Depuis ce jour de dérapage, Françoise, se donne régulièrement à son fils. Mickael innove des variances de positions, Françoise ne refuse rien à son jeune amant, qui lui fait subir des pénétrations de plus en plus audacieuses. Souvent, il la sodomise, pour bien lui dilater l’anus.
Sa dernière trouvaille c’est de bien l’ouvrir, car le coquin a le projet de lui faire connaitre le sexe pluriel.
Pour la rassurer, il dit :
— Tes orifices sont très souples ma chérie, n’es crainte, c’est comme la sodomie, ton corps va s’habituer. J’aspire à ce que tu deviennes une très grosse salope, et que tu ne refuses pas les plaisirs du sexe. Mets toi à poil maman chéri, que je commence à assouplir tes orifices !
Mickael fouille en profondeur les ouvertures qu’il convoite de dilater. Doigtée comme jamais, Françoise explose. Elle est incapable de dire si c’est de la chatte ou du cul qu’elle jouit, tellement c’est intense. Le fils veux vraiment la dilater. Il présente un concombre de diamètre acceptable à l’entrée de la chatte et pousse.
La maman grimace, lentement la chatte avale le concombre. Dilatée au maximum, Françoise subit la pénétration, en grinçant des dents, une moue affreuse, déforme son visage. Enfin son fils entreprend le va-et-vient. Bien que distendue, Françoise geint, elle agite même son bassin en soufflant comme un dragon. Le travail de son fils est efficace, il enfonce chaque fois, le concombre un peu plus dans le ventre de sa maman.
Un hurlement se fait entendre, Françoise explose de jouissance. Mickael fait avec le légume des mouvements de godille pour bien élargir le conduit. Enfin avec douceur, il le retire. Il regarde un long moment le trou béant rejeter son jus. Il place devant la vulve dégoulinante un petit miroir pour que sa maman contemple sa chatte bien ouverte. Elle dit en écarquillant les yeux :
— Oh mon Dieu Micka, regarde dans quel état tu à mis ma chatte, tu détruis ta maman cochon !
Il sourit et dit :
— Maintenant maman chérie, c’est au tour de ton cul. Demain c’est soirée spéciale, je te réserve une surprise, j’ai contacté des personnes sur le net, tu ne seras pas déçue ma chérie !
Pour les ébats, le couple à acheté un banc matelassé sans dossier, à chaque pied du banc se trouve un anneau, pour pouvoir entraver les membres de la soumise, ou du soumis volontaire.
Françoise, sous les conseils de son fils, lève les jambes. Mickael place sur ses chevilles une cordelette. Il tire tellement sur les cordes que le fessier de sa maman se lève, ses genoux touche ses seins. Il attache les cordons aux anneaux du banc, pour garder la position. L’anus est bien visible, Mickael l’enduit encore de lubrifiant, le coquin profite de l’occasion pour ramoner avec trois doigts le cul de sa maman. Bien que la position ne soit pas confortable, Françoise se met à geindre. Le coquin cesse de pilonner le cul de sa maman et présente à l’anus entrouverte le concombre.
Comme il l’a fait pour la chatte, il enfonce doucement le légume dans la gaine qui se dilate au fur et à mesure de l’enfoncement. La maman grimace, mais son anus absorbe l’engin mieux que la chatte. Le bougre lui travail le cul, jusqu’à ce que sa maman jouisse. Il dit en souriant :
— C’est bien maman, c’est mieux que prévu, tu vas pouvoir enfin recevoir dans tes entrailles des bites monstrueuses, et avoir des jouissances terribles !
Plusieurs fois dans la journée et la soirée, Mickael travaille la chatte de sa maman, il sait que demain sera pour elle un grand jour. Françoise a les yeux qui brillent, elle qui est pratiquement ignare des plaisirs du sexe, elle fait confiance à son fils chéri, qui lui promet des moments exceptionnels.
Le lendemain, Françoise et nerveuse, plus l’heure approche plus elle stresse. Son fils lui conseil de rester nue sous son peignoir. Enfin la sonnette de la porte d’entrée, fait sursauter Françoise, qui rapidement rougit. Mickael reçoit ses invités. Deux hommes se présentent, avec une petite valise en alu à la main, Paul et Gerard, Gérard est une force de la nature, les deux sont accompagnés d’une femme d’un certain âge, très mince presque squelettique. Son visage porte quelques rides, qui la rendent encore plus charmante.
Paul présente Lucette, il la couvre d’éloges en disant :
— Malgré son apparence chétive, Lucette est une hardeuse infatigable hors paire, elle subit des pénétrations exceptionnelles, que peu de femmes sont en mesure supporter !
