07Allongée dans notre lit, je me prélasse ; je rêvasse. Je me souviens de notre première expérience. Je me souviens aussi de mon étonnement, lorsque Paul Henri avait pris le sexe de Damien pour le sucer et que celui-ci, n’avait rien dit.
Je me demande si inconsciemment, mon pioupiou ne serait pas bisexuel. Qu’il le soit ne me dérangerais absolument pas, mais qu’il l’ignore, je trouve ça dommage.
Une petite annonce (étant devenue une spécialiste) et j’invite un homme bi à prendre un verre avec moi.
« Dis-moi, Muriel…Si tu recherches un homme bi, c’est que ton homme l’est, non ? . Pourquoi n’est-il pas là ? »
« Heu ! C’est un peu plus compliqué que ça ! »

Je lui fais un résumé rapide et nous montons un plan simple. Il fera semblant de ne pas savoir que je suis mariée et je m’occuperai du reste.
Une heure plus tard nous arrivons à la maison. Bien sûr, Damien ignore que je ramène quelqu’un. Ce n’est plus la première fois. Il est à peine étonné et salut André.
Celui-ci se révèle être un bon acteur.
« Ho ! Tu n’es pas seule ! Je te laisse »
« Non, non ! Entre ! Ce n’est que mon cocu »
« Ton… »
« Oui, oui, mon cocu, regarde. Damien ! Assieds-toi dans le fauteuil et je ne veux plus t’entendre »
Damien s’assoit.
« Houla ! Impressionnant, mais très déroutant »

« Mais non, il suffit de l’oublier »
Nous nous installons dans le canapé et commençons à nous caresser. Très vite nous nous débarrassons de nos vêtements, puis je m’agenouille devant André et je le suce avec gourmandise.
« Non ! Arrête ! Je suis désolé, mais devant lui, j’ai trop de mal »
« Pourquoi ? Parce qu’il est habillé ? Qu’à cela ne tienne. Damien, fou toi à poil ! »
Il se lève se déshabille, sans un mot, sans un sourire. Mais il ne peut cacher l’émoi qui se manifeste entre ses cuisses.
« Hum ! Bien gaulé, ton cocu ! Et bien foutu en plus ! »
« Heureuse qu’il te plaît. Il aime bien se faire tailler une plume de temps en temps. Ça t’intéresse ? »
« Hum ! Je suis gourmand et je ne sais pas dire non »
André se rapproche de mon homme en marchant doucement à quatre pattes comme un félin. Dans le regard de mon pioupiou, je peux lire « Qu’est-ce que tu fous ? Tu es folle ou quoi ! »
Mais il ne bouge pas et reste assis, les bras posés sur les accoudoirs. Mais lorsque mon invité, prend son membre dans ses mains avant de le porter à sa bouche, il ferme les yeux et sa respiration qui s’accélère trahi son plaisir.
Son bassin fait de petits mouvements d’avant en arrière et ses doigts s’enfoncent dans le cuir du fauteuil.
Je prends plaisir à le voir ainsi entre les mains d’un homme. Finalement ça lui va très bien à mon mignon. Sans bruit je m’approche et m’agenouille près de lui. Je pose ma tête sur son épaule et tout en le regardant se faire sucer, je lui caresse le poitrail et lui pince les tétons.
André me fait un clin d’œil. Je le vois caresser les testicules de Damien, il lèche sa hampe de haut en bas et continu plus bas. Après lui avoir gobé les couilles, sa langue s’agite maintenant sur sa pastille.
Damien ouvre les yeux en grand. Il semble très inquiet. Je pose un doigt sur sa bouche.
« Chuttt ! Ne t’inquiète pas ! Tout va bien ! »
Mon invité crache maintenant et étale sa salive, tournant et enfonçant légèrement le bout de son doigt, dans l’orifice vierge.
« Heu ! Tu rigoles, là ! Il joue avec mon cul ! »
«Et alors ! Je n’en suis pas morte moi ! Non ? »
André décide de le rassurer un peu.
« Ne t’inquiète pas Damien. J’ai l’habitude. Je vais faire doucement. Tu n’auras presque pas mal, promis. Je suis très doux, et tu vas voir comme c’est bon de jouir du cul ».
Il le fait s’asseoir sur le bord du fauteuil et lui replie les jambes pour qu’il pose ses pieds sur les accoudoirs du fauteuil. Il ne peut pas être plus offert. André lui bouffe le cul et y crache encore.
« Regarde ça ! Tu l’ouvres comme une fleur »
Il introduit son index sans effort.
Damien prend ma main et referme les yeux. Il semble finalement accepter la caresse du doigt.
