Après une prise de connaissance au sein de mon entreprise, et quelques rencontres subséquentes qui me permirent de découvrir les talents cachés de Fabienne, bcbg dessus mais dévergondée dessous, l’occasion se présenta quelques semaines plus tard de pratiquer une nouvelle expérience particulièrement jouissive, et cela d’autant plus qu’elle mit en scène une troisième personne.
J’avais formé le projet de reprendre une société et avant toute décision, un audit des comptes était nécessaire. Alors que je venais de passer une partie de la journée avec mon collègue PDG pour prendre connaissance de la situation, Fabienne, mon experte-comptable, avait de son côté, au cabinet de son confrère, passé sa journée à vérifier des comptes.
Il était convenu que je passe la rechercher, pour l’emmener dîner et pour la suite, partager chambre et plaisirs coquins, Fabienne se révélant, à mesure de nos rencontres, une partenaire sexuelle particulièrement coquine, adorant la volupté, le libertinage, la lubricité sans tabous.
Veuve d’un mari étroit de mœurs, elle prenait, à 45 ans, une revanche accélérée et épanouie sur sa vie par de multiples plaisirs charnels, qu’elle n’avait pas eu la possibilité de vivre auparavant.
J’ai eu l’occasion de la décrire. Elle est brune, porte des cheveux mi-longs sur un visage ovale, a les yeux noisette et de fines lunettes sans monture qui lui donnent un air sexy. Elle est de taille moyenne, a de très agréables seins ronds (95 C), des hanches voluptueuses, une toison taillée, et des lèvres intimes parfaitement épilées, des fesses voluptueusement confortables, tout cela mis en valeur par un style bcbg, souvent strict, mais recouvrant des dessous de lingerie qu’il est d’usage de qualifier d’affriolante.

Arrivé au cabinet, une jeune femme d’une trentaine d’années semblait m’attendre et elle me conduisit vers le bureau qui avait été mis à disposition de Fabienne pour ses travaux.
Elle nous laissa après quelques minutes et aussitôt la porte repoussée, nous convînmes avec Fabienne, une fois que nos bouches se furent rencontrées et nos langues saluées, qu’une pause s’imposait sans plus tarder après cette journée laborieuse.
Assise près d’une grande table de réunion, et moi debout près d’elle, les fesses appuyées à la table, Fabienne n’avait qu’à tendre la main pour la poser sur ma braguette et caresser ma queue encore sage dans mon slip. Pour favoriser ma bandaison, elle n’hésita pas à soulever sa jupe de tailleur dévoilant ses bas gris fumé, attachés avec des jarretelles blanches. Une fine culotte de dentelle blanche très transparente laissait voir sa toison noire.
Tandis que je me perdais dans ce spectacle évocateur de plaisirs infinis, Fabienne sortait de la braguette dézippée ma queue déjà durcie et me la caressait doucement, la faisant bander rapidement. Elle se pencha pour l’embrasser, saliva sur le gland, et ne tarda pas à la mettre dans sa bouche.
— Hummm, elle est déjà grosse, ho Philippe que j’aime ta grosse queue, j’adore la sucer…
— Fabienne, ne parle pas la bouche pleine et applique-toi dans ta pipe.
Fabienne, dont la bouche chaude et moelleuse pompait ma bite, toute à son affaire, n’entendit pas le léger bruit qui attira mon attention. Je devinai que la jeune et charmante personne qui m’avait introduit écoutait à la porte et suivait tant la conversation que l’action commentée de Fabienne sur mon sexe dur.
— Tu sais, me dit-elle, j’ai pensé à ta pine aujourd’hui, j’avais hâte de la voir et m’en occuper.
— Fabienne, voyons, tu es de plus en plus nympho, chérie, mais que tu suces bien.

De sa main libre, Fabienne, tout en aspirant mon chibre, se flattait l’entrecuisse découverte, un doigt délicatement inséré dans sa culotte, entretenant une prometteuse humidité.
