Histoire de sexe de Véronique : Ma collègue de bureau partie 3
Samedi 2 septembre
Cette fois, c’est complètement à poil que j’ouvre la porte à Nathalie. Elle s’exclame ;
– Mais Véronique, tu es toute nue !
– Ben quoi, tu m’as déjà vue comme ça, non ?
– Euh, oui, mais là, tu es presque dans la rue. Et s’il passait quelqu’un ?
– Justement, pour l’instant c’est désert, alors entre vite si tu ne veux pas que ça arrive.
Elle me suit et me donne un sac dans lequel il y a du vin et un gâteau. Elle tenait à ne pas venir les mains vides. Je lui montre la chambre d’amis en face de la nôtre et la laisse s’installer et se déshabiller tranquillement.
Quand elle nous rejoint, je vois qu’elle n’a pas fait de chichis pour ne rien porter sur elle que ses lunettes de soleil. Elle va faire la bise à Loïc qui est dans la piscine, ce qui l’oblige à se pencher, lui offrant une belle perspective sur ses seins qui ballottent doucement.
Après une première baignade durant laquelle elle a l’occasion de se relâcher complètement, nous ressortons et nous nous essuyons pour profiter du soleil sur des matelas posés au sol sur la terrasse ? Nous nous passons tous un peu d’huile de protection avant de nous abandonner aux rayons sur le dos.
Au bout d’un moment, comme elle se retourne pour exposer un peu le côté pile, je m’empresse de proposer de se passer mutuellement l’huile sur le dos pour plus de facilité. Elle accepte et comme je n’attends pas pour me mettre la première sur le ventre, c’est elle qui commence. Elle le fait très sobrement, des épaules aux chevilles, n’insistant que peu sur les fesses et n’aventurant pas ses doigts entre elles, bien que j’aie pris soin de bien écarter mes cuisses pour qu’elle puisse passer. À défaut d’y mettre les doigts, elle a certainement une vue dégagée sur ma fente et ma rosette.
Par contre, quand elle finit et que c’est à mon tour de m’occuper d’elle, je ne me gêne pas, me fixant tout de même la limite de ne pas l’attaquer sexuellement pour le moment, d’aller juste un peu plus que ce qu’elle m’a fait. Je me permets donc de déborder largement de son dos pour venir effleurer la naissance de ses seins. Puis mon action sur ses fesses se transforme en massage pendant lequel je vais assez loin entre ses deux globes sans pour autant toucher sa rosette que je découvre être qui est assez tentante. Enfin lorsque je remonte le long de ses jambes depuis les chevilles, je termine contre le creux sous ses fesses puis je redescends vers les mollets. Je remonte à nouveau et cette fois je prends un peu plus en paume ses fesses, les écartant vraiment et opérant un mouvement tournant vers l’intérieur de ses cuisses qui amène mes pouces pratiquement au contact de sa chatte. Je note que sa fente est bien brillante, et pas forcément à cause de l’huile. Elle tressaille un peu mais ne resserre pas ses cuisses et ne me fait aucune remarque.
C’est maintenant Loïc qui me demande de m’occuper de lui. Machinalement, Nathalie lève la tête en l’entendant parler et elle constate qu’il est toujours sur le dos et qu’il bande.
– Oh, qu’est-ce…
– Oups, pardon ! Mais de voir deux belles femmes se caresser, je n’ai pas pu résister. Mais je ne veux pas te gêner. D’ailleurs, je me mets moi aussi sur le ventre.
En effet il se retourne, mais dans le mouvement qu’il fait à dessein de notre côté, Nathalie à tout le temps de bien voir sa bite en pleine érection et qui se tient bien droite sous son ventre jusqu’à ce qu’il s’allonge dessus précautionneusement, la soustrayant à nos regards.
Je formule aussi quelques excuses pour lui auprès de ma collègue, arguant que c’est la nature, puis je vais m’occuper de lui. Là, sachant qu’elle ne pourra pas s’empêcher de regarder, je fais le maximum. À savoir qu’après avoir enduit l’ensemble de la face pile de Loïc, je termine par les fesses que je masse longuement. Puis ayant constaté en coin que Nathalie nous espionne discrètement, je fais toujours comme si je ne le savais pas et continue ma manœuvre. Je commence par descendre mes doigts dans la raie de Loïc et la parcours ostensiblement, ne laissant pas de doute sur le fait que je lui caresse l’anus.
