Je ne vous raconterai pas la séance dans la chambre d’auberge avec Fabienne, mon expert-comptable, et Claire, après notre séance au restaurant, fin de soirée qui fut pour moi une expérience délicieuse avec deux coquines, surtout lorsqu’elles me sucèrent à deux… quelle volupté, deux bouches en même temps sur la queue, les couilles et même le cul. Elles découvrirent aussi qu’elles étaient bisexuelles.
Je vous ai déjà présentée Fabienne, 45 ans, veuve, brune, des cheveux mi-longs sur son visage ovale, yeux noisette et de fines lunettes sans monture. De taille moyenne, elle a de très jolis seins ronds aux mamelons formés, (95 C), des hanches accueillantes. Sa toison brune est taillée sur son pubis mais épilée sur ses lèvres intimes. Ses fesses délicieusement souples et hospitalières à toutes sortes de plaisir, l’ensemble revêtu le plus souvent de stricts tailleurs bcbg, mais avec des dessous de lingerie sexy.
En cette fin de journée, nous terminions de boucler les comptes de mon entreprise. Fabienne avait fait faire une partie du travail par un stagiaire, José, qui commentait avec elle les chiffres clés.
J’écoutais, certes, ces informations, d’autant plus que des bénéfices substantiels avaient cette année encore été réalisés, mais mon attention avait tendance à se porter de plus en plus vers Fabienne. Elle portait ce jour-là un tailleur gris avec une veste croisée.
Fabienne de son côté semblait prendre de la distance et elle me regardait, penchée en avant, faisant bâiller sa veste, de telle sorte que je vis nettement le sillon de ses seins mis en valeur par son soutien-gorge de dentelle rouge.
Des coups d’œil de plus en plus fréquents sur ce décolleté ainsi exposé me faisaient perdre le fil des explications chiffrées toujours débitées par le jeune stagiaire.
Fabienne alors ne trouva rien de mieux à faire qu’à croiser ses jambes, faisant remonter sur ses bas beige l’étroite jupe grise de son tailleur strict.
José finissait par se rendre compte que mon attention était accaparée par d’autres intérêts que mon compte de résultat.
Il hésita, risqua un œil sur le décolleté de sa patronne, rougissant un peu, mais Fabienne lui rappela aussitôt :
— José, voyons, continuez, s’il vous plaît, à présenter les excellents chiffres de notre estimé client.
— Euh, oui, madame…
— Vous n’êtes plus à votre affaire José, que se passe-t-il ? demanda Fabienne, faussement ingénue et garce à souhait.
— C’est que, euh, madame, on voit votre… soutien-gorge…
— Ho et alors, il ne vous plaît pas ?
— Euh si, madame, mais…
— Alors ?
Mais la coquine ne fit rien pour dissimuler les deux objets du délit, bien au contraire. Je me demandais où elle voulait en venir.
— Dites donc, José, mes seins vous intéressent plus que votre travail ? Dites-le-moi de suite…
Elle se tourna vers lui, dévoilant ses cuisses gainées de soie beige, légèrement ouvertes, suffisamment pour lui permettre d’apercevoir la peau nue en haut de la lisière des bas et les jarretelles lui barrant la cuisse.
Je vis José, le visage empourpré, regarder le fabuleux appel à la lubricité déclenché par cette superbe paire de cuisses aux bas beige.
— Ça vous intéresse, petit vicieux ?
— Ho Madame…
Excité par la situation, je matais aussi, posant la main sur ma braguette.
Fabienne continuait son numéro de garce exhibitionniste, relevant maintenant très haut sa jupe laissant ainsi voir ses cuisses ouvertes et son string tendu sur sa motte.
Elle nous regardait de son petit air vicieux et elle commença à écarter sa culotte nous faisant découvrir sa chatte épilée et ses lèvres intimes luisantes de désir.
— Alors, ça vous plaît, les hommes, je vous fais bander, au moins ?
— Euh… articula José.
— Bien sûr, Fabienne, lui répondis-je avec un sourire.
— Alors montrez-moi vos bites…
Nous nous regardâmes, José et moi, et celui-ci me vit défaire ma braguette et extirper ma queue déjà bandée. Après quelque hésitation, il fit de même et nous nous trouvâmes tous les trois en train d’exhiber notre sexe, une jolie chatte que Fabienne s’excitait de ses ongles et deux belles bites en pleine forme.
— Montrez-moi bien vos queues, je veux les voir. Levez-vous.
Elle enleva d’un mouvement preste sa culotte pendant ce temps et d’une main continua à se toucher entre les cuisses. Nous approchâmes d’elle.
Nous étions l’un et l’autre debout, de chaque côté de la table, queue bien dure dans la main, le gland a touché un sein sorti du soutien-gorge. Fabienne nous prit la queue et commença à nous masturber, nous exciter le gland de ses ongles vernis.
Bientôt, nous nous mîmes nus, José et moi, tandis que Fabienne se débarrassait de sa jupe et restait en dessous affriolants, bas beige de dentelle, porte-jarretelles blanc, soutien-gorge balconnet pigeonnant assorti au string posé sur la table. Elle était excitante au possible et littéralement bandante. Elle nous matait d’un regard vicieux derrière ses fines lunettes, admirant nos bites dressées devant elle.
Elle prit la direction des opérations et nous demanda soudain :
— Branlez-vous devant moi.
