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Géraldine en chasse Histoire de sexe

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Géraldine en chasse

Géraldine et une femme accro au sexe, son mari Edmond, plutôt voyeur, l’incite à se trouver des amants. Souvent la coquine erre dans le parc voisin à la recherche d’une proie, quelques fois elle revient avec un amant, pour se donner à lui, devant son mari.

Aujourd’hui, une pulsion terrible lui tenaille les entrailles, elle n’en peut plus. Son mari, malheureusement, n’entre en érection que lorsqu’il voit sa femme, se faire prendre bestialement devant lui. Geraldine, en manque, est au bout du rouleau. Comme, elle ne peut compter sur son mari, qui n’est pas un brouteur de minou. La solution est vite prise. Rapidement, elle retire sa culotte, retrousse sa jupe et ouvre largement les cuisses. Elle se masturbe férocement en serrant les dents, jusqu’à l’orgasme, qui s’avère terrible. Enfin apaisait, elle se dirige vers la salle de bain, pour faire un brin de toilette. Elle rajuste sa jupe qui lui arrive à mi-cuisses, et ouvre davantage son chemisier pour mettre en valeur sa poitrine généreuse. Elle est prête pour partir en chasse.

Elle arpente comme d’habitude les allées du parc, à la recherche d’un éventuel amant. Elle repère sur un banc, un couple, l’homme aux temples grisonnantes, a beaucoup de charisme. La femme très élégante, malgré les rides qui lui soulignent les yeux, la rendent encore plus charmante. Géraldine décide de passer à l’action, en passant devant le couple, elle boitille, s’arrête, et demande si elle peut s’assoir un moment car sa cheville lui fait terriblement mal. Le couple acquiesce, se resserre et font une petite place à Géraldine, qui ôte sa chaussure et se frotte le pied, en grimaçant.

La position volontaire qu’elle prend en se frottant le pied, découvre largement ses cuisses, on peut même apercevoir sa culotte. l’homme regarde sa compagne en fronçant les sourcils, elle lui répond par une petite moue en écarquillant les yeux.

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Géraldine, repose son pied sur le sol, et fait tomber volontairement son sac sur le sol. l’homme se penche et le ramasse. Mais en se penchant, ses yeux se figent sur les cuisses ouvertes. L’homme ravale sa salive et reste un moment scotchée sur l’entre jambe. Il écarquille les yeux et voit nettement, le tissu de la culotte qui est inséré entre les grandes lèvres, en les moulant parfaitement.

l’inconnu, devine que les lèvres sont bien épaisses. Géraldine épie du coin de l’œil le voyeur involontaire qui tarde à se redresser. La vicieuse, ouvre un peu plus les jambes, pour que l’homme ne rate rien du spectacle. Enfin il se redresse, regarde sa femme, elle remarque qu’il est troublé, et constate aussi qu’une bosse commence à déformer son pantalon. Tant bien que mal l’homme tente de cacher son émotion en posant ses mains dessus. Géraldine peaufine son plan, elle se lève, salue le couple et s’éloigne en omettant de prendre son sac.

La femme dit à son mari :

-Mais tu bandes Richard ?

Il répond en béguant :

-Oh putain, Odette, cette femme doit avoir une chatte monstrueuse, sa culotte la moule comme un paquet cadeau !

Il ajoute :

-Oh la vache, je la partagerais bien avec toi ma chérie, elle doit être vachement bonne !

Odette en souriant réplique :

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-Ne me mets pas l’eau à la bouche, coquin !

Soudain Géraldine réapparait, en disant :

-Je perds la tête, j’ai oublié mon sac !

En se penchant pour le prendre. Odette plonge son regard dans le corsage, ses yeux s’illuminent en voyant le large sillon plongeon, qui sépare les deux lobes mammaires. Géraldine garde la pose un petit moment avant de se redresser. La femme dit :

Nous partons aussi, mon mari et moi, sommes heureux de vous offrir un verre, au café à la sortie du parc. Géraldine fait l’étonnée e en se pinçant les lèvres, répond :

-Pourquoi pas !

