Il fait beau. Je pars au boulot, le cœur léger.
Pour une fois, je passe directement par le bureau de mon beau-père.
« Bonjour Monsieur Philippe ! »
« Bonjour ma petite Muriel ! Tiens, tu tombes bien, il fallait que je te parle. »
Je m’assois sur ses genoux et je le gratifie d’un long et langoureux baiser. Sa main remonte sur ma cuisse et disparaît sous ma jupe.
« Pas touche, coquin ! Vous vouliez me dire quoi ? »

« Ha oui ! Mais que veux-tu, tu m’excites ! Bon ! Et bien voilà. Tous les ans, j’organise un repas de fin d’année pour mes gars. Je prends un traiteur. Il n’y a rien à préparer, sinon dresser la table et ouvrir le vin. Mais il me faut quelqu’un pour…Servir. Et je n’ai plus personne. Tu…Comprends ? »
« Mouais ! Virginie. »
« Tu serais d’accord pour la remplacer ? »
« Pourquoi pas. Ce n’est pas bien compliqué et ça me permettra de faire connaissance avec les ouvriers. Je n’en ai rencontré que deux sur douze jusqu’à maintenant. »
« OK ! C’est pour vendredi prochain. Je ne pourrais pas être là, alors je te laisse carte blanche. Tu verras, ils sont sympas. Mais si tu te prends une main au cul, ne t’offusque pas trop. »
« Ça, il n’y a pas de risque ! Hihi ! »
« Fais attention quand même. Ils ne sont pas toujours très fins, ni très élégant. Ils sont même pour certains, un peu… Brut de décoffrage, si tu vois ce que je veux dire. »
« Oui, très bien ! Ce sont des hommes, quoi ! »
Il m’explique en détail la façon dont se passait le repas les autres années.
Le traiteur dépose les plats, ainsi que les boissons, dans la cuisine à onze heures.
La table doit être dressée pour onze heures trente, dans le réfectoire. Les gars arrivent entre onze heures trente et midi, et là, je commence à leur servir l’apéritif. Puis, tout s’enchaîne. Normalement.

Vendredi neuf heures trente.
J’ai beaucoup pensé à ce repas et j’ai demandé à mon beau-père, une enveloppe confortable pour acheter diverses petites choses.
Je veux que ce repas soit plus beau que les autres. Pour leurs faire oublier Virginie, peut être.
Haa ! Jalousie, quand tu nous tiens !
J’ai dressé une jolie table avec des assiettes dorées, des bougeoirs, des décorations de noël. J’ai également acheté un sapin que j’ai enroulé de guirlandes électriques.
Les fenêtres sont calfeutrées. Ils mangeront aux chandelles.
Le traiteur est passé et a déposé toute la nourriture nécessaire.
Je suis prête et lorsque arrivent les premiers ouvriers, j’allume les bougies.
« Whouaaa ! Classe ! C’est sympa, dis dont ! »
« Salut belle demoiselle ! Ce n’est pas Virginie cette année ? »
« Ha non ! Désolée, mais elle ne fait plus partie du personnel. C’est moi qui la remplace. »
« Bah ! Ça va ! On ne perd pas au change ! »
« Ha oui ! Elle est mignonne la petite ! »
« Merci ! »
«? »
« Muriel. Je m’appelle Muriel.»
« Muriel ! Deux qui la tiennent, un qui… »
« Serge ! Ta gueule ! Tu pourrais être poli, non ? »
« Excusez-le, il est un peu con ! »
« Ce n’est pas grave, je vous assure. Allez, installez-vous. Je vous servirai l’apéro quand tout le monde sera là. »
Je fonce en cuisine pour cacher mes joues qui rosissent. Mon cœur bat la chamade. Ces hommes sont tous des armoires à glace. Il y a tout les âges, même si les quadragénaires sont plus nombreux.
Oserait arborer le petit costume que je me suis payé ?
