Histoire de cul La transformation de Marie est une histoire science fiction.
CHAP 1
La découverte.
Max rentre du travail plus tôt que prévu. A seize heures il gare sa voiture devant le garage. Comme il fait beau , il entre par la grille du jardin. Il passe sous la pergola et entre par la cuisine. Il est étonné de ne pas être accueillie par Attila leur berger allemand, qui par ce beau temps, devrait être dehors ?
La porte de la cuisine est ouverte. Il n’entend aucun bruit dans la maison ? Il trouve cela étrange, il pense que sa femme Marie est partie promener le chien ?
Soudain, son attention est attirée par la porte entrouverte de la cave ? La lumière est allumée, en s’approchant, il entend des bruits bizarres, des cris étouffés ? Sa gorge se noue d’inquiétude.
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Il descend sans faire de bruit et plus, il descend plus, il entend des sons bizarres ? Au bas de l’escalier il y a une autre porte d’où viennent les sons bizarres ? Max pousse doucement la porte.
Là, Marie est nue, à quatre pattes sur l’ancien matelas de leur chambre à coucher. Attila, se teint debout sur ses pattes arrière, entre les jambes de sa femme. Les puissantes pattes avant du berger allemand enserrent la taille de Marie. Attila agite son arrière train en haletant langue pendante, qui bave sur le dos de sa femme. Max a devant les yeux, pour la première fois, l’accouplement de sa femme et de son chien.
Attila va et vient, ses coups de reins sont rapides. D’où il est , Max peut voir s’il possède Marie par sa vulve ou par son anus. Elle halète elle aussi ? Elle gesticule en clamant.
– OUIII ! Encore, mon chéri, encore mon bon chien ! Marie est entrain de jouir sous la saillie d’Attila. Elle accompagne de sa croupe, les va et vient d’Attila.
Max se met à bander devant le tableau. Il a déjà vu des accouplements d’animaux qui d’habitude sont plutôt brèves, mais là, ils n’en finissent pas de s’accoupler. Marie halète de plus en plus fort, elle feule comme une vraie chienne prise par son mâle. Les pattes avant du chien la secouent. Le cœur de Max bat fort, ses tempes cognent. Attila arrête ses mouvements de pénétration, mais il ne se retire pas ?
Marie lui parle.
– Attends, Attila ? Calme toi, mon chien. Vient doucement mon chéri. Tu sais bien que tu ne peux pas sortir tout de suite de mon ventre ? Ce n’est pas comme dans mon cul ? Ce n’est donc pas la première fois que Marie se fait saillir par Attila. Cela fait plus d’un an qu’ils ont le chien et Marie s’est déjà fait prendre le vagin et l’anus par le chien.
Max, serre les poings et ses lèvres pour ne pas crier sa frustration. Marie avance péniblement à quatre pattes en tirant derrière elle, Attila qui s’est retourné cul à cul.
Celui ci, avec sa verge toujours bien enfoncé dans la moule de la femelle, la suit à reculons. Dans un coin de la cave, il y a un tuyau branché à un robinet qui servait à l’ancien propriétaire pour laver des bouteilles. Marie en tendant le bras, elle ouvre l’arrivée d’eau et dirige l’extrémité du tuyau entre Attila et elle. Marie se cambre, lorsque le jet d’eau froide doit atteindre sa moule au point de soudure entre le chien et sa femelle.
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Après quelques secondes de douches froides, Attila se retire de sa femelle. Max, l’esprit embrouillé, remonte vite en rangeant son portable qui a tout filmé dans sa poche.
Marie toujours nue, fait sortir le chien dans le jardin, par la porte de la cuisine. Elle se retourne et a un mouvement de surprise en voyant son mari dans l’embrasure de la porte. Son bas ventre et ses cuisses sont trempées et un filet blanchâtre s’échappe de sa moule rougie. Elle s’étonne de rencontrer son mari si tôt à la maison ? Elle a l’air très ennuyé de le trouver là dans cette tenue. Max lui donne la raison de son retour prématuré et lui avoue en agitant son portable qu’il a tous vu et filmé. Il lui pose la question qui le ronge.
– Est-ce que c’est vraiment meilleur avec Attila qu’avec moi ? Elle se colle à son mari, toujours nue et humide. Elle le prend par le cou et lui roule une pelle d’amoureuse.
– Tu ne peux pas imaginer mon chéri ? Mais c’est toi que j’aime et ça ne change rein entre nous. Bon ? Je vais prendre une douche et je te raconte.
Ses yeux brillent comme ceux d’une femme comblée. Comment est-ce possible ? Elle lui redonne un baiser sur la bouche et s’enfuit dans la salle de bain. Max se sert un verre de whisky dans le salon, assit sur le canapé en regardant sur son portable la scène de la cave. Marie le rejoint, fraîche et odorante. Ses tétons pointent sous la fine robe qu’elle a enfilé sur son corps nu. – Enlevons tout ça mon chéri. Sinon, je ne te raconte rein du tout ? Marie enlève le pantalon et le slip de son Mari. – Ça t’as fais bander de me voir saillir par Attila.
Lui dit elle, en enlevant aussi sa chemise et son maillot de corps. Elle colle sa bouche à la sienne en lui tenant sa queue tendue. Max lui palpe les seins et lui arrache de petits râles d’appréciations. Il lui fait passer sa robe pardessus sa tête. Les voilà nu tous les deux. Il lui caresse les seins. – Ça ? C’est la seule chose qu’Attila ne sait pas faire. Il lui pince les mamelons qui grossissent entre ses doigts. – Et ça ? Aussi, il ne sait pas faire. Marie pousse Max pour qu’il s’allonge sur le canapé. Lorsqu’il est allongé sur le dos, elle se couche sur lui en coinçant, cuisses fermées, sa queue entre les lèvres de sa moule.