D’un coup d’œil, je lui fis comprendre que nous étions espionnés. Tout en continuant à sucer et à branler, elle m’interrogea du regard.
— C’est la fille de tout à l’heure, lui dis-je à voix basse.
Fabienne sourit mais rangea mon engin dressé dans ma braguette et rabattit sa jupe.
— Bon, Philippe, je crois que la journée a été suffisante, si nous allions dîner ?
— Ok Fabienne, allons-y.
— Claire, cria Fabienne, êtes-vous là ? Nous allons partir pour ce soir.
Claire entra, le rouge au visage, mais ignorant que nous l’avions surprise à nous épier. Claire est une femme de 28 ans, célibataire, aux jolis cheveux châtain. Elle nous regarda, curieuse sans doute de voir que nous avions repris une attitude normale et que nous étions habillés. Je remarquai néanmoins un regard dirigé vers ma braguette. « La coquine », je me dis…
Soudain, j’entendis Fabienne déclarer :
— Dites, Claire, Philippe et moi sommes seuls ce soir, nous pourrions vous inviter à partager notre dîner ? Nous avons réservé pour deux mais on nous mettra bien un couvert de plus. Tu es d’accord Philippe ?
— Euh…
— Allons Claire, vous m’avez dit que vous étiez seule en ce moment, ajouta Fabienne. Vous n’avez pas d’engagement, n’est-ce-pas ?
— Non, dit Claire, mais..,
— Allez, dites oui, cela nous fait plaisir. Philippe ?
— Bien sûr, oui Claire, venez.
— Bon alors, je veux bien, dit Claire.
— Très bien, nous avons réservé une table à l’Auberge de la Fontaine, un peu à l’extérieur de la ville, vous connaissez sûrement, on s’y retrouve à 20:00 heures ?
— Oui, d’accord, à tout à l’heure, dit Claire, qui nous raccompagna à la porte du cabinet qu’elle ferma.
Dans la voiture, la main sur la cuisse gainée de Fabienne, je lui demandai :
— Dis-moi Fabienne, quelle est la stratégie ? c’est pour lui tirer les vers du nez sur la boîte à reprendre ou tu as peut-être d’autres idées ?
— Tu verras bien, dit Fabienne, et téléphone au restaurant pour faire rajouter un couvert. Demande un coin tranquille.
Nous arrivâmes à l’Auberge, après nous être rafraîchis dans notre chambre, Fabienne ayant juste changé de culotte.
Installés dans un endroit isolé de la salle, dans une ambiance chaude et conviviale, une première coupe de champagne servie, nous attendîmes Claire quelques minutes, qui arriva bientôt, vêtue d’une jolie robe noire, lui arrivant un peu au-dessous des genoux, portant avantageusement un décolleté agréable. Nous étions assis autour d’une table ronde, revêtue d’une longue nappe.
— C’est vraiment gentil à vous, dit-elle après qu’elle ait également goûté au champagne.
Notre conversation fut des plus classiques en pareille circonstance. Nous évitions les deux sujets sur lesquels je m’attendais à revenir : les infos confidentielles sur sa cliente et la séance de fellation de fin d’après-midi, lorsque soudain Fabienne lui demanda carrément si elle nous avait, involontairement bien sûr, surpris, dans la salle de réunion et si oui, ce qu’elle en pensait.
— Euh, oui, avoua Claire en rougissant.
— Vous savez, Claire, dit Fabienne, Philippe est mon client et aussi un amant avec qui, euh, j’aime faire des choses disons coquines.
— Ho !
— Et vous, Claire, insista Fabienne, vous aimez l’amour, le plaisir, le sexe ? dites-nous tout.
— Bien sûr, comme tout le monde, avança prudemment Claire, gênée du tour pris par la discussion.
— Ho non, il y a des tempéraments très différents sur la question et même un personne peut changer du tout au tout dans sa vie sexuelle, n’est-ce-pas Philippe ?