Dans l’immédiat, je servirais comme je suis. Polo noir à col roulé en nylon. Il me moule et dessine mes seins comme s’ils étaient nus. Petit kilt écossais et grandes chaussettes noires et pour finir, des escarpins hauts talons.
Je me suis fait deux belles couettes, retenues par des rubans rouges, qui me donnent un air de petite fille, bien sage. Ben quoi ?
« Muriel ! Muriel ! Muriel… »
Les gars frappent sur la table en scandant mon nom. Il est temps que j’entre en scène.
J’ai préparé toutes sortes d’apéros sur une petite table roulante. J’aurais pu mettre les bouteilles sur la table et les laisser se débrouiller, mais je trouve plus sympa de les servir moi-même. Alors…
…Alors, je pousse la porte avec ma table à roulettes.
Je rentre dans le réfectoire sous les applaudissements et les sifflets.
Putain ! Ils arrivent à me faire rougir.
Je commence mon service et chacun ne manque pas de me dire un petit mot.
« Salut toi ! Moi c’est Jonathan. Ravi de te connaître. »
« Humm ! Je voudrais bien être une bouteille de pastis, moi ! Juste pour être entre tes mains.»
« Dis-moi Muriel, ton kilt, tu n’aurais pas la version courte ? Non ! Je rigole ! Plus courte ce serait une ceinture ! Haha ! »
« Juste un doigt Muriel. Heuu ! Je parle de mon verre bien sûr ! »
Le repas se passe bien. Ils sont sympas et à force de les servir, j’ai l’impression de les connaître depuis longtemps. Je me détends et ris de bon cœur à leurs plaisanteries, plus ou moins grivoises.
Arrive le dessert.
Je pose quelques bouteilles de champagnes sur la table et je leur laisse le soin de les ouvrir, le temps que j’aille chercher les bûches glacées.
Mais pour moi, il est temps de me changer et de passer le petit costume de mère noël que je me suis achetée.
Il est constitué d’un tout petit bustier rouge, avec de la fourrure blanche, laissant ma poitrine bien dégagée. Il y a aussi une jupe très courte, rouge et fourrure également, avec une étoile dorée sur chaque cuisse. Je me suis aussi procuré une paire de bottines rouges et le sempiternel bonnet de père noël.
Ha ! J’oubliais ! Pour l’occasion, j’ai mis un string. Rouge, bien sûr.
Mon entrée dans la salle leur clou le bec deux trois secondes. Ils ne s’attendaient sûrement pas à ça.
Et soudain, c’est le délire total.
Applaudissement, sifflets, cris, serviettes qui volent. Je me demande si je vais arriver à servir la glace.
Soudain, un des hommes s’écrie :
« Un bisou ! Un bisou ! »
Bien sûr ils reprennent tous en chœur.
« Chuttttt ! Je vous promets de vous faire un bisou, lorsque je vous servirais. »
« Ouaiiiiiiiii ! »
Ils sont chauds bouillant mais surtout un peu ivre, et dès le premier, je comprends que mon tour de table va être le début d’une longue fin de journée, voir de début de soirée.
Tandis que je dépose avec application sa part dans son assiette, il colle sa main sur mes fesses et me pelote sans aucune hésitation.
« Coquin ! Qu’est-ce que tu fais ? »
« Ben ! Je touche le cul de la mère noël ! Haha ! »
« Tu pourrais demander quand même ! »
« Ben non ! Tu m’aurais envoyé sur les roses. Des fois, valent mieux prendre sans demander. Tu n’es pas d’accord ? »
Tout le monde rigole.
Brut de décoffrage. Mon beau-père avait raison. À moi de jouer le jeu et de leur donner un peu de bonheur. Ça ne coûte rien.
« Tu n’as qu’à essayer de demander ! Tu verras bien ! »
À l’autre bout de la table, un type se lève.
« Je peux te sucer les seins, s’il te plaît, Muriel ! »
C’est de la pure provocation et ça fait bien rire tout le monde, une fois de plus.
Je hausse les épaules en souriant, et continue ma distribution.
