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Histoire de sexe de Muriel : Remboursement intégral

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Je m’installe à mon bureau. Comme tous les jours je commence ma journée en embrassant les photos de Jade, ma petite fille et de Damien, mon merveilleux cocu.
Ensuite, je vais saluer mon « patron beau-père ». Désormais, il n’est pas rare que je commence par lui faire une petite pipe, histoire de bien débuter la journée.
Mais aujourd’hui, il semble soucieux.

« Oups ! Ça n’a pas l’air d’aller fort ! Un souci ? »

« Oui. J’ai trouvé un message sur le répondeur. Il était de ce con de Carion. Il veut que tu passes cet après-midi pour récupérer le solde de ce qu’il doit. »

« OK ! Où est le problème ? »

« Je n’ai pas envie que tu y ailles. Je regrette de t’y avoir déjà envoyé une fois, alors…Il est vraiment trop con. Il ne te mérite pas. Je préfère encore perdre ces cinq mille euros. »

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« Pas question. J’assume cette mission, et je reviendrai avec l’argent ! »

« Dans ce cas, ne lui fait pas mettre d’ordre. Ils seront pour toi ! »

Ce midi, je suis rentrée chez moi, pour me changer. J’ai passé une robe noire, très courte qui se lace derrière le cou par deux fines bretelles. Le dos est largement dégagé et le décolleté est vertigineux et provocateur. Une paire de bas, auto fixant, de jolis escarpins, un manteau et me voilà prête à affronter ce gros porc de Carion.
J’arrive devant le bâtiment, et très sûr de moi, je pénètre dans le hall.
Je passe devant Mathilde qui ronchonne dès qu’elle me voit. Je la calme tout de suite.

« Salut Mathilde ! Ça va aujourd’hui ? Ne bouge pas chérie ! Je suis attendue et je connais le chemin. »

« Tu me le paieras ça ! Catin ! Salope ! Petite putain ! »

« Hummm ! Que de compliments ! Merci chérie ! Hihihi ! »

Je frappe à la porte de son patron. Il vient m’ouvrir.

« Haaaa ! Voilà Muriel ! Philippe a donc eu mon message ! Très bien, très bien ! Entre. »

Je pénètre dans le bureau et tombe nez à nez avec deux autres hommes, sensiblement le même âge que Carion, mais un peu plus classe.

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« Muriel, je te présente mes associés. Albert et Jean Marie. Messieurs, je vous présente Muriel, la secrétaire de ce sacripant de Philippe. Mais je reconnais qu’il sait s’entourer. Tiens ! Si tu le veux, le poste de secrétaire de cette vieille peau de Mathilde est à toi, dès demain ! »

« Heuu ! Non, merci ! Monsieur Valentin, je peux vous parler en privé ? »

« Ben non ! Je n’ai rien à cacher à mes partenaires. Tu peux parler.»

« Heuu, c’est-à-dire… C’est au sujet du moyen de récupérer le chèque. Vous avez changé d’avis ? Vous me le faites maintenant ? »

« Ben, non, pourquoi ? Tu sais bien comment faire pour récupérer l’argent, non ? »

« Heuu, oui ! Mais c’est-à-dire…Nous ne sommes pas seuls ! »

« Haaaa ! C’est Albert et Jean Marie qui te posent problème ? Il ne faut pas ! Comme je te l’ai dit, je ne leur cache rien. Et puis c’est aussi leurs frics ! Non ? Donne-moi ton manteau, mets-toi à l’aise.»

Il veut jouer ? OK, j’accepte. Pour commencer, ne pas lui montrer que deux hommes de plus ne m’effraient pas. Bien au contraire. Baiser une fille timide et gênée devrait les exciter au plus haut point. J’enlève mon manteau en baissant la tête. Visiblement, ma tenue plaît beaucoup, d’après les commentaires des trois hommes.