— Bien sûr, je dis, tu en es un excellent exemple, Fabienne.
— C’est vrai, j’ai découvert les joies du sexe à 40 ans, Claire, vous vous rendez compte ? et depuis, il paraît que je suis une vraie coquine.
— Ho…
Claire nous regardait l’un et l’autre, un peu inquiète.
— Vous savez que Philippe adore les dessous sexy et coquins, Claire. Vous en portez ?
— Euh, je ne sais pas, enfin…
— Portez-vous des bas ? demanda Fabienne.
— Mais cela ne vous regarde pas.
— Ho s’il vous plaît, Claire, détendons-nous, poursuivit Fabienne, dites-moi à moi seulement, à l’oreille.
Fabienne se penche vers Claire, qui lui dit, et Fabienne sourit et me dit :
— Claire porte des dim-up sous sa robe, Philippe.
— Ho, Fabienne, proteste Claire.
— Vous savez, c’est comme ça que ça commencé avec Philippe, il a regardé mes bas sous une table.
— C’est vrai, je dis en souriant.
— D’ailleurs, il peut le faire maintenant s’il le veut.
— Ho c’est vrai, Fabienne ?
Au moment opportun, je me penche sous la table et sous la nappe je mate les cuisses découvertes de Fabienne, légèrement écartées, voyant ses bas et ses jarretelles. J’en profite pour jeter un œil à celles de Claire mais ses genoux sont serrés l’un contre l’autre.
— Dis donc, Fabienne, je le trouve bizarre ton porte-jarretelles, ce soir.
— Ah parce que c’en est pas un, peut-être ? indique Fabienne, mutine.
— C’est quoi alors ?
— Devine !
— Je donne ma langue au chat ou à la chatte, comme tu veux.
— Je préfère la chatte. Je porte une ? une ? guêpière.
Claire suit la conversation de plus en plus coquine.
— Et vous Claire, vous en portez parfois, une guêpière ?
— Ho non, je n’en ai pas.
— Je vous prêterai la mienne, dit Fabienne. Dites, Claire, vous voulez bien montrer à Philippe vos bas ? Il va se pencher sous la nappe comme pour moi.
Je regarde Claire en souriant.
— Ho oui, Claire, juste un regard, vous permettez ? écartez un peu les cuisses que je vois vos dim-up.
Je me penche et mate sous la nappe. J’aperçois toujours les jolies cuisses de Fabienne, qui les écarte exprès pour l’occasion, mais celles de Claire ne sont guère visibles. Comme je vais pour me relever je sens Fabienne qui l’encourage et Claire écarte ses jambes, me permettant d’apercevoir de jolis bas jarretières.
Je me relève.
— Vous avez de très jolies jambes Claire, vous savez. Vous savez mesdames, que je commence à être sérieusement excité.
— Philippe veut dire que voir nos cuisses et nos bas, ça le fait bander, précise Fabienne. Dis, Claire, tu permets qu’on se tutoie, ça te dit de voir la queue de Philippe ? Elle est superbe, tu sais, mais c’est vrai tu l’as un peu vue tout à l’heure.
— Ho Fabienne, vous êtes, tu es coquine, dit Claire qui regarde autour d’elle, un peu affolée.
La coquine ne refuse pas et, sous le regard de mes deux compagnes, j’entreprends, caché par la nappe et la serviette, de défaire ma braguette pour sortir mon engin de mon pantalon. Fabienne se penche pour le regarder. Je lui exhibe bien.
— À toi, Claire, regarde sa queue comme elle est belle.
Claire regarde mon sexe dur à côté d’elle.
Je pose la main dessus et, devant Claire, je commence à me masturber discrètement. Fabienne me regarde aussi, et se baissant, elle retire sa culotte par de brèves contorsions sur sa chaise.
Elle me la donne, je la porte à mon nez pour sentir son parfum et son excitation et, devant Claire qui mate en coin, je continue à me branler, la queue entourée de la culotte d’Fabienne.