– Il me fait grossir les tétons en me les léchant. Il me fait aussi jouir lorsqu’il me lèche la chatte et l’anus. Max, lui demande si le plaisir est comparable à celui qu’elle éprouve avec lui. Elle lui avoue que, pour elle c’est encore meilleur. Sa jouissance est plus grande parce qu’elle a le sentiment de le tromper en bravant un interdit. Quand elle y pense, elle sent sa volupté décuplée, alors elle atteint un orgasme d’une très grande intensité, surtout quand Attila éjacule en elle. Donc, elle n’est plus elle même.
– C’est comme si j’étais une vraie chienne. Je jouis en recevant la semence d’un chien, c’est dément. En plus, il bande dure plus longtemps que toi.
Max excité, mais aussi blessé dans son amour propre. Il retourne sa femme sur le canapé et lui fait l’amour. Ils s’aiment avec une telle intensité longtemps oubliée. Après avoir bien joui, ils restent l’un dans l’autre. Max, ne débande pas comme à d’haitude, car Marie lui décrit le plaisir très spécial qu’elle éprouve lorsque Attila, après avoir joui en elle. Essaye en vain de se retirer de son vagin. Elle lui raconte qu’elle sent comme des minuscules ventouses sur sa verge se coller à ses parois vaginales.
– Dans, c’est moments là ? Je préfère être une femelle qu’une femme. Attila, peut faire ça deux fois par jour et même trois ou quatre fois, quand il est en période de rut. Ils refirent l’amour sur le champ et exceptionnellement après le repas en regardant la vidéo sur le portable de Max.
Deux jours plus tard, Max offre un collier de chien à sa femme, muni d’une laisse. Elle doit le porter constamment. Cela, la gêne en rien, au contraire, elle le porte avec fierté. Elle ne doit, aussi, ne plus porter de sous vêtements. Elle porte constamment une guêpière avec des bas, pour que les griffes des pattes avant d’Attila ne marquent plus ses hanches. Max fait aussi participer Attila à leurs ébats. Marie se retrouve souvent chevauchant son mari pendant qu’Attila la sodomise. Elle a suggéré à son mari de prendre un ou deux chiens de plus et même qu’il se fasse aussi sodomiser par Attila. Pour l’instant, il n’a pas accédé à ses demandes.
CHAP 2
Le début de la transformation.
Max travaille pour un laboratoire pharmaceutique. Un soir, après le travail, il boit un verre avec Léo un collègue chimiste. Il est très doué en génétique. Après trois verres, Max s’épanche sur sa vie de couple. Il lui raconte les saillies de sa femme avec son chien et ses demandes pour agrandir son chenil. Léo lui propose d’inhiber l’addiction de sa femme envers les chiens. Max ravit, accepte sa proposition, malgré que le stage risque de durer une bonne quinzaine de jour.
Léo invite un soir Max à souper en compagnie d’un chercheur. Il fait des recherches sur les primates. Il a découvert une hormone de type nouveau. Il l’a modifié pour qu’elle inhibe l’agressivité des primates. Il en a développé un sérum pour apprivoiser les animaux les plus sauvages et leur faire oublier toutes leurs addictions.
En réalité, l’ami chercheur de Léo recherche un cobaye pour ses expériences non déclarable au pouvoir public. Il se cache bien de le dire à Max. Le lendemain, Léo appelle Max pour finaliser le projet. Quatre jours plus tard, ils mettent au point l’admission au stage sans que Marie en soit informée.
Le matin du jour dit : Max accroche la laisse au collier de sa femme et la tire hors de la maison. – Allé, ma chienne ? On va faire un tour en voiture ? Tu vas rencontrer de nouveau partenaire ? Lui ment son mari pour qu’elle monte dans la voiture habillée comme à son habitude. Elle monte allègrement dans la voiture et ne s’offusque pas que son mari attache la laisse à la ceinture de sécurité avec un cadenas.
Ils arrivent devant une maison isolée. Ils entendent des aboiements venant de derrière la maison. Ce qui confirme à Marie, qu’elle va rencontrer des chiens.
Léo les accueille et les fait descendre dans la cave. Léo tend un collier métallique à Max pour qu’il le change avec celui qu’elle porte. Un clic sinistre se fait entendre, quand Max referme le collier autour du cou de sa femme. Ensuite, Marie est attachée à un anneau fixé au mur. – Alors ? C’est toi le chienne qui veut plusieurs mâles à sa disposition ? Elle regarde son mari d’un air interrogateur avant de secouer la tête en signe d’approbation.
Léo invite Max a venir se désaltérer à l’étage au dessus. Marie les regarde monter l’escalier, elle n’ose pas manifester son angoisse de rester seul dans cette cave sombre. Max, va prendre la petite valise de Marie dans l’auto.
– Tu peux remettre la valise dans ta voiture, elle aura tout le nécessaire sur place, elle ne manquera de rein. En plus tu n’as rien à payer, nous faisons passer ça dans les frais de laboratoire de la boite.
Après avoir bu son verre, Max part rassuré. Il va patienter en attendant le retour de sa femme.
Sitôt Max partit, Léo donne un verre de jus de fruit à Marie. Il remet le boîtier sur le collier autour de son cou. Ensuite, il détache Marie et en tirant sur sa laisse, il la fait remonter à l’étage.
– On va voir les chiens ? Ou est Max ? – Oui ! On va voir des chiens, mais pas ici. Max est déjà sur place, alors tu montes dans la voiture et on va le rejoindre.
