«Ma petite Muriel, j’ignore comment tu t’y es prise, mais ce contrat est en or ! Je n’en reviens pas. En plus, j’ai du mal à croire qu’il l’ait signé pour cinq ans. C’est incroyable »
« Bah ! Il me suffira de ne pas m’asseoir pendant quelques jours. Voilà tout »
Pour la première fois, je vois mon beau-père rougir.
« Tu veux dire que… Oh ! Je suis vraiment désolé »
« Mais non, vous ne l’êtes pas. C’est bien ce que vous vouliez, non ? »
« Oui… Non… Enfin oui, mais je n’aurais jamais imaginé que tu le fasses ! »
Il semble vraiment gêné. Il en est attendrissant.
« Rappelez-vous, vous m’avez demandé un service ? Un service que vous rendait déjà Virginie. Je n’ai fait que reproduire »
« Oui mais quand même. Tu sais, Virginie m’avait dit que ce client n’était pas tendre. J’aurais dû te le dire. Je suis un salop ? Je ne sais comment te remercier, Muriel »
Je passe mes mains autour de son cou.
« En me faisant un gros bisou, beau papa »
Il me prend dans ses bras, me fait une énorme bise sur le front et me fait un gros câlin. Il me serre contre lui, je sens mes seins s’écraser contre sa poitrine. C’est une étreinte amicale, j’en suis sûr, du moins pour lui, car pour moi…je commence à avoir chaud au ventre. Salope que je suis.
« Dis-moi Muriel, nous n’en parlons jamais, mais… Comment ça va avec mon fils ? Il te rend heureuse, au moins ? »
« Il est gentil et me baise bien. Mais, sommes nous obliger de parler de lui ? »
« Oh ! Ce n’est pas ce que je te… »
« Taisez-vous et embrasser moi. Aujourd’hui j’ai envie d’être la putain de mon patron ! »
Je me plaque à lui et l’embrasse fougueusement. D’abord surprit, il relâche un peu son étreinte, mais sous les assauts de ma langue, il craque et m’écrase contre le mur.
« Hoo, Muriel ! Il y a si longtemps que j’attendais cet instant »
« Pourquoi ne pas m’en avoir parlé ? »
«. Je préférais garder le doux souvenir d’un moment d’égarement »
Il remonte ma jupe tout en me parlant et je m’affaire à ouvrir sa ceinture. Ses mains passent sur mes fesses.
« Hummm ! Toujours pas de culotte? »
« Jamais ! Hihi ! »
« Tu m’excites ma petite Muriel ! J’ai trop envie de toi ! »
« J’accepte ! »
« Quoi ? Tu acceptes quoi ? »
« J’ai beaucoup réfléchi depuis cette histoire de contrat. J’accepte d’être la putain du patron. Je ferais ce que vous me direz de faire, ou, quand et comme vous le voudrez. Mais par pitié, ne me parlez plus de votre fils et encore moins de cette salope de Virginie ».
« Accordé ! Alors commence par me pomper le dard ! J’adore ta bouche de pute ! »
Mince ! C’est pourtant vrai qu’il est excité mon petit patron, il bande tellement fort, quelle pourrait bien m’exposer en plein visage ! Hihi ! Je la sens palpiter entre mes lèvres. Les veines qui courent sur sa longueur, sont gonflées et violacées. Je palpe ses couilles durcies par le plaisir.
Un premier jet puissant me surprend et me fait tousser. Le membre dégagé de ma bouche, finit de se vider sur mon visage en longues saccades.
Le foutre coule sur mes joues et mon menton, un filet se détache et s’écrase sur mon t-shirt noir. Je me relève encore toussotant.
« Oups ! Ma pauvre Muriel ! Te voilà dans un triste état ! Laisse-moi réparer mes dégâts »
Il se penche vers moi et lèche mon visage, récupérant ainsi le foutre échappé. Il semble apprécier le liquide blanchâtre et gluant. Il tire sur mon maillot pour lécher la tache, mais il le soulève très vite pour aspirer mes pointes dressées. Il caresse mes seins, faisant monter mon envie, lorsque soudain on frappe à la porte.
Je veux me dégager pour me rajuster, mais il m’en empêche.
« Laisse ! J’attends un coursier… Entrez ! »
Un type entre un pli à la main ? Sous le casque de moto, je devine un homme jeune. Le spectacle a de quoi étonner, un vieil homme, queue pendante hors de sa braguette ; caressant une jeune femme, seins à l’air, il ne doit pas voir ça tous les jours.