André se redresse, plaque son gland sur l’anus de pioupiou et pousse doucement. Il s’y prend à plusieurs reprises et le membre pénètre un peu plus à chaque fois. Lorsque le gland a totalement disparu, il pousse sans s’arrêter, très délicatement. Ses couilles finissent par toucher les fesses de Damien. Il s’arrête.
« Damien ? Ça va ? »
« Heu ! Je ne sais pas trop ! »
« Détends-toi, ça ira »
« Heu ! Je crois que je vais te c….dessus ! »
« Haha ! Ne t’inquiète pas, c’est juste une impression. Je vais te faire jouir. Respire bien à fond »
Il commence un lent va et viens. Je l’observe. Il semble très concentré, yeux fermés, sa lèvre inférieure entre ses dents. Le rythme s’accélère doucement, il commence à gémir timidement .
« Voilà tu y es ! Je vais pouvoir t’enculer comme il faut, maintenant ! »
Il le sodomise désormais avec vigueur et à mon grand étonnement, Damien exulte.
« Ho, merde ! C’est bonnnn ! Ouiii ! Continu ! »
Il se mord un doigt pour ne pas hurler. Mon pioupiou jouit du cul, André lui assène les derniers coups de reins et jouit dans un râle grave.
« Rhann ! Rhann ! Hummm ! Ton cul est bonnn ! »
Il se retire lentement et se rhabille.
« Je suis désolé, je ne peux pas rester plus longtemps. Alors ça t’a plu ? »
Damien, encore sur son petit nuage, n’a pas bougé et se trouve toujours les pieds sur les accoudoirs, présentant son anus qui laisse échapper un peu de foutre.
« Je n’en reviens pas ! Je me suis fait enculer ! »
André, s’en va. Je rejoins mon pioupiou.
« Bon ! Il faut t’en remettre mon amour ! Va prendre une douche »
« Muriel ! Bouffe-moi le cul ! »
« Tu rigoles ! C’est dégueu ! »
Le salop, je ne l’ai pas vu venir, mais il a préparé sa phrase.
« Et alors ! Je n’en suis pas mort moi ! Non ? »
« Oui, mais la différence mon chéri, c’est que moi je ne suis pas ta cocue ».
Une semaine est passée, et je ne suis pas certaine que Damien a vraiment apprécié notre dernière petite soirée. Même s’il a trouvé un certain plaisir, le fait de lui avoir pratiquement imposé la sûrement vexé.
J’aimerais rentrer souillée, pleine, pour le satisfaire comme il l’aime. Je désire me laisser du temps pour trouver ce que je veux.
« Chéri ! J’ai un rencart. Je ne rentrerai que demain soir, OK ? Ne t’inquiète pas »
« Hummm ! Je vais encore fantasmer en t’imaginant. Ça va être long jusqu’à demain soir »
Je me rends à Strasbourg en train, et dès mon arrivée, je me promène en ville, couverte d’un gilet moulant, fermé par un zip et d’une jupe sympa. Mes pas me conduisent au Musée historique de la ville de Strasbourg. J’adore cet endroit, ou l’on se perd de salles en salles ? On pourrait passer une demi-heure dans chacune, tant c’est intéressant et diversifié.
Je suis devant une vitrine ou des objets retraçant la vie pendant la première guerre mondiale. Devant cette vitrine se trouve une espèce de rambarde afin d’empêcher aux visiteurs de toucher. Je m’y tiens et penche ma tête de gauche à droite, pour regarder de chaque côté les objets exposés.
« C’est incroyable, n’est ce pas ? »
C’est un vieil homme aux cheveux blanc derrière moi, qui regarde par-dessus mon épaule.
« Oui, en effet ! C’est tellement beau ! »
Son corps plaqué à mon dos, sa bouche n’est qu’à quelques centimètres de mon oreille.
«? »
Je fais la timide et je ne réponds pas. Une bosse grossie dans son pantalon. La salle est déserte, alors, il ne se gêne pas pour se frotter à mon cul.
« Tu sens ça ? Tu sais, ça aussi c’est très beau. Tu adorerais »
Pour la sentir, je la sens. Il applique de grosses pressions contre mon cul, comme pour m’enculer au travers de nos vêtements, et ses mains enfoncées dans les poches de son manteau, me caresse les fesses de façon vicelarde. J’ai envie de voir jusqu’où il serait capable d’aller. Je me dégage en poussant un de ses bras.
« Rhooo ! Excusez-moi ! Pardon ! »
Je m’éloigne , mais je sens qu’il me suit. Je joue avec lui, m’arrêtant souvent, devant des vitrines, des animations, des maquettes. Mais dès que je le sens à moins de deux mètres de moi, je m’éloigne de nouveau.