« Houchhhhh ! Belle gosse ! »

« Ouais ! Super-bien foutue, la petite ! »

« Encore plus bandante que la dernière fois ! »

« Tu ne nous as pas menti. Elle doit être super bonne ! »

Les trois types tournent autour de moi, me reluquant de la tête aux pieds. Moi, je reste dans mon rôle de fille fragile et reste tête baissée, main dans le dos.
Celui qui se nomme Jean Marie en profite. Il passe derrière moi et se colle à moi. Dans mes mains, je sens l’énorme bosse dans son pantalon.

« Tu sens l’effet que tu me fais ? Tu la veux dans ta main ? »

Je ne réponds pas. Devant mon silence, il sort son engin et le place dans ma main.
C’est trop difficile pour moi de rester stoïque. Je ne peux m’empêcher de refermer mes doigts sur la chair chaude.

« Hummm ! Elle te plaît semble-t-il ? Attends que je bouge un peu pour me branler. »

Il fait de petits mouvements d’avant en arrière dans mon dos. Je sens sa bite glisser entre mes doigts. Putain ! Je commence à mouiller. Albert s’attaque au nœud de ma robe, dans mon cou. Il le défait et lâche les deux petites bretelles. Elles glissent sur mes épaules et tombent, entraînant le devant de ma robe. Mes seins, mirent soudainement à nu, me provoquent un long frisson accompagné d’une chair de poule, impossible à cacher. Valentin s’en aperçoit et caresse mon bras.

« La petite à froid. Il nous faudra la réchauffer ! »

Albert prend mes seins dans les mains et titille mes pointes.

« Ho ! Hummm ! »

Cette fois, je n’arrive plus à dissimuler mon émoi.

« Vache ! T’a les tétons durs comme une gomme de crayon ! »

« Ben mon vieux, ne t’a pas encore vu son clito ! Ne t’en reviendra pas ! »

Je sens ma robe glisser sur mes hanches. Elle est prête à tomber. Je la retiens encore avec mes mains dans le dos, mais la masturbation de Jean Marie ne me permet pas de la maintenir fermement.
Au moment où Albert se penche pour me sucer les seins, elle tombe sur mes escarpins.

« Meeerde ! Elle est cul nu, la salope ! »

« Hummm ! Et ses jambes, ses bas noirs ! Quelle beauté ! »

« Regardez-moi ce petit chat bien rasé ! Il est trop beau ton abricot ! »

« Humm ! Fais voir s’il est juteux ! »

Albert tombe à genoux et plonge son visage entre mes cuisses. Il se tord le cou, mais parvient à me pénétrer légèrement avec sa langue.
Valentin saute sur mes seins et les dévore sans délicatesse. Il les presse à m’en faire mal. Décidément, ce type est vraiment nase.
Pour ce qui est de Jean Marie, je ne le branle plus, mais je frotte son gland entre la raie de mes fesses, m’attardant de temps à autre sur ma pastille. Mais, hélas pour lui, malgré ses coups de reins, la position ne lui permet pas d’y pénétrer.

« Hoooo ! Hooooo ! Hooooo ! Ouiiiii ! »

J’ai complètement perdu le contrôle. Je gémis sans discontinuer et sans pouvoir me retenir.

« Hummmm ! Ouiiiii ! Hooooo ! C’est bonnnn ! Hummmmm ! Encoreeeee ! Hachhhhh ! »

Albert m’introduit deux doigts et me masturbe avec force. Son autre main, pince et frotte mon clito avec frénésie.

« Merde ! Tu avais raison ! C’est du lourd son bouton rose ! »

« Hooooo ! Arrêteeeez ! J’en peux pluuus ! Hummmm ! Je vais jouiiiir ! Ouiiiii ! Je viennnns ! »

Mes jambes se mettent à flageoler. J’écarte un peu plus les cuisses et plie légèrement les genoux.

« Ouiiiii ! Plus fort ! Plus forttttttt ! Làààà ! Ouiiiiiiiiiiii ! Hooooo ! »

Je ne retiens plus rien et je sens mon vagin se vider comme un ballon plein d’eau.

