Histoire de cul Les jours qui ont suivi, Véronique et moi les avons vécus dans une complicité coquine qui nous excite beaucoup. Elle échange régulièrement des messages avec son amant. Elle m’en parle mais sans me dire le contenu, se contentant de me dire :
– Je veux aussi garder un peu de mystère. Ça t’excite d’avoir des cornes, mais tu n’as pas besoin de tout connaître sur mes relations avec ce bel homme que tu ne peux qu’imaginer! Moi ça m’a aussi excitée de te faire cocu .
C’est donc par Jacques que j’ai appris que leurs messages étaient très “sexe”. Ma femme lui a dit préférer être prise souvent pas trop longtemps que d’être “ramonée” pendant 30 ou 45 minutes. Elle lui raconte aussi sa jeunesse où elle avait une réputation de coquine et où les amants se sont succédé à un bon rythme. Dans leur discussion, Jacques ne lui propose pas un nouveau rendez-vous, il veut que l’initiative vienne d’elle. Même si je m’impatiente un peu, il me dit :
– Ne t’inquiète pas, elle a pris son pied et va finir par me proposer de recommencer!
Ce mercredi matin, environ un mois après sa première partie de jambes en l’air avec Jacques, Véronique joue la dominatrice avec moi. Elle me dit qu’elle veut que je mette ma cage de chasteté avant de partir au travail. Ça fait quelques mois que je ne l’avais plus remise et je l’avais presque oubliée! Docile comme j’aime l’être, j’obéis. Elle ferme le cadenas et croche la clé à la chaînette autour de son cou.
Il est environ 14 heures lorsque ma femme vient me rendre visite dans mon bureau. Elle est superbe dans sa nouvelle robe noire. Je me souviens que, en l’essayant à la maison elle m’avait dit qu’à son âge elle n’avait malheureusement plus une poitrine pour la mettre sans soutien-gorge. Je lui avais rétorqué que ce n’était pas vrai, ce d’autant plus que la coupe de la robe lui tenait bien les seins.
Je remarque en un coup d’œil que sa poitrine est libre sous l’habit. Elle me dit, mutine, de venir me mettre à genoux devant elle. Puis me demande :
– Tu as pensé à moi avec ta cage?
– Tu sais bien que oui
Elle se tourne, me montrant son dos et me dit :
– Enlève mon string en passant tes mains sous ma robe, mais sans la soulever. Aujourd’hui ce n’est pas toi qui verras mon cul! Mais attention, interdit de me toucher les fesses.
J’obéis. De nouveau face à moi, elle me dit :
– Tu peux garder mon string, où je vais je n’en ai pas besoin. Au revoir mon amour, je vais me faire baiser cet après-midi !
Elle quitte mon bureau, nue sous sa robe! Je savais par Jacques qu’elle avait fini par lui demander une nouvelle rencontre. Il m’avait dit :
– Pour son éducation, je vais la baiser plusieurs fois dans des endroits insolites. Chienne comme elle m’a montrée savoir être, elle va vite comprendre qu’elle doit être disponible n’importe où!
Lorsqu’elle arrive sur la terrasse où son amant lui a donné rendez-vous, ma femme, radieuse, le voit tout de suite. Il se lève pour l’embrasser et l’inviter à s’asseoir à côté de lui.
Alors que le serveur apporte à boire, il la complimente sur sa tenue sexy. En lui mettant la main sur la cuisse, il lui dit :
– Tu as dit à ton mari qu’il est cocu?
Un peu surprise par la soudaineté de la question, elle répond :
– Il aime être soumis et l’idée que ça maîtresse va jouir ailleurs l’a toujours fait fantasmer. Alors, oui je lui ai dit.
Après un coup d’œil pour s’assurer que personne ne peut voir sous la table, elle écarte légèrement les jambes pour laisser la main de son amant remonter à l’intérieur de ces cuisses. En découvrant son sexe nu, il lui dit :
– Tu es une belle salope prête à te faire enfiler! Je suis sûr que tu n’attends que ça
– …
– Réponds !
Elle dit timidement :
– Oui, j’ai envie de sentir ton sexe dans mon ventre.
