Femme à décoincer Chapitre 25 et fin
Paul est heureux, il jubile sa femme vient de lui faire une fellation pour la première fois. Il la regarde longuement, ses yeux pétillent de bonheur. Justin en veut plus, depuis longtemps le bougre désire sa maman, enfin il l’a sent prête à commettre plus de délires, et il veut conclure. Il la prend par la main, la fait lever du canapé, et l’enlace, il la serre très fort, et pose ses lèvres sur les siennes. La maman se cabre et tente de détourner la tête vainement. Le coquin à déjà investit la bouche de sa maman avec sa langue agile. Il noue sa langue à la sienne. Aurélie souffle bruyamment, sa respiration s’accélère. Un flot de salive lui remplit la bouche, surprise par le flot salé, elle reste figée. Mais peu à peu, elle avale le jus.
Sans savoir pour quelle raison, elle prend son fils par le cou, et lui rend son baiser. Sa langue se noue à la sienne, comme deux reptiles qui cherchent à s’accoupler, un flot de salive se mêle. Justin de laisse tombé dur le canapé, il entraine sa maman. Elle se retrouve sur lui, coincé entre ses jambes, son ventre appuie fortement sur le verge de son fils, mécaniquement Aurélie, se contorsionne sur le membre qui semble gonfler encore plus, elle s’accroche à son fils, elle est très fébrile. Justin lui souffle à l’oreille :
-Monte sur ses genoux maman, et empale toi sur moi, je n’en peux plus !
La maman prend la pose, elle se met sur la pointe des pieds, et saisi la verge de son fils, qui est dure comme du bois. Elle sent dans sa main le sang battre au travers des grosses veines apparentes. Elle dirige le manche épais vers sa vulve dégoulinante, la place contre ses grandes lèvres et avec une certain inquiétude, elle descend doucement son corps. le grand appuie sur les lèvres humides, les écarte et pénètre lentement dans le conduit brulant. Aurélie geint doucement pendant la pénétration. Lorsque les couilles bien pleines, viennent en contacte avec sa vulve. Automatiquement, elle s’agite en s’accrochant au cou de son fils amant. Paul regarde émerveillé, sa femme ose l’impensable, une nouvelle position.

Elle monte et descend sur le pieu de chair qui lui fore le ventre, en geignant de plaisir. Paul ravale sa salive, sa femme s’agite comme une forcenée, il ne l’a jamais vu dans un état pareil. Sa bite se raidit, il doit la caresser pour atténuer le flux sanguin. Aurélie semble s’acharner sur le pal, elle pousse un gémissement à chaque descende de son corps. Paul se penche, il observe la pastille brune ridée, qui ne cesse de s’ouvrir et de se refermer. Il ne peut s’empêcher de poser un doigt dessus, a chaque descente du corps de sa femme, son doigt appuie plus fort sur la rondelle qui parait bien souple. C’est étrange sa femme ne repousse pas le doigt taquin, au contraire elle est tellement excitée, qu’elle cherche inconsciemment une petite pénétration anale.
Elles s’agite tellement, qu’elle parvient à ce qu’elle rechercher, la première phalange du doigt s’enfonce dans son anus. Aurélie grimace, puis, elle se laisse tomber de tout son poids. Le doigt s’enfonce entièrement dans son rectum, elle fait une moue, puis contre toute attente, elle reprend sa chevauchée, en soufflant comme un taureau qui va charger. Son mari est surprit du changement d’attitude de sa femme, elle qui rechignait sur l’acte sexuel, là la coquine se donne à fond. Paul en profite pour ajouter un second doigt. Aurélie pousse un grognement, et reprend ses montées et descentes. Paul, tourne ses doigts comme il peut dans le conduit anal, fouillée profondément, Aurélie s’agite en poussant des gémissements de bête blessée.
