Ayant eu un grand nombre de visites concernant ma première histoire avec Nono, je vais maintenant vous raconter un autre épisode 100 % véridique de nos ébats qui ont eu lieu en août 2021, il y a bientôt un an.
Nous étions à l’apogée de notre histoire sans le savoir, les mois qui ont suivi n’ont été qu’une longue descente vers des évènements qui furent bien moins agréables et qui n’auront pas leur place ici.
Mais revenons à nos moutons. Cette histoire débute alors que ma Nono était venue dans un appartement proche de mon domicile pour vivre quelques jours au plus près de moi. Nous étions alors comme un véritable couple et nous pouvions passer des nuits entières à nous câliner et à baiser jusqu’à l’épuisement.
Je vais donc vous raconter dans le détail une de nos séances de sexe hors norme.
Pour vous planter le décor, Nono avait pris ses quartiers dans un appartement de standing avec plusieurs chambres, et une pièce de vie immense comprenant une belle cuisine à l’américaine et un salon avec un immense canapé.
J’espère que les appartements voisins avaient une bonne isolation phonique, car nous avons, comme à notre habitude, reçu des partenaires pour nos ébats, et nous avons même si nous étions deux, fait des galipettes très bruyantes qui ne laissaient aucun doute sur nos activités libidineuses.
Ce jour-là, nous allions passer l’après-midi dans notre nouveau lieu de villégiature. Comme à notre habitude nous étions nus et la moindre occasion était propice à des rapprochements et des effleurements qui mettaient nos sens à rude épreuve. Nous avions pris place dans le grand canapé d’angle qui se trouvait dans le coin salon. Ce canapé allait vivre de bien belles heures qui allaient rester gravées à jamais dans nos mémoires.
Pour débuter, nous avons joué avec nos langues, en nous embrassant longuement et en jouant avec nos langues de longues minutes. J’adore jouer avec la langue de ma partenaire et alterner entre sussions et enroulement des langues. Nos bouches étaient quasiment soudées l’une à l’autre et nos langues n’arrêtaient pas de tournoyer dans nos cavités buccales, faisant monter nos désirs l’un envers l’autre.
Je suçais la langue de Nono et mes mains commençaient à partir à la rencontre de ses autres zones sensibles que j’avais cartographiées à force de la parcourir.
Mes doigts avaient pris le chemin de sa poitrine. Elle de son côté me tenait délicatement la tête pour que nos bouches ne se dessoudent pas.
Ses tétons étaient tout dur et je me délectais à les faire rouler entre mes doigts. Je savais que mes caresses n’étaient pas veine et qu’elles allaient déclencher des réactions en chaîne à l’intérieur de ce corps féminin qui n’avait qu’un objectif : épancher sa soif de sexe avec un Mâle en rut.
Sa poitrine toujours sensible à mes effleurements ne demandait que cela. Après quelques minutes de ce traitement, j’ai pris la direction de son ventre et de la naissance de son pubis. Sa respiration se faisait plus forte et j’ai bien compris que toutes les barrières avaient cédé.
À l’arrivée devant son entre-jambes, mes doigts sont entrés dans une zone ou la chaleur et l’humidité était à son comble. Les lèvres de son sexe étaient noyées d’une mouille abondante qui recouvrait tout. Elle ouvrit ses jambes pour que je puisse accéder à son intimité avec plus de facilité.
J’ai commencé à la masturber avec délicatesse en massant l’entrée de sa grotte d’amour. J’adore l’entendre gémir et sentir toute sa mouille dégouliner et me maculer mes doigts.
Je n’ai pas pu résister et deux de mes doigts ont pris la direction de son vagin. Aucun obstacle n’est venu gêner la progression vers le fond de son vagin qui était déjà bien ouvert.
Avec mon pouce, j’ai débuté un massage délicat de son bouton qui n’attendait que cela pour sortir de sa cachette et retirer son capuchon pour être prêt à recevoir mes délicates caresses circulaires.
Nono, émit un feulement de chatte en chaleur quand la conjugaison de mes massages fut à leur apogée et que j’entrepris d’ouvrir encore plus son vagin en y faisant pénétrer quatre doigts sans difficulté.
Elle était maintenant à ma merci et n’attendait qu’une chose c’est que je me retrouve entre ses cuisses à la pilonner comme une salope.
Mais je ne l’entendais pas de cette oreille. Elle aurait bien aimé que je la baise directement.
Bien entendu, elle allait devoir attendre un peu, et que je lui mette encore un peu de pression sexuelle pour lui faire monter l’envie jusqu’au point de non-retour.
