Cela faisait plusieurs jours que nous avions décidé Philippe et moi de se retrouver vendredi matin vers 10h comme il risquait d’emmener sa fille au travail. Et oui la sncf avait encore lancé un mouvement de grève. Donc toujours pour moi , trouver une excuse , et le seul que j’ai trouvé, faire du vélo donc pas question de partir a 9h et en plus il faudrait emprunter la voiture pour pouvoir rester plus longtemps avec mon Philou. Ah, 6 mois que je ne l’avais pas vu à cause de mon opération. Nos retrouvailles risquaient d’être chauds, très chauds.
Donc départ de chez moi vers 7h30 pour me garer pas loin de chez Philippe et partir rouler vers le petit col qu’il y a au-dessus de Varilhes. En définitive j’allais rouler 1h30 alors que j’aurai pu le voir un peu plus tôt. Sa fille étant partie plus tôt, il m’aurait accueilli avec grand plaisir. Donc quiproquo mais ce n’était pas grave car je sais que j’aurai de multiples occasions pour le voir cet été.
10 h je me trouvais devant chez Philippe qui allait m’ouvrir sa porte avec bonheur avec sa grande serviette autour de sa taille comme s’ il venait de sortir de la douche, torse nu bien sûr. Il m’accueillait d’un baiser doux, chaud et langoureux pareillement au messie qu’on n’a pas vu depuis des mois. Je lui offrais un tendre baiser dans le cou, comme il aime tant. Et je papotais un peu avant d’aller dans sa chambre malgré qu’il veuille m’offrir un petit café. Et non, il me connaît , je voulais passer toute de suite au plat de résistance. Alors je regagnais la chambre au premier pour me déshabiller . Pour lui, ce serait vite fait . Il ouvrait le lit que je connaissais bien. Petit passage au wc et je le retrouvais nu sur le lit, toujours aussi délicieux. Alors délicatement je me couchais sur lui, lui offrant ma bouche qu’il attendait avec impatience et je frottais nos deux sexes l’un contre l’autre . Hummmm très excitant . Et n’y tenant plus, j’allais lui offrir de doux baisers dans le cou et descendre vers le bas de son corps en faisant un arrêt buffet sur la pointe de ses seins que je savourais en y passant la pointe de ma langue sur ses mamelons. Et avec ces tendres baisers, j’arrivais à sa queue toujours énorme qui garnissait grandement ma bouche, ma langue toujours aussi coquine caressait son gland, juteux à souhait. Et après cette gâterie, je remontais jusqu’a sa bouche pour gouter a sa douce saveur. Et de ma main droite je la glissais entre nos deux corps pour attraper nos deux sexes et les branler comme nous aimons tant , en gardant nos lèvres collées comme jamais. Alors pour lui prouver que j’avais envie de lui , je me couchais sur le dos , lui faisant comprendre que j’avais envie de lui.
Et il comprit très vite passant directement à ma queue qu’il allait sucer d’une façon divinement me faisant pousser quelques grognements de plaisir et lui caressant la tête. Et je lui demandais de venir contre moi, comme il avait tant aime l’an dernier, c’est a dire face a mon visage, a genoux , son sexe dans ma bouche et mon doigt dans sa chatte . J’essayais de lui enfoncer le doigt le plus profond possible mais j’ avoue , j’aurai du lui mettre du gel . Je sentais qu’il prenait beaucoup de plaisir. Il savourait cet instant, tétant son sexe goulûment. Je lui proposais après ce délicieux câlin, de se coucher sur le ventre pour que je glisse ma langue dans sa chatte. Hummm je sentais qu’il appréciait cette douceur comme un gros chat. Reste plus que le ronronnement. Et j’allais remonter avec ma bouche sur le dos de son corps. Et glisser mon sexe contre sa chatte. Pour une fois mon sexe s’ était durci et j’essayais de le pénétrer. Si j’avais mis du gel , je suis sur que je l’aurai pénétré. J’en avais très envie. Et lui savourait. Ma bouche humait son cou, mon sexe se frottant à sa chatte. Heureux il était mon Philou! Et il allait me rendre le plaisir que je lui avais offert en revenant en venant dévorer à nouveau mon sexe. Je ne voulais pas jouir. Et j’allais le câliner a nouveau. Heureux de l’avoir retrouvé. Son visage de partout allait recevoir mes baisers.
Mais le temps passait et il fallait que je rentre. Donc machine arrière, Je rhabillais et lui aussi. Il voulait m’offrir un café. Non je me sauve! Malheureusement il n’aura pas bandé , certainement à cause des médicaments qu’il prend actuellement. Dommage! Mais ca n’aurait été qu’un plus. On se dirige vers la porte d’entrée et alors coquin comme je suis , je lui dis : non, n’ouvre pas encore la porte et je le coince contre la porte pour lui offrir mon dernier baiser. Coquin je suis et fier de l’être et je me sauve….a très bientôt mon Philou!
Bonplan1
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