Françoise, lâchement abandonnée par son mari volage, élève seule son fils Mickael. Le coquin sait que sa maman l’adore, et qu’elle fait tout ses caprices. C’est pour cette raison, qu’il abuse de la bonté de sa maman.
Il adore qu’elle le caresse, cela l’excite. Et pour cela, il emploie tout les subterfuges. Aujourd’hui, le coquin prêtant avoir des douleurs sur tout le corps. Il prend place sur son lit. C’est torse nu, qu’il s’étant sur le ventre. Sa tête posée sur ses avant bras, il invite sa maman à le masser.
Bonne pate, la maman très intentionnée, s’assied près de lui et opère. les mains moites de Françoise, glissent fébrilement sur le corps de son fils, qui frémit. Agilement, et consciencieusement, elle masse les parties prétendues douloureuses. Ses mains descendent sur le dos, sans omettre une parcelle de peau. Mickael pousse de nombreux soupirs, de temps en temps sa maman lui donne un petit baiser sur les épaules. Le bougre frissonne, il ronronne comme une chatte que l’on flatte de la main.
Maintenant, les mains agiles de Françoise, massent doucement les mollets, en remontant très lentement sur les cuisses. Elles longent une partie, des fesses, que le slip ne peut cacher. Habilement, les doigts glissent sous le tissus et pressent les lobes fessiers, la maman sans penser à mal, pétrit doucement les masses de chair. Mickael gémit doucement. En souriant Françoise dit en souriant :
-Tu as de bonnes fesses mon chéri !
Et elle donne un tape dessus.
Mickael sursaute, et se met sur les dos. Une bosse énorme déforme son slip, sa maman écarquille les yeux. Le slip trop large, laisse voir une partie des bourses bien gonflées. Françoise ravale sa salive et reprend le massage des cuisses, ses mains tremblent. Plus elle masse plus le slip se déforme. Sans le vouloir, ses doigts s’engagent brusquement sous le tissu et butent contre les bourses. Mickael baisse brusquement son slip, sa verge se détend comme un ressort, en oscillant sur son bas-ventre. Il se cambre, et en grognant, dit :
-Maman, je vais exploser, branle-moi s’il te plait, ne me laisse pas dans cet état !
Françoise hésite un instant, elle regarde l’engin, qui enfin se stabilise. Elle ravale sa salive, saisit timidement le manche de chair, et commence un doux branlage.
Bien que son fils soit tout juste majeur, le coquin est bien membré. A chaque descente de son poignet, elle décalotte le gland. Elle se pince les lèvres en ne quittant pas des yeux le gland violacé. La maman incestueuse, déglutie souvent sans quitter du regard l’engin, qu’elle agite.
Françoise, dents serrés, augmente la vitesse du branlage. Mickael geint, ses yeux brillent de mille feux, il dit faiblement :
-Oh maman, maman, continue, continue, je sens que je vais jouir !
Françoise accélère le mouvement. Mickael grimace se cambre, son membre gicle comme un geyser, il envoie dans les airs sa semence, qui retombe lourdement, en engluant les doigts de sa maman, qui continue d’agiter le membre.
Plusieurs jets sont expulsés de la verge en retombant toujours sur les longs doigt fins de la maman fébrile. Elle regarde le membre cracher ses dernières gouttes, puis lâche l’engin gluant, regarde ses doigts visqueux, et dit en ravalant plusieurs fois sa salive :
-Tu m’en fais faire des choses, toi, hein petit coquin, aller va te laver !
Le gland toujours décalotté, le gredin dit :
-Ma petite maman d’amour, suce moi s’il te plait !
Bien qu’elle soit prête à satisfaire tout les caprices de son fils, qu’elle adore, là, elle sursaute et répond :
-Mais mon chéri, tu ne peux pas me demander cela, j’ai viens de faire pour toi, une chose immorale, que je me reprocherai toute !
Mikael tire sur la corde sensible :
-Alors tu ne m’aime pas, maman, je te hais !
En se pinçant fortement les lèvres Françoise dit :
-Mais bien sûr que je t’aime mon chéri, mais il y à des limites à ne pas dépasser !
Comme un enfant trop gâté, Mickael répond :
-Non, non, tu ne m’aimes pas, sinon tu le ferai sans rechigner !
Les paroles de Michael, semblent culpabiliser Françoise, elle pousse un soupir bruyant, et répond :
– Tu es un monstre Mickael !
Elle prend d’une main tremblante l’engin gluant, le regarde un instant, puis fait une moue affreuse, avant de donner quelques coups de langue sur le chapeau de chair. Le fils chanceux, pousse de nombreux soupirs en se cambrant de plus en plus. Enfin c’est presque obligée, qu’elle gobe la protubérance de chair.