« Ho, putain ! C’est une fontaine cette greluche ! »

Je ne sais pas très bien ce qui m’arrive, mais bon sang, c’que c’est bon !
Ma tête bourdonne un instant et soudain, c’est comme si je disjonctais. Je me sens partir et…Plus rien. Lorsque j’ouvre un œil, Jean Marie essaie de me donner à boire.

« La vache ! Tu es montée au septième étage, ma poule ! »

« Tu décolles souvent comme ça, chérie ? »

« Hein ? Non… C’est la première fois, je crois. »

Albert éclate de rire.

« Tu crois ? Haha ! Des orgasmes comme ça, on ne les oublie pas, poulette ! Allez ! À cheval, belle salope ! Il faut battre le fer pendant qu’il est chaud ! Haha ! »

Il se couche sur la moquette défraîchie et me fait signe de l’enfourcher. Pour mon plus grand plaisir, car mon envie de sexe n’est pas redescendue d’un cran. Je veux de la bite. Hummm !
Je l’enfourche et m’empale sur son pieu de bois.
Humm ! Sentir cette chose tiède et vivante traverser ma galerie trempée. Quel délice.
Je monte et descends, accélérant mes mouvements progressivement. Albert m’accompagne donnant un coup de reins à chacune de mes descentes. Dois-je vraiment vous préciser que mon plaisir remonte en flèche, très rapidement ? Je suis sur un nuage. Valentin, debout, s’approche de moi.

« Malaxe-moi les couilles et suce-moi bien à fond ! Feignante ! »

Je tourne la tête et glisse son gros gland dans ma bouche. Jean Marie s’est posé à genoux près de moi. Il m’enfonce un doigt dans le cul et son autre main masturbe mon clito, suivant mes va-et-vient. Ces cons vont encore me réduire à néant. Je sens un nouvel orgasme puissant arriver.
Peut-être l’a-t-il senti, mais Jean Marie me freine dans mon plaisir.

« Bon ! Assez joué ! Tu es prête ! Penche-toi bien en avant ! Tiens, embrasse Albert ! »

Sans chercher à comprendre, je m’exécute et embrasse Albert à pleine bouche.
Sans attendre, Jean Marie se place à genoux entre les jambes de son compère, et plante son gland contre mon anus.
Je n’ai pas le temps de protester, ni de me poser trop de questions, il s’enfonce déjà en moi.
Je ressens une légère douleur due à ma trouille, mais très vite je ressens l’étrange sensation d’être pleine des deux côtés.
Les gourdins se mettent en mouvement dans un ordre inexistant. Je suis pilonnée de toutes parts. J’ai l’impression d’être ouverte en deux, déchirée. Je sens les queues glisser l’une contre l’autre, juste séparées par une fine paroi qui me renvoie une tonne de sensation.
Je vis ma première double pénétration avec extase.

« Ho mais ! Ho mais ! Hooo, comme c’est boooon ! »

Je me sens objet, offrande, consommable. Il me semble devenir folle, tant le plaisir est intense.

« Maiiiis ! Vous me faites du bieeeen ! Hoooo ! Baisez-moi biennn ! Ho Ouiii ! Je suis à vouuuus ! Défoncez-moi le cul et la chatte ! Ouiiii ! Plus forttttttt ! »

Près de moi, Valentin se branle comme un forcené, en me regardant me faire malmener.

« Donne-moi ton jus, salop ! Donne-moi ton foutre ! Hooo ! Je suis une pute ! Hummmm !
Hummmm ! J’aime caaa ! »

« Sûrement pas ma jolie ! C’est dans ton cul que je veux me vider ! Je veux le souiller, morue ! »

Soudain, Albert pousse un râle de bête blessé. Dans le même temps une onde de chaleur envahie mon ventre.

« Hooo ouiiii ! Jouis bien ! Hummmm ! Vide-toi bien dans ma chatte de putain ! Hummmm ! C’est bonnnn ! »

Jean Marie quitte mon anus sans crier gare. La honte me gagne, lorsque je ne peux retenir un pet retentissant.

« Tu jouis du cul ! Hein, salope ? Ça te plaît ça, petite pute ! »

Mes trous sont libres. Je me sens comme abandonnée.