De son côté, elle ne s’en est pas laissée compter non plus. Après avoir parcouru mon corps avec ses mains douces et délicates. Elle a pris un malin plaisir à me titiller les tétons et à les faire durcir sous ses doigts malicieux. Elle s’appliquait maintenant à me caresser entre les cuisses, et à effleurer mon sexe.
Elle avait ses deux mains plaquées sur le bas de mon ventre et me prodiguait un massage des plus érotique aux abords de mon pénis qui était déjà bien raide.
En effet elle aussi a une connaissance de mon corps qui est exhaustive. Elle n’a donc aucune difficulté à commander mon corps et surtout ma virilité.
J’étais à savourer ses caresses et à me délecter de la mouille qui recouvre mes doigts et que je déguste avec passion. Je lui fais également partager ce festin, qui lui convient aussi très bien.
Nous nous installons de façon à faire un 69 qui me permet de mettre enfin ma bouche au plus près de son sexe en ébullition et à cette femelle de me gober les couilles et de prendre en bouche mon sexe qui n’a qu’une envie c’est de se développer dans la gorge de cette salope.
Je suis toujours aussi surpris par la quantité phénoménale de mouille que je peux boire à la fontaine de Nono sans l’avoir déclenché dans cette fontaine. Eh oui, pour ceux qui ne suivent pas nos aventures, il faut savoir que cette jeune femme est une femme fontaine de son état et que c’est un régal de la voire gicler et asperger tout ce qui l’entoure.
Mais son état d’excitation n’était pas encore suffisant pour m’inonder de la sorte.
Par contre le mien commence à grimper de façon fulgurante, car la tigresse ne s’arrête pas de me pomper avec application. Sa bouche et d’une douceur peu commune, sa langue est d’une expertise qui laisse pantois. Elle fait tourner sa langue autour de mon gland, monte et descend le long de ma tige et arrive même à presque faire une gorge profonde. Elle n’y arrive que partiellement, car je suis un peu long pour sa gorge, selon ses propres aveux….
Mais elle ne démérite pas et me taille une pipe qui me fait chavirer et me tend d’une manière incroyable.
Je ne me laisse pas distraire non plus et je suis maintenant sur le point de lui enfoncer mes cinq doigts dans le vagin. En effet ma masturbation à quatre doigts n’est plus suffisante à mon goût et je vais tenter d’y glisser mon pouce pour faire bonne mesure.
Elle se tortille et se détend encore un peu plus. Pour ce faire, et même malgré sa mouille abondante, je prends du gel spécial fist sur mon poing et je commence à me placer devant son trou déjà béant.
C’est elle qui me donne le feu vert et je commence à me positionner, mes doigts coulissent le long de ses lèvres qui s’ouvrent à mon passage de plus en plus.
Je tourne mon poigné pour que l’insertion se face avec le plus de douceur possible. Elle couine et commence à gémir fortement sous mes assauts qui sont de plus en plus profonds.
Après quelques allées et venues, mon poing est littéralement avalé par sa chatte. J’adore cette sensation de me sentir prisonnier de sa vulve et celui d’être un visiteur un peu particulier dans ce lieu si précieux et si chaud.
Elle est aux anges, elle ronronne comme une chatte en chaleur. J’adore ce moment qui est intemporel. Elle s’excite de plus en plus et j’avoue que j’ai même un peu de mal à suivre et qu’elle demande de plus en plus de vigueur de ma part et de celui de mon poing. Elle jouit quasiment en continu, et je sens les contractions de son utérus qui sont régulières tout comme ses cris qui emplissent la pièce.
Bien entendu à ce rythme, la salope ne tarde pas à me gratifier d’un jet de cyprine magnifique qui se transforme en fontaine.
Ce petit manège va durer un temps qui semble interminable, jusqu’à ce que Nono me demande de faire une petite pause.
J’ai gagné le premier round, mais sûrement pas la partie dans son ensemble. En effet je sais très bien qu’elle va vite me redemander de me surpasser pour lui apporter encore et encore de la jouissance.
Elle reprend les reines, avec une maestria incroyable. Elle se jette sur mon cul comme une affamée et commence à faire le tour de mon œillet avec sa langue si douce et si chaude. Bien entendu mon anus connaît Nono et il ne tarde pas à s’ouvrir pour mieux laisser la langue inquisitrice s’insinuer dans mon rectum.
Elle me baise littéralement avec sa langue, et moi j’en redemande en écartant mes fesses le plus possible avec mes mains.