Les succions sont féroces, Françoise se cramponne à la verge en la tétant comme une affamée. Mickael gémit :
-Oh maman, maman, oh comme tu suces bien, c’est trop bon ce que tu me fais maman chérie !
Tout en suçant le gland elle agite doucement la verge qui ne baisse pas ma tête. Le fils insatiable, appuie sur la tête de sa maman qui sans le vouloir subit une gorge profonde. Un filet de salive d’échappe la commissure de ses lèvres.
Elle manque d’étouffer, son fils doit relâcher la pression, pour qu’elle puisse respirer. Après de longues minutes de fellation, Mickael enfin crache sa semence. Il remplit la bouche de la maman qui avale le sperme, sans se poser de question.
Elle regarde son fils tendrement, et en secouant la tête négativement dit :
-Tu profites de ma faiblesse, tu es un montre !
Mickael relève le menton de sa maman avec deux doigts, et répond :
-Je t’aime maman, c’est aussi simple que ça !
Les yeux de Françoise s’emplissent de larmes, elle répond avec beaucoup d’émotion :
– Alors, c’est parce que tu m’aimes que je dois faire des choses immorales avec toi !
Le fils provocateur réplique :
-Ma petite maman chérie, je suis sûr que cela t’a plu, ne dis pas le contraire !
En laissant échapper quelques larmes, la maman baisse honteusement la tête, et en béguant répond faiblement :
-C’est vrai mon chéri, j’y est prise un certain plaisir, d’ailleurs j’ai honte de moi, je me maudis !
Mickael lui saisit le bras et la bascule sur le canapé, il roule sur elle. se cramponne à elle comme un animal sur sa proie. Sa verge gluante tache la jupe de la maman qui s’agite mollement pour lui échapper. Le bougre cherche ses lèvres, la maman réussit à échapper plusieurs fois au baiser, en détournant la tête. Elle sent contre son ventre la verge qui reprend du volume.
Elle se défend sans trop de conviction, et cède, en poussant un gros soupir. Les lèvres de son fils écrasent les siennes, les langues se nouent, le baiser dure très longtemps, des échanges de salive se font plusieurs fois. Les mains de la maman tremblent, en caressant les épaules musclées du fils entreprenant. Le baiser cesse, les yeux de la maman lâchent quelques larmes. Mickael lape les perles de rosée salées, qui coulent sur les joues de sa maman fébrile. En la regardant droit dans les yeux, il fait sauter un à un les boutons de son corsage. Ouvre les pans et d’une main agile, dégrafe le soutien gorge. les seins lourds s’étale sur le torse de la maman, qui mal à l’aise, serre les poings, en soupirant de nombreuses fois.
Mickael malaxe les seins, les pétrit longuement avant de jouer avec les mamelons. Il les roule entre ses doigts, les étire, les presse, pour les faire doubler de volume. Françoise commence à geindre doucement, elle évite le regarde de son fils tellement elle a honte. Elle se cabre lorsque qu’il lui gobe un mamelon, et le suce comme un enfant qui s’allaite. Françoise grince des dents, elle s’agrippe aux draps en geignant comme une bête malade.
Soudain la main de son fils se faufile sous sa jupe, et se plaque sur la vulve que seule la culotte protège. La culotte est très humide, Françoise se cabre, elle est tellement honteuse, qu’elle en serre les cuises fortement, en emprisonnant la main de son fils. Celui-ci profite de l’occasion, pour lui presser la vulve fortement. Françoise pousse un gémissement en se cabrant. Elle desserre l’étau, en ouvrant légèrement les cuisses. La main de son fils glisse sur le tissu humide, en l’entraine dans le sillon que forme les grandes lèvres. Mickael saisit entre ses doigts la boule de chair qui a déjà prise du volume.
Coincé entre les doigts et le tissu, le clito semble frémir. Le fils bien que jeune sait comment faire enfler la boule magique. Avec des gestes habiles, le coquin sans brusquerie, effectue un doux branlage. Françoise se tend comme un arc, en geignant de plus en plus fort. Sa culotte est trempée par la cyprine abondante que la vulve en ébullition sécrète.
La tension monte d’un cran, Françoise défaille, agite son bassin. Dans un gémissement qu’elle étouffe en se mordant la main, elle jouit. Elle serre les cuisses tellement c’est intense. Mickael se redresse, il regarde sa maman en souriant, elle cherche a éviter son regard en détournant la tête.
Avec des gestes précis, il fait glisser le zip de la jupe, et la fait descendre sur les hanches de sa maman, il agrippe la culotte au passage en l’entrainant avec la jupe. Honteusement Françoise, n’ose regarder son fils, en serrant les poings elle se contorsionne pour aider son fils à la dévêtir. Une fois nue, Mickael regarde longuement, le corps fébrile de sa maman.