— Claire, retire aussi ta culotte, demande Fabienne.
Elle nous regarde et, finalement, après un coup d’œil circulaire, mais constatant qu’on ne la voit guère de la salle, elle se penche et retire un joli string noir. Fabienne tend la main et Claire le lui remet. Aussitôt, Fabienne le porte sous son nez, respire la culotte de Claire et; satisfaite, me la passe. Je fais de même en regardant Claire.
Je retire la culotte de Fabienne qui encerclait ma queue et, un slip dans chaque main, je compare les odeurs, sous le regard des deux femmes qui semblent attendre mon jugement, comme si je goûtais le vin avant de le boire, je teste la chatte avant de la manger.
— J’aimerais en savoir plus, je dis.
— Comment cela ? demande Fabienne.
— Trempez-vous un doigt et donnez-le-moi à goûter.
Les deux femmes se regardent et Fabienne, toujours prête pour faire ce genre de choses, glisse sa main sous la nappe et se met un doigt en nous regardant. Elle le retire et je me penche pour lécher et sucer son doigt.
— Humm, vraiment délicieuse, cette mouille. À toi Claire.
Hésitant quelques secondes, on la voit passer son bras sous la nappe et on devine qu’elle se touche. Elle ferme les yeux et me redonne son doigt luisant de sa mouille. Je le goûte et le lèche, appréciant l’exhalaison de son minou.
— Fais-moi goûter aussi, Claire, demande Fabienne.
Claire, maintenant très excitée par nos jeux coquins, remet sa main entre ses cuisses et donne son doigt à sentir et lécher à Fabienne, qui semble apprécier. Fabienne, naturellement, fait de même, et Claire a aussi le plaisir de sentir la mouille de sa compagne.
Pour ma part, je continue à me masturber sous la nappe en ayant indiqué qu’il y a une nuance de goût et de parfum dans les mouilles respectives, mais que les deux sont excitantes et me font encore plus bander. Fabienne se penche quand le service le lui permet et avec sa main m’agrippe la hampe pour quelques aller et retour vigoureux de branlette.
— À toi aussi, Claire, prends-lui sa queue et astique-le, propose Fabienne.
— Ho non, pas ici, dit Claire.
— Mais si, personne ne fait attention à nous. Vas-y. Et puis j’ai l’impression que tu aimes ça.
— Oui, bien sûr, vous êtes des cochons mais…
Elle avance sa main vers moi sous la nappe. Je sens ses doigts qui serrent mon gros engin. La situation m’excite beaucoup et je sais qu’il en faudra peu pour que j’explose.
Fabienne a passé une main sous la nappe et je devine qu’elle se masturbe aussi. Je vois même son bras qui va vers Claire et je me dis qu’elle doit lui caresser la cuisse et peut-être plus haut. Claire la regarde et sourit.
— Vous allez me faire jouir, les filles.
Je reprends ma queue entre mes doigts et accélère le mouvement sentant le sperme monter dans ma colonne. Soudain, je jouis, explosant dans la serviette damassée, sous le regard de mes deux coquines sans culotte.
Fabienne tend la main après quelques instants.
— Donne-moi ta serviette, demande-t-elle.
Je la lui donne. Elle la déplie et, voyant le foutre blanc sur le tissu, elle commence à en lécher. Mais la cochonne est généreuse et elle la tend à Claire. Il reste encore du sperme et je vois Claire, sans hésiter, qui porte cette sauce à sa bouche et lèche mon jus avec délectation, tandis que la main de Fabienne s’agite sous la table et qu’elle se fait jouir avec un petit gémissement annonçant son plaisir.
Après que les deux affamées aient lapé le foutre, et apprécié sa saveur en guise de dessert, le dîner touche à sa fin et, voyant Claire encore tout excitée, je propose que nous allions avec Fabienne lui montrer notre chambre.
(À suivre)
Brigitte
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