Ils montent dans la voiture de Léo et prennent la route. Après une heure de trajet, ils arrivent devant le laboratoire du fameux chercheur. Ils rentrent dans le bâtiment par une porte dérobée. Léo guide Marie dans le dédale de couloir en la tenant par la laisse. Ils pénètrent dans une pièce ou les attend le soi-disant chercheur. Âgé d’une cinquantaine d’années, avec des cheveux grisonnants. Il porte une blouse blanche sur un pantalon noir.
– Voilà votre cobaye prof, je vous la livre à vos bons soins comme convenu. Malgré le tranquillisant que Léo avait ajouté dans son jus de fruit, Marie réagit vivement. Elle s’adresse à Léo. – Mais ? C’est pour avoir deux chiens que nous sommes venus vous voir ? Et ? Où est Max ? Proclame Marie en essayant de retirer le collier métallique autour de son cou. Soudain une décharge électrique venant du collier la secoue intensément. Elle s’écroule au sol tremblant de spasmes.
L’assistant du prof fait irruption dans la pièce par une porte d’où l’on entend des cris d’excitation de grands singes. Léo lui tend la télécommande du collier qui s’en saisit tout de suite. Le prof dit à Léo. – Merci Léo, tu seras récompensé comme il se doit ! Marie se relève péniblement et regarde avec effroi partir Léo. L’assistant s’approche de Marie en agitant la télécommande du collier. Il sort un ciseau d’une poche de sa blouse et découpe la robe de Marie de bas en haut. Elle apparaît en guêpière et bas. – Retirez moi ça ? Commande le prof et pendant qu’elle se déshabille, il s’adresse à son assistant. – Je te rappelle Jojo ? Que pendant toute la durée de l’expérience de sa transformation, tu ne dois plus la considérer comme une femme. Elle n’est rien que le cobaye de notre expérience génétique. Elle va subir le dressage ainsi que la transformation pour être la femelle de nos primates que l’on garde ici. Donc, agit avec elle comme une guenon et rein d’autre.
Marie est terrifiée parce qu’elle vient d’entendre. Elle va devenir le cobaye de ce Prof, sans que lui demande son avis. Mais ? Où est Max ? Pourquoi est elle là dans ce laboratoire d’où on entend des cris de singes venus d’à côté.
– Voilà les vingts doses à lui injecter chaque matin. Dans quatre jours, on doit commencer à voir le changement de sa morphologie. Si ça ne va pas asse vite, j’augmenterai la dose. Ça ne lui fera pas mal avec aucun effet néfaste ? Je crois ! Proclame en s’approchant de Marie avec une grande seringue pleine.
– Après la première dose, elle verra les choses à notre façon ?
Marie veut se dérober à l’injection, mais elle reçoit une décharge électrique dans son cou qui la dissuade de se rebeller. Le prof enfonce la seringue dans le cou de la femme cobaye. – Nous avons vu des primates les plus sauvages devenir doux comme des agneaux. Ils faisaient n’importa quoi pour nous quelques jours seulement après l’infection. Mais pour ce qui est de toi ? Le sérum fera beaucoup plus que cela. Nous te laissons découvrir par toi même ta transformation. Le prof retire la seringue vide du cou de Marie. Elle est là, nue, avec son collier métallique autour du cou. Elle a la chair de poule, non pas de froid, mais de crainte. Elle sent quelque chose d’indéfinissable et de spécial, allait se passer.
En prenant la laisse des mains de l’assistant, il emmène Marie dans la pièce à côté et la fait coucher sur une table d’examen équipé d’étriers. Ou prof enfile des gants stériles et il lui fait écarter les jambes, un talon dans chaque étrier. Il tire sur les grandes lèvres intime de Marie avant d’enfoncer deux doigts dans son vagin. Il les remue en disant que c’est bien plus agréable qu’avec les habituelles guenons.
– Elle mouille déjà ? Bon pas bougé ? Il enfonce quelque chose de dur et d’épais dans son vagin jusqu’à ce que l’objet le fond de son utérus. Elle soulève son fessier et gémi. Il ressort l’objet pour le mesurer et enregistrer la profondeur de son vagin.
Ensuite, il lui enfonce un gros thermomètre dans l’anus en répétant, pas bougé ! Cela fait tout drôle à Marie, de l’entendre lui donner des ordres comme on le fait à un animal. Il va parler avec son assistant, puis revient sortir le thermomètre de l’anus de Marie, pour noter la température. Ensuite, il enduit sa rosette d’une crème et la pousse vers l’intérieur avec son doigt. Sous la surprise de l’acte, elle se soulève et pousse un petit râle.
– Tout doux ? Tout doux ! Surtout pas bougé ? Même si ça chauffe ? Faut que ça s’ouvre ?
Il laisse son doigt dans son cul ? Ça chauffe de plus en plus fort. Elle respire par saccades, son anus s’ouvre, car elle ne sent plus son doigt. Par contre, à la place de son doigt, il lui enfonce le même objet que dans son vagin. Elle le sent pénétrer sans difficulté dans son rectum. Elle a le cul qui la brûle et elle commence à transpirer et haleter. – C’est bon, ça va aller, on recommencera tous ça dans quelques jours. Elle sera bonne pour Sodo ! Elle a la bonne dimension. Il a retiré l’objet du cul de Marie pour le mesurer lui aussi et l’assistant note tout ce que lui dicte le prof.
Ensuite, il mesure son tour de poitrine, il inspecte ses auréoles et ses tétons. Il palpe ses seins et il mesure aussi l’épaisseur et la longueur de ses tétons. L’assistant, prend des photos de toutes les parties du corps de Marie. Il a aussi pris en gros plan la vulve et l’anus de Marie. Ensuite, le prof se saisit des lèvres intimes de la Marie et fait sortir son clitoris de son capuchon. Il le triture, l’étire et sous ses doigts le clitoris se gonfle d’une façon étonnante. Il tire dessus sans ménagement, la Marie pousse des râles d’approbations.