« Oh ! Désolé, mais vous m’avez dit d’entrer ! Excusez-moi ! Heuu ! Il me faut une signature »
« Approche, je vais signer ! N’aie pas peur, elle ne mord pas ! »
Peur ? Sûrement pas, juste surprit. Il s’approche tendant un bordereau à Monsieur Philippe, mais son regard ne se détache pas de ma poitrine. Moi, amusée, je reste collée au mur, sans bouger, un grand sourire aux lèvres entrouvertes.
« Tu la trouves comment, ma secrétaire ? »
« Elle est… Elle est jolie ! »
« Oui, tu as raison ! Jolie et bonne ! Baise-la si tu veux! »
« Hein ! Heuu !… »
Monsieur Philippe signe le papier et le glisse dans la poche du coursier qui reste paralysé.
« Mais siiii ! Vas-y, c’est ma putain ! Je te la prête! »
Et bien, et bien ! Mon cher patron a vite compris ce que j’attendais de lui, il fait ça très bien. Devant l’immobilité du motard, je prends les choses en mains. Je l’attrape par les avants bras et l’attire à moi.
« Viens là, mon joli, tu aimes mes seins, regarde comme je pointe. Hummm ! Tu m’excites ! J’ai très envie de toi ! »
Je pose ses mains sur mes seins et je m’occupe de la braguette de son pantalon de cuir.
« Humm ! Que me caches-tu là ? »
Il bande comme un taureau. Humm ! Une belle queue toute fraîche. Je remonte ma jupe et frotte son membre sur ma chatte baveuse d’envie. Il me caresse et m’embrasse avec fougue, laissant échapper de petits grognements de satisfactions. Pas questions de le laisser jouir avant qu’il me saute. Je lève une cuisse très haute contre sa hanche.
« Houu ! Prends-moi vite ! Baise-moi fort ! Hummm ! »
« Oh, putain ! Je vais te faire crier ma belle ! Oh putain ! Oh putain ! »
Il dit « oh putain » à chaque coup de butoir, comme un automate. Je tape sur son casque.
« Hé, chéri ! Change de disque ! Hihihi ! »
« Rhann ! Oh, pardon ! Oh putain de merde ! Ce que c’est bon ! Ce que tu es bonne ! Huuuug!Houchhhhh! Houchhhhh ! Hummmm ! »
Je me fais une raison. Je n’aurai pas mieux. Il me soulève et me pose sur un petit placard. Il passe ses bras sous mes jambes et accélère le mouvement.
« Harchhh ! On est mieux comme ça, hein ? Petite pute ! T’aime ça, hein ? T’aime la queue toi, hein? »
« Hooo ! Ouiiii ! J’aime ça ! Mais tais-toi et bourre-moi ! Hummm ! »
« Houuuuu ! J’arriveeee ! Hennnn ! Je te donne touuuuut ! Haaaaarg ! »
« Oui ! Oui ! Jouiiiis ! Oh ouiiiii ! Je viens aussiii ! »
Il me donne tout dans un ultime effort, et se déverse en moi en longues giclées chaudes. Il me donne un dernier baiser et se rajuste.
« Ben si on m’avait dit ça ! Oh, putain ! »
Mon beau-père, jusqu’ici à l’écart, intervient.
« Bon ! Jeune homme, la fête est finie. Vous pouvez disposer ! »
« OK, j’y vais ! Salut beauté et merci ! Ne change rien, tu es trop bonasse ! »
Voilà une course qu’il n’oubliera pas de sitôt. Monsieur Philippe s’approche de moi et plonge deux doigts dans ma moule.
« Hummm ! Il t’a bien rempli, dit dont ! Ça t’a plu ? »
« D’après vous ? »
Il extrait ses doigts et les suce un moment.
« Je pense que oui. Il me semble déceler le goût de ton plaisir dans tout ce jus. »
Le soir venu, c’est ce que me dira également Damien, lorsqu’il me videra la chatte.
Être la putain de mon patron. Voilà bien une chose que je ne voulais pas rendre officielle à ses yeux. Mais plus que sa putain, je suis devenue sa maîtresse et de ce fait, lui, mon amant. La seule chose que je ne peux avouer à Damien.
Oui, bien sûr, je sais ! Cette situation est très scabreuse et licencieuse. Mais l’interdit me plaît et attise mon excitation en permanence.
Mon beau-père me plaît de plus en plus. Il est bel homme, drôle, riche et en plus il me donne du plaisir comme personne.
Entre lui, mon Damien et mes aventures, je suis une fille comblée.
« Muriel, mon petit ! »
Il vient d’entrer dans mon bureau et me tend des feuilles.