Je prends encore deux mains aux fesses et nombre d’épaules se frottent à mes seins, lorsque je me penche pour servir.
Tout cela n’est pas bien grave.
Ils m’invitent à m’installer en bout de table, pour manger de la bûche et boire du champagne avec eux.
Finalement, ils sont plutôt mignons, ces grosses brutes.
Nous discutons de tout et de rien, mais insidieusement, la conversation dérive vers ce qui intéresse le plus les hommes. Le cul.
La grivoiserie, les chansons paillardes et les histoires salaces sont à l’honneur.
L’ambiance et la chaleur montent.
Un type se lève et allume un vieux poste à cassette. Il crache une musique antillaise.
Un beau métis, que j’avais déjà reluqué, se lève et me rejoint.
Il est grand, d’une belle couleur caramel, et de magnifiques dreadlocks.
Sa chemise est ouverte découvrant des abdos parfaitement dessinés.
« Tu danses le zouk ? »
Hum ! Lui, je le vois venir, avec son grand sourire, éclairé par une dentition d’une blancheur incroyable. Comme tous les Antillais, c’est un charmeur, professionnel.
J’ai la faculté de danser un peu tout et n’importe quoi, sans trop de problèmes. Mais le zouk reste une découverte.
« Viens, je vais t’apprendre. »
Il me montre et m’explique les pas de base. Voyant que je comprends vite, il me prend par la taille d’une main.
« Oui, c’est ça ! Déhanche-toi un peu plus. N’hésite pas à faire rouler ton petit cul. »
Tout à ma leçon de danse, je ne fais même plus attention à toutes les âneries qui se disent derrière notre dos.
« Très très bien Muriel ! Tu es prête ? Allez ! On y va ! Prends ma main et colle-toi à moi. Ça se danse collé serré. OK ? »
Je me plaque à lui et il me serre contre lui, d’une main dans mon dos.
Le contact de sa main sur ma peau, de mon ventre dénudé contre le sien, m’électrise.
Il danse un petit moment, très sérieusement. Mais très vite, je perçois une bosse dans son pantalon. Désormais, il se frotte à moi, le tout bien caché dans les mouvements de la danse.
Il aimerait sans doute le faire discrètement, mais c’est impossible.
C’est drôle, mais je le sens un peu gêné.
Je le rassure très vite en me cambrant outrageusement. Cette fois, c’est moi qui frotte ma petite chatte à sa queue qui gonfle encore.
Je m’excite à la vitesse de l’éclair. Je sens ma grotte s’inonder, mon ventre chauffer, mon cerveau se retourner. Je le veux.
Soudain, je n’écoute plus que mon instinct de petite salope. En trois secondes, sans réfléchir, j’arrache mon bustier et enlace mon partenaire. Je plonge ma langue dans sa bouche et je l’embrasse de façon grossière, vulgaire.
Caduque le zouk. Il s’est transformé en slow torride et sexy.
Ses mains robustes caressent mon dos. Puis, une de ses mains s’égare sur ma petite jupe rouge.
Les autres sont comme des fous. Ils matent mes seins écrasés contre son poitrail robuste, ses mains qui me caressent. Ils nous entourent et nous encouragent à aller plus loin.
« Antoine, fais-nous voir son cul ! »
« Vas-y ! Fou la, à poil ! »
« Baise-la, Antoine ! Baise-la ! »
Baiser ? Ha oui, j’adorerais.
Je glisse une main sur son pantalon. Je caresse l’énorme bosse dans son pantalon.
« Humm ! Elle doit être belle ! »
« Va voir ! Tu verras bien ! »
Je me laisse fondre le long de son corps, frottant mes seins sur son ventre, sa protubérance, ses cuisses. Au passage, j’en profite pour lécher et sucer ses tétons et embrasser son ventre.
Face à sa braguette et encouragée par l’assistance, je descends la fermeture éclair du jeans.
J’en extrais un membre bien gonflé, que je glisse immédiatement entre mes lèvres.
Elle est magnifique et très agréable à sucer. Je me régale.