– Ils vont être satisfait de l’avoir comme femelle. Ses dernières paroles font peur à la Marie.
S’adressant à Jojo l’assistant, le prof lui donne quelques consignes. – Tu la fais boire ça et tu l’enfermes dans sa cage. A demain, Jojo.
L’assistant fait boire le verre d’eau à Marie qui lui trouve un drôle de goût. Il conduit la marie dans une autre grande pièce, ou se trouve une grande cage. L’assistant ouvre la porte, détache la laisse du collier de la Marie et la pousse à l’intérieur. Ensuite, il referme la porte à clef. Marie se saisit des barreaux et proteste véhément. Une décharge électrique dans son cou la jette au sol pour un quart d’heure. L’assistant sort de la pièce, Marie convulse sur le sol de béton de la cage.
Quand marie, refait surface, elle regarde autour d’elle. Il y a une couchette avec une sorte de tapis de judo dans un coin, il y a aussi un WC en acier. Dans un autre coin, il y a une tablette en fer fixée sur des barreaux avec au dessus une ouverture cadenassée. Aux quatre coins, il y a une caméra fixée au plafond.
Marie, se couche sur la banquette lit et s’endort rapidement, malgré qu’il soit midi au soleil.
Dans la soirée, l’assistant réveille la Marie et lui désigne la tablette ou trône un plateau avec une assiette garnit de légumes cuites et de trois fruits. Un petit pichet d’eau avec toujours ce goût bizarre.
Comme il n’y a pas de chaise dans la cage, Marie mange accroupi. Elle doit manger avec ses doigts, car il n’y a pas de couverts sur le plateau. Elle mange de bon cœur tout ce qui se trouve sur le plateau et vide aussi le pichet d’eau. Lorsqu’elle a fini de vider le contenu du plateau, Jojo, l’assistant lui fait signe qu’il a sorti sa bite de son pantalon. Il bande bien dur. Marie a compris ce qu’il désire et de la tête, elle lui fait le signe que non.
Une légère impulsion électrique parcourt son cou. Elle comprend vite que si elle n’obtempère pas, la prochaine décharge sera terrible.
Marie est morte de honte, mais sous la contrainte, elle finit par ouvrir la bouche et engouffre sa queue bien dure. L’assistant lui touche les seins comme un malade en les malmenant et leur donnant des claques. Puis, il lui l’attrape par la nuque pour plaquer le visage de Marie sur son pubis, elle l’avale en gorge profonde.
Quelle honte. Si elle pouvait passer entre les barreaux, elle se serait envolée comme un papillon affolé.
Jojo fait coulisser la bouche de la Marie sur sa queue en la tenant par ses cheveux. Rapidement, son sperme jaillit au fond du palais de Marie. Elle l’avale tant qu’elle le peut.
Elle se dit, non, intérieurement, mais en même temps, elle le fait. Elle tète sa queue jusqu’à la dernière goutte. Il lui tient toujours sa tête plaquée contre son pubis. Elle plaque avec sa langue, la bite molle contre son palais. Celle ci a soudain des soubresauts ?
Jojo, l’assistant urine dans la bouche de la Marie qui est contrainte d’avaler sa pisse sous peine d’être étouffée et noyée.
Après avoir vidé ses couilles et sa vessie dans la bouche du cobaye. Jojo sort de la cage en refermant la porte. Marie éructe, crache pour évacuer ce goût prenant de l’urine. Elle se passe la main sur la tête et constate qu’elle n’a plus un cheveu ? Elle regarde entre ses cuisses et là aussi plus un poil et nulle part, ils sont tombés pendant qu’elle dormait. Ça lui fait comme un électrochoc. A présent, elle se reproche son attitude ?
Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n’ai-je pas refusé, pourquoi ne l’ai-je pas mordu ? Elle n’en sait rien. Au lieu de ça, elle a accepté de sucer sa bite qui se présentait devant sa bouche.
Ce qui la trouble le plus, c’est qu’elle a senti monter en elle une onde de plaisir malsain.
Marie va s’asseoir sur la cuvette des WC. Elle y reste un bon moment en regardant les caméras, qui l’empêche de faire ses besoins. En se concentrant sur le sol, elle y arrive enfin. Ensuite, elle retourne se coucher sur la couchette et s’endort rapidement.
Le lendemain matin, c’est une douleur sur une fesse qui l’attire de son sommeil profond. Une main dans ses reins, la plaque ventre sur la couchette. Jojo, lui administre son injection journalière. Il la maintient ainsi le temps qu’elle reparte dans les bras de Morphée.
C’est vers midi qu’elle se réveille naturellement. Il y a sur la tablette un plateau repas garnit de légumes cuits et de fruits avec le pichet d’eau au goût bizarre. Marie a faim, mais avant de manger, elle va faire ses besoins et en s’essuyant la vulve, elle constate que ses lèvres intimes sont plus volumineuses ? Elle les tâte, les pince ? Elles sont vraiment plus développées qu’avant ? Elle passe deux doigts sur son anus qui lui aussi n’est plus serré comme avant ? Il s’entrouvre au passage de ses doigts ?
Mais ? Que lui arrive-t-il ? Ses seins aussi sont un peu plus fermes. Elle frissonne, et remarque son corps est recouvert, comme qui dirait, d’un minuscule duvet.