« Regarde et dis-moi ce que tu en penses. »
Je lis les documents avec attention.
« Ben ! Ce client vous doit dix mille euros. »
« Exact ! Je reviens de son entreprise. Sa secrétaire a fait barrage. Impossible de le voir et d’en discuter avec lui. Est-ce que tu crois que… »
« Haa ! Je vois ! Vous voulez envoyer vos gros bras ! Hihihi ! Mais je n’ai pas de poing américain, ni de calibre ! Hihi ! »
« Haha ! Non, je ne veux pas envoyer mes gros bras, mais ma petite chatte ! Tu crois que tu pourrais faire quelque chose ? »
« Qui ne tente rien,… »
Je me lève et l’enlace tendrement.
« Et pour vous, je veux bien, tout tenter. »
Direction l’entreprise CARION et FILS.
J’arrive devant une bâtisse de trois étages, pas très classe. L’intérieur est tout aussi vieillot. Et que dire de cette femme de soixante ans, rigide, acariâtre, qui m’envoie balader.
« Hooo ! Votre patron est déjà venu ce matin ! Vous êtes bouchée chez vous ou quoi ? Il faut prendre rendez-vous ! »
Je n’ai pas de poing américain, mais je lui collerais bien une baffe. Il y a peut-être plus subtile à faire.
Je hurle dans le couloir.
« MONSIEUR CARION !… MONSIEUR CARION ! »
La secrétaire, bondit hors de son bureau.
« Tu vas te taire, petite peste ! »
Cette conne me sauterait bien dessus si son patron, alerté par mes cris, ne sortait pas de son bureau.
« Et bien, Mathilde ! Qu’est-ce que c’est que tout ce raffut ? Qui est cette jeune femme ! »
Ce type est antipathique à souhait. Le sourcil épais, il fait les gros yeux et serre les dents et les poings. Pas très grand, gros, les cheveux gras et lunettes triples foyer, il porte un pantalon tenu par des bretelles sur une chemise qui devait être blanche à l’achat.
Je lui fais mon plus beau sourire.
« Enchantée MONSIEUR CARION. Madame Muriel, société ARCOBOIS. Vous êtes sûrement très occupé, mais puis je vous importuner cinq minutes ? »
J’entends la secrétaire, retournée derrière son bureau, faire des « Gnagnagna ! » dans sa moustache.
Il me déshabille du regard un long moment. Je suis sûr qu’il me voit à poil, ce gros dégueulasse.
Il me fait signe d’entrer.
« Mathilde ! Qu’on me dérange sous aucun prétexte ! »
Je la regarde et lui fais un clin d’œil. Je viens de bousiller sa journée. Hihi ! Le bureau ressemble
À son propriétaire. Sale et mal rangé.
« Bon ! Asseyez-vous ! Je sais très bien ce qui vous amène ! Mais ce n’est pas parce que Philippe m’envoie une pin-up, que je payerai ! »
Je m’enfonce dans un fauteuil d’un autre âge et je croise les jambes. Ma jupe remonte jusqu’à mi-cuisse et j’espère qu’il aperçoit le haut de mes bas. Puis, lentement, je défais le bouton de ma veste et l’ouvre. Mon chemisier blanc laisse deviner les auréoles de mes seins et mon décolleté est bien ouvert. De quoi faire bander un eunuque, tout cas ! J’ouvre ma mallette, sors les documents et plonge mon regard dans le sien en souriant.
« Une pin-up ? Vous voulez me faire rougir MONSIEUR CARION ! Vous êtes un charmeur. »
Je le sens fondre comme un glaçon en plein soleil.
« Valentin. Appelez-moi Valentin. »
« Valentin ? Comme le saint des amoureux ? Je sens que l’on va s’entendre Monsieur Valentin. »
Je me penche sur le bureau et dépose les papiers devant lui.
« Vous devez la dernière livraison. Mais je suis sûr qu’il s’agit d’un oubli. N’est ce pas ? »
« Non, pas du tout ! Le bois était de mauvaise qualité ! »
« Monsieur Valentin ! C’est vous qui l’avez choisi ! Effectivement, c’est une gamme de qualité inférieure, mais le prix est très raisonnable. »
« Pas question ! »
Le plan numéro un ne fonctionne pas. Il est temps de passer au deuxième. Je me laisse retomber dans le fauteuil. J’efface mon sourire, je penche la tête et je fais sangloter ma voix.
« Monsieur Philippe m’a promis de me virer si je ne revenais pas avec le règlement. »
« C’est donc ça ! Ho, ma pauvre enfant. »
Il se lève de son bureau et vient vers moi. Ça marche ! Il s’assoit sur le bras du fauteuil et passe un bras autour de mes épaules. De son autre main, il caresse mes cheveux.