Françoise la dévisage longuement, avant de servir le verre de bien venue. C’est l’occasion de faire plus ample connaissance, Françoise commence à prendre confiance en elle, la coquine pose beaucoup de questions à ses invités qui répondent sans complexe. Après quelques verres, il est temps de passer aux choses sérieuses. Lucette retire ses vêtements, Gerard lui demande de se pencher en avant pour faire admirer son anus.
En souriant, Lucette s’exécute, elle se penche et écarte ses fesses avec ses mains. Françoise regarde, l’anus est monstrueux, il est très boursouflé et en partie sortie de son logement. Mickael et sa maman se regardent en faisant une grosse moue. Lucette se redresse et écarte les jambes pour montrer aux curieux sa chatte rasée, aux lèvres épaisses qui pendent. Les deux hommes retirent également leurs vêtements. La verge de Gerard même au repos est impressionnante, elle lui arrive à mi-cuisses. Celle de Paul n’est pas négligeable n’en plus.
Lucette, dénoue le peignoir, passe ses mains sur les épaules de Françoise et fait le tomber sur le sol. Elle regarde les forme harmonieuses, du corps de sa future amante.
Elle lui presse les seins plusieurs fois avant de les malaxer. Immédiatement Françoise se met à geindre. La coquine joue avec les mamelons, les fait doubler de volume, avant de les gober. Après avoir dévorée les mamelons, Lucette invite Françoise à s’étendre sur le banc. Elle lui donne d’innombrables baisers sur tout le corps, sa langue lèche la peau moite, avec gourmandise.
Très sensible aux attouchements, Françoise ne peut retenir sa cyprine, qui s’échappe du mont de Vénus. La bouche vorace s’approche de plus en plus du puits d’amour, pour enfin se poser dessus. Les aspiration de Lucette sont bruyantes, la coquine se gave du nectar que lui offre généreusement la chatte en ébullition. Paul s’approche du duo et offre aux lèvres charnues de Françoise son gland décalotté. Sans se faire prier, Françoise gobe l’engin et le suce avec ardeur. Mickael est fier de sa maman, elle met du cœur à l’ouvrage.
Elle se cabre lorsque Lucette lui gobe le clito et le suce comme une affamée. Elle recrache le gland, s’accroche au banc et geint comme une bête malade. Paul saisit sa verge et la branle en serrant les dents. Il grimace affreusement sans quitter des yeux la bouche vorace dévorer le clito. Il envoie sur le corps fébrile de Françoise, plusieurs jets de sperme. Lucette délaisse le clito, et se rue, pour lécher la semence visqueuse qui recouvre le torse de Françoise. La femme de régale, ses gémissements étouffés, le prouvent. Paul frotte son gland gluant sur les lèvres de Françoise, qui ouvre la bouche pour gober l’engin, elle le suce le tète comme une pro.
Paul serre les dents, geint comme un animal blessé, il se raidit et envoie une puissante giclée de sperme dans la bouche de la suceuse. La décharge est si abondante que Françoise étouffe. Elle repousse brusquement Paul, ses yeux sont remplis de larmes. Une filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. Elle regarde son fils qui lui fait un signe de tête. La maman déglutie, et avale par petites gorgées la totalité de la décharge. Lucette reprend en bouche la boule magique, et s’acharne dessus comme un rapace sur sa proie. Françoise se tortille comme une danseuse orientale en geignant de plaisir. Une violente jouissance la fait hurler, elle se cambre fortement en jet de cyprine est expulsé de sa chatte et remplit la bouche de Lucette qui n’a pas d’autre choix, elle l’avale.
Gerard s’approche, la verge est dressée comme un mât et menaçante, l’engin impressionnant avance lentement vers la vulve en fusion de Françoise. Qui ravale sa salive. L’homme taillé à la hache, frotte quelques instant son gland monstrueux contre la fente humide de la soumise. Les yeux de Françoise s’écarquillent, l’engin appuie contre les grandes lèvres, les écarte, et lentement s’engage dans le conduit qu’il dilate. Françoise grimace, elle peut remercier son fils, qui lui a bien travaillé la chatte, car la douleur est supportable.
Lentement le monstre avance dans le ventre de la soumise en la en faisant geindre. Mickael regarde bouche bée, le manche disparaitre peu à peu dans le ventre de sa maman. Elle souffle fortement en s’agrippant à son amant, qui lui laboure les parois de la gaine vaginale. Enfin les grosses bourses velues bien pleines de semence, entre en contact avec sa chatte. Le gland monstrueux appuie sur le col de son utérus comme pour le pénétrer. La sensation est extraordinaire, Françoise gémit en donnant de petits coups de reins. Gerard, commence enfin le va-et-vient.