Autour de nous, l’ambiance est jubilatoire.
Les moins pudiques sortent leurs membres et nous interpellent.
« Antoine ! Pense aux copains ! »
« Muriel ! Regarde, elle est belle aussi, celle-là ! Suce moi aussi ! »
« Vire ton string ! Montre-nous ton minou ! »
Certains, tentent leur chance et se penchent pour me caresser les seins, espérant que je ne les repousserais pas.
« Humm ! Ils sont beaux tes nibards ! »
« Ha oui ! Ils sont bien durs ! Pas trop gros ! Parfait ! »
Un autre, accroupi derrière moi, passe son bras sous mes fesses, pour atteindre ma chatte. Il me masse la fente au travers du tissu.
« Putain ! Son string est trempé ! Tu mouilles comme une salope, ma chérie ! »
Lorsqu’il essaye de glisser un doigt dessous, je me relève.
J’aime les faire languir.
J’embrasse de nouveau Antoine, tout en le masturbant doucement. Mon string m’est retiré et la fermeture éclair de ma jupe est ouverte. Je me colle à Antoine pour qu’elle ne tombe pas.
J’ondule doucement. Elle glisse progressivement, lentement. Puis, arrivée à mi-cuisses, alors que mes fesses sont dégagées, je la laisse tomber au sol.
Le membre du métis glisse entre mes cuisses.
J’ai un peu peur. Excités par l’alcool, les hommes se collent à moi autant qu’ils peuvent, à tel point que je suis séparée de Antoine. J’ai des mains partout sur le corps. Des doigts ont pénétré ma chatte et me fouillent sans douceur.
J’ai allumé le feu. À moi de l’éteindre ou au moins de le contrôler. Alors…Je me fâche.
« STOP ! POUSSEZ-VOUS ! »
Étonnés par mon haussement de ton, ils reculent tous d’un pas.
Je redescends de mon petit nuage. D’un coup, je me sens un peu conne d’être nue au milieu de ses hommes, avec pour seul accessoire ce ridicule bonnet de père noël.
Il faut que je trouve un truc. Et vite.
« Vous voulez jouer ? Qui veut jouer ? »
« Au papa et à la maman ! »
« Non ! Au docteur ! »
« Au gynécologue ! Hahaha ! »
J’ai déjà réussi à les calmer et les faire rire. C’est déjà ça. Mais je n’ai toujours aucune idée de ce que je vais faire.
Et soudain…Une lumière.
« Non ! Pas du tout ! Voilà ce que l’on va faire. Une espèce de chaise musicale. OK ? Vous allez me bander les yeux et vous mettre en cercle autour de moi. Au hasard, je prendrais l’un de vous et je lui ferais une petite gâterie. Puis, le suivant, fera ce qu’il veut de moi. Le troisième, une gâterie et ainsi de suite. Ça vous plaît ? »
On dirait bien, car déjà on m’apporte une écharpe. Avant que l’on me plonge dans le noir, je vois les hommes faire un cercle. Ils ont tous désormais, le sexe dehors. Deux ou trois sont même à poil. Ils se caressent tous pour se donner de la vigueur.
Je n’en verrais pas plus. Ce sont maintenant mes autres sens qui vont me régaler.
On me fait tourner puis je suis livrée à moi-même. J’avance tout droit, mains en avant et je touche un type.
Je m’agenouille et sous les acclamations, je suce l’homme. Il est très excité et il n’est pas long à jouir.
S’ils sont tous aussi rapides, mon petit jeu ne durera pas longtemps. C’est sûr.
Moi aussi, je suis très excitée et je déguste le jus chaud avec délectation.
« Regardez ça, les gars ! Elle aime ça, la petite pute ! »
« Ouais ! Elle aime boire au goulot ! »
Je le suce jusqu’à ce que son membre faiblisse et je me relève.
Je cherche à tâtons un nouveau candidat. Celui-ci est totalement nu.