« Hooo ! Baisez-moi encore ! Je vous en supplie ! J’en veux encore ! Baisez-moi fort ! »

« T’inquiète ! On n’en a pas fini avec toi ! »

Jean Marie s’allonge à son tour. Je quitte Albert, vidé, et je saute sur cette queue qui m’appelle. Elle s’enfonce dans les liqueurs encore chaudes, au fond de mon ventre.

« Humm ! Albert t’a bien rempli, salope ! Tu vas déborder ! »

Je bouge de nouveau, provoquant des bruits de succions de mon vagin dégoulinant.
Valentin m’appuie sur le dos pour me coucher, et pousse son gros gland dans mon cul.
J’encaisse de nouveau une double pénétration, pour mon plus grand plaisir, je dois bien l’avouer.
Valentin, plus court, va bien moins profond, mais il élargit beaucoup plus. Il a du mal à rester dans mon trou et glisse fréquemment hors de celui-ci.
Ça l’énerve et il tape de plus en plus fort. Mais soudain…
Il glisse de nouveau, mais emporté par son élan, je sens son gland déraper sur mon pauvre périnée et son membre force l’entrée de mon vagin déjà occupé.
Le monde semble s’arrêter.
Même mes amants n’osent plus bouger et nous retenons notre respiration.
Albert qui voit la scène de l’extérieur, n’en revient pas.

« Houuuuu ! Ça, ce n’est pas commun ! Putain ! Vous l’avez élargie grave ! Haha ! »

Les deux hommes recommencent à bouger. J’ai la sensation que ma chatte va exploser. Je ne fais plus la différence entre douleur et plaisir.
En fait, j’ai un peu peur, mais finalement, c’est le plaisir qui l’emporte.

« Ho ! Qu’est-ce que… ! Non, non ! Hooo ! Hummm ! Oui, ouiiii ! »

Le pauvre Valentin fait tout ce qu’il peut pour prolonger cet accident, mais il glisse de nouveau et réintègre violemment mon cul.
Dommage. J’aurais aimé goûter un peu plus cette étrange sensation.
Valentin se libère le premier.

« Tu le sens mon jus, dis ? Tu le sens ? Tu sens comme je te remplis bien, salope ? »

« Ho Ouiii ! Je le sens ! Hummm ! C’est bonnnn ! Hummm ! »

Son sexe rabougri me quitte tout seul. Je perçois sa liqueur me quitter, et éclabousser les couilles de Jean Pierre. Celui-ci ne tarde pas à inonder mon utérus et se rend dans un cri.

« Rhooo ! Tu m’as bien fait jouir, morue ! Tu es une brave putain, toi ! »

Épuisée, je reste un moment au sol, tentant de calmer mon petit cœur et de retrouver ma respiration.
Je m’apprête à me relever, mais Albert m’en empêche.

« Hop ! Ne bouge pas toi ! On n’en a pas fini avec toi ! »

« Oui, surtout après ce qui s’est passé ! »

« C’est sûr ! À mon avis, ça va le faire ! »

« Bon ! Qui s’y colle ? »

Ils discutent entre eux, sans m’expliquer ce qui se passe. Je reconnais qu’ils m’inquiètent un peu.
Albert semble se décider.

« Bah ! Je pense avoir la main la plus fine, non ? »

« Oui, effectivement ! Vas-y ! Fais-la crier de plaisir cette salope ! »

Il s’agenouille près de moi et demande à Valentin de lui passer le tube. Le tube de quoi ?
Puis, il s’adresse à moi.

« Je vais te faire grimper au plafond, ma jolie ! Détends-toi et fais-moi confiance. »

Il ouvre un tube et fait couler un gel sur ma chatte, en grande quantité.
Il commence à me branler doucement, je dirais même, tendrement. Je trouve ça assez étrange, mais, j’y trouve un plaisir immense.

