Avant propos :
Histoire de cul Une fois n’est pas coutume c’est moi Véronique qui sur la demande de mon mari René va vous raconter le plus fidèlement possible une histoire vraie qui a eu lieu pendant l’été 2009 et qui a vu le fantasme de mon mari se réaliser .
Me voir avec plusieurs hommes.
J’ai 49 ans, mais on me donne souvent la quarantaine, malgré mes kilos en trop, presque femme fontaine plus jeune.
Depuis une dizaine d’années René, n’a qu’une obsession, me voir faire l’amour avec un autre homme devant lui. Son fantasme le plus fou, que je fasse un gang bang avec une dizaine d’hommes.
Une seule réponse, NON, toujours NON.
Au fil du temps, il est arrivé à me faire céder sur plusieurs points.
En vacances ou quand on part en week-end, je suis toujours sans culotte, ni soutif, jupe et robe courte, à très courte, haut transparent, short ultracourt et moulant, il adore m’exhiber ainsi.
J’ai eu du mal au début, maintenant avec l’habitude, j’y prends presque du plaisir.
Puis, se gros pervers, m’a fait sortir avec un plug anal, de plus en plus gros.
De plus il prend son pied quand ma chatte est très élargie et profonde.
Pour ça, il me travaille avec des godes, aujourd’hui énormes, gonflant ou pas. Concombre, courgette sont monnaie courante dans mon vagin.

Début août, en vacances à Collioure dans les Pyrénées-Orientale, j’étais habillé d’une robe en jean très courte, avec une grande fermeture éclair devant de bas en haut , ouvert largement sur ma poitrine comme l’aime mon mari René.
Nous décidâmes de manger dans un restaurant sur le quai, installé à une table de l’autre côté de la route, nouveauté de cette année, quand deux hommes s’installèrent à la table d’accoter, alors qu’il y avait plein de place de libre. La cinquantaine, la classe, assez grand, costaux avec un peu de ventre.
C’était deux Allemands qui nous ont abordés pour nous demander la meilleure façon de manger des moules dans un restaurant.
De fil en aiguille, la discussion a duré pendant tout le repas.
Otto et Karl qui maîtrisaient fort bien le Français, reluquaient ouvertement mes cuisses et mes seins, d’autant plus que le salaud de René m’avait fait ouvrir les cuisses et relevé peu à peu ma robe, par des coups répétés sous la table avec son pied, pour que je m’exécute.
Avant de partir, une envie de pipi me prend, je me lève et vais au WC, je veux refermer la porte du cabinet, quand un pied apparaît et m’en empêche.
C’était Otto, qui rentre à l’intérieur, ferme la porte, me prend et me pose sur la cuvette, son pantalon était ouvert, il a alors sorti sa queue de son slip.
Je ne saurais expliquer pourquoi, même encore aujourd’hui mais, j’étais comme pétrifié, paralysé, subissant sans protester, l’alcool ?.
Il a pris ma main, la pose sur son sexe, a ouvert, ma robe jusqu’en bas, libérant mes deux gros seins, 95 D, qu’il m’a aussitôt peloté, a constaté que je n’avais pas de culotte, m’a alors mis deux doigts dans le vagin, tout en m’enfonçant sa queue dans ma bouche et m’a dit : « urine ».
Drôle d’expérience, d’uriner avec des doigts enfoncés dans la chatte, mais agréable.
Une fois fini, il a essuyé ses doigts avec le papier et ma prise les deux seins.
Pendant ce temps, je continuais de le sucer du mieux que je pouvais, n’étant pas hyperdoué.
Malgré tout au bout de trois ou quatre minutes, j’ai eu la bouche remplie de sperme. Il venait de se vider les couilles.
J’étais plutôt fière de moi, d’avoir sucé un inconnu dans des WC et à ma grande surprise, cela m’avait plu.
Otto en quelques secondes est sorti sans dire un mot et j’ai recraché sa semence dans la cuvette.
Je me suis rhabillé et je suis sorti les rejoindre le plus naturellement possible.
Otto discutait comme si de rien n’étais avec René et Karl.
Karl a alors proposé qu’on aille boire le café chez lui, dans son appartement au bout du quai.
Proposition aussitôt acceptée par mon mari.
J’ai fait signe, non de la tête à René, mais il persistait. J’ai alors pris René à part :

« Ils ne veulent pas payer un café, mais se payer en nature sur moi »
« Je m’en doute, vu comment tu les as allumés »
« N’inverse pas, c’est toi qui m’as exhibé et tu veux qu’on y aille ? »
« Oui »
« Tu ne veux tout de même pas que je fasse l’amour avec ses deux gros cochons. »
« Si, pourquoi ? »
« Je n’en ai pas envie et je ne suis pas ta chienne que tu fais baiser ».