Je profite de ce moment de tendresse. Je penche la tête de côté et pose ma joue sur son ventre, comme une petite fille qui a besoin de réconfort.
«! Il y a toujours moyen de s’arranger. Tu ne crois pas ? »
« Je ne sais pas Monsieur Valentin. »
« Bah ! Parfois, il suffit de se montrer gentil. »
« Gentille ? Mais je le suis gentille ! »
Sa main glisse sur mes cheveux et viens flatter ma joue, puis, elle passe sous mon menton et son pouce se pose sur mes lèvres. Je le sens appliquer une pression. Sans doute pour que je le prenne dans ma bouche. Mais je ne le fais pas.
«: justify;” align=”LEFT”>Sa main sur mon épaule glisse en direction de mon décolleté et y plonge. Ses doigts boudinés jouent avec mon téton, puis devant mon manque de réaction, il prend confiance et palpe mon sein outrageusement.
« Regarde ! Tu vois sur le bureau ? Mon chéquier attend. »
J’entrouvre les lèvres et je laisse son pouce se poser sur ma langue. Je le suce comme je le ferais avec un sucre d’orge. Il tire sur mon corsage pour le sortir de ma jupe et défait les boutons fébrilement.
« Hummm ! J’adore tes petits nichons. Ils sont bien durs ! Ton cul aussi doit être bien ferme ! »
Je ne réponds pas et tends une main pour ouvrir sa braguette.
« Voilà ! Gentille, disponible et ouverte. Je vois que tu comprends vite. »
Je fouille son slip kangourou et dégage un sexe court et large, mais bien dur. Avec ma langue je repousse son doigt hors de ma bouche, et je laisse glisser ma joue sur son ventre pour dévorer sa queue. Sa main quitte mes seins et court vers ma jupe. Il la remonte et palpe mon cul.
« Humm ! Pas de culotte ? Ça, c’est une bonne surprise ! »
Tout en me pelotant, il appuie sur ma tête, me forçant à engloutir toute sa verge. Ainsi bloquée, je salive et j’ai bien du mal à déglutir.
« Allez ! Salope ! Active ta langue de pute ! »
Il s’en prend à mon anus et y enfonce un doigt. Il me le branle avec force, le rentrant et le ressortant à toute vitesse. Ma bouche ne peut plus contenir ma salive et sa queue. Je tousse et ses couilles sont inondées de bave.
« Cochoooone ! Nettoie-moi ça tout de suite, saloperie ! »
Sans un mot, je lèche et aspire ses burnes trempées et je reprends sa bite en bouche.
Je le suce avec application, provoquant de petites contractions à la bête.
« Ouiii ! Hummm ! Continu comme ça ! Tu es douée petite pute ! Harggg ! Ouiii ! Je viens ! Je… viennnns ! »
Ma bouche se remplit de liqueur grasse et chaude. J’aspire et avale plusieurs gorgées. Je nettoie son membre consciencieusement, ne laissant aucune trace. Je me redresse doucement, frottant mon visage à son corps, jusqu’à ses lèvres.
Il est laid et repoussant. Sa bouche est grosse et gonflée, mais je l’embrasse qu’en même avec gourmandise, comme si j’étais amoureuse de ce type. Il m’écrase contre lui et me roule une pelle baveuse et répugnante avant de se relever.
Il se penche sur son bureau et remplit le chèque. J’ai gagné. Je me rajuste rapidement et prends le chèque qu’il me tend.
« Cinq mille euros ? Mais non, Monsieur Valentin ! C’est dix milles ! »
« Tu es contente ? Tu devras revenir ! Hahaha ! »
Je comprends qu’il est inutile de discuter. Je devrais effectivement revenir pour compter obtenir le reste. Mais pas question de lui montrer mon aversion à son égard.
Je lui fais un beau sourire et je lui donne un petit baiser.
« Et bien… À la semaine prochaine, Monsieur Valentin ! »
Je sors du bureau et passe devant le comptoir de Mathilde. Je lui refais un clin d’œil, tout en
Replaçant mes cheveux ébouriffés.
« À bientôt, chérie ! »
« Salope ! Traînée ! Pouffiasse ! »
« Hihihi ! Hihihi ! »
À suivre !
Récit vraiment tres excitant !!! J’aimerais bien croiser cette Muriel…et la laisser me sucer puis lui démonter le cul…
Ce n’est pas fini mon cher Lol, disons que tu arrive vers la moitié, il y aura encore beaucoups d’excitation!