était dure, pour de plus me saisir de ses deux jolis seins un peu pendants mais tout de même bien fermes que je lui malaxe une fois encore quelques instants, laissant ma chipie à gémir et se tortiller de ce plaisir en se laissant à mon jeu. Et si de plus à un moment, elle profite à s’emparer de l’une de mes mains, qu’elle dirige entre ses jambes derrière son peignoir, où comme je m’en doutais, sous lequel la salope était à poil , cela me permet de lui branler un moment sa petite chatte au point que la chipie gémissante n’y tenant plus, me lance comme droguée « et si nous prenions le café tout à l’heure ma petite pute de neveu chéri…., » rajoute, je n’en peut plus, j’ai trop envie de continuer à se faire du bien, de bouffer encore ta jolie queue mon chéri et qu’ensuite tu me la fasses sentir partout en moi mon petit salaud.
Et là, je lui réponds comme tu voudras ma petite perverse qui alors me fait, laisses moi quelques minutes mon chéri, où si elle retourne un instant dans sa chambre à coucher, je profite sans plus à me mettre à poil où après quelques secondes encore, j’entends la voie de tatie qui me demande si je pouvais la rejoindre, ce que bien sur à présent à poil, je ne manque de faire, retrouvant la chipie qui avait profité à imbiber d’un parfum doux et très agréable cette chambre, me souriant dans son joli peignoir transparent, qu’elle n’aura manquée d’ouvrir laissant entrevoir vicieusement toutes les parties de son corps, mais pour sa part aussi ravie de voir son neveu chéri à poil, laissant à sa vue sa jolie queue bien raide. Et là, très vite la situation dégénère, me jetant sans plus sur ma salope, qui si elle se laisse faire, rajoute des « oh ouiiiiii…, mon petit salaud de neveu…., vas-y…vas-y…, bouffes la ta tatie…, donnes lui tout le plaisir et laisses toi sans retenue à tes envies…. ».
Et si je lui retire sans problème son peignoir, la faisant basculer sur le lit, je me jette ensuite à califourchon sur ma petite pute, où me déhanchant un moment comme un petit sauvage sur les sublimes seins de ma salope de tatie, sentant très vite l’un de ses tétons entrer en contact avec mon trou de cul et lentement s’y enfoncer, laissant ma garce à des râles torrides, qui de plus ne manque de profiter à me palper ma queue et mes couilles entre ses doigts. Et si pour ma part, je laisse de plus ma main libre partir derrière moi, dans son entre jambe où très vite mon index profite à se glisser dans sa chatte pour encore la masturber, où la garce ne se retient à des petits cris de folie tout comme des couinements et des gémissements de « oh ouiiiiii….., continues ma petite pute….., continues.., ça me fait trop de bien…, mais j’en veut encore…, encore…, stp…, stp mon petit salaud.., donnes moi ta queue à bouffer . ».
Et si les paroles de la garce m’entrainent dans une euphorie démente et incontrôlable, me jette de plus un regard souriant et combien pervers, je ne me retiens à lui dire « je n’en ai pas fini avec toi ma perverse chipie..,. » où si je libère mon petit cul de son téton, je me glisse un léger vers elle, tout en ne me retenant à lui lancer « tu la veux vraiment ma queue ma petite salope…, alors prends la….. » où si j’empoigne cette dernière que je fait circuler autour de ses lèvres, tatie ouvre alors sa bouche dans laquelle cette queue entre ensuite au plus profond et où elle ne manque de me la sucer comme elle seule pouvait le faire, la roule autour de sa langue. Et si je laisse quelques instants cette queue à des va et viens déments au fond de sa gorge, la salope profite de plus à passer ses mains autour de mes fesses et tout en continuant à se délecter de ma queue, finit par laisser comme déjà, partir l’un de ses doigts glisser dans mon trou de cul pour là encore me titiller les entrailles de ce dernier dans un plaisir indescriptible. Et si combien je comptais bien sur ne pas me laisser aller jusqu’à la jouissance, voulant encore trop profiter de ma perverse salope, je retire lentement ma queue de sa bouche la prévenant que j’allais à présent la baiser jusqu’à la faire hurler de plaisir, me répondant « vas-y mon petit salaud adoré…., vas-y… ne te gêne en rien ma petite pute chérie…, je suis à toi…. »