Ses yeux s’attardent sur les grandes lèvres épaisses de la vulve, il regarde la toison humide, qui laisse encore échapper quelques gouttes de cyprine.
La maman, tête basculée sur le côté, souffle fortement en fermant les yeux. les doigts de son fils s’enfonce dans la toison, la triture doucement, avant de s’insérer entre les grandes lèvres.
Les intrus, doucement montent et descendent dans le sillon de chair, à la recherche de la perle. Dès qu’il la saisit, sa maman se cabre en poussant un long gémissement. Le clito très gonflé, est rapidement mit en action.
Le branlage est efficace, Françoise geint comme une bête malade. Mickael délaisse les mamelons, et s’acharne sur le clito, sa maman se tortille comme un ver en geignant de plaisir. Une fulgurante jouissance la fait cabrer, elle retombe lourdement sur le lit en haletant fortement.
Le fils amant, se faufile entre les cuisses de sa maman, et dépose un baiser bruyant sur la chatte dégoulinante, avant d’y enfoncer sa langue. Françoise se cambre comme un pont, en poussant un gémissement rauque. Son fils lui fouille la chatte sans omettre un recoin. la vulve très sollicitée, rejette sa cyprine abondante sans discontinuer. Mickael se gave de ce bon jus au goût suave. Mais dés qu’il aspire le clito, sa maman ne peut retenir un grognant de bête. Elle souffle, en donnant des coups de reins terribles. Mickael, surprit pas les coups que donne sa maman, lui mordille les clito.
La maman se tend comme un arc, en appuyant sur la tête de son fils. Ses gémissements ressemblent à ceux d’une bête agonisante. Elle enfonce ses ongles dans le dos de son fils lorsqu’elle jouit une nouvelle fois. Mickael se redresse, il regarde la chatte qui est secouée de spasmes violents, il ne peut s’empêcher d’écraser le clito hyper gonflé.
L’effet produit, est inouï, sa maman jouit une seconde fois. Son corps se met à trembler, elle délire, ses paroles sont inaudibles.
Elle repousse brusquement son fils, et serre fortement les cuisses en grimaçant. Les jouissances ont été si intenses, qu’ elle se met sur le flanc en chien de fusil, en marmonnant. Elle ne peut contrôler les tremblements qui lui traversent le ventre.
Son fils se plaque contre elle, il se cramponne à elle en tenant son bas-ventre appuyé contre ses fesses. Il lui couvre les épaules et la nuque de baisers. lentement les spasmes cessent, Françoise semble s’apaiser. Sa respiration devient régulière, Mickael lui murmure à l’oreille :
-Maman tes jouissances sont phénoménales, j’adore te voir jouir !
Elle se met sur le dos et répond :
-Je ne sais pas se qui m’arrive mon chéri, tes doigts et ta bouche sont magiques, tu me fais mourir !
Mickael en cherchant ses lèvres dit :
Maintenant maman chérie, tu vas jouir avec ma queue, sens comme elle est bien dure. Le bougre, frotte sa queue contre la cuisse de sa maman, qui ne peut que constater le dureté de l’engin. Il dit tendrement :
-Maman, je sais que cela fait des années qu’une bonne bite ne t’a pas sondée le ventre, tu vas rattraper le temps perdu maman chérie !
Françoise regarde avec beaucoup d’émotions son fils, elle répond faiblement :
-Oui mon chéri, cela fait des années que mon corps ne connait que des attouchements digitaux, et mon amant de silicone, bien que cela soit immoral, et contre nature, tu viens de faire revivre sexuellement ta maman, mon chéri !
Mickael sourit, en entendant sa maman parler de son gode, comme d’un amant. Il répond en souriant :
j’ai sur moi un amant, et pas en silicone, tu vas vite t’en rendre compte !
Il l’embrasse fougueusement, et prend place entre ses cuisses. Sa queue appuie fortement contre la vulve humide. Françoise serre les dents, la verge de son fils s’enfonce lentement dans son ventre. Elle s’accroche à lui en geignant. Une fois le membre entièrement en elle, Mickael commence le va-et-vient il tire sur les hanches de sa maman à chaque coup de reins que le coquin donne. la bite épaisse voyage dans la gaine maternelle, qui depuis des années n’a reçue que des doigts et un gode de petit diamètre. La maman gémit de plus en plus fort, le rythme augment sans cesse.
le col de l’utérus de la maman, est très sollicité par le gland qui ne cherche qu’a le pénétrer. La maman grogne :
-Oh mon chéri, mon chéri oui, oui va bien à fond ouah comme c’est bon !
la bite du jeune amant coulisse dans le ventre de sa maman en la faisant gémir de plaisir. La tension monte d’un cran, les gémissements de Françoise aussi. Soudain elle se cambre terriblement, une jouissance exceptionnelle, la fait hurler. Son corps reste un moment arqué, avant de retomber lourdement sur le lit. Elle s’agrippe à son amant en geignant comme une bête malade. Elle se raidit, lorsqu’une coulée de sperme chaud lui remplit le ventre, elle dit en gémissant de plaisir :
-Oh mon chéri, mon chéri, comme c’est bon !