Les trois se rendent au café, et prennent place dans un coin. Les trois se présentent. Géraldine est juste à côté d’Odette, pendant qu’elle boit son verre, elle tente le tout pour le tout, elle pose sa main sur la cuisse d’Odette qui sursaute mais ne la repousse pas. Avec douceur, elle la caresse un moment, avant de devenir plus audacieuse. La main glisse sous le tissu aéré de la jupe, et monte sur la cuisse, sans rencontrer d’obstacle. Plusieurs fois la main frôle le bas-ventre et se rapproche de plus en plus de l’entrejambe. Odette pose sa main sur celle de Géraldine et la stoppe. Avant de retirer sa main, Géraldine presse plusieurs fois la vulve au travers de la culotte. Elle constate qu’Odette mouille, c’est un bon signe pour la suite de ses projets.

Richard commande une nouvelle tournée, Géraldine en profite pour se rendre à la toilette. Odette dit en regardant son mari :

-Richard, c’est incroyable, elle a passée sa main sous ma jupe, et a pressée ma chatte, je mouille comme une fontaine, elle plait de plus en plus cette femme, je crains que nous allons lui céder !

Richard l’apostrophe :

-Tu veux dire cette salope, elle cherche c’est flagrant !

Odette se lève et rejoint Géraldine à la toilette, qui devant le miroir se refait une beauté. Elle se place derrière elle, l’enlace en la serrant très fort contre elle, et lui murmure :

-Si tu cherches, mon mari et moi, sommes disponibles, tu m’as fait mouiller salope !

Géraldine sans se démonter répond :

-Allons chez moi, mon mari voyeur n’attend que cela !

Géraldine sans honte, raconte pour quelle raison elle traine dans le parc. Les deux sortent de la toilette. Odette arbore un large sourire, et dit à son mari.

-Tu as raison Richard, elle est en chasse, elle nous invite chez elle, son mari voyeur ne bande que lorsqu’elle se donne à d’autres personnes !

Pendant qu’ils terminent leur verre. Odette avoue :

-Richard et moi sommes un couple qui de temps en temps se permet un écart, je crois qu’aujourd’hui nous allons réitérer cet écart, qui s’annonce jouissif, et j’avoue aussi que vous êtes une femme aux formes généreuses, je sens que nous allons nous régaler !

Odette saisit au travers du pantalon, la verge de son mari et dit en la pressant :

-Mon coquin est très performant, et moi très gourmande, et toi chérie !

Géraldine en souriant répond :

-Je te le laisse découvrir, je suis certaine que tu ne vas pas le regretter !

Odette passe sa main sous la jupe de Géraldine et en lui pressant la chatte, dit :

-C’est vrai que tu as de grosses lèvres, hum tu dois être vachement bonne ma salope !

Enfin ils quittent le café; Ils font quelques pas pour arriver chez leur hôte.

Géraldine présent à Edmond ses futurs amants. Il est étonné qu’il y a une femme, car Géraldine n’est pas lesbienne. Mais il est curieux de voir ça. Edmond serre une verre, pour faire plus ample connaissance avec le couple. Il apprend qu’Odette est une bonne dévoreuse de minou et adore aussi faire de bonnes grosses fellations, sa bouche ne refuse aucun orifice. Richard aussi n’a aucun tabou, bien que ce ne soit que rarement que le couple dérape, il est prêt à tout pour avoir de grosses jouissances.

Enfin il faut passer à l’acte. Les trois s’effeuillent en se regardant mutuellement. Les petits seins d’Odette, ont la particularité, d’être garnis de gros mamelons. Ceux de Géraldine sont lourds et pèse sur son torse. Ses fesses bien rebondis ne laisse pas indiffèrent ses amants. Celles d’Odette, sont bien s’éparées par un large sillon qui laisse apercevoir un anus terriblement boursouflé. Odette ne peut nier qu’elle se fait souvent prendre par le cul, et que son mari le lui entretien régulièrement, si ce n’est avec sa queue, c’est avec des objets de tous genres, qui lui dilate l’anus.

C’est Odette qui entame les festivités, elle bascule Géraldine sur la table du salon et commence à lui malaxer les seins, ses longs doigts noueux s’enfoncent dans les chairs en faisant geindre Géraldine. Elle les pétrit sans les ménager, elle dit que ça les stimule. Elle roule entre ses doigts les mamelons, les étire, les presse fortement pour faire gémir son amante. Une fois qu’elle les a bien torturée, elle les gobe. Les succions qu’elle pratique sont terrible, à chaque aspiration, Géraldine grimace.