A chaque enfoncement de son mandrin, Françoise craint que sa chatte ne s’ouvre en deux. Avec professionnalisme, Gerard œuvre consciencieusement. Il se fait le plus doux possible, en augmentant progressivement la vitesse de pénétration. Françoise s’accroche à son amant, elle regarde son fils et dit :
— Oh regarde mon chéri comme il m’ouvre le cochon, je l’ai bien dans le ventre sa grosse bite, oh putain comme c’est bon d’être dilatée de la sorte, merci mon chéri de me faire découvrir ce merveilleux moment !
Françoise agite son bassin de plus en plus rapidement, c’est le signal pour Gerard de lancer les chevaux. Il défonce avec force la chatte de Françoise, qui est dans un état comateux? Ses yeux sont révulsés, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres, elle dit faiblement :
— Oui, oui, encore, encore !
La bite énorme voyage dans son ventre sans la ménager, cela semble ne pas lui déplaire, elle grogne :
— Oh putain, oh putain, vas-y, vas-y !
Paul sourit et dit :
— Gerard, éclates la bien, elle est chaude comme un volcan, nous allons la prendre en double, la cochonne le mérite bien !
Gerard la démonte bestialement, à chaque enfoncement de son pieu dans le ventre de Françoise, elle se cabre en poussant un gémissement. Soudain Françoise se met à dire :
— Oui, oui, ça vient oh putain comme c’est bon ouiiiiiiiiiiiii !
Une jouissance hors norme la fait hurler, elle s’agrippe à son amant fortement, en geignant. Gerard se bloque, et en grognant comme un fauve lui remplit le ventre de sa semence épaisse. Il donne encore quelques coups de reins avant de retirer son monstre des entrailles de Françoise, qui halète fortement étendue sur le banc. Lucette s’agenouille devant la chatte dégoulinante de Françoise et avant d’enfoncer sa langue dans les conduit béant, l’observe un instant. Lucette connait son affaire, elle lèche la semence gluante que la chatte rejette. Elle l’enfonce profondément dans le puits qui regorge de sperme. Elle en récupère le plus possible en grognant de plaisir.
Françoise croit mourir de plaisir, tellement c’est bon, elle ne peut retenir une nouvelle jouissance. Gavée de sperme, Lucette se redresse, elle aide sa complice à descendre du banc. Paul s’allonge sur l’autel des plaisir et invite Françoise à s’empaler sur sa queue tendue. Lucette doit l’aider pour qu’elle prenne position sur son amant. Elle lui appuie de toutes ses forces sur les épaules, pour que l’empalement soit total. Paul la plaque contre son torse. La position obtenue, met en évidence l’anus de Françoise. Lucette comme une affamée se jette dessus, le lèche et parvient grâce au travail de dilatation préventif de Mickael, d’enfoncer sa langue dans le conduit anal. La vorace le fouille à en faire gémir fortement Françoise.
Longuement Lucette prépare le cul de la soumise avant de céder la place au montre que Gerard a sur el bas-ventre. Le bougre pousse doucement, l’anus assouplit s’ouvre au maximum et reçoit en lui l’engin monstrueux. Françoise grimace, serre les dents. Mais son fils l’a préparé aux dilatations extrêmes.
Lentement la verge s’enfonce dans le conduit, en le dilatant atrocement. Françoise souffle comme un bœuf en recevant dans son antre se Sodome, le monstrueux engin. Les deux verges plantées en elle, lui dilatent les orifices terriblement. Enfin les deux complices entre en action, avec un synchronisation parfaite, les deux hommes lui pilonnent les entrailles. Les gémissements de Françoise ressemblent à ceux d’une bête agonisante.
Son fils yeux écarquillés, regarde les deux bites voyager dans les corps de sa maman, qui ne cesse de geindre. Lucette entre en jeu, elle gobe les mamelons et le malmène, elle suce, les étire avec ses dents. Françoise est au summum du bonheur. Son fils lui offre sa bite à sucer. Entre deux gémissements, maman la suce du mieux qu’elle peut.
Tous ses orifices sont occupés, Françoise pousse des gémissements étouffés. Elle recrache la verge de son fils, se cabre et explose de jouissance. Gerard lui remplit le cul de sperme en la défonçant comme un forcené. Paul ne tarde pas à jouir à son tour, il se raidit et envoie dans le ventre de la soumise sa semence. Lucette lui mord les mamelons, l’effet est immédiat, une seconde jouissance fait hurler Françoise.