Son index est maintenant dans son sexe qu’il trouve déjà bien mouillé. Son regard s’arrête sur la clé qui pend autour du cou de Véronique.
– C’est quoi cette clé?
– Elle ouvre le cadenas de la cage de chasteté de mon mari.
– Tu es une sacrée femelle toi! Il est encagé pendant que tu viens te faire sauter?
– Oui
Elle se retient de gémir alors que l’index de son amant se fait insistant. Après quelques minutes de ce jeu, il délaisse le sexe de ma femme pour sortir son porte-monnaie et payer l’addition. Elle lui dit :
– Je dois aller faire pipi, je reviens
– Bonne idée, je te suis
Mais une fois arrivé en bas de l’escalier qui mène aux toilettes, il lui prend la main et lui dit :
– Viens avec moi
Comme il ouvre la porte des wc hommes, elle hésite. Il lui dit :
– On ne risque rien, il n’y a personne. Viens!
Malgré une légère résistance, Véronique se laisse entraîner par son amant.. Le laissant diriger ses gestes, elle s’appuie face au mur. Elle le voit fermer à clé la porte, puis relever sa robe.
Bien excitée par les préliminaires faits dans le restaurant, elle cambre les reins, écarte les jambes et lui dit : “J’ai envie de te sentir dans mon ventre”. Il vient derrière elle, baisse son pantalon et la pénètre directement, remplissant son vagin.
Jacques l’a baisé avec virilité pendant cinq minutes, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il s’est alors retiré et lui a dit :
– Je garde des forces pour la suite. Viens, on va chez moi !
Heureux d’avoir bien joui ma femme suit son amant avec plaisir. Dans la voiture il lui caresse la cuisse, puis passe sa main entre les jambes. Recommençant à lentement l’exciter. Il se moque gentiment d’elle en disant :
– Tu démarres au quart de tour toi. Tu es vraiment une femelle en chaleur!
Jacques habite au troisième étage d’un petit immeuble. Il profite de l’ascenseur pour embrasser Véronique et la peloter. Elle se laisse faire, gémissant et heureuse de savoir qu’elle va encore une fois se faire enfiler. Sur le palier désert, Jacques lui demande d’enlever sa robe. Inquiète, elle dit :
– Ici? Si quelqu’un arrive!
– Ne t’inquiète pas, il n’y a personne à cette heure et j’ai envie que tu sois nue, belle et désirable pour entrer dans mon appartement.
Véronique regarde de tous les côtés, hésite un court moment avant de tendre son sac à main à son amant et de faire glisser sa robe sur son corps. Jacques la ramasse à ses pieds et sort tranquillement ses clés pour ouvrir la porte.
– Installe-toi au salon, j’amène quelque chose à boire.
En revenant avec deux verres, il lui dit :
– Tu devrais appeler ton mari pour lui dire que tu vas te faire sauter, ça va sûrement l’exciter, même si sa cage va lui rappeler qu’il n’a pas le droit de bander!
Trouvant l’idée amusante, elle prend son téléphone et m’appelle.
– Bonjour mon cocu, tu es toujours au bureau?
– Oui encore un petit moment.
– Moi je suis nue chez mon amant. Il m’a déjà baisée une fois dans les wc d’un resto, mais ce n’est pas fini.
– Dans les wc d’un restaurant?
– Oui, il m’a prise debout, lui derrière moi. Tu sais comme tu avais essayé une fois et pas réussi à cause de ton sexe trop court!
J’ai ressenti de l’humiliation lorsqu’elle m’a raconté ça. En effet, nous avions essayé de baiser comme ça, il a y pas mal d’années, lors de notre voyage de noces, mais j’ai un sexe trop court et je n’étais arrivé à entrer que le bout du gland qui était aussitôt ressorti.
– Hum, il recommence à me caresser. Il va encore me faire grimper aux rideaux. Je te laisse mon amour. À plus tard.