Une fois le passage réalisé, elle commence à entrer un doigt dans mon conduit ainsi lubrifié par sa salive de femelle en chaleur.
Je n’y tiens plus et je couine comme une salope, mon côté bi qui arrive à grands pas et me transforme en chienne en chaleur.
De l’autre main, elle s’est mise à me masturber avec application tout en me titillant et en explorant mon anus avec application. Bien entendu, la détente faisant son effet, un seul doigt ne suffit plus, elle commence donc à introduire plusieurs doigts et à me limer comme il faut le cul.
Avec ce traitement, elle sait pertinemment que je ne vais pas tenir éternellement et elle s’en réjouit bien entendu, car elle a soif de mon sperme, et elle veut s’en abreuver, et ça jusqu’à la dernière goutte.
Ce qui devait arriver arriva à mon plus grand soulagement. Ma prostate gonflée à son maximum et mes couilles tout aussi prêtent, ont envoyés des saccades de sperme bien épais au fond de la gorge de ma sulfureuse tortionnaire qui n’en perd pas une goutte et se délecte de ma semence.
Une fois cela fait, nous nous embrassons goulûment pendant de longues minutes.
Nous prenons un peu de repos bien mérité, car cela fait un long moment que nous sommes en train de pousser nos limites sexuelles et nos voisins ont besoin aussi d’un peu de calme.
Pour reprendre en douceur, je me met à moi aussi m’attaquer à l’œillet de ma compagne qui est encore vierge de tout câlin.
Elle n’en est que plus reconnaissante et ronronne d’aise de ma prise de décision de m’attaquer à son côté obscure.
Je lui fais donc subir le même traitement que celui qu’elle m’a infligé quelques minutes auparavant. Son cul s’ouvre facilement et je peux lui rentrer ma langue comme une bite, et je me régale.
Bien entendu, comme je le sais, je commence à y adjoindre un doigt et rapidement un second.
Au bout de quelques va-et-vient, je suis obligé d’augmenter la dose et enfourne un troisième doigt qui finit par lui dilater l’anus comme il faut. Et la salope en voulant toujours plus, je lui donne à sucer ma queue qui commence à reprendre de la vigueur et lui promet, si elle sait bien y faire, de lui mettre mon chibre bien au fond de ses entrailles.
Ce qui ne la dérange pas, bien au contraire. Elle s’applique tellement bien, que ma queue est de nouveau opérationnelle en moins de temps qu’il faut pour le dire. Prenant sa taille de croisière, je la retourne et m’engage à lui enfoncer délicatement mon gland dans un premier temps dans son anus bien humide et ouvert.
Il m’accueille avec les honneurs, je suis tellement bien reçu dans son cul que j’en oublie même de m’enfoncer plus avant. Dans un premier temps je coulisse juste aux abords de sa rondelle. De léger bruit se fait entendre et cela rajoute encore à mon excitation.
N’y tenant plus je commence à m’enfoncer doucement et je savoure cette descente dans ce cul si doux et prévenant.
Bien entendu sa propriétaire est aux anges et me le fait savoir en gémissant à qui mieux mieux, et en se cambrant pour que je puisse m’enfoncer encore et encore.
Après de long allez retour, et des jouissances à répétition pour Nono, je me laisse également aller en me vidant les couilles une seconde fois pour notre plus grand plaisir.
Bien entendu, il n’y aurait pas apothéose sans un rite que Nono m’a raconté un jour. À savoir qu’un de ses amants, un Italien bien salace, avait pour habitude de finir sa sodomie par un rituel bien particulier que je voulais reproduire aujourd’hui dans son cul.
Je me suis donc concentré un peu, et alors que j’étais encore bien raide au fond de son cul, j’ai commencé à lui distiller doucement par petit jet, mon urine chaude au fond de ses intestins.
Surprise et amusée, elle me demanda de continuer, ce que je fis avec beaucoup de plaisir.
Bien entendu, ma vessie étant pleine, je me mis en devoir de me la vider complètement. Ce qui ne plu pas particulièrement au canapé qui a reçu le trop plein avant que Nono ne puisse se vider dans les toilettes.
Elle revint vers moi une fois son intestin nettoyer et vide d’urine et de sperme et c’est avec grand plaisir qu’elle me sauta au cou pour m’embrasser et me câliner longuement.
Bien entendu, dans la soirée, nous réprime les hostilités sexuelles pour notre plus grand plaisir, mais cela sera peut être l’objet d’une autre histoire.
Commenter, noter et à bientôt pour d’autres aventures
Moinoe38
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