Ça fait trois mois que je travaille avec mon beau-père. Contrairement aux craintes de Damien, il est très correct avec moi. Il n’a jamais fait d’allusion sur notre aventure et il est super cool et très agréable. Il a tenu ses promesses. J’ai une petite voiture sympa, avec toutes les options, un téléphone dernier cri et le forfait de fou qui va avec.
Je fais ce que je veux ? Je peux arriver en retard, prendre une journée, ne travailler que cinq heures, ma paye ne change pas. Que demander de plus.
Parfois, lorsqu’il a un dîner avec ses clients, il me demande d’y participer. Il dit que les affaires sont plus faciles, s’il y a une jolie fille à la table. Alors, ces soirs-là, je m’habille jolie, sexy, mais pas vulgaire. À ses dires, ça marche et en plus je récupère une petite prime. La belle vie, quoi !
Mon pioupiou est de matinée cette semaine. Lorsque je me réveille, il est déjà parti. Ce matin, j’ai du mal à émerger. Monsieur Philippe devra m’attendre. Je traîne, je me prélasse, prends une douche et me balade nue dans l’appartement en grignotant des petits gâteaux. Je regarde dehors à travers le voilage de ma chambre.
Il fait un soleil merveilleux. Il me semble qu’il y a un peu de vent car en ouvrant la baie mes rideaux se gonflent de temps en temps comme la voile d’un bateau. C’est une belle journée de fin de printemps qui commence.
Je m’assois au pied de mon lit et je me laisse tomber en arrière sur la couette défaite. Je rêvasse en regardant le plafond. Un courant d’air un peu plus fort que les autres, glisse sur moi et me caresse doucement. C’est comme une main de soie, légère et douce, qui vient de passer sur moi, de ma chatte encore humide de la douche, jusqu’à mes seins. Humm ! C’est bon !
Ma main descend doucement et vient en contact avec mon clito gonflé. Un doigt glisse sur ma fente, presque machinalement, une petite pression et il disparaît entre mes grandes lèvres. Trois courants d’air plus tard, je me masturbe avec application et enthousiasme.
Je plie les jambes et écarte mon vagin pour recevoir trois de mes doigts qui vont et viennent en moi, à toute vitesse.
« Ho, Ouiii ! Merde ! Que c’est bon ! Hummm ! Ho putain ! »
Je jouis comme une petite pute et je lèche mes doigts comme une grosse gourmande. Je devrais avoir honte ! Mais je m’en fous ! Hihihi ! Je me redresse et reprends doucement mes esprits.
À cause du courant d’air, mon voilage, c’est ouvert sans que je m’en aperçoive. Notre chambre est en vis-à-vis. Pendant une fraction de seconde, j’ai bien cru voir un visage deux étages plus haut dans l’immeuble face à notre chambre. Je m’approche de la fenêtre et prends le voilage en main pour le refermer, mais j’attends un peu. Je regarde à droite, à gauche, mais du coin de l’œil, je surveille la fenêtre. Mon attente est vite récompensée, je vois distinctement, un type avec une paire de jumelle, me reluquer caché dans l’angle de sa baie. Je ne lui montre pas qu’il est découvert et referme les rideaux.
J’arrive avec une bonne heure de retard au travail. Je m’installe dans mon bureau et me prépare un café. Monsieur Philippe a dû me voir arriver, il frappe à ma porte. Il entre, en souriant, comme toujours.
« Bonjour ma petite Muriel ! En forme ? Tu veux bien me taper ceci et venir me voir ensuite dans mon bureau ? »
« Oui, bien sûr ! Je vous fais ça tout de suite »
Je tape ce qui ressemble à un contrat, et je lui apporte.
« Parfait, parfait ! Assis toi, Muriel »
Je suis un peu inquiète, car il est très rare qu’il me demande de m’installer dans son bureau.
« Dis-moi ! Est-ce que tu pourrais te libérer vendredi soir, un gros client veut me lâcher et ce serait une catastrophe pour la scierie. Tu l’as déjà vu je crois. C’est Monsieur Habib. Alors je l’ai invité à dîner pour lui présenter un contrat qui devrait lui convenir ».