J’arrive dans une salle consacrée à une exposition temporaire sur « Les mouvements dans le système solaire » C’est un endroit sombre, à la lumière indirecte et très tamisée. Je pénètre dans un endroit presque noir. Sur le mur, le système solaire représenté par une maquette extraordinaire ? Gigantesque.
Une barrière métallique m’interdit de m’en approcher, mais un boîtier est fixé dessus et le mot « Appuyez » clignote sous un bouton. J’appuie et tout se met en mouvement. C’est fantastique ? D’un coup je me crois dans l’espace.
Mais je reviens vite sur terre lorsque deux bras m’entourent et se cramponne à la barrière.
« Hum ! C’est joli, hein ? J’aime bien cette ambiance sombre. Pas toi ? Je trouve ça excitant »
Je crois qu’il a sorti sa queue. Il pousse et rentre ma jupe entre mes fesses. Je continue à jouer la petite fille gênée.
« Mais arrêtez, vous me faites peur ! »
« Mais non ! Tiens, prend ça dans ta main. Regarde comme c’est doux et chaud »
Il me prend une main et la poser sur son sexe gonflé. Je ne jouerais pas plus longtemps. Je l’enserre dans ma main et je le branle doucement, tout en me tournant vers lui.
« Humm ! Elle est belle ! »
« Dis donc, toi ! Tu me sembles bien dévergondée tout à coup ! »
« Humm ! Ça doit être l’ambiance ! »
Je frotte sa queue sur ma jupe et de mon autre main, je descends la fermeture éclair de mon gilet moulant.
« Houaf ! Tu n’as pas de soutien-gorge ? Humm ! Petite coquine ! Ils sont mignons tes gros nichons ! »
Il les prend à deux mains et les palpe avec vigueur
« Et une culotte ? Tu as une culotte ? »
«! »
Il lâche ma poitrine et remonte ma jupe bien au-dessus de la ceinture.
« Ho, merde ! Tu es cul nu ! »
Son étonnement m’amuse beaucoup. Je frotte son gland contre ma chatte trempée, comme une malade.
« Humm ! Vous la voulez ? Vous voulez me pénétrer ? Vous voulez me baiser ? Vous voulez jouir dans ma chatte ? »
« Salope ! Tu m’excites ! Je vais cracher ma purée ! Merde ! »
Avec l’énergie du désespoir, je me soulève à l’aide de la barrière et il parvient à me pénétrer, juste avant d’exploser. Trois va-et-vient et je le sens se vider en moi.
« Rhooo ! Tu m’as trop excité ! Petite putain de merde ! Hahaha ! »
« Ce n’est pas grave mon pépère ! Je ne voulais rien de plus, que votre foutre dams ma petite moule ! »
« Ben ? Pourquoi ? »
« Pour que vous m’engrossiez comme une grosse truie ! »
« Qu’est-ce que tu racontes ? »
« J’ai arrêté la pilule, pour faire chier mon mec ! Je vais porter ton bâtard, papi ! »
Je me sauve en riant. Pauvre homme, il ne va pas dormir pendant un bon moment.
Dans l’ascenseur, j’en rigole encore. Je dois être folle de faire croire de telles choses.
« Chéri ! C’est moi! »
Venant de la chambre, j’entends un « Merde ! »
« Chéri ? Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est ce qui se passe ? »
Une nana sort de la chambre en courant, à moitié habillée, le reste de ses affaires dans les bras. J’ai l’impression que mon cœur s’arrête.
« Virginie ? Toi ? »
« Ho ! Je suis désolée, je t’expliquerais ! »
Et elle se sauve dans l’escalier. Je pénètre dans la chambre. Damien est assis sur le lit, ses jambes pliées sont recouvertes par le drap. Il a posé ses coudes sur ses genoux et tient sa tête dans ses mains. Je ne voudrais pas être à sa place.
« Espèce de salop ! Tu n’avais pas le droit de me faire ça ! Si tu voulais une nana, tu n’avais qu’à me le demander ! »
« Muriel ! Essaye de comprendre ! Tu te tapes des tas de mecs ! J’ai juste eu une envie ! »
« Oui ! Je me tape des tas de mecs, parce que tu es mon cocu et parce que ça te plaît ! Je ne suis pas ta cocue ! Et là, tu m’as faite cocue ! Et avec cette pute, que je croyais ma meilleure amie ! ! »
Je suis hors de moi. Je relève ma jupe et glisse deux doigts dans mon vagin . Celui-ci fait un drôle de bruit et du foutre s’en écoule.
«! Parce que tu n’es pas près de la revoir et encore moins de la vider ! Cocu ! »
De rage, j’essuie mes doigts sur son visage.
« Je te promets de me venger Damien ! Je ne sais pas quand, ni comment, mais je me vengerais ! Je me vengerais ! »
À suivre !

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