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Histoires taboues Vieux - Jeunes Viol

Henri avait une grosse queue et baisait ma mère par le cul

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Bonjour,

C’est inédit ! martine, ma petite sœur, 22 ans, c’est par elle que le « mal » arriva ! Hier, vers 16 h, après vous avoir envoyé la dernière lettre, ma petite sœur Martine revenait de son travail, accompagnée d’un homme. Cet homme, je l’avais déjà vu quelque part. Il pleuvait à ce moment-là. Ma mère, au lieu de mettre son linge en machine, avait préféré faire sa lessive là, dehors ! Même pas à la buanderie.
Martine, nous dit qu’elle avait rencontré ce vieux sur le chemin, c’est le vieux qui l’a interpelée en lui disant qu’il s’appelle… Henri ! Je me remémorais. Je fixe l’homme, le visage me revint, je reconnus effectivement Henri, l’homme a très peu vieilli. Avait-il vraiment 60 ans lorsqu’il culbutait ma mère pendant les vacances ? Je NE LE PENSE PAS ? C’était en 1985 ! Vous vous imaginez ! Il devrait avoir 84 ans, maintenant ! Mais, il a toujours des gestes vifs, il a toutes ses dents, le visage ridé, mais pas trop. Son rire est éclatant et perçant.

J’ai pu le voir lorsque, dans le salon, j’ai discuté avec lui. Dans nos discussions, je lui ai demandé quel âge il avait. Il m’a dit qu’il avait déjà 63 ans ! Ça veut donc dire qu’en 1985, quand le saligaud sodomisait Martine, la salope, il avait entre 39 et 40 ans, mais il faisait beaucoup plus vieux, certainement parce qu’il menait une mauvaise vie, le crack et l’alcool, mais aujourd’hui, il fait vraiment son âge.

Ma mère prenait un plaisir certain à faire la lessive dans de grosses bassines, sous la pluie, il pleuvait vraiment. Elle portait juste un jupon ! Avec en dessous, un slip. Le jupon collait sur sa peau à cause de l’eau de pluie qui s’abattait sur elle. Ses grosses fesses d’éléphant étaient davantage mises en exergue, je sortais à chaque fois sous la pluie pour aller mater ce fessier large et immense, en faisant semblant de baigner à l’eau de pluie.

Elle savait qu’a martine était déjà là, elle a crié lorsqu’elle l’a vu :

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– Mais Henri, d’où sors-tu ? Tu es encore vivaaaaant ? Il répondit.
– Oui, j’ai vu ta fille, je l’ai reconnue par son petit visage, à l’époque elle pleurait beaucoup, mais elle est devenue une femme !

Il faisait déjà noir, la pluie avait cessé, disons que l’heure était très avancée. Mon téléphone sonna, un ami voulait m’inviter à manger une pizza chez sa petite amie. Je déclinai l’invitation parce qu’il avait plu. Je partis dans ma chambre choisir des vêtements sales que je devais emmener au pressing. Je perdais du temps, je traînais. Quand je revins au salon, Apollinaire n’y était plus, ma petite sœur me dit qu’il est certainement parti.

Ma mère sortit de sa chambre et alla à la cuisine. Après la cuisine, elle alla ouvrir la boite à vin, il y avait toutes sortes de liqueurs et l’emmena dans sa chambre en tentant de dissimuler la bouteille sous son pagne. Cela attira mon attention ! Je la suivis doucement, j’entrai dans sa chambre et m’arrêtai au vestibule. À partir de là, je vis quelqu’un assis dans son coussin de chambre, c’était…, Apollinaire !

Je restai coincé derrière l’immense armoire à linge. La lumière dans la chambre était vive, je pouvais tout voir et c’était une bonne chose pour moi ! Depuis la salle de bain de ma mère, je sentais quelqu’un tirer la chasse et tout d’un coup ma mère sortit et vint rejoindre Henri qui était déjà à son 4e verre de vin ! Il lançait !