« Ho, oui, bien sûr ! Ça devrait pouvoir se faire »
« Heu ! Ce n’est pas tour. Tu sais que Virginie, mon ancienne secrétaire, elle connaissait bien ce client et ses goûts »
« Ses goûts ? »
« Oui ce n’est pas la première fois qu’il veut nous quitter et Virginie a payé de sa personne pour sauver cette affaire. Ce type fantasme sur les secrétaires. Haha ! Rassure-toi, elle l’a fait d’elle-même, je ne lui ai rien demandé »
Il rigole, mais il est bien le seul.
« Qu’est-ce que vous êtes en train de me faire comprendre ? Que je fasse la pute pour sauver votre affaire ? »
« Non, Muriel, pas la pute ! Il n’est pas question qu’il t’achète ! Ce serait comme un service que tu me rendrais, à moi, à la scierie, aux employés, rien d’autre. Et puis je ne fais que suggérer ! »
Je rentre dans une colère noire.
« Parce que j’ai la faiblesse ; d’accepter vos avances et de m’être offerte à vous une unique fois, vous me prenez pour votre pute ? Vous osez demander à votre belle fille de se taper un de vos clients ? Avez-vous pensé aux conséquences si Damien venait à apprendre votre demande? »
Finalement, je m’amuse bien. Le pauvre ne sait plus ou se foutre. Comment peut-il imaginer que sa proposition m’emballe. Être enfin la putain du patron ! Hummm ! J’adore l’idée.
« Ceci dit, je viendrais tout de même à ce dîner. J’ai besoin de ma journée ! Salut ! »
Je ramasse mon sac et je rentre à la maison. En arrivant à domicile je jette un œil à la fenêtre de mon voyeur. Il ne doit pas travailler. Il est là, accoudé à son garde-fou et regarde dans la rue. Lorsque je tire les rideaux et que j’ouvre la fenêtre, il disparaît un instant et réapparaît à moitié caché, jumelle à la main.
Bien sûr, il ignore que je l’ai vu. Je rentre dans la chambre et je me déshabille. Je sors du linge de mon armoire et je le replie, nue. J’imagine mon bonhomme, là-haut, sa jumelle dans une main, sa queue dans l’autre. Hihi ! Je me tourne dos à la fenêtre, et je me penche pour ramasser un pull. Je lui présente mon cul et j’aime ça, il doit se régaler. Je range mon linge et vais à la fenêtre, je m’étire langoureusement face à mon voyeur et je referme fenêtre et rideaux. Fin du spectacle pour aujourd’hui.
Monsieur Philippe ne viendra plus me voir de toute la semaine. Ce matin, vendredi, j’ai trouvé un papier sur mon bureau.
Hôtel-Restaurant « Le cheval blanc » 20 h 30. Merci et pardon.
Monsieur Habib aime les secrétaires ? Il va être servi.
J’arrive au restaurant avec un quart d’heure de retard. C’est voulu bien sûr, il faut savoir se faire attendre. Je suis habillée en secrétaire modèle. Tailleur cintré gris, avec vue imprenable sur ma poitrine, jupe droite moulante découvrant mes genoux, bas noirs, porte-jarretelles, mais ça, il faut le deviner, et une vraie paire d’escarpin avec des hauts talons de onze centimètres. Je me suis fait un super chignon et j’ai ressorti une vieille paire de lunette qui me donne un air de maîtresse d’école. Les deux hommes me déshabillent du regard. Mon petit déguisement, semble faire beaucoup d’effet.
Le dîner se passe, Monsieur Habib me drague un peu, mais rien de flagrant. Ce qui m’inquiète, c’est qu’à aucun moment il ne parle de ce fameux contrat.
Café, digestif et soudain, Monsieur Philippe se lève.
« Bon ! Eh bien je vous laisse. Vous avez le nouveau contrat. Étudiez-le et rendez-le à ma secrétaire…signée ! »
« Ho, ça devrait être rapide ! Vous savez ce que je veux et ce que je ne veux pas ! »
Mon patron nous salue et me plante là, avec le client.
« Bon ! Chère Muriel ! Je vous propose que nous montions dans ma chambre. Ici, il y a trop de bruit pour me permettre de me concentrer sur la lecture de ce contrat ».
Je n’ai pas trop le choix. Arrivé dans sa chambre, somptueuse au demeurant, il s’installe sur un coin du lit, et y étale plusieurs documents. Il commence sa lecture, mais l’interrompt rapidement.
« Houlàlà ! Ça ne va pas ça ! Pas question ! »
Je m’approche et je me penche sur le document. Je sens le décolleté de ma veste pendre et s’ouvrir ; il doit voir ma poitrine, mieux il doit voir que je ne porte pas de soutien-gorge.