Paul au travers la fine paroi qui sépare les deux orifices, sent la bite de son fils voyager dans le conduit il a l’impression qu’il peut la saisir. Aurélie, croit que les visiteurs sont sans le même conduit. Son corps fébrile, monte et descend comme un ascenseur, sur la verge plantée dans son ventre. Une violente jouissance la fait hurler, elle se plaque contre le torse de son fils, en haletant. Le bougre lui remplit le ventre de sa semence. La jouissance terrible d’Aurélie, produit une contraction du muscle rectal, qui fait que les doigts de Paul, sont prisonniers un instant dans le conduit étroit. L’anus se met se contracter et se décontracter constamment, Paul, a l’impression que l’anus de sa femme lui fait une fellation. Il n’en revient pas, il retire ses doigts et caresse l’anus secoué de spasmes violents.
Paul observe l’anneau rider, il voudrait bien y mettre sa queue, mais craint que sa femme ne le repousse comme, à chaque fois. Lentement Aurélie se désaccouple, elle est en sueur, elle reste comme tétanisée devant la verge gluante de son fils, qui est secouée de soubresauts. Elle a du mal à croire, qu’elle a pu faire une chose pareille. Elle regarde son mari qui bande comme un cerf, elle dit :
-Oh mon chéri, je suis une catin, j’ai honte de ce que je viens de faire !
Paul l’embrasse chaudement et lui répond :
-C’est magnifique ce que tu viens de faire ma chérie, continue donne-toi à fond sans tabous, tu es sur la bonne voie, je désir tellement que tu acceptes d’autres pratiques, pour que tu profites bien des plaisirs du sexe, même avec notre fils, fais-le, fais-le !
Elle regarde son mari en faisant une moue et dit :
-Paul, mon chéri, tu entends quoi par d’autres plaisirs sexuels !

Un peu embarrassé, son mari se racle fortement la gorge et répond :
-Eh bien par exemple, la sodomie, la double pénétration, hum, et bien d’autres encore !
Elle regarde la verge de son fils et en fronçant les sourcils réplique :
-Tu veux que je prenne dans les fesses un gros machin comme ça, tu es fou Paul, cela doit être douloureux !
Il répond :
-Je viens de te fouiller l’anus avec deux doigts, et il m’a semblait que cela ne te déplaisait pas, ma chérie, tu peux faire mieux tu sais, tu en as les capacités. Il faut tenter ma chérie, connaitre d’autres jouissances !
Aurélie ne quitte pas des yeux la verge gluante de son fils, elle tend la main et maladroitement, la saisit. Elle la décalotte doucement à font, observe de longues minutes l’objet de chair dressé comme un mat. Le chapeau charnu, la fait saliver. En ravalant sa salive, elle dit faiblement :
-Je n’ose pas mon chéri, c’est humiliant d’être prise par derrière, j’aurai trop honte, là tu m’en demandes beaucoup !
Paul en soupirant dit :
– Essaye seulement, avant de culpabiliser, ma chérie !
Elle regarde la verge de son mari, elle constate qu’elle est moins imposante que celle de son fils, elle dit pas très rassurée !
-Paul je veux bien essayer, mais avec toi, ton membre est moins gros que celui de Justin, j’aurai surement moins mal !
Paul sursaute et répond :
-Oh merci ma chérie, je ferai très attention, mets toi à quatre pattes !
Aurélie prend la pose, gênée par la posture, elle marmonne :
-Nous sommes comme des animaux, dans cette position !
Paul, se place derrière elle, caresse doucement l’anneau ridé, avant de plaquer sa bouche sur l’anus. Aurélie se cabre en poussant un gémissement. Son mari lèche le muscle qui se met à frémir. Il appuie avec son appendice lingual, sur l’œillet fripé et pousse. Après plusieurs tentatives, la pointe de sa langue pénètre dans le canal étroit. Il l’enfonce le plus loin qu’il le peut, et fouille tant bien que mal la gaine fortement serrée. Sa femme pousse des gémissements :
-Mon dieu, Paul, Paul c’est démoniaque ce que tu me fais, oh mon Dieu, c’est terrible. Sans s’en rendre compte, elle agite sa croupe en geignant de plaisir. Justin se manifeste :
-Oh maman tu vas jouir du cul pour la première fois, vas-y papa, vas-y elle est au bord de l’explosion !
Aurélie a le souffle court, enne geint comme une bête malade. Paul avec ses mains, lui écarte les fesses au maximum. Il réussit à enfoncer sa langue un peu plus loin dans le rectums sa femme ne peut retenir :
-Paul, Paul, oui, oui je jouiiiiiiiiiiiiiiiis !