Sa main enduite de gel est douce et glisse sur mon coquillage. Il masturbe mon clito avec application. Je suis tellement excitée, que l’introduction de trois de ses doigts, n’est pas un problème. Il rajoute encore du gel. Il semble bien qu’il en fait pénétrer une très grande partie. C’est agréable. Je me détends et savoure ce moment de bien être intense.
Il fait un cône de ses cinq doigts et tout en me masturbant, il tourne son poignet. Mon vagin se détend sous la caresse progressive.

Mon bassin ondule lentement, langoureusement Je commence à jouir très fort et, je m’enfonce un peu plus sur ces doigts pour qu’il me pénètre plus profondément. Mon bassin va toujours aussi lentement mais les mouvements ont plus d’amplitude. Et rapidement il m’enfonce un quatrième doigt. Il est un peu serré, alors très délicatement, il tourne à l’intérieur. Il refait couler du gel pour que ça glisse mieux. M’en étale un peu partout.

Mes soupirs et mes gémissements s’intensifient. Je prends son poignet dans ma main pour adapter le rythme à mes envies. Je me laisse glisser complètement dans le plaisir.
Je réclame plus encore, je le supplie presque. Il met son cinquième doigt, tourne très doucement et pousse très légèrement. Je suis au bord de l’orgasme. Sa bouche qui m’embrasse, sa main en moi, et son autre main qui alterne les caresses entre mes seins, mon ventre, mes fesses et mon anus, me rendent folle.

Mes mains se resserrent sur les pieds d’une chaise, juste au-dessus de ma tête. À ce moment-là, j’ai tellement envie de plus, que d’un coup, dans un mouvement de bassin, c’est moi qui m’enfonce sur sa main et l’engloutis littéralement. C’est tellement bon que c’est quasiment indescriptible. C’est un peu comme si, une lame de fond gigantesque me submergeait, que je perdais totalement pied. Je donne le mouvement qui me fera jouir à l’extrême, et toujours très délicatement, son poing fermé, englouti dans mon vagin jusqu’au poignet, il fait des va-et-vient en moi.

Je ne suis plus qu’un orgasme entier. Je ne contrôle plus rien. Tous mes muscles se contractent. Il me sent couler tout le long de sa main, et dans un cri, j’explose de jouissance.
L’orgasme est foudroyant de puissance, bien plus long que d’habitude parce que j’ai l’impression de jouir de mon corps tout entier. Et quand enfin je retombe, très doucement, il retire sa main de moi.
Pendant les quelques minutes de quasi-inconscience qui s’ensuit, on ne peut plus me toucher, tant mon corps est ultrasensible.

Lorsque je rouvre les yeux, les hommes, rhabillés, fument une cigarette à la fenêtre, se désintéressant totalement de moi. Je me relève. Mes jambes sont molles. Mon corps tout entier est mou. J’enfile ma robe et mon manteau et je m’approche du petit groupe.

« Monsieur Valentin ! Le chèque s’il vous plaît. »

« Sur le bureau, catin ! Tu sais que tu es la putain la plus chère du monde ? »

Les trois hommes éclatent de rire. Inutile de m’attendre à un peu de compassion ou d’affection de la part de ces pauvres types. Je ramasse le chèque et sors du bureau.
En passant devant un miroir, je vois mes cheveux ébouriffés et mon maquillage qui a coulé, à cause du coup de chaud que je me suis pris.

Mathilde me dévisage.

« Salut Mathilde ! Oh, à propos, tu sais que ton patron m’a proposé ta place, connasse ? »

« Ça m’étonnerait que mon mari t’ait proposé ça ! »

Son mari ? Ça, c’est un scoop ! Voilà de quoi me venger.

« Non seulement, il me l’a proposé, mais je crois bien que je vais accepter. Dis voir, tu sais qu’il vient de me baiser, lui et ses associés ? Humm ! C’était pas mal du tout ! Hihihi ! »

Je remonte dans ma voiture et je respire un grand coup. Je jette un œil au chèque.

« Le salop ! Il en manque la moitié ! »

Je tourne la tête.
Les trois hommes sont toujours à la fenêtre.
Ils me font « coucou » de la main.

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