Mickael est éblouit par les jouissances successives de sa maman. Ses deux amants continuent de lui pilonnent les entrailles. Les verges puissantes coulissent de mieux en mieux dans els orifices lubrifier par le sperme. Une nouvelle décharge de sperme, fait cabrer Françoise qui n’en revient toujours pas, d’être devenue une grosse salope insatiable. Mickael est fier de sa maman, qui se donne sans se retenir. Après une nouvelle jouissance, Françoise demande grâce. Les deux hommes et la femme se retirent, et la regardent haleter.
Ils descendent Françoise du banc, et installe Lucette à sa place, il place sous ses reins un gros coussin. Ils sortent de la valise des menottes, qu’ils placent sur les poignets et les chevilles, et les fixent aux anneaux qui se trouvent, à chaque pied du banc. Françoise se remet lentement de ses jouissances fabuleuses, ses yeux sont vitreux, elle regarde Lucette tester les menottes, en tirant fortement dessus.
Mickael yeux rivés sur le corps chétif de Lucette attend la suite. Paul sort de la valise un double gode et l’enfonce brutalement dans la chatte et le cul de Lucette qui ce cabre. Le bougre lui ramone énergiquement les orifices, Lucette geint, en agitant son bassin. Une première jouissance, bien qu’elle soit rapide la fait hurler. Paul retire le double engin, et place sur le clito de Lucette une pince qu’il serre au maximum. Bien que très demandeuse d’outrages sexuels, particulièrement et à ce genre de supplice, Lucette grimace.
Gerard, intervient, il installe sur les mamelons de la soumise des pinces, et en les serrant fortement, lui écrase les mamelons. Lucette ouvre la bouche toute grande mais aucun son s’en sort.
Mickael et sa maman regarde Lucette, qui serre les dents en attendant la suite. La coquine, sait qu’elle va avoir de fabuleuses jouissances. Gerard, joints tous ses doigts et les place contre la chatte de Lucette. Sans trop de difficulté, il enfonce la main entière dans la chatte souple. Lucette se cambre comme elle peut, les menottes l’empêche de se cabrer plus. Gerard pilonne la chatte avec férocité, Lucette grogne de plaisir. Françoise regarde ébahi la main voyager dans la chatte, jamais elle n’avait vu une chose pareille.
Lucette geint terriblement, elle couine de plus en plus fort. Soudain Gerard serre le poing et ramone avec plus de violence la chatte de Lucette, qui se cabre en explosant de jouissance. Gerard présente son autre main devant la vulve occupée, en lui faisant faire des mouvements de godille, il réussit à la faire pénétrer dans la chatte. Françoise sursaute, elle écarquilles les yeux, et se dit, mon Dieu comment est-ce possible une chose pareille.
Lucette grimaçante, subit un double fist vaginal, la coquine n’en est pas à sa première double manuelle. Rapidement, elle reprend ses gémissements, elle accompagne le ramonage en donnant des coups de reins de plus en plus violent. Les mains voyagent dans son corps en faisant un mouvement de piston, avec une alternance parfaite. Lucette et au bord d’une nouvelle jouissance, elle s’agite enserrant les dents elle dit en grognant :
— C’est le moment, c’est le moment !
Paul place sa main contre l’anus boursouflé de Lucette, et pousse. Comme par enchantement la main disparait dans le rectum de Lucette, qui pousse un long râle rauque. La chatte et l’anus investis sauvagement ne déplait pas à Lucette, qui hurle :
— Allez-y, allez-z, oui, oui !
Les deux hommes lui ramonent les entrailles en soufflant comme des bœufs. Lucette est au bord du coma, Françoise n’en croit pas ses yeux, que des mains puissent fouiller la chatte et le cul d’une personne. Lucette explose, c’est si intense, qu’elle tire sur les menottes à s’en marquer les poignets et les chevilles. Sa jouissant est remarquable, son corps se met à trembler, elle ne peut contrôler les spasmes violents qui lui secouent les corps. Lentement les deux ramoneurs, retirent leurs mains. Françoise regarde avec étonnement les orifices plus que béants. Lucette halète en marmonnant :
— Oh putain, oh putain quel pieds, c’est à chaque fois l’apothéose, Françoise je te conseille de tenter le fist c’est une chose monstrueuse que tu ne regretteras pas !
Mickael excite comme jamais, se rue sur sa maman, il la couche sur les sol, et lui plante dans le cul sa verge tendue. Il la sodomise avec rage. Sa maman geint, elle dit :
— Oui, oui mon chéri, défonce bien ta salope de maman, tape fort oui, oui, plus fort, c’est trop bon !