Après s’être sustenté, Jojo vient à côté d’elle la bite a l’air. Comme hier, elle s’accroupit devant l’assistant et lui taille une pipe. Elle avale sa semence et après son urine. Ensuite, elle retourne s’allonger, car elle est fatiguée, alors qu’elle n’a pas d’activité ? Peut être l’effet de l’injection. Le lendemain, même rituel, sauf que ce n’est que la queue de Jojo qu’elle doit satisfaire. Ce sont trois disons assistant qui la bite a l’air viennent accompagné de Jojo dans la cage. Là ? D’un claquement de doigt
Marie vient immédiatement gober la première bite à sa portée.
C’est quatre bites qu’elle suce et avale leur sperme, et aussi trois vessies se vident dans sa gorge. Elles n’a plus de complexe à faire ses besoins devant les caméras. Ses oreilles s’agrandissent légèrement, ses seins se raffermissent un peu plus encore, ainsi que sa peau. Les lèvres de sa vulve se sont encore plus développées. Elle n’ose pas toucher son trou du cul.
Pour une femme de trente ans qui n’a pas encore enfanté, elle trouve que son corps devient plus ferme. Malgré que sa vulve et son anus la démange, elle a une terrible envie de faire l’amour avec n’importe qui. Elle en oublie qu’elle est mariée avec Max.
CHAP 3
La transformation se finalise.
Cela fait quatre jours que les injections de sérum transforme Marie.
Elle a un important duvet sur tout le corps, sauf sur les parties génitales et les mamelons. Sur son crâne aussi, ça repousse et descend sur ses tempes jusqu’au menton et tout autour du cou. Ses oreilles sont légèrement plus développées. Son audition à augmenter et son odorat s’est développé. Ses seins sont à présent fermes. Quant a sa vulve, elle est auréolée de plus grandes lèvres et son anus est lui toujours entrouvert.
Après le rituel du matin de ce cinquième jour ? Jojo laisse la place à trois assistants.
Un des trois assistants l’amène vers la couchette. Il la fait s’allonger dessus et commence à caresser ses seins, ses fesses, sa vulve. L’un d’eux enfonce sa langue dans la bouche de Marie. Ce traitement ne tarde pas à faire de l’effet sur la femme qui commence à mouiller.
– Bien, elle commence à mouiller notre nouvelle guenon, ça lui plaît, on va bien la défoncer comme elle le mérite ! Clame l’un des assistants.
Il s’allonge nu sur la couchette à la place de Marie, et guide Marie qui vient doucement s’empaler sur son phallus, sans aucune difficulté. L’assistant commence de profonds va et vient dans le vagin ainsi offert. Marie, qui sous les effets du sérum est en chaleur et qui n’a plus fait l’amour depuis quelque temps, ne tarde pas à râler de plaisir.
Au bout de deux minutes de ce traitement, son baiseur apostrophe les deux autres assistants, qui se contentent de mater en se branlant.
– Allez les mecs, venez ? Elle est chaude comme on l’aime, elle vous veut aussi.
L’un se place face au visage de Marie, empoigne sa tête et introduit son membre gonflé dans sa bouche, manquant de l’étouffer tellement il s’enfonce profondément. Après un haut le cœur, elle commence sa fellation.
L’autre, comme à la parade, vient remplir un peu plus le vagin de la Marie. L’entrée d’une bite de plus en elle la fait tressaillir, mais la douleur de la pénétration initiale laisse bientôt place à un intense plaisir dû aux va et vient des deux hommes.
La femme cobaye est au centre des attentions.
Elle chevauche un des assistants qui s’est allongé sur la couchette pendant qu’un autre, debout, lui baise la bouche.
Le troisième, sort de son vagin et entreprend de lui introduire son imposant membre dans l’anus. Curieusement, la grosse verge n’a aucun mal à entrer.
Le prof avec Jojo, derrière les écrans dans la pièce d’à côté. Ils se délectent du spectacle qui leur est offert : Marie, la superbe cobaye, se fait triplement pénétrer par ses assistants, le tout accompagné de râles de plaisir qui ne laissent aucun doute quant à ce qu’elle ressent.
Au bout de cinq minutes de ce traitement, Marie ne tarde pas à crier son plaisir, accompagnée de ses trois baiseurs qui éjaculent presque en même temps en elle. Ensuite, ils ont changé d’orifice plusieurs fois chacun.
Après avoir bien joui, les trois hommes se relèvent et partent, laissant Marie récupérer de ses orgasmes sur la couchette, et vider quelque peu ses orifices du sperme qui les remplissent.
Elle a joui une première fois contre son gré puis une seconde qui l’a fait hurler tellement c’était fort et puissant. A partir de ce moment là, elle ne me souvient plus de grand-chose ? Elle a été soulevée plus d’une fois et prise dans tous les sens, elle suce des bites sans même opposer aucune résistance, elle n’est plus elle-même. Cependant, elle y a éprouvé un plaisir délirant.
– La transformation ce passe plus tôt bien ? Je ne change pas le traitement qui a l’air adéquate. Demain, après ta pipe matinale, tu la laves et tu la mets dans la cage entre Sodo le gorille et Mastar l’orang-outan. Il faut qu’ils s’habituent à sa présence. Comme elle est en chaleur avec les injections. On verra ce qu’elle fait ? Elle sera fécondable que dans dix jours, donc vous arrêterez de la baiser bien avant ça. Plus tard, si tout va bien, elle fera la connaissance de Boubou. Raconte le prof à Jojo, son assistant le plus proche. – Oh ? Boubou va la défoncer avec sa poutre si vous les mettez ensemble. – Ne me regarde pas comme ça ? Oui, je sais que je me suis raté avec Boubou. J’ai dosé trop fort le sérum pour son érection, il a à présent une très grosse verge entre les pattes.