Mickael sonne encore quelques estocades avant de se retirer du ventre brûlante de sa maman. Il la regarde amoureusement, passe sa main sous ses fesses et avec un doigt, taquine la petite fleur ridée, il dit en soupirant :
-Oh maman permets moi de te prendre par là !
Sans attendre la réponse de sa maman, lentement le coquin enfonce la première phalange de son doigt. Françoise se cabre et dit :
-Mon chéri, la première tentative, bien que la pénétration n’a était que de deux ou trois centimètres, m’a fait hurler de douleur. Depuis j’ai toujours refusée la pénétration anale !
Tout en continuant d’enfoncer son doigt dans le rectum, Mickael insiste :
-Je serai très doux, je vais te préparer si bien, que ça va entrer tout seul !
le coquin commence un doux ramonage, son doigt voyage lentement dans la gaine étroite. La maman commence à geindre doucement. Le doigt prend de la vitesse. Françoise agite sa croupe, en geignant plus fort. Habillement, le bougre de fiston ajoute un second visiteur. Sa maman se cambre, mais ne refuse pas la sodomie digitale. La vitesse augmente, Mickael tourne ses doigts en continuant de ramoner la gaine qui semble accepter les intrus. Françoise souffle comme un animal, elle dit entre deux souffles :
-Oh mon Dieu, mon Dieu, Micka, je vais jouir !
Françoise se tend comme un arc qui va décocher sa flèche, et jouit pour la première fois du cul. elle marmonne :
-Oh la vache, c’est terrible, de jouir du cul !
Lentement il retire ses doigts de l’antre de Sodome, et en souriant, dit :
-Maman tu es merveilleuse, je vais te faire jouir du cul plusieurs fois, tu vas devenir une machine à jouir, mets toi à quatre pattes, je vais t’enculer à fond ma petite maman salope !
Françoise avec appréhension, prend la pose. Mickael lui écarte les fesses avec ses main, regarde un instant l’anus qu’il vient de forer, et plaque brusquement sa bouche dessus. Il lèche suce le muscle rectal du mieux possible. Il réussit à le pénétrer et le fouiller avec acharnement. Sa maman geint en se cambrant terriblement. Elle marmonne :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu me prends folle, tu fais de moi ton jouet !
Il se redresse et approche sa bitte de l’anus. Il l’appuie contre et saisit les hanches de sa maman et pousse. Françoise serre les dents, en grimaçant. Lentement la verge puissante, s’enfonce millimètre par millimètre dans l’anus qui s’ouvre au maximum. La douleur est atroce, mais Françoise est une femme courageuse, et pour ne pas décevoir son fils subit la douloureuse pénétration sans repousser l’agresseur.
Une fois bien ancrée en elle, le fils enculeur, commence un très, très lent va-et-vient. les yeux de la maman s’emplissent de larmes, elle geint de douleur en supportant la pénétration. La cadence augmente, des larmes coulent sur les joues de la maman soumise. Mais au fur à mesure du ramonage anal, la douleur semble s’estamper.
Françoise, agite sa croupe, ses gémissements changent de tonalité, la coquine maintenant prend du plaisir. Mickael peut maintenant sonner tout ce qu’il à dans le ventre. Il défonce sa maman comme un sauvage, lui bourre le cul avec violence. Françoise s’accroche aux draps en gémissant comme une bête en rut. Une violente jouissance anale, la fait hurler, elle laisse tomber ta tête sur ses avant-bras. sa croupe relevée, excite encore plus son fils, qui dit en grognant :
-Oh maman tu es trop bonne, j’adore t’enculer, maintenant tu es à moi tu vas subir tout mes désirs !
En haletant, Françoise répond :
– Oh mon chéri, tu me fais tellement jouir, que oui, oui, mon chéri, je suis ta chose, fais de moi ce que tu veux, j’accepterai tout ce que tu me demanderas !
Il dit entre deux souffles :
-Je vais faire de moi une grosse salope, et en faire profiter mes potes dis-le que tu le veux !
Dans un état seconde, elle répond :
-Oui mon chéri, fais de moi une grosse pute, livre-moi à tes potes, je suis à toi !
En poussant un grognement de fauve, Mickael remplit le cul de sa maman avec sa semence épaisse. Il dit en haletant :
-Comme tu es consentante, j’ai de grands projets pour toi ma chéri salope !
Linsee
Ajouter un commentaire