Voilà quelque temps que je connais Fabienne, ma comptable, qui vient périodiquement arrêter et vérifier les comptes de mon entreprise. Elle a remplacé mon comptable antérieur et je n’ai rien perdu au change.
Fabienne est veuve, brune, 45 ans ou un peu plus, cheveux mi-longs, de charmantes lunettes sans monture, des yeux noisette, de jolies formes, des rondeurs bien placées que l’on imagine sous son tailleur de femme d’affaires BCBG. Mais aussi très réservée et sérieuse, du moins je le croyais.
En cette fin d’après-midi, les employés partis, nous avancions sur nos dossiers, concentrés et attentifs, quand mon stylo roula sur le bois du bureau et tomba sur la moquette.
Je me penchais sous la table pour le reprendre et je découvris alors un spectacle particulièrement intéressant et plus qu’excitant : les jolies cuisses croisées de Fabienne, sa jupe de tailleur relevée et laissant voir non seulement ses jolis bas, mais aussi, traversant la peau nue de sa cuisse avec une jarretelle noire et rouge. Comble de la situation, elle en profita pour décroiser et recroiser ses jambes, de telle sorte que je vis nettement le haut de ses cuisses, son porte-jarretelles et un instant furtif, la dentelle noire et ajourée d’une culotte qui me sembla minuscule.
Je restais ainsi contemplant les jambes gainées de Fabienne, quelques secondes de plus que nécessaires au simple ramassage de mon stylo.
En me relevant, je vis que Fabienne souriait d’un regard en coin, parfaitement complice.
— Alors, ça vous a plu ? me demanda-t-elle, faussement ingénue.
— Euh… je dois dire, Fabienne, que c’était tout à fait… intéressant, bredouillais-je. Une femme portant des bas avec porte-jarretelles, ça me met dans tous mes états… osais-je dire.
— Oh, vous voulez dire que cela vous fait bander ?
— Euh, oui, Fabienne pour être franc avec vous, vous m’avez réellement excité.
— Vous voulez revoir ?
— Ho, Fabienne, oui bien sûr.
— Inutile de faire tomber votre stylo cette fois-ci, ajouta-t-elle.
Je me penchais de nouveau pour mater les cuisses de ma surprenante comptable. Elle releva la jambe du haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je pus observer son entrecuisse, la lisière à large motif des bas et les jarretelles lui barrant la peau. Les yeux exorbités, je m’excitais de regarder sa culotte tendue sur son pubis. Je vis sa main se poser sur sa cuisse et de ses ongles longs jouer avec une jarretelle en touchant la dentelle de son string.
Je me laissais alors glisser à terre et, à quatre pattes, j’avançais audacieusement sous le bureau vers la fourche de ses jambes maintenant ouvertes. Je posais la main sur son genou, faisant crisser le bas et lui caressais doucement la cuisse. Je voyais et entendais son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière très érotique. La fragrance de son entrecuisse m’excitait de plus en plus.
Progressant encore, je posais mes lèvres sur sa cuisse, l’embrassant par-dessus son bas, puis l’autre jambe, de la même façon. Je ne me posais plus de question, elle me laissait faire. Je continuais à remonter, léchant ses bas, caressant ses mollets, ses genoux.
Elle avançait son bassin vers moi, et soudain ma bouche atteignit sa motte, se posa sur la dentelle du string. Je humais son délicieux parfum et sentais son désir. Je tournais la tête pour embrasser et lécher la peau nue de ses cuisses en haut des bas. C’est elle qui écarta de son doigt sa culotte pour me faire découvrir une jolie chatte aux lèvres épilées, magnifique, craquante et humide.
Je plaquais dessus ma bouche et mes lèvres gourmandes. J’ouvrais son huître de ma langue et cherchais le clitoris dur, excité, émergeant de sa gangue. Je commençais à lécher ma comptable et lui sucer son bouton. J’avalais délicieusement le jus de son excitation.
— Ho oui, léchez-moi la chatte, c’est bon, j’aime…
— Mmmmffff.
— Ho Philippe, vous me faites mouiller, continuez, ho c’est bon, c’est divin, encore oui.
Elle soupirait, gémissait, écartant ses cuisses, la jupe de son tailleur relevée. Elle posait maintenant un pied sur le bureau pour être encore plus écartée, plus disponible, plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir.