Une jouissance anale, encore inconnue d’elle la fait hurler :
-Paul, je suis une grosse salope qui se fait bouffer le cul, oh c’est bon, encore, encore, mon chéri !
Paul se redresse, et présente à l’anus fiévreux, deux doigt. Il les enfonce lentement jusqu’aux dernières phalanges, et commence un lent ramonage de la gaine. Tourne ses doigts dans le conduit, le fouille, tente de l’assoupir le mieux possible. Aurélie est au bord de la syncope, elle grogne comme un animal agonisant. Enfin Paul pl ce sa verge contre l’anus entrouverte. Il saisit sa femme par les hanches et pousse. Aurélie serre les dents, l’engin s’enfonce dans son rectum en le dilatant. elle grimace, mais ma douleur est supportable, Paul lui a bien travaillé le cul. lentement le membre gonflé de désir avance dans la gaine distendue. lorsque les couilles frappent les fesses, c’est le signal. Paul commence le pilonnage il accélère en suivant le rythme des gémissements de sa femme.
Pour Aurélie c’est sa première sodomie, son rectum commence lentement à s’habituer au calibre de la verge. Au bout d’un moment, elle commence a agiter sa croupe, en geignant. Justin émerveillé par l’exploit de sa maman, dit :
-Oh maman tu l’as toute dans ton cul, vas-y agite toi agite bien ton cul, tu vas jouir comme une dingue !
Paul lui défoncé le cul pour la première fois, il est surexcité, il ne la ménage pas, il la démonte comme un sauvage. Soudain Aurélie se cabre e, poussant un hurlement, une jouissance atroce lui traverse le ventre, c’est si intense, qu’elle laisse tomber sa tête sur ses avants bras, en geignant comme une bête malade. Paul en serrant les dents, lui remplit de cul de semence. Il se retire et invite son fils a prendre la suite. Justin qui n’attendait que ce moment embroche sa maman comme un soudard, comme sa bite est plus importante que celle de son papa, sa maman grimace grimace fortement. Courageusement, Aurélie subit la sodomie. Elle repend ses gémissements, le ramonage violent que lui impose son fils, l’amène à une nouvelle jouissance. Elle reçoit une décharge abondante se sperme dans son rectum.
Justin en regardant sa maman haletante sur le sol dit ave un peu d’excitation dans la voix :
-Oh maman, maman, comme tu es étroite, c’est merveilleux, je t’aime, je t’aime ma petite maman depuis le temps que je te désirai, enfin ce jour bénit est arrivé !
La maman encore secouée par des soubresauts de jouissances, n’a pas la force de répondre. Paul l’aide à se relever, il l’embrasse fougueusement, puis en la serrant très fort dans ses bras lui dit :
-C’est magnifique, Aurélie enfin tu te lâches, maintenant, le summum des plaisirs sexuels, c’est la double pénétration, nous allons te faire jouir jusqu’à ce que tu demande grâce !
Paul prend place sur une chaise et invite sa femme à s’empaler sur sa queue, encore recouverte de résidu visqueux de sperme. Aurélie l’enjambe avec peine, elle s’emboite sur la verge tendue de son mari, qui rapidement la plaque contre son torse. Justin s’approche et lui prend le cul sans se poser de question. Aurélie a l’impression que les des verges sont dans le même orifice. Elle dit faiblement :
-Mon Dieu, comme vous m’ouvrez mes chéris, oh c’est bon !
Les deux hommes la démontent jusqu’à ce qu’elle hurle de jouissance, son corps tremble, les bites voyagent dans son corps en la faisant geindre. Elle s’agrippe à son mari ses dents sont serrés, une grimace affreuse déforme son visage. Une ultime jouissance la fait cabrer. Enfin ses deux amants, lui remplissent le ventre et le cul de sperme. Depuis ce jour, Aurélie a complétement changée, elle est devenue demandeuse. Régulièrement, elle subit avec bonheur les nombreux assauts de ses amants.
Linsee
Excellentissime bravo et merci de ce bon moment de jouissance