Avec ce qu’elle vient de voir, Françoise et surexcitée, elle agite sa croupe pour bine sentir dans son cul la bite vigoureuse de son fils. Rapidement les deux acteurs jouis. Mickael est vite remplacé par Gerard, qui casse le cul de Françoise, sans se soucier de ses cris. Il la défonce si fort que la soumise bien que dilatée à l’extrême jouit en hurlant. Paul lui donne sa bite à sucer, pendant que son complice continue de défroncer sa proie. Une nouvelle fois, Françoise explose. Elle reçoit dans son corps plusieurs giclées de sperme. Enfin les hommes se redressent et se dirigent vers Lucette qui toujours menottée halète fortement sur le banc. Il la libère, et propose à Mickael de faire une folie.
Il accepte sans savoir de quoi il retourne. Ils l’allongent sur le ventre et le menotte sur le banc. Gerard regarde Françoise, et en souriant dit :
— Ton fils s’il le souhaite va exploser ma chérie, Mickael tu veux exploser de jouissance ?
Mickael excité, bien que ce doutant de ce qu’il va subir, répond :
— Pourquoi pas, je suis partant !
Lucette est lise à contribution, elle s’agenouille derrière Mickael et en lui écartant les lobes fessiers, lui lèche l’anus, tente de le pénétrer avec sa langue, mais avec insistance, elle réussit à pénétrer l’anus. Micka, se cabre, jamais une langue ne lui à visitée la gaine anale. Lucette est une pro du broutage, que se soit d’anus ou de chatte, c’est une virtuose. Le jeune soumit couine comme une bête blessée, il jouit du cul pour la première fois. Paul prend a relève, il place son membre contre l’anneau frémissant et lentement l’investit. Paul ne brusque pas c’est avec douceur qu’il parvient à enfoncer sa bite entièrement dans les cul de Mickael.
Olle laisse souffler un peu avant de faire un va-et-vient qui prend de la vitesse en suivant les gémissements du soumis. L’enculage est parfait, Mickael gémit en se cambrant au maximum. Paul accélère, il s’accroche aux hanches de Micka et le défonce en ne le ménageant plus. Ses coups de reins violents font geindre de plaisir, qui marmonne :
— Oui, oui !
Françoise, est émerveillée de voir son fils prendre dans le cul, la bite d’un homme. Il explose en poussant un gémissement terrible, Paul enfin se soulage en déversant dans le rectum du soumis sa semence. Paul cède la place à Gerard. Il place son défonce cul contre le trou entrouvert et pousse. Mickael ne peut retenir un cri, il grimace en serrant les dents. Sa maman l’encourage :
— Ton corps va s’habituer mon chéri, tu vas avoir une jouissance phénoménale résiste encore un peu, après ce n’est que du bonheur !
Gerard enfonce lentement son monstrueux engin dans le rectum fortement dilaté de Micka, et commence un très lent va-et-vient. Plus le temps passe plus le cul du soumis accepte la forte dilatation. Gerard entend Mickael geindre de plaisir, il entreprend un défonçage de cul en règle. Ses coups de reins deviennent au fil des minutes, plus profond et plus violents. Le pilonnage monstrueux est redoutable, à chaque enfoncement du monstre dans son rectum, Mickael geint comme une bête malade.
La maman regarde la bite qui fonctionne comme un piston dans son cylindre. Elle entend les gémissements de plaisir de son fils qui agite sa croupe. Mickael pousse un long râle et explose sa jouissance est monstrueuse, il hurle tellement c’est intense.
Gerard, enfin déverse dans le cul de son soumis, sa semence épaisse en rugissant comme un fauve. Il se retire et regarde les dégâts que sa queue a causée. Lucette se jette sur sa proie et aspire la semence que le cul ne peut retenir. Elle enfonce sa langue dans le conduit dévasté et le fouille le plus loin possible. Une seconde jouissance fait hurler Mickael, le banc est trempé de son sperme. Une fois gavée, Lucette se redresse.
On libère Mickael qui est encore abasourdit par les jouissances. Sa maman lui demande :
— Alors mon chéri, comment que c’est la sodomie ?
Micka répond :
— Oh maman, c’est démentiel, je viens d’inaugurer la sodomie, et j’espère que ce ne sera pas la dernière !
Sa maman en souriant répond :
— Mon chéri, nous achèterons un gode ceinture, avec des fourreaux interchangeables, et pleins d’autres trucs pour avoir des plaisirs extrêmes, tu as fais de moi une grosse salope, je vais faire de toi un trou à jouir !
Mickael éclate de rire, et embrasse fougueusement sa maman complice.
Linsee
Ajouter un commentaire