Et ! Oui ? Le prof veut transformer Marie en femelle pour singe. Il espère par son travail, qu’elle portera à terme, la progéniture d’un de ses singes.
Le lendemain, après le rituel journalier, Jojo lui fait l’injection coutumière et une autre sous chaque lèvre d’une mixture botulique pour qu’elle ait une bouche se rapprochant de celle des singes.
Jojo, la tenant par la laisse, emmène Marie dans une autre salle où il y a cinq cages. La salle est bien éclairée par des nombreux vasistas. Il y règne une chaleur moite avec une très forte odeur d’animaux. L’assistant installe Marie dans une cage vide qui se situe entre deux autres cages occupées, une par Mastar l’orang-outan et l’autre pat Sodo le gorille. La cage de Marie mesure trois mètres sur trois, ainsi que les quatre autres. Au fond, il y a de la paille fraîche et une gamelle d’eau.
Jojo, retire la laisse de Marie et ferme la porte de la cage à clef. Ils ont tous trois un collier métallique.
Curieux, Mastar s’approche des barreaux de l’entre deux cages. Marie s’avance vers Mastar qui tend une main entre les barreaux. Lorsque Marie est à sa portée, il lui saisit un sein et le serre sans forcer.
Un déclic se fait dans la tête de Marie, la porte de son passé se referme ses trente ans de vie de femme. Elle bascule dans sa nouvelle vie de femelle pour les singes du Prof.
Elle s’approche encore plus des barreaux. Mastar empoigne à présent ses deux seins dans ses mains. Ses doigts viennent pincer et tirer sur ses mamelons. Elle recule en grognant, un peu surprise par une légère douleur. Mastar tend ses lèvres en cul de poule, ce qui ressemble à un baiser.
Marie s’approche de nouveau. Elle colle son ventre aux barreaux en offrant sa vulve gonflée d’envie. Elle désire un accouplement, elle a envie de Mastar ?
Il glisse une de ses mains vers la vulve offerte. Il palpe et fouille la vulve de Marie qui avance encore plus son pubis. Il pince son clitoris qui bande de désire. Elle a un râle de bonheur et d’excitation. Elle approche sa bouche des lèvres de Mastar ? Leurs lèvres s’unissent dans un baiser timide. Marie avance sa langue dans la gueule de Mastar qui lui la mord un peu.
Marie pousse un petit cri de surprise. Elle se recule vivement des barreaux de séparation des deux cages. Dans sa surprise, elle recule sans se retourner jusqu’à coller ses fesses sur les barreaux de séparation avec l’autre cage. Sodo, le gorille excité par le râle et le cri de Marie, la saisit par les hanches pour la coller aux barreaux de sa cage et la sodomise tout de go.
Marie ne bouge plus, au contraire, elle tend encore plus son fessier. Elle se donne au gorille avec bonheur. On lui fait enfin l’amour, elle se donne au mâle sans vergogne. Elle est sa femelle. Elle passe ses bras en arrière et empoigne de ses mains les barreaux pour mieux se donner à la sodomie. Dans cet accouplement bestial, elle a deux puissants orgasmes et un troisième lorsque Sodo lui remplit les entrailles de sa semence. Après cette soudaine copulation terminée, Marie épuisée va se coucher sur le lit de paille au fond de sa cage.
Quand on réveille Marie, c’est pour manger une gamelle de légumes et de riz mélangé avec un peu de viande haché. Jojo et un autre assistant sortent Mastar et Sodo de leur cage et les emmènent hors de la salle pour qu’ils fassent leurs besoins et aussi les laver un peu. Ils ramènent les deux singes dans leur cage respective. Ensuite, c’est le tour de Marie. Jojo l’emmène hors de la salle, tenue en laisse.
Elle se retrouve à l’extérieur ? Il fait beau, l’arrière du bâtiment est contigu à un pré d’herbe verte.
– C’est ici que tu dois faire tes besoins. Je te sortirai deux fois par jour. Donc, tu dois te retenir et ne pas faire dans la cage. Compris la Marie ? Elle regarde Jojo avec un air interrogateur et remue la tête en signe d’acceptation. Elle passe au moins dix minutes accroupit sur l’herbe avant de pouvoir faire son pipi caca.
Jojo lui caresse sa tête velue d’une main.
– C’est bien Marie ! Tu as été contente que Sodo te baise ce matin ? Marie acquiesce de la tête. Elle regarde autour d’elle. Elle y voit des cages collées au bâtiment avec des gros chiens à l’intérieur. Il ramène Marie dans sa cage. Elle se regarde, elle a des poils partout sur le corps et ils ont poussés. Ils font trois à quatre centimètres de long. Elle ressemble presque à une guenon. La sodomie de ce matin a calmé un peu son envie de copulation. Elle resta au milieu de sa cage le restant de la journée.
Le lendemain après l’injection habituelle, Jojo la sort et après ses besoins fait, il la lave au jet d’eau. En rentrant, il met Marie dans la cage de Mastar.
– Mastar ! C’est ta femelle aujourd’hui, elle est à toi, demain elle sera à Sodo. Tu peux lui faire ça dans le trou que tu veux avec ta grosse bite. C’est pour ça que tu es Mastar !
Marie recule au fond de la cage, pas rassurée. Mastar s’approche et n’hésite pas à lui empoigner les seins. Marie est comme tétanisé, elle ne fait aucun geste d’esquive. Elle pousse un gros râle de surprise. Mastar descend une main entre les cuisses de la Marie. Elle avance son pubis en avant pour mieux sentir les doigts du singe à l’entrée de son puits d’amour gonflé d’envie.