Ma mère alla se courber dans son panier à linge pour chercher je ne sais quoi ! Les clés de la chambre ! Elle alla donc fermer sa chambre à clé et moi à l’intérieur, j’ai failli crier ! Toujours dans ma cachette, je me suis résigné à passer la nuit-là, caché dans la chambre de ma mère. De toute façon, je pouvais me coucher sur le sol, il y avait la moquette, c’était doux, mais seulement, je devais faire attention au petit matin !Henri avait une grosse queue et baisait ma mère par le cul

Ma mère alla encore se courber sur le panier pour remettre les clés, je vis Apollinaire se lever, défaire la braguette de son pantalon et aller culbuter ma mère qui ne s’y attendait pas, elle avait la tête dans le panier à linge. J’entendis des plaintes sourdes provenant d’elle, Apollinaire, la baisait littéralement. Après, ils changèrent de position. Ils étaient maintenant sur le lit, elle souleva, couchée sur le dos, son gros bassin et ses grosses fesses lourdes, écarta les jambes et Henri pointa sa grosse bite dans le vagin de ma pétasse de mère. Lorsqu’Henri s’introduisit, elle cria, cela excitait plutôt Apollinaire qui s’activa de plus belle. Moi je me masturbais dans ma cachette. ENSUITE APOLLINAIRE releva les jambes de ma mère sur ses épaules et la pénétra avec une de ces violences. Ma mère faisait des aie ! aie ! aie aie, à voix basse, et elle commença à faire des pets, je ne sais plus pendant combien de temps !

Henri avait déjà joui 2 ou 3 fois, il ne se reposait pas ! Il continuait à transpercer ma mère avec son énorme chibre. Il la retourna et la baisa en levrette…, non c’est moi qui avais mal vu, il l’enculait déjà ! Et ma mère disait : « j’ai mal, j’ai mal, c’est bon, mais j’ai mal, oui ! Baise-moi bien dans le cul ! » Henri balançait sa sauce dans l’anus de ma mère. Lorsqu’il se retira pour aller à la douche, je vis le monstre digne des films pornos, une bite de 22 cm et épaisse !!! Ma mère prenait ça dans le cul !! C’était vraiment une salope, une pétasse. Martine, elle adorait ce pénis monstrueux, c’est vrai que les femmes adorent les gros pénis pour bien les bourrer.

Et justement, Apollinaire la bourra toute la nuit, il pénétra les deux trous en alternance, vagin-anus-vagin-anus. Apollinaire s’agrippait encore sur ma mère, après un petit repos, ma mère lui dit qu’elle était déjà fatiguée, Apollinaire lui mit une claque sur la joue droite et lui ordonna :

– Allez, allez, courbe-toi ! Amène tes grosses fesses, ici ! »
Henri la reprit en levrette avec violence, en lui administrant des claques sur son immense fessier. Ma mère avait la tête enfouie dans les draps, tout d’un coup, je vis Apollinaire se cambrer en faisant des tapes des deux mains sur les grosses fesses de ma mère, comme un cow-boy le fait à son cheval, lors d’un rodéo. Il se retira et ma mère s’écroula sur le côté dans le lit. Il était 4 h du matin, comme l’indiquait la pendule dans la chambre de ma mère.
Henri descendit du lit et alla à la douche, je vis les 22 cm avec un gland gros et large, gros comme le poing d’un bébé de 1 an ! Apollinaire se rhabilla, ma mère se leva pour aller ouvrir la porte, quand les deux furent au salon, après avoir traversé le petit couloir, je profitai aussi pour sortir. Le jour se levait déjà, il faisait un peu clair.

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À 8 h, ma mère m’appela dans sa chambre, elle me dit d’aller lui acheter du Mercryl (pour laver son trou du cul, me suis-je dit), du vagifor (un médicament en comprimés, que l’on introduit dans le vagin pour qu’il redevienne ferme) et de l’Advil pour les maux de tête. JE LA TROUVAI, là, assise en bordure de lit toute nue, je profitai pour mater son bassin et ses grosses fesses. Lorsqu’elle se leva, il y avait une tache, une grosse tache brune où elle était assise, puis il y avait même des taches partout sur le lit. C’était torride !

C’est ma petite sœur qui amena le mal. Après, je ne me suis pas masturbé, je conserve le sperme. J’attends le jour où ma mère, la salope, va encore m’appeler dans sa chambre, cette fois-ci, je vais aussi l’enculer.

Mike

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