« Montre-moi, Monsieur Habib ! Ce n’est peut-être qu’une erreur! »
Les yeux vissés sur ma poitrine, il m’explique son courroux. C’est un jeu d’enfant que de lui faire changer d’opinions sur toutes ses revendications. Je parviens même à augmenter certaines prestations. Monsieur Philippe sera content je pense.
« Voilà ! Vous n’avez plus qu’à dater et signer ! Ici, s’il vous plaît »
Mais il voit les choses différemment.
« Vous connaissez Virginie ? »
« Heuu ! Oui, je le connais bien, pourquoi ? »
« Nous étions très complices tous les deux. Je signais ce qu’elle voulait et elle savait me remercier »
« Je ne comprends pas ce que vous voulez dire ! »
« Mais si ! Tu comprends très bien au contraire ! Je vais prendre une douche, range les documents et mets-toi en levrette sur le lit! »
« Mais je… »
Je ne peux pas en dire plus, il disparaît dans la salle de bains. Ouais ! Enfin un peu d’action ! Je jubile. Je range les docs dans son porte-documents, sauf celui à signer. Je défais mon chignon, pose mes lunettes et grimpe sur le lit.
Je m’installe en position levrette, jambes légèrement écartées et j’attends. L’eau cesse de couler, mon cœur commence à taper plus fort, lorsqu’il sort de la salle de bains, je me surprends à rougir. Il faut dire qu’il a ôté son peignoir et me dévoile un corps d’une beauté incroyable.
Ce Tunisien est taillé dans le roc. Son corps encore humide, dessine des muscles et des abdos magnifiques. Sa peau pain d’épice est couverte d’un poil noir, soyeux et brillant. Je suis en admiration. C’est de loin, mon plus bel amant. Vous parlerais-je d’un dard dressé ? Impressionnant, imposant, tentant.
Il monte sur le lit et se place derrière moi. Doucement, il remonte ses mains le long de mes jambes, frôlant mes bas de soie, il relève ma jupe et la roule sur mon dos. Sa main flatte mon vagin et s’attarde sur mon clito.
« Pourquoi as-tu retiré ta culotte ? »
« Je n’en porte pas ! »
Une claque s’abat sur une de mes fesses.
« Monsieur Habib ! Tu m’appelles Monsieur Habib ! »
Cette soudaine brutalité me surprend, mais ne me déplais pas.
« Je n’en portais pas, Monsieur Habib »
« J’en étais sûr ! Tu es une petite salope ! J’ai bien vu que tu ne portais pas de soutif non plus »
Accompagnant le geste à la parole, il se couche un peu sur moi et attrape ma poitrine au travers de ma veste et l’écrase entre ses mains puissantes.
« C’est exact, Monsieur Habib ! Je n’en porte pas non plus ! »
Je sens sa queue frapper mon vagin. Qu’il me prenne vite ! Qu’il me prenne !
« Tu sais que tu es beaucoup plus appétissante que Virginie ? J’adore ton cul ! Ton patron a bien fait de t’engager ! »
« Je le crois aussi ; Monsieur Hab…Hoooo ! »
Une violente douleur irradie mon antre. Son sexe vient de me pénétrer profond dans l’anus. Le salop n’a pas pris de gants.
« Monsieur comment ? Salope ! Monsieur comment ? »
« Monsieur Habib ! Monsieur Habib ! Moins fort s’il vous plaît, Monsieur Habib ! Moins fort ! »
« Tu veux que je signe, oui ou non ? Alors ta gueule salope ! »
Il me faudra un moment, pour qu’à force de concentration, la douleur disparaisse, laissant place au plaisir.
« Tu aimes ma queue ? Hein, putain ? Tu la sens bien dans ton cul de petite morue ? »
« Hoo Ouiii, Monsieur Habib ! Hummm, Ouiii ! Défoncez-moi bien, Monsieur Habib ! Ouiii ! »
« Non, ça suffit ! Couche-toi ! Je vais te démonter l’utérus ! Je vais te mettre le ventre à l’envers, salope de secrétaire ! »
Son discours m’effraie un peu, je l’avoue ; mais je me raisonne en me disant que Virginie, était sûrement passée par là. Alors…
Avant que je me tourne, il tire sur ma veste et me l’arrache. Il descend la fermeture éclair de ma jupe, et elle aussi vole dans un coin de la pièce. Une fois allongé, il lève mes jambes et pose mes talons sur ses épaules.