Mastar se recule et montre sa verge à la femelle. Marie regarde l’engin, il a une belle bite rouge comme celle d’Attila, mais plus longue et plus grosse. Elle en a très envie, des contractions envahissent sa vulve. Elle se rapproche de Mastar et lui caresse le torse en geignant. Elle est nerveuse avec un mélange d’excitation. Elle mouille beaucoup, elle se retourne et offre sa croupe au mâle en baissant son torse en avant.
Mastar, lui enfonce deux doigts dans la moule. Aussitôt, elle se met à haleter comme une femelle en chaleur. Ensuite, il lui enfonce son pouce dans son anus qui s’ouvre instantanément. Elle halète parce que ça lui fait du bien. Après ça, il saisit Marie par les hanches
Elle sera sa femelle pour deux jours à ce sodomite. Elle sent la grosse bite glisser contre sa vulve et son périnée, elle cherche un trou pour s’y enfoncer. D’un seul coup, il l’enfonce dans la moule de la femelle qui se courbe sous lui en haletant de plaisir. Comme, il a de longs bras, il lui saisit les seins pour les presser. Il lui ramone son puits d’amour à grands coups de reins. Elle jouit déjà comme jamais au paravent. Mastar la baise en couinant, Marie sent ses seins remuer dans les mains de l’orang-outan. Elle se sent bien, dans sa tête plus rein ne compte. Elle en oublie son passé de femme. Qu’importe, elle est à présent la femelle du grand singe, c’est tout et c’est bon.
Il la possède, il l’aime sa femelle. La jouissance de Marie est d’une intensité bestiale, lorsque le singe remplit son puits d’amour de sa semence. Il jouit en couinant très fort. Il ne se retire pas tout de suite, sa verge reste dur dans le vagin de la femelle qui n’en finit pas de jouir. Elle est prise par un mâle, sentir sa verge bien dur dans son vagin lui procurent des voluptés incroyables. Il est collé à son dos, sa bite chaude enfoncée jusqu’aux couilles dans sa moule excitée. Il se redresse, libère ses seins. Il pose un doigt sur l’anus de la femelle et l’y enfonce d’un coup sec. Marie surprise, pousse un râle rauque et se remet à haleter de bonheur.
La verge de Mastar ramollie et sort de la moule de Marie. Alors, il remue son doigt dans l’anus de sa femelle qui râle doucement, content de lui, il en joint en autre. A présent, c’est deux doigts du grand singe qui s’agitent dans l’anus de Marie. Il lui donne un autre orgasme. Mastar retire ses doigts, retourne la femelle, qui se redresse et il la serre contre son torse. Elle relève son visage vers celui du grand singe. Il approche sa gueule de la bouche de Marie, sort sa langue et lèche la bouche de la femelle qui d’amour ouvre la bouche pour que la langue pénètre à l’intérieur. Elle tire la langue et arrive à aspirer la sienne à l’intérieur de sa bouche. Elle l’aime amoureusement son grand singe.
On entend Sodo crier sa jalousie, il veut aussi la femelle. On entend aussi un autre dans la quatrième cage se manifester ?
Derrière les écrans de contrôles dans l’autre pièce, le prof et ses assistants sont satisfaits de la transformation de Marie en guenon pour leurs singes. Le prof ordonne de laisser Marie et Mastar ensemble jusqu’à demain matin, pour l’expérience, dit il. Ainsi, Mastar saillit quatre fois la Marie et ils passent la nuit blotti l’un contre l’autre, torse collé. Durant sa quatrième saillie, Marie sent qu’il se passe quelque chose d’étrange en elle ?
Le lendemain, après le rituel journalier, Jojo pousse Marie dans la cage de Sodo le gorille.
– Tiens Sodo ! Fait honneur a ton nom de sodomite ? Tu l’as déjà enculé, tu pourras le refaire toute la journée. Il passe sa main entre les fesses de Marie et enfonce un doigt dans son anus, le retire et le fait sentir à Sodo.
Il quitte la cage ? Sodo s’approche de la femelle qu’on lui offre entièrement. Marie est là, accroupie devant Sodo ? Elle est trop excitée pour penser. Dès qu’une pensée humaine l’envahit, elle s’efface tout de suite.
Marie tombe à quatre pattes devant le mâle. Elle le regarde dans les yeux en haletant. Il voit que la femelle est en chaleur, elle a envie d’un mâle, peu importe quel qui soit, elle en veut un. Sodo bande déjà bien dur, sa verge est plus fine que celle de Mastar, mais plus longue. Il lui caresse aussi la tête qu’elle baisse en signe de soumission au mâle. Il se rapproche face à la guenon, sa longue verge rouge tendue à la bouche entrouverte de la femelle. Une condition de son passé de femme lui fait ouvrir la bouche pour aspirer à l’intérieur de sa gorge, cette bite qui glisse sur ses lèvres. Ca ne fait qu’accroître son état d’excitation.
Derrière les écrans de contrôles, des cris de liesses se font entendre. Incroyable, la femme guenon suce la verge d’un grand singe sans que l’on ait conditionné.
Après quelques sucions bruyantes, Sodo retire sa bite de la bouche de la femelle et passe derrière elle. La femelle râle fort lorsqu’il tire sur les lèvres de sa vulve. Ensuite, il lui écarte les fesses. La femelle ne bouge pas, folle d’excitation elle attend que son mâle la prenne. Il la saisit par les hanches. Le bout de sa verge se pose sur l’entrée de ses reins. Elle pousse un long râle de bonheur quand il enfonce sa verge dans son rectum.