Assise dans un fauteuil, elle laisse les mains de son amant exacerber ses sens et faire monter l’envie de plaisir. Bientôt la bouche vient aider les mains. Il trouve rapidement le clitoris et, avec beaucoup de savoir-faire, il lui fait un cunnilingus qui va lui provoquer un orgasme intense.
Elle n’est pas encore revenue de son nuage lorsqu’elle sent qu’il la fait se lever en la portant à moitié. Elle se retrouve rapidement allongée sur la table de la salle à manger. Il la tire sur le bord en relevant ses jambes. Debout il la pénètre avec beaucoup de vigueur et de virilité. Rapidement, Véronique se remet à jouir. Pendant de longues minutes, son corps se crispe, tremble de plaisir. Ces gémissements deviennent presque des cris. Jusqu’à ce qu’il éjacule au fond de son ventre..
Après une bonne douche, elle finit son verre et il lui propose une petite balade au bord du lac avant de la ramener à sa voiture. Après cette partie de jambes en l’air, Comme elle veut prendre sa robe, il lui dit :
– Non, attends d’être sortie de l’appartement. Ici tu ne se seras jamais autrement que nue.
En disant sa, il laisse à nouveau vagabonder ses mains sur le corps et le sexe de ma femme. Elle sourit.
– Tu es insatiable!
– C’est bien pour ça que tu es venue non?
Elle se retrouve nue sur le palier et ce n’est que dans l’ascenseur qu’il lui redonne sa robe.
Jacques ne se gêne pas de montrer aux autres promeneurs que Véronique est sa propriété en gardant sa main sur les fesses de ma femme ou en la pelotant un peu. Malgré ça gène, elle se laisse faire. Alors qu’ils longent une petite forêt, Jacques entraîne ma femme derrière un buisson assez danse, mais à quelques mètres de la promenade seulement. Comme il entreprend de lui baisser sa robe, elle proteste :
– Pas ici, tu es fou
– Laisse-toi faire et ne fais pas trop de bruit, personne ne peut nous voir!
Avec un mélange de peur et d’excitation, elle se laisse faire et se retrouve vite nue. Sans autre forme de préliminaire, il la fait mettre à quatre pattes et le prend en levrette. Véronique va serrer les dents pour ne pas faire de bruit en jouissant en même temps qu’il éjacule dans son ventre.
Sa gêne n’est pas finie puisqu’elle n’ose pas protester lorsque Jacques lui demande de se rhabiller sans s’essuyer. Elle sent le sperme couler à l’intérieur de ses cuisses pendant le reste de la balade jusqu’à sa voiture.
Une fois seule, Véronique s’est essuyée avec un kleenex et m’a appelée, il était environ 18h30 :
– Comment va mon cocu, tu n’es pas trop à l’étroit dans ta cage?
– J’ai eu envie de bander tout l’après-midi, mais impossible…
– Mets-toi nu pour m’attendre et prépare un bon repas, j’ai faim, même très faim. Je suis à la maison dans 50 minutes.
J’ai aussi reçu un texto d’Jacques : “ta femme est prometteuse, je vais sûrement réussir à en faire un bon vide couille”.
En arrivant à la maison ma femme m’embrasse amoureusement. Elle prend mon sexe encagé dans sa main me demande :
– Je parie que tu as mouillé ta culotte cet après-midi ?
Lorsque je suis excité, je mouille assez facilement du gland et lorsque mon sexe est emprisonné dans sa cage et ne peut pas bander, je mouille encore plus et elle le sait.
Pendant le repas, elle m’a demandé de rester nu et elle m’a raconté son après-midi. Plus tard, nous nous sommes couchées. Elle m’a dit qu’elle avait eu son compte de sexe pour la journée et m’a laissé ma cage.
Ma nuit a été faite d’image où ma femme se faisait prendre par plusieurs mecs. Le matin au réveil, le me libère enfin de ma cage et me dit de venir lui faire l’amour. Elle est sur le dos, je monte sur elle, mais mon excitation est tel que j’éjacule après quelques secondes. Ma femme rigole :
– Eh bien, heureusement que je ne compte plus sur toi pour me faire jouir! Je n’avais même pas senti que ta petite quéquette m’avait pénétrée…
À suivre
Véronique
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