« Oui, mais moi, j’en ai fortement envie, alors tu vas ouvrir les cuisses et tu vas leur vider les couilles jusqu’à la dernière goutte ».
« Salaud, je suis quoi pour toi, ta femme ou une pute juste bonne à baiser ? »
« Ma chérie, ne discute pas c’est non négociable, cela fait trop longtemps, que je rêve de te voir prise par un autre homme devant moi, pour laisser échapper une si belle occasion ».
« Tu veux que je sois ta pute ? Mais ne viens pas te plaindre si après je continue à être une salope sans ton consentement ».
(Je n’en croyais pas un mot, mais je voulais le moucher, de plus l’envie de la faire commençait à monter dans mon bas-ventre).
Finalement, j’ai pris la décision de suivre mon mari dans cette nouvelle aventure.
Karl nous a emmenés dans son 4X4 BMW X5. Ils étaient pleins de tunes.
Pendant les dix minutes qu’à durée la route jusqu’à l’appartement, j’étais à l’arrière avec Otto qui n’osait rien faire, vu qu’il n’était pas sûr que mon mari soit consentant.
J’étais une pute, alors je l’ai allumé sur tout le parcours, cuisses écartées, en me triturant le clito, passant ma langue sur mes lèvres, il n’en perdait pas une miette.
Puis j’ai ouvert ma robe, lui a sorti sa queue, on se caressait en se fixant du regard.
Il a parlé en allemand à Karl, qui avait l’air content de ses paroles.
René m’a demandé si tout allait bien :
« Super mon chéri »
À l’entrée du parking, j’ai attrapé Otto et je l’ai embrassé goulûment, lui me parcourait le corps avec ses mains.
Garé, je suis sorti de la voiture et j’en ai fait de même avec Karl.
Ainsi les choses étaient claires pour eux.
Karl me plaque contre la voiture, a fait tomber ma robe, entièrement nue, il m’a tripoté.
Otto, c’est approché, j’avais maintenant quatre mains sur le corps et mes trous. Ils parlaient beaucoup, je suppose qu’ils devaient être contents d’avoir trouvé une grosse pute à baiser, d’autant plus que je sentais ma mouille couler le long de mes cuisses.
C’était chaud et je leur ai proposé de monter.
René regardait la scène, en prenant quelques photos avec son portable et était très satisfait des évènements.
En montant, René a passé sa main entre mes cuisses et constatant que j’étais tout mouillé, et me traite, de grosse chienne à bites.
« Oui, mon chéri et ce n’est que le début, tu vas le regretter quand tu vas te rendre compte, ce qu’est la vie d’un cocu ».
À l’appartement, ils m’ont emmené directement dans la chambre et renversé sur le lit.
Ils sont sortis tous les trois, puis sont revenus quelques minutes plus tard.
René : « Tout est OK, ne craint rien on va le faire sans capote »
Moi paniqué : « Tu es sûr, ne me fais pas faire n’importe quoi ! »
« Oui, ne crains rien, je t’expliquerais plus tard, mais il n’y a pas de risque ».
René a dit, laissé moi la préparé, puis il s’est mis à me faire un cunnilingus.
Les deux autres nus, m’avaient donné leurs queues à sucer.
René me connaissant bien, a très vite fait monter mon désir, mais a stoppé, alors que j’allais jouir.
« Elle est à vous »
Il a écarté mes grandes lèvres leur offrant mon vagin très ouvert.
Karl m’a alors prise en mercenaire et a fait la remarque à René que j’étais très large, mais a conclus qu’il aimait bien.
Il a alors laissé sa place à Otto, qui a fait les mêmes remarques.
« Ta femme a un sexe très ouvert, elle doit aimer les gros pénis ».
« Plus c’est gros, plus elle aime, elle a toujours sa vulve ouverte pour recevoir de la bite et plusieurs ne lui font pas peur ».
J’étais abasourdi par sa réponse, pour qui il me faisait passer.
Ils se sont relayés ainsi, dans mon vagin trois ou quatre fois, me défonçant à grands coups de bites, d’abord en mercenaire, puis en levrette, René mitraillant et filmant. Par contre j’ai très vite compris que je ne pourrais pas jouir avec leurs queues ordinaires.
J’ai donc simulé pour qu’au moins ils prennent leur pied en croyant que j’aimais ça.