Richard bande dur, il se caresse la verge pour la maintenir opérationnelle. Sa hampe en forme de sabre, est déformée par de grosses veines apparentes, ce qui la rend redoutable. La bouche d’Odette œuvre efficacement sur les mamelons de Géraldine, qui couine de plaisir comme un animal. Pensant qu’elle suce, sa main voyage sur le corps fébrile de son amante, pour atteindre son but. elle glisse sur la vulve trempée, ses doigts cherchent la perle des plaisirs, ils s’en emparent et l’agite avec de plus en plus d’ardeur. La boule de chair prend rapidement du volume, Odette la presse si fort que Géraldine pousse un grognement rauque, en se cambrant comme un pont. la bouche délaisse les seins et descend sur le corps laiteux, en embrassant chaque parcelle.

Enfin la bouche vorace, se plaque sur la vulve en feu et aspire tout se quelle rejette. la langue agile s’enfonce profondément sans la gaine débordante de cyprine et la fouille en arrachant des gémissements à la soumise. Richard regarde la croupe de sa femme qui s’agite pendant qu’elle dévore la chatte baveuse de Géraldine. Il s’approche ouvre un peu plus avec ses pouces le large sillon et pose sa bite contre la rondelle boursouflée. Un petit coup de reins suffit, pour que la verge s’enfonce jusqu’aux couilles dans le rectum trop souvent visité d’Odette qui pousse un grognement sans lâcher sa proie. Edmond retire son pantalon, sa queue est tendue, il la caresse sans rien perdre du spectacle.

richard défonce le cul de sa femme, en poussant des han de bucheron. Odette grogne de plaisir, et se cambre pour bien offrir son trésor à son mari vigoureux, qui la défonce comme un sauvage. Odette suce le clito de Géraldine en geignant, mes deux femmes agitent leur bassin en gémissants en cœur. Géraldine est arque boutée fortement, elle est en équilibre sur ses coudes et ses pieds. Une violente jouissance la fait hurler, son corps se met à trembler comme une feuille au vent d’automne. Richard, avec violence démonte sa femme qui, tout d’un coup pousse un hurlement et explose de jouissance. Richard continue de la défoncer car il veut lui remplir le cul de sa semence épaisse.

Il se déchaine, il s’acharne sur sa femme qui jouit une seconde fois. Enfin il déverse en elle son sperme onctueux. Il se retire, Odette dévore comme une enragée la chatte dégoulinante de Géraldine, qui ne cesse de geindre. La bouche descend se quelques centimètres et atteint son objectif. elle se pose sur l’anus de Géraldine qui pousse un grognement en se cambrant davantage. Surprise, et ignare de cet attouchement anal, elle ne peut que gémir. La langue cherche à pénétrer l’antre de l’enfer, mais après plusieurs tentatives, elle s’engage dans la gaine étroite. Géraldine gémit comme une bête malade, jamais elle n’a subit sur son anus un tel attouchement, cette nouveauté, pour elle c’est le bonheur. Elle jouit affreusement en hurlant.

Edmond émerveillé, assit sur le bord d’une chaise, regarde le trou béant d’Odette qui rejette le sperme de son mari. Les contractions constants de l’anus, le font frémir.
Richard, regarde la verge de son hôte, s’approche, lui saisit la verge, la décalotte et sans faire de chichi, gobe le gland. Le bougre suce comme un diable, la bouche vorace le fait grogner de plaisir. Edmond n’en croit pas ses yeux, un homme lui suce la bite et peut-être mieux que sa femme. En même temps qu’il suce, Richard brande de temps en temps la verge, pour qu’elle reste bien dure.

De sa main libre il lui triture les couilles. Pendant ce temps les deux femmes ont changées de position, elle sont tête bêche et se broutent ont se faisant gémir comme des animaux en ruts. Les bouches changent souvent d’orifice, Géraldine tente de faire la même chose que sa complice. l’anus d’Odette est bien plus ouvert que le sien. La coquine n’a aucune difficulté à le pénétrer de sa langue et de le fouiller sauvagement.

