J’ai demandé de l’aide à Franck et Lucie pour m’aider à écrire cette histoire de sexe. Je découvrirai la version finale en même temps que vous !
Je m’appelle Éric, j’ai 25 ans et je suis commercial dans des produits pour les garagistes. Des outils, de l’huile, des filtres, etc. Tout cela n’a pas vraiment d’importance pour l’histoire, mais peut-être un petit peu. Je parcours le quart sud-ouest de la France pour trouver de nouveaux clients et satisfaire les existants. J’ai une sexualité parfaitement hétéro et bien que célibataire, régulièrement je me fais un plan cul pour l’hygiène. Ce qui s’est passé ce 24 juin 2020 a changé le cours de ma vie.
J’avais rendez-vous ce jour-là avec le patron d’un garage à Bordeaux. Lorsque je me rends sur place, ses employés me disent qu’il n’est pas là et qu’il est chez lui. Je décide de le contacter en lui rappelant que nous avions rendez-vous. Il s’excuse et me propose de passer directement chez lui pour pas que je me sois déplacé pour rien. C’est à 20 minutes de route à l’extérieur de la ville, je décide de m’y rendre.
J’arrive dans une belle maison avec un parc arboré, un cadre vraiment magnifique. Lorsque je sonne à la porte, je suis reçu par une femme complètement… nue ! Elle m’explique qu’ils sont naturistes et qu’ils aiment vivre nus chez eux. C’est pour ça que son mari qui est sur le point de prendre sa retraite préfère passer le plus de temps chez lui. La femme me fait entrer et le mari débarque. Pour son âge, c’est un mec encore en forme et je ne peux détacher mon regard de sa bite. Pour dissiper le malaise, il me propose de mettre moi aussi nu. À aucun moment ils m’ont proposé que se rhabiller eux. Ç’aurait été plus logique. Comme j’avais déjà fait du naturisme un peu plus jeune, je me suis laissé porter par l’ambiance et je me suis déshabillé.
Eux aussi ont tout de suite porté le regard sur ma bite. Il faut dire que je suis bien monté sans prétention. Pas de quoi casser des briques non plus, mais je pense que ma bite est plus grosse que la moyenne. En tout cas vu la réaction de tout le monde et surtout la leur. On se met autour de la table basse pour discuter, mais je vois bien qu’il y a comme un malaise et que personne n’est concentré. Sa femme est présente et n’arrête pas de regarder ma bite. Je pose la question ouvertement demandant ce qu’il y a et le mari me répond que sa femme aimerait bien me sucer la queue. Elle le gars rajoute… moi aussi !
Bien que j’aie souvent pensé à ce genre de choses sans jamais l’avouer à personne, j’ai ressenti comme une vague d’excitation m’envahir. Je n’ai pas besoin de répondre, car ma queue est passée d’inexistante au garde-à-vous. Ça a pu confirmer pour eux que j’en avais une grosse. Sa femme est venue la première se mettre à côté de moi et me rouler une grosse pelle pendant qu’elle me branlait. Elle est ensuite descendue au niveau de ma bite pour la prendre en bouche en n’arrêtant pas de gémir et de dire : Oh qu’elle est grosse ! Son mari est venu et l’a remplacée.
Pendant ce temps sa femme me mordillait les tétons puis s’est mise debout sur le canapé pour me donner sa chatte à lécher. Elle était toute poilue, mais pas entretenue. Dans ma tête, je réalisais que j’étais en train de bouffer la vieille chatte poilue d’une femme très mûre pendant que son mari me suçait la bite. C’était tellement bon ! Ils ont changé de place et c’est lui qui m’a donné sa bite à sucer. Tout cela était très bon, mais l’excitation se faisait vraiment ressentir. Sa femme a joui sur mes coups de langue. Elle est venue me rendre la pareille pendant que son mari secouer sa queue dans ma bouche. Je crois qu’à ce moment-là, on a joui ensemble.
Après ce moment d’excitation très intense, un sentiment de honte s’est emparé de moi. Sa femme qui devait avoir d’habitude m’a retenu et m’a dit que c’était normal. Elle a continué de me caresser la bite pour que mon cerveau déclenche encore des endorphines. Ce sentiment de honte et cette envie de fuir ont rapidement disparu.
Comme ils avaient passé un excellent moment et je l’avoue moi aussi, ils m’ont proposé de rester passer la nuit pour approfondir cette relation naissante. Ils ont compris que c’était ma première fois avec un homme et ont voulu me faire découvrir la totale.
Peut-être que je vous raconterai un jour ce qui s’est passé cette nuit-là. Pour une première confession, c’est déjà pas mal. Surtout que je n’avais jamais raconté à personne que j’étais devenu bisexuel en ce mois de juin 2020.
Éric 25 ans Toulouse.
Bin si tu passe du côté de Pau envoie moi un message