D’un coup d’œil, je la vis dégrafer son chemisier, se toucher les seins d’une main, l’autre se posant sur ma tête.
— Ho… Philippe, continuez, oui, vous léchez bien… vous allez me faire jouir… ho ouiii.
— Vous permettez que je vous doigte en même temps, Fabienne ? lui demandais-je, la regardant, lisant le plaisir dans ses yeux, ma bouche pleine de sa cyprine généreuse.
— Oui… ho oui, mettez-moi vos doigts.
Sans plus d’hésitation, je lui enfonçais mon index dans la chatte et commençais à coulisser tout en mangeant son abricot, aspirant son bouton bandé. Avec mon majeur, je lui caressais la raie, excitant sa rosette frémissante, ma bouche plaquée sur son minou. Soudain, je la sentis, puis la vis se crisper, se tendre. Une longue plainte, un feulement s’ensuivit. Fabienne, ma comptable, jouissait sous ma langue, avec deux doigts dans sa chatte.
Elle reprenait ses esprits, je me relevais. Je vis son regard viser la bosse de ma braguette. J’étais tendu à craquer devant elle, impudiquement offerte, cuisses écartées, exhibant ses bas avec ses jarretelles, ses seins sortis des bonnets de son soutien-gorge, qu’elle continuait d’exciter d’une main.
— Approchez, Philippe, me dit-elle mettant sa main sur ma braguette et serrant ma queue tendue à travers le tissu.
— Fabienne, quelle coquine vous faites.
Je lui souriais.
— Vous n’avez rien vu, me dit-elle en baissant la fermeture éclair de mon pantalon et dégrafant ma ceinture.
— Montrez-moi alors.
— Il a l’air bien gros votre engin, Philippe, ho oui, j’ai envie de votre queue…
— Elle est à toi, Fabienne.
Elle la sortit rapidement de mon slip, se pencha dessus et de sa langue commençant à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main.
— Hoo, elle est belle ta bite, Philippe. Tu me fais envie, donne-la-moi vite, j’en ai envie.
Sur ce, elle l’avala jusqu’à la gorge et commença à bien me la sucer, alternant les coups de langue, la branlant avec sa main, l’enfonçant à fond dans sa gorge, pour la faire ressortir toute luisante de salive.
— Tu suces bien, Fabienne. Ho dis, tu me surprends, tu sais.
Cet encouragement l’amena à accélérer sa fellation experte. Je sentais que je n’allais pas tarder à exploser, excité comme j’étais par l’érotisme torride de cet intermède sexuel impromptu.
— Attends, me dit-elle, en se levant et s’asseyant sur le bureau, cuisses écartées devant moi. Tu aimes les bas, je vois, viens par là…
Je m’approche, viens entre ses cuisses. Elle glisse ma queue à l’intérieur de son bas, sous la jarretelle et me branle ainsi, soupesant et pressant mes couilles de l’autre main.
Je lui caresse ses seins et les pelotes en même temps, me penche pour les lécher, les sucer, sentant les pointes dures entre mes lèvres et, soudain, très excité par la situation, sentant ma queue glisser entre sa peau chaude et le voile du bas qui la serre, j’explose et inonde sa cuisse de sperme. J’ai l’impression qu’elle jouit de nouveau, de manière moins spectaculaire, mais diffuse et profonde. Les yeux chavirés par le plaisir, elle presse ma bite et mes couilles pour en extirper tout le suc.
Je me retire de son bas, regardant le foutre blanc étalé sur sa cuisse souillant son joli bas noir.
Elle me sourit.
— Ho Philippe, c’était super, tu sais.
C’est ainsi que nous terminâmes notre première séance sexuelle, avant de reprendre notre travail.
Elle m’indiqua plus tard qu’elle avait eu une folle envie de se faire baiser et même enculer, elle adorait ça, mais pour elle aussi c’était imprévu et elle n’avait pas de préservatifs à proposer. Ces propos tenus dans sa bouche de femme d’affaires BCBG, mais coquine me firent rebander immédiatement, mais ce soir-là nous en restâmes à cette première expérience, tout en nous permettant quelques gestes coquins, moi sous sa jupe ou dans son décolleté, et elle sur ma braguette bien remplie.
À suivre
Brigitte
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