Edmond grogne comme un fauve. Richard lui suce la bite avec une ardeur inouïe. Maintenant, il passe à l’étape supérieure. Il enfonce brutalement deux dans le cul d’Edmond qui se cabre en poussant un long râle.
Tout en lui suçant la verge, Richard lui laboure le cul avec ses doigts. Edmond est cambré comme un pont, soudain, il pousse un gémissement de fauve, et remplit la bouche du suceur avec sa semence épaisse. Richard retire ses doigts et se redresse. Il regarde Edmond et avale ce qu’il lui à si généreusement offert. Edmond est complétement déboussolé. C’est la première fois, que des doigts lui fouillent le cul et l’emmènent à la jouissance.

Richard n’en reste pas là, il invite Edmond, à investir le cul de sa femme car elle adore ça. Edmond se lève et s’approche d’Odette, qui dévore sans répit les orifices de Géraldine, qui lui rend bien d’ailleurs. Sa verge laisse échapper quelques gouttelettes de sperme sur le sol. Il la frotte contre l’anus débordant de sperme et l’enfonce d’un coup. Odette relève la tête pour pousser un gémissement d’approbation, avant de reprendre le broutage de chatte de sa nouvelle amie. Géraldine au bord du comma, explose encore sous les coups de langue de la vorace Odette.

Edmond défonce Odette comme un soudard. il s’agite si fort que Richard a une envie subit d’intervenir. Il se place derrière Edmond et lui plante sa bite jusqu’aux couilles, dans le cul encore entre ouverte, et commence un violent enculage. Edmond surpris par l’agression sauvage, se retire du cul d’Odette. Sa verge est secouée de soubresauts. Richard, accroché à ses hanches, le sodomise avec brutalité. Edmond gémit, il n’arrête pas de dit :

-Oh putain, oh putain !

Géraldine, regarde yeux écarquiller son mari prendre dans son rectum toute la longueur de la bite de Richard, qui semble s’acharner sur lui.
A chaque soubresauts, un petit jet de sperme est expulsé de la verge d’Edmond, qui toujours accroché aux hanches d’Odette, gémit comme une bête blessée. Soudain, il se cabre en poussant un grognement terrible, et envoie un flot de sperme sur le dos d’Odette qui est toujours à quatre pattes sur Géraldine. La jouissance d’Edmond est violente, sa verge ne cesse d’être agitée par des spasmes incontrôlables.

Richard se bloque et remplit les entrailles d’Edmonde qui défaille, en geignant comme un agonisant. En se retirant du rectum bien remplit de liquide visqueux, il lui donne une tape sur les fesses. Et dit :

-Pendant que ta queue et encore raide je te conseil de défoncer ma femme, finit ce que tu as commencer !

Odette délaisse Géraldine, et attend avec impatience l’estocade d’Edmond. Pendant que Géraldine halète, étendue sur la petite table. Richard regarde la chatte baveuse, passe plusieurs fois sa main dessus, avant de lui planter sa verge redoutable dedans. La forme spéciale de l’engin procure à Géraldine une sensation étrange. Le gland épais lui racle fortement les parois sensibles du vagin, en la faisant geindre. Il s”accroche aux hanches larges de la soumise et comment une destruction de la chatte féroce. les coups de reins de Richard sont dévastateurs et violents. Géraldine s’agrippe à son amant en gémissant de plaisir. Soudain sans complexe, Richard ressort sa verge du ventre très sollicité, et la plante dans le cul de Géraldine qui pousse un hurlement.

Elle subit la totale, Richard change souvent d’orifice, Géraldine pâme de bonheur, elle s’agite pour que la queue difforme de son amant lui racle bien les gaines qu’elle investit. Géraldine a plusieurs jouissances d’affilées, elle s’écroule son force sur la petite table. Richard maintenant cherche son propre plaisir. Il finit pas déverser dans le ventre brulant de son amante son sperme.

Edmond à réinvestit le cul d’Odette, il la sodomise avec force, à chaque coup de reins, elle pousse un grognement de bête. Pour Edmond, c’est le plus beau jouir de sa vie, son corps peu servir de vide couilles aux amants de sa femme, qui maintenant vont aussi être les siens. Et cela le rend plus fougueux, Odette peut l’affirmer. le bougre lui remplit l’intestin, avant de lui plonger sa verge dans le ventre et de lui faire subir les mêmes outrages.

Des pauses à répétitions ont permissent aux acteurs, de tenir de longues heures. Edmond pour remercier Richard, lui a fait une fellation monstrueuse.

Linsee

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