Après avoir été hier, la femelle de Mastar aujourd’hui, elle se fait sodomiser par un gorille. Comme lui aussi a de longs bras, il empoigne les seins de Marie et les tire vers le sol. Il coulisse à l’aise dans le cul de la Marie. Il l’encule de plus en plus vite. Sous ses coups de reins, elle râle de bonheur bruyamment. Tout à coup, Sodo couine très fort en lâchant sa semence au fond des entrailles de la femelle. Elle jouit en même temps que son mâle qui la secoue comme un sac. Il continue de lui sodomiser dans le fond de son ventre. Il bande encore, il lui presse les seins douloureusement.
La Marie gueule la bouche ouverte, elle en bave sur le sol. Dans les autres cages, les singes s’agitent en criant. Sodo après de longues minutes de sodomie se retire la queue enfin molle. Il va s’asseoir sur sa litière suivie de sa femelle. Comme l’avait conditionné l’homme dans son passé de femme, elle prend la verge du mâle dans sa bouche pour la nettoyer. Sodo heureux de cette initiative, lui caresse la tête et lui appuis dessus. Elle aspire les dernières gouttes qui se trouvent dans sa verge.
C’est cinq fois que Sodo sodomise sa femelle, la dernière sodomie se fait le lendemain matin de très bonne heure. Lorsque Jojo est venu sortir Marie de la cage, son anus déborde de semence du grand singe.
Après le rituel journalier, la guenon est introduit dans la quatrième cage où est Boubou le chimpanzé bien plus grand que la moyenne. Il est le résultat de l’expérience génétique ratée du Prof.
Jojo, laisse Marie devant Boubou et lui passe une main sur l’épaule.
– Courage ma belle ? Tu vas le sentir passer avec Boubou, mais le prof qui souhaite mélanger les races pour trouver celle qui va t’engrosser. Courage.
Marie écarquille les yeux devant le ventre de Boubou, mais dans sa tête embrouillée, elle fait comme dans les autres cages. Elle se met à quatre pattes devant le Mâle. Elle sait à présent que tous ces mâles lui donne du plaisir. Elle adore être prise par un mâle quel qu’il soit. Il s’approche de cette guenon à quatre pattes devant lui. Il lui renifle le visage, quand sa gueule passe devant la bouche de la femelle ? Celle ci passe sa langue sur ses babines, il se recule et se redresse intrigué.
Comme sa verge et à hauteur de visage de la Marie, elle avance sa bouche et aspire difficilement la grosse verge de Boubou. Surprit de cette approche, il reste immobile. Maintenant, que cette femelle le fait bander avec sa bouche, il s’en retire et fait le tour de la femelle. Il pose doucement sa grosse verge devant la vulve baveuse de la femelle. Il enfonce doucement sa grosse verge dans la grotte de la femelle offerte.
En se rappelant des coups de fouet qu’il a reçu parce qu’il avait détruit violemment le sexe de la dernière sa femelle. Il s’arrête d’enfoncer sa verge une fois que son ventre écrase les fesses de la Marie. Il regarde derrière lui et de tous les côtés, s’il n’y a pas d’être humain avec un fouet. Il faut savoir que la belle assistante du prof avait voulu lui prouver, que son erreur génétique sur Boubou n’était pas un si grand échec. Elle était entrée nue dans la cage de Boubou pour qu’il la baise avec sa grosse erreur génétique. Boubou excité par l’assistante, lui a défoncé le vagin en la baisant avec violence. Il fallut intervenir à grands coups de fouet pour qu’il laisse l’assistant ravagé. Depuis, après trois opérations de reconstructions, elle est toujours hospitalisée avec ses regrets.
Marie gémit d’un peu de douleur, comme Boubou ne bouge pas, son vagin s’habitue à cette grosse présence en son intérieur. Excité comme une femelle en chaleur, elle mouille abondamment, qui facilite les mouvements de la verge de Boubou qui commence lentement à la baiser. Maintenant, qu’il sait qu’il n’y a pas d’homme avec un fouet dans la cage.
Il baise la Marie avec lenteur, derrière les écrans, ils voient les lèvres glisser sur la verge de Boubou quand il se recule. Marie jouit de plus en plus fort, elle se sent femelle, ça la rend toute chose. Cette copulation extrême la fait basculer définitivement dans la peau d’une guenon vouée aux grands singes de cette ménagerie.
Marie couine de plaisir comme la guenon qu’elle est devenue. Après plusieurs orgasmes, elle sent la semence chaude remplir son vagin, ce qui déclenche son énième orgasme. Boubou est bien plus doux que les deux autres, il épouille la femelle pendant qu’il débande doucement ancré dans la vulve de la Marie. Il ne la prendra que trois fois dans la journée.
La guenon, Marie passe alternativement ses journées dans les cages des trois grands singes. Sodo la prend bien plus souvent par la vulve que par l’anus maintenant. Le prof dit que c’est par jalousie envers Mastar et Boubou.
Ca fait à présent que Marie est dans le labo du prof. Elle se comporte à présent comme une guenon. Elle épouille aussi ses mâles après les copulations. Elle ne parle plus, elle couine ou grogne pour se faire comprendre des assistants. Elle se déplace fréquemment comme les singes. Elle ne reçoit plus que des injections pour la fécondité, plus besoin de l’avilir par de la drogue. Elle s’est soumise de bons grè à ses grands singes.
Il y a une semaine, le prof accompagné de Léo est venu informer Max que sa femme est décédée. Ils lui ont donné les certificats et l’urne qui contient ses cendres. Le prof s’est excusé et lui a expliqué que son cœur n’avait pas résisté au traitement pour la déconditionnée des saillies canines, comme demandé par son mari. Il l’a fait incinérer par mesure d’hygiène.
En réalité, Marie la guenon est enceinte, dont ne sait lequel des trois primates. Le prof et tous ses assistants fêtent la réussite de l’expérience, qui est bien sûr hors convention, et don elle restera très secrète.
Fin
Sam Botte
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