José et moi portâmes immédiatement la main sur notre queue, commençant à nous astiquer devant une Fabienne particulièrement excitée qui se palpait les seins en faisant rouler ses tétons sous ses doigts.
Au bout de quelques instants, elle ajouta :
— Non, je veux dire branlez-vous réciproquement, je veux voir deux hommes se toucher la bite…
— Mais Fabienne, balbutiai-je, nous…
— Quoi ? vous n’êtes pas des pédés et alors ? ça ne veut rien dire. Et toi, hypocrite, me dit-elle, tu n’as pas profité, l’autre soir, entre Claire et moi ? cochon ? ça te plaisait de voir deux femmes ensemble…
— Euh oui, bien sûr…
— Alors, exécution, ça m’excite.
Regardant José, j’avançai la main vers sa queue et la pris entre mes doigts, la masturbant sur le sein de Fabienne qui regardait cette bite devant ses yeux, ce gland qui touchait son mamelon, avec ma main dessus qui coulissait.
— À toi, José, dit-elle.
Il prit à son tour ma queue pour la caresser tandis que Fabienne matait et agitait sa main entre ses cuisses.
— Ho ça m’excite de voir ça.
Elle se mit sur ses coudes, se levant légèrement de la table, José et moi, nus, debout devant elle à nous branler, la main autour de la pine de l’autre. Je sentais la queue de José vibrer sous mes doigts et soudain je me dis pourquoi pas.
Je me penchai et posai ma bouche sur le gland, le léchant de ma langue puis embouchai cette bite devant moi. C’était ma première fellation. José avait l’air d’apprécier et Fabienne ne perdait pas une miette en se masturbant.
Je continuai de sucer cette belle bite. Fabienne vint se mettre à genoux près de nous, sur la moquette, je sentis sa main qui me caressait les fesses.
— Vas-y, Philippe, suce-le bien. Dis donc, tu as l’air de faire ça bien cochon. Il te suce bien, José ?
— Euh oui, Madame, euh, Fabienne, oui.
— Tu vas le lui faire, après.
J’écoutais ces commentaires excitants tout en continuant ma pipe, salivant sur ce jeune braquemart. Levant la queue, je léchai les testicules. José fermait les yeux de plaisir et Fabienne lui passait une main sur les fesses.
— Allez. Changez un peu. À toi, José, suce-le. Tu l’as déjà fait ? dis-moi ?
— Euh, une fois, avec un copain oui.
— Alors vas-y, dit-elle, et toi, Philippe, viens sur la table et allonge-toi.
Je me mis dans la position souhaitée et écartai les cuisses en les relevant sous le geste de Fabienne.
Celle-ci s’assit par terre et voyant bien mon cul, commença à le lécher tout en faisant signe à José de se pencher sur moi pour me sucer la queue.
Elle attrapa en même temps la bite de José et la branla en me suçant la raie tandis que la bouche de José coulissait sur ma pine bandée à mort.
Fabienne ne tarda pas à mettre un doigt dans mon anus tandis que sa bouche gobait mes couilles. Bientôt ils me sucèrent ensemble.
À ce traitement, je ne pus résister longtemps et j’éjaculai sur les bouches et les langues de mon suceur et de ma suceuse.
Fabienne, maintenant à quatre pattes sur la moquette de son bureau, offrait sa croupe à José qui n’hésita pas et enfonça son dard turgescent dans la chatte trempée de sa patronne, baisée en levrette.
Observant quelques instants ce spectacle en me masturbant, je me glissais en 69 sous les fesses de Fabienne, lui présentant de nouveau ma bite à lécher, ce qu’elle fit évidemment avec grand appétit. J’avais en pleine vision la queue de José allant et venant dans le con d’Fabienne.
Je me mis à sucer alternativement le clitoris bandé et les couilles de José.
La bouche habile de Fabienne ne tarda pas à me faire bander de nouveau, de telle sorte que l’envie d’explorer un nouveau trou de mon expert-comptable me parut un excellent projet.
Je demandai à José de s’allonger par terre et à Fabienne de venir sur lui pour de nouveau s’enfourner la grosse bite dans la chatte baveuse de plaisir.
Fabienne me darda un regard d’une extrême lubricité en comprenant la manœuvre, puisqu’elle m’offrit ses somptueuses fesses bien écartées, avec une rosette palpitante de désir.
Lubrifiant de salive cet anus doré plus qu’appétissant, je ne tardai pas à sodomiser Fabienne, doublement pénétrée.
La sensation est extraordinaire de sentir contre ma bite, de l’autre côté de la fine paroi, celle de José qui pilonnait la chatte de Fabienne. Nous accordâmes rapidement notre rythme de pilonnage tandis que Fabienne gémissait et criait de plaisir, parfaitement sandwichée.
— Ho mes coquins, c’est super, vos queues, oui, défoncez-moi… encore, bien à fond.
— Elle aime ça, on dirait, dit José.
— Sache, mon garçon, qu’enconnage et enculage sont les deux mamelles du plaisir, lui répondis-je.
Bientôt, je sentis que José explosait et répandait un généreux foutre dans le con de sa patronne, ruisselante d’orgasmes magnifiques.
Je ne tardai pas à jouir de nouveau, ma bite explosant au fond du cul bien accueillant de Fabienne, mon expert-comptable.
A suivre
Brigitte
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