Karl a d’abord déchargé tout son sperme, au fond de mes entrailles, puis Otto a fait de même, les râles sortant de leurs bouches prouvaient qu’ils avaient aimé. Puis, ils ont pris le sperme et ma mouille qui sortaient de ma chatte et l’ont étalé sur mes seins.
René m’a alors pénétré, disant qu’il n’avait jamais autant bandé et que baisser dans le sperme était un régal, il a envoyé sa purée en moins de deux minutes, m’insultant de pute, salope, trou à bites, etc.
J’étais quand même très frustré, d’avoir eu du plaisir, mais sans jouissance.
Chacun m’a alors embrassé, puis on a été au salon boire une bière, en passant René ma murmuré à l’oreille :
« Tu as vu, tu es bien faite pour satisfaire plusieurs verges ».
« Tu devrais aller me chercher d’autres mecs très bien membrés, qu’ils viennent me baiser, je crois qu’un régiment ne suffirait pas, tellement j’ai envie de jouir ».
C’était de la provocation et à moitié la réalité.
« Ma chérie, tu n’es pas là pour jouir, mais pour satisfaire les mecs, quant au régiment soit patiente, il va bien te passer entre les cuisses ».
« Tu es vraiment un gros porc et un gros salaud ».
« C’est normal quand on est marié avec ,la pire des putes ».
On a bu, tout nu sur le canapé, ils ont recommencé à me caresser, ils rebandaient déjà ; même René (alors que d’habitude, il lui faut du temps).
J’ai su plus tard qu’ils avaient pris du CIALIS, aussi efficace que le VIAGRA.
Karl m’a retourné, a écarté mes fesses, puis a rentré ses doigts dans mon anus, a fait la remarque que j’étais aussi ouverte du cul que du vagin.
« Vous pouvez y aller, elle adore la sodomie » a dit René.
Sans plus attendre, Karl m’a mis son pieu dans mes entrailles, heureusement que j’étais bien préparé, il m’insultait en allemand, il me transperçait le cul en enfonçant sa queue jusqu’aux couilles, très brutalement, sous les encouragements de René.
Otto a pris sa place, il était encore plus brutal que Karl, mais, je sentais le plaisir monté, en vérité je découvrais que j’adorais me faire enculer bestialement.
« Tu aimes ça, salope » a dit René.
« Oui » dans un murmure.
Karl m’a demandé de le chevaucher, j’ai alors subi mon premier sandwich avec deux hommes.
C’était très agréable et j’appréciais beaucoup, mais il aurait fallu deux hommes très bien membrés pour me faire jouir, comme j’en avais envie.
Otto s’est retiré de mon cul ; Karl a pris sa place, Otto a de nouveau présenté sa verge à l’entrée de mon petit trou, j’ai dit NON, mais il a forcé et m’a pénétré, c’était la journée des premières, avec le double anal maintenant.
Le pire, c’est que j’aimais ça.
Ils se sont alors acharnés dans mon cul, je voulais quelque chose dans mon vagin, inconsciente de mes paroles j’ai dit :
« Je veux une queue dans ma chatte ».
René a alors pris une bouteille de bière sur la table, Otto s’est retiré pour laisser le champ libre à René. Celui-ci m’a écarté les grandes lèvres et a commencé à l’enfoncer, Karl toujours bien au fond de mes fesses a arrêté tout mouvement, pour laisser faire René.
Je suppliais René d’arrêter, lui disant que ça ne rentrerait pas, mais il a continué son œuvre, malgré le peu de place, il est arrivé à rentrer la bouteille entièrement, alors René m’a godé pendant que Karl recommençait son travail dans mon cul.
J’ai senti une vague de chaleur dans mon ventre et au moment de l’orgasme, René a retiré la bouteille ce qui a eu pour conséquence de m’empêcher de jouir.
J’étais furieuse, car ce salaud, l’avait fait intentionnellement.
Karl, Otto, puis Renéont alors déchargé tour à tour dans mon cul.
J’étais KO, insatisfaite et avec mon envie de jouir, par contre eux étaient très contents de moi, disant à René qu’il avait de la chance d’avoir une salope comme moi et qu’ils espéraient que ça ne s’arrêterait pas là.
« Non rassurez-vous, elle va être votre chienne pendant toutes vos vacances ».
« Tu es d’accord ? » a demandé Otto.
« Oui » du bout des lèvres, en vérité je n’en pensais pas un mot.
Il était déjà 16 heures, ils nous ont donné rendez-vous pour 20 heures, j’ai pris une douche, nous nous sommes rhabillés, ils nous ont reconduits à notre voiture et on est rentré à notre location, à Collioure.
À suivre !
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