« Alors moi, je choisis ? Je fais ce que je veux ? »
« Oui, c’est ça. Je suis toute à toi. »
« Alors tourne-toi et penche-toi en avant sur la table. »
Je me penche doucement jusqu’à toucher la table. Mes seins s’écrasent sur la nappe. J’y pose aussi ma joue droite et je tends les bras au-dessus de ma tête.
Le type m’écarte les jambes et je le sens me bouffer le cul et la chatte, à tour de rôle.
« Ouiii ! Vas-y ! Baise-la ! »
« Encule-la ! »
« N’attends pas ! Saute-la, cette gourmande ! »
« Magne-toi, putain ! Je tiens plus moi ! »
Il se relève et présente son gland à l’entrée de ma grotte. Inutile de forcer pour me pénétrer. Je suis une véritable fontaine.
Ses mains sur mes hanches, il me tronche sans fantaisie. Mais ce con finit tout de même par me faire jouir.
Lui, préfère cracher sa purée dans mon dos. Le long jet, puissant, m’éclabousse jusque sur une omoplate.
Il essuie sa queue sur ma pastille brune et je me redresse.
On me replace au centre du cercle et le jeu reprend. Je cherche et trouve une nouvelle queue bien dure, à sucer. Mais très vite les règles ne sont plus respectées. Des mains venues de, je ne sais ou, couvrent mon corps et me caressent. Les miennes sont prises et posées sur d’autres sexes.
Ma chatte est fouillée et branlée, tout comme mon cul, ou un doigt est introduit.
Je laisse faire, car je m’attendais à ce qu’ils ne tiennent pas longtemps. Je les comprends.
De toute façon, je suis excitée et j’en veux. Donc…Tout le monde est content.
Je suce une queue, deux queues, trois. Je saute de l’une à l’autre.
Je fantasme sur une éjaculation générale.
« Ho, oui ! Arrosez-moi ! Aspergez-moi de votre foutre ! Souillez-moi ! »
Ce ne sont pas celles que je lèche, qui lancent les premières salves.
Du jus chaud atteint mes seins, mon visage. D’autres types déchargent dans mon dos, ou encore mes cheveux.
Ma bouche se remplit, plusieurs fois, et je déguste ce nectar avec gourmandise.
Je n’en peux plus. Il me faut de la bite dure, et vite. Je veux me sentir pleine.
Je m’allonge à même le sol.
« Venez ! Baisez-moi ! Vite ! Vite ! »
Quoi de meilleur, que de sentir une barre de chair chaude, vous pénétrer ? Quoi de plus bon que de se faire pilonner longuement ?
Très vite je jouis. J’enchaîne les orgasmes, prise dans une tourmente de plaisirs.
Combien me prennent ? Je ne compte plus.
Lorsque les assauts cessent, je caresse mon corps maculé. J’étale la semence froide et poisseuse, jusqu’à ce que celle-ci commence à rouler sous mes doigts en une pâte grumeleuse.
Comme pour m’achever, je me caresse encore.
Dans le flou de mes yeux, mouillés par mes larmes de plaisir, j’entrevois les hommes partir, un par un.
Quelques minutes plus tard, je suis seule, allongée sur le sol, nue et sale.
Je laisse tout en plan et je rentre chez moi, juste couverte de mon manteau.
Dans le rétroviseur, je vois encore du foutre dans mes cheveux. C’est la première chose qu’aperçoit Damien.
« Et bien ! Et bien ! On dirait que ma petite femme s’est bien amusée ! Et qui va bien la nettoyer ? C’est son pioupiou d’amour ! »
J’enlève mon manteau et m’effondre sur le lit.
Damien, me lèche le corps, les seins. Puis, il progresse vers mon vagin remplit.
« Raconte-moi, pendant que je te vide ! »
Je lui dis juste que j’ai excité ces types pour qu’ils me sautent, omettant de dire, bien sûr, que j’étais le cadeau de fin d’année, offert par son père à ses ouvriers.
« Hummm ! J’espère que la mère noël me rendra visite, à moi aussi ! »
À suivre !
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