« Humm ! Tu as de très belles jambes. J’aime les jambes habillées de bas. Tu me gâtes, petite putain »
« Merci, Monsieur Habib »
Il embrasse mes mollets, mes genoux ? Moi, je regarde son pieu énorme qui pointe vers mon vagin. Ses mains glissent sur mes jambes, viennent caresser mon sexe, énervent mon clito et remontent vers mes seins.
« Humm ! Ils sont parfaits ! Rien à voir avec Virginie. Les tiens se tiennent mieux et son bien plus fermes. Humm ! »
Je le remercie une fois de plus, mais s’il savait comme il m’énerve, à me comparer à cette pute de Virginie.
« Dis-moi que tu me veux ! »
« Ho oui, Monsieur Habib ! J’ai envie de vous ! Je veux vous sentir en moi ! Baisez-moi ! S’il vous plaît, Monsieur Habib, baisez-moi ! Je suis à vous ! Hummm ! »
Je me tortille comme une anguille. Putain ! C’est pourtant vrai que j’ai envie de lui. Il s’effondre enfin sur moi et me pénètre brutalement. De me sentir pleine d’un coup, fait monter mon plaisir en flèche. Mais alors que je commence à gémir de bonheur , il se met à me parler, tout en continuant à me pilonner.
« Tu as déjà baisé avec ton patron? »
« Hummm ! Quoi ? Pardon ? »
« Est-ce que tu t’es déjà fait troncher par ton patron ? »
« Non, Monsieur Habib ! Jamais ! »
« Ne me mens pas, salope ! »
J’ignore s’il est au courant ou si c’est du bluff, alors j’avoue.
« Une fois, Monsieur Habib ! Une fois seulement ! C’était une erreur »
« Ça te plaît d’être la putain de ton patron, réponds ! »
« Je ne suis pas une putain, Monsieur Habib ! Hummm ! Je ne suis pas…Hooo, Ouiii ! »
Sa conversation m’excite et je ne suis pas loin de jouir.
« Si tu n’es pas la putain de ton patron, pourquoi tu baises avec moi ? »
« Hummmm ! Je suis une…hummmm, Ouiii ! Hoooo ! »
« Tu es quoi, sac à foutre ? Tu es quoi ? »
« Une salopeeee ! Je suis une salope ! Haaaa ! Ouiiii ! Je jouis ! Hummmm ! Ouiii ! »
J’explose. J’ai la sensation d’uriner tant mon plaisir est fort. Je ne crois pas avoir déjà eu un orgasme de cette intensité. La tête me tourne. J’ai failli m’évanouir un instant. Lorsque j’ouvre les yeux, Monsieur Habib se vide sur mon visage. Le sperme chaud coule sur mes joues, glisse vers mes oreilles, mes cheveux. Son foutre est abondant et gras, il me semble que ça ne s’arrêtera jamais.
« Vas-y ! Nettoie-moi comme il faut ! »
Il plante son sexe qui se ramolli entre mes lèvres. Je m’applique à faire disparaître toutes trace de sa jouissance. Il respire encore très fort et transpire comme un bœuf.
« Alors toi ! Pour être une bonne salope, tu es une bonne salope ! J’en parlerais à ton patron »
« Non, s’il vous plaît, Monsieur Habib ! N’en parlez pas ! »
« Mais si, mais si ! Il faut qu’il te rebaise à nouveau, putain ! Tu auras une augmentation, c’est sûr ! »
Je baisse la tête honteuse.
« Monsieur Philippe est…mon beau-père »
« Hahaha ! Tu t’es fait baiser par ton beau-père ? Hahaha ! Trop fort ce vieux cochon ! »
Il m’insulte, me traite de tous les noms et me fait promettre de baiser de nouveau avec mon patron.
« Aujourd’hui, je signe, mais si tu ne rebaise pas avec lui, je ne signe pas l’année prochaine ! »
Cause toujours mon lapin. Je viens de te faire signer un contrat de cinq ans. Hihihi !
C’est le cœur en fête que je rentre à la maison. Il est quatre heures du matin, je réveille Damien qui ronchonne un peu.
