Brigitte s’exhibe dans un bar
Nous nous rendons dans un bar rock, dont nous avons nos habitudes, comme tous les vendredis. Et chaque fois, la fête est à son comble. Et comme à chaque fois, Brigitte, s’habille sexy, d’une robe en laine, de bas autofixant et de bottes et donc sans sous-vêtements.
L’apéro au comptoir s’éternise comme toujours, puis nous passons à table et les têtes commence déjà à tourner un peu. Notre conversation commence à s’échauffer aussi et je lui demande si comme à son habitude elle était nue sous sa robe. Elle me dit : « Oui, bien sûr, si tu veux vérifier, je vais aux toilettes, tu peux me suivre. »
Elle part aux toilettes et moi 10 secondes plus tard je la suis. Elle m’attendait dans le petit couloir sombre qui séparait les toilettes H/F. Elle leva sa robe, déjà désinhibée par l’alcool, elle n’avait plus peur que quelqu’un la surprenne, sachant que le bar était plein, et pouvait justifier qu’elle était totalement nue sous sa robe et une jolie chatte toute lisse. Je sentis automatiquement mon pantalon gonflé et mon cœur s’accélérer à la vue de ma belle salope.
On alla faire chacun, respectivement faire nos petits besoins et allons-nous rasseoir à notre table, ou une bonne bouteille de vin nous attendions. Verres après verres, la folie envahissait ma femme et moi aussi. Toutes les idées les plus farfelues traversaient mon esprit.
Entre-temps un ami de longue date vint nous rejoindre, et obligé, offrent sa tournée et le repas terminé, nous allons nous asseoir sur les tabourets de comptoir. La robe de madame remontait et laissant apparaître le haut de ses bas, exposés bien sûr à la vue de tout le monde qui pouvaient admirer. La discussion démarrait avec de franches rigolades avec notre ami. Et, d’un coup lui dit en baissant les yeux sur le haut de ses bas : « Hummm c’est joli se que je vois la ». Et elle lui répondit, d’une voix un peu virevoltante : « et encore tu n’as rien vu ».
Il lui répondit « Ben dit donc, j’aimerais voir bien sûr ». Elle lui répondit presque genette : « Ben tu as qu’a deviné ». Et il s’approcha de son oreille et lui murmura. : » Je pari que tu es nue sous ta robe, coquine ». Nos regards se sont alors croisés, comme si elle me demandait une autorisation ou alors l’excitation qui montait en elle.
Elle se leva et vint à moi et me demanda d’aller danser. En dansant, elle me dit à l’oreille « je suis toute trempée, ça coule le long de mes jambes ». Mais on s’en moquait, l’alcool commençant a agir, nous nous sentions dépravées. Et je lui répondis, « Ne va pas t’essuyer aux toilettes, laisse couler, on s’en fout, ce soir on est fou. »
Comme si, mes paroles, l’avaient libérée, elle a dansé sur des airs d’ACDC, Scorpion, puisque c’était un bar a thème rock, vous voyez !
Elle dansait et sa robe se levait chaque fois qu’elle a levé ses bras, pouvant admirer le haut de ses bas, mais de plus le haut de son cul. Notre ami resté assis au comptoir s’en délectait. Il me fit un clin d’œil lorsque mon regard a croisé le sien.
Nous allons rejoindre, notre ami au comptoir, ou un autre verre nous attendais, cette fois si offert par la patronne qui est une de nos amies aussi. L’alcool était bien présent. Et nos idées devenaient de plus en plus salaces et tordues. Car, lorsque Brigitte et moi sommes sous l’alcool, nous pouvons faire les pires de trucs, et je ne peux plus la tenir.