Et si là, je me relève, laisse ma garce bien couchée sur le dos, déjà à grimacer, je me laisse ensuite à me jeter cette fois entre ses jambes, écartant un peu ses dernières, finissant très vite entre ses cuisses où si je découvre cette chatte combien trempée de cyprine, sans plus, je laisse ma bouche se jeter sur cette dernière, y introduis ma langue au plus profond, ce qui laisse très vite ma chipie à des râles et gémissements terribles ne se retenant à des « oh ouiiiiii…, ouiiiiii mon chéri…, bouffes là ma chatte…, je suis tout à toi mon petit neveu…., ». Et là encore, ne me retenant par la même à laisser partir ma main entre ses fesses pour là aussi lui faire sentir le majeur de cette dernière se glisser bien au fond de son trou de cul que je lui branle lentement tout en continuant à me délecter de sa chatte, où ma garce de tatie comme je le souhaitais, se laisse à des petits cris de plus en plus déments jusqu’à finir par se laisser à des « ça me viens mon petit chéri…, ça va me venir…, continues mon salaud…., continues… » . Et si à ses mots, je lui fais part que j’étais moi-même à la limite de ne plus pouvoir me retenir et de plus avec cette envie torride de lui sodomiser son cul, elle se laisse à me répondre « comme le disais déjà mon pervers petit neveu, « laisses toi aller à tes envies…, ta perverse tatie est tout à toi…, défonces lui son petit cul et fais nous jouir comme bon te semble mon chéri… »
Si alors très vite, je relâche ma vieille garce en chaleur, tout en reprenant un instant avidement ma bouche dans la sienne, je la fais ensuite basculer sur le dos où si la salope se laisse aller comme une poupée, j’empoigne les deux têtes d’oreillers posées sur le lit pour lui faire relever son torse sous lequel je laisse glisser ses derniers pour enfin avoir ma salope dans une position des plus perverse avec à présent son cul bien relevé se laissant juste à gémir « Oh ouiiiiii mon petit salaud…, comme j’ai envie que tu m’encules…et ce, même si personne ne m’aura jamais donné ce plaisir, « vas-y mon petit neveu chéri…, donnes moi ta jolie queue…, fais moi la sentir bien au fond. ». Et si n’y tenant plus je viens alors derrière ma garce, laisse partir l’une de mes mains autour de sa taille pour ensuite me saisir de ma queue en totale érection, l’enduisant d’un peu de salive, que je me laisse ensuite à se promener sur ses fesses, pour très vite me retrouver dans la petite fente de son trou de cul où enfin lentement je laisse pénétrer cette dernière dans ce trou offert où bien sur ma chipie de tatie ne manque de gémir de plus en plus fort ne se retenant à des « oh ouiiiiii mon chéri…., continues….., baises ta tatie…, défonces moi mon petit cul…, » où alors je pousse encore et encore, ne manquant de laisser partir l’un de mes mains entre les jambes de ma salope et me remettre à lui branler avec démence sa chatte trempée. Et si cette dernière, à cette sensation torride se remet à des râles indescriptibles comme droguée de plaisirs, se déhanchant dans tous les sens possibles, ne me retenant pour ma part à des va et viens effrénés, quelques torrides minutes finissent par nous faire exploser tous deux, ma salope laissant partir dans un orgasme d’une force démente, m’emplissant les doigts et ma main de cette cyprine qui alors gicle de sa chatte et où moi-même je me laisse sans plus à une jouissance démentielle, laissant gicler sans retenue mon sperme bien au fond du trou de cul de ma salope et ce jusqu’à la dernière goutte.
Et si ce pervers jeu de dément aura duré de bonnes et sublimes minutes, je me retire alors de ce trou de cul, où à présent tous deux bien apaisés, je viens me blottir dans les bras de ma tatie même avec ma main encore imbibée de cyprine dont nous ne manquons de nous en délecter ensemble jusqu’à finir par reprendre avec une folie sans nom nos bouches et nos langues dans un dernier torride bisou. Si après cela nous nous relevons tous deux, passant quelques minutes par la salle de bains pou nous rincer et nous rafraîchir, nous nous rhabillons ensuite, se remerciant encore réciproquement par quelques chauds bisous pour enfin retourner au salon où nous prendrons alors ce café que bien sur tatie n’aura manqué de réchauffer. Et si à présent me voilà sur le point de repartir combien apaisé et serein de ces moments déments, où tatie m’aura faite jurer de ne plus laisser passer des mois et se revoir très vite, me disant déjà qu’elle ne manquerait pas de me trouver un petit travail quelconque chez elle et ne tarderait pas de téléphoner dés courant du mois prochain, ce qui m’aura fait sourire, nous quittant alors sur encore un torride bisou.
FIN
Gérard où Gégé.
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