« Baisez-moi, s’il te plaît ! »
« Putain, Muriel ! »
« Oui, c’est ça, chéri ! Muriel la putain ! »
« Tu es folle ou quoi ? »
« Oui ! Folle de toi mon amour »
Damien ne comprend pas tout, mais il commence à me caresser gentiment, quand soudain, au travers des rideaux, j’aperçois la fenêtre du voyeur allumée.
« Attends Damien ! J’ouvre la fenêtre, il fait chaud! »
« Mais on pourra nous voir ! »
« Mais non, tout le monde dort ! Et puis on s’en fout ! »
En fait, je ne souhaite qu’une chose, c’est que mon voyeur nous aperçoive. S’il pouvait se mettre à sa fenêtre.
Il doit avoir un sixième sens, car il s’y met. Surprit il se cache rapidement, et nous observe avec ses jumelles. Je ne dis rien à mon pioupiou.
Mon chéri jouit et se rendort presque aussitôt. Je me lève, vais jusqu’à la fenêtre et m’étire gracieusement. Puis, je passe une main sur ma chatte et, me lèche ensuite les doigts avec gourmandise.
Une douche plus tard, la fenêtre de mon curieux est toujours allumée et il me semble bien qu’il épie encore. J’ai tellement envie de folie, je reste nue et j’enfile un imper. Je ne prends même pas le temps de le fermer le maintenant juste de mon poing fermé.
Je saute dans l’ascenseur, traverse la cour, reprends l’ascenseur de la tour d’en face et monte deux étages plus haut que mon appartement. Ce sont les mêmes bâtiments et je n’hésite pas une seconde pour sonner à la porte du mateur.
Je pose mon doigt sur le Judas, afin qu’il ne me voie pas à travers de la porte.
« Qui c’est ? »
Je sens sa voix inquiète, il faut dire qu’à cette heure…
« Une bonne surprise, je crois ! »
« Quoi ? Une bonne surprise ? Qu’est-ce que… »
Tout en parlant, il ouvre la porte. Lorsque je l’aperçois, je lâche mon imper et le laisse s’ouvrir. Mon bonhomme a encore ses jumelles à la main. Il fait des yeux tout ronds et semble comme paralysé. Il est torse nu et ne porte qu’un caleçon qu’une bosse déforme.
« Vous ne m’invitez pas à entrer ? »
Comme il ne bouge pas, j’entre et referme la porte. Cet immeuble est constitué de petits studios. Celui-ci est la caricature parfaite de celui d’un célibataire, boite de pizzas, canettes vides, revues pornos et linges sales un peu partout.
Je passe devant lui et je me dirige directement vers la fenêtre, tout en marchant, je laisse glisser mon imper au sol.
« Humm ! Effectivement ! Vu d’ici, on voit bien ma chambre ! »
Je me retourne, le type est toujours à la même place, ne sachant plus ou il vit.
« Qu’est ce qui se passe ? Je suis moins jolie de près ? Vous me préfériez à la jumelle ? »
« Hein ? Heu non ! Bien sûr ! Mais…que faite vous là ? Je… Vous êtes…nue ! »
« Oui, je suis nue, chez toi, et je veux que tu me baise. Tu crois rêver ? »
« Heuu ! Oui, un peu, je l’avoue ! »
« Crois-moi, parfois le rêve rejoint la réalité, je sais de quoi je parle. Enlève ton caleçon et viens me prendre là, debout à la fenêtre »
Je me tourne, m’appuie à la balustrade et tends mon cul en arrière.
« Sois mignon, prête-moi ton portable. Tu veux bien ? »
Il me donne son téléphone, puis il se place derrière moi et me pénètre doucement. Puis, me tenant par les hanches, il bourre mon vagin en cadence.
Dans son plaisir, je ne sais même pas s’il m’entend téléphoner.
« Allo ? Damien ? Ben oui, c’est moi ! Ou je suis ? Ben…regarde à la fenêtre, un peu plus haut.
COUCOU MON COCUUU !!! »
À suivre !
Hum… très chaude cette histoire… je ne sais pas si je préfère être à la place du client, à celle du voisin ou à celle du cocu… Jiamerais beaucoup que ma femme se tape d’autres gars et qu’elle m’envoie des photos de sa chatte remplie d’une autre queue ou de son visage plein de sperme… J’aimerais qu’elle s’habille comme une salope et qu’elle aille chauffer d’autres gars, la voir les sucer goulument puis qu’ils lui defoncent le cul…
Tu devrais partager les récits de Muriel avec ta femme peut être qui sait elle le deviendra!