Notre ami est allé demander, de mettre le slow des Scorpions et quand il revient, nous dis je l’ai mis pour vous, aller danser les amoureux, mais faites-moi plaisir. Nous avions tout de suite compris. La lumière du bar s’est assombrie et le slow a commencé. J’élançai Brigitte, et faisant un peu exprès de remonter sa robe, tout en ayant l’air de rien. Elle était saoule et folle, et ne se rendait compte de rien. Je pouvais même la remonter jusqu’aux hanches afin de montrer à notre ami qu’elle était effectivement nue sous sa robe.
La soirée se termina vers 3 heures du matin et nos jeux d’exhibitions nous ont bien excités. Je demande à Brigitte, avant de partir, d’aller aux toilettes, de retirer sa robe, et d’enfiler son manteau. Chose qu’elle fait avec une excitation folle. Elle revient vêtue de son manteau, et tenait sa robe dans sa main.
Notre ami lui demande : « qu’est-ce que tu fais avec ta robe dans la main, t’en tient une bonne toi dis donc ». Elle lui répondit qu’elle avait renversé un verre dessus et qu’elle ne pouvait plus la porter. Mais notre ami avait compris. Nous disons au revoir à notre ami, et allons vers notre voiture garée dans une petite rue sombre à côté du bar. Elle titubait, et je lui dis, tu devrais enlever ton manteau, ce serait excitant. Elle n’a pas attendu d’arriver à la voiture et le retira. Se retrouvant nu sur le trottoir pour aller rejoindre la voiture. Elle m’excitait de plus en plus. Mais en échange je devais retirer mon pantalon. Alors nous sommes arrivées à la voiture et j’ai fait encore mieux, comme elle, je me suis mis nu. Nous repartions, je sais ce n’est pas sécurisant, mais l’alcool aidant a faire des conneries, ben voilà. Je lui dis dans la voiture, on s’arrête au parc avant de rentrer, j’ai trop envie de te baiser. Tout en prenant mon sexe en main bien dressé et bien dur elle me dit : » oh oui, mon salaud, arrête-toi, j’ai trop envie »
Nous nous arrêtons, dans un parc, sur le chemin et je savais que ce parc était fréquenté par des voyeurs et des couples. Or, nous nous garons, et tous les deux nus, on alla se promener dans le parc. À 3 heures du matin, je ne savais pas s’il y avait encore quelques voyeurs, mais je gardais espoir. N’ayant jamais connu cette situation, et sous l’emprise de l’alcool, tout pouvait se passer. Nous arrivions à une table de pic nique, malgré la pénombre, la lueur de la lune nous aidait à voir comme en plein jour, et aussitôt elle s’allongea sur le dos, écarta les cuisses et me criait, « allez baise moi comme une salope. Comme je vous disais, elle devient complètement folle sous l’emprise de l’alcool, tout est possible avec elle.
Mon sexe s’enfonce très facilement dans sa belle chatte, tellement elle était trempée. Et les va-et-vient de plus en plus forts. Elle criait comme une folle, et moi je lui disais, il y a des voyeurs qui nous matent, alors que je n’en voyais aucun, malheureusement. Elle me disait qu’ils viennent me baiser, je veux du sperme. Avec une excitation trop forte, je me vidais en elle avec un jet très puissant, mais elle me demandait de continuer. Ce que je fais avec encore plus de brutalité, je l’ai retourné la pris par-derrière avec de bonnes fessées sur son cul de traînée.
Quand l’envie de jouir à nouveau me vint, je me suis retiré et lui giclait tout sur ses seins. N’ayant rien prévu pour s’essuyer, oups !
Elle rentrait comme ça. Nous ne nous sommes même pas rhabillés pour rentrer et je remontais les escaliers de l’immeuble complètement nus. À 4 heures du matin, nous ne risquions pas de rencontrer un voisin.
C’était et c’est super excitant nos sorties. Nous sommes régulièrement dans l’extrême, et quand j’y repense le lendemain, je redis que ça pourrait aller plus loin et être plus dépravant, mais on ne culpabilise pas. La vie est trop courte et il se passera ce qu’il se passera.
Philippe
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