Puis je descends entre ses cuisses et mon mouvement montre bien que je suis en train de lui malaxer les couilles. J’arrête enfin et je jette un regard rapide vers ma collègue qui fait mine de sommeiller car je la vois vite fermer les yeux. Faisant comme si j’étais rassurée, je commence à me caresser l’entrejambe. Je ne regarde pas de côté à nouveau, mais je me doute bien qu’elle est en train de me regarder en train de me branler. Je continue juste un petit moment sans aller jusqu’à me faire jouir. J’arrête très vite comme si j’avais juste un petit coup de chaud et je jette un regard furtif vers elle comme si j’avais eu peur de me faire surprendre. J’ai juste le temps de la voir fermer à nouveau ses yeux.
Lorsque nous avons assez cuit sur cette face, c’est Loïc qui déclenche la baignade suivante en annonçant qu’il va un peu se rafraîchir ? Je le suis en me levant, puis c’est Nathalie, qui a le temps de voir la queue de mon mari pas totalement débandée en train de battre pendant qu’il se dirige vers la piscine. Elle finit par, nous rejoindre dans l’eau où tout reste soft, juste une trempette délassante.
Puis c’est Loïc qui ressort le premier, ayant entretemps repris un volume de repos. Il va cette fois se mettre sur le dos dans un des transats après s’être essuyé et nous l’imitons, tous les trois en rang face au soleil. Chacun se tartine de protection solaire la face sans besoin d’aide. Étant bien placée entre eux deux, j’agrémente ma manœuvre en me caressant plus que nécessaire les seins, insistant sur les tétons que je fais rouler entre mes doigts. Vérifiant à la limite de mon champ de vision latérale que ma collègue s’en aperçoit, je termine par mon triangle sud où j’insiste, cuisses bien écartées. Je finis même par me caresser sans ambiguïté le clito.
Tournant la tête, je constate que Loïc s’est laissé un peu aller lui aussi. Il s’est bien enduit partout et se caresse doucement la tige à nouveau toute droite. Puis nous cessons, le but n’étant pas d’aller jusqu’à l’orgasme à ce moment-là, mais juste de s’exhiber un peu. Je suis certaine que Nathalie a tout vu.
Malgré tout ça, elle ne se manifeste à aucun moment pour nous le faire savoir. Ce n’est que quand le soleil se cache derrière la maison et que nous décidons de rentrer prendre une douche avant l’apéro et le dîner qu’elle se lance à m’en parler un peu. Elle m’a laissée la suivre à la salle de bains. Nous sommes donc entre nous mais elle attend que je sois en train de régler la température de l’eau pour se lancer :
– Euh, tu sais Véronique, je vous ai vues faire tout à l’heure…
– Ah oui, quoi et quand ?
– Ben, te caresser quand tu étais sur Loïc après l’avoir caressé en lui passant l’huile.
– Ah, et alors ?
– Eh bien, ça m’a un peu gêné que tu fasses ça en public.
– Oh, en public… Tu exagères, il n’y avait que nous trois !
– Oui, d’accord, mais quand même. Et après, quand on était sur les transats. Je vous ai bien vu vous faire plaisir, toi entre tes jambes et lui sur son sexe en érection.
– Bon, allez, tu sais tout de même à quoi ça ressemble une bite, non ? Et puis, c’est naturel qu’il bande quand il a sous le nez deux belles femmes en train de se caresser partout. Note, c’est un peu normal qu’il y mette de la protection solaire, ce serait dommage qu’il prenne un coup de soleil là et qu’il pèle, non ?
Cette dernière remarque humoristique la déride un peu et elle finit par en rire avec moi, elle me rejoint sans chichis sous le jet. Je ne fais rien pour aller plus loin, mais je la savonne bien partout et elle m’en fait autant, toutefois en insistant moins de son côté sur mes parties intimes. Puis nous sortons de la cabine et nous nous essuyons chacune de notre côté. Loïc a fait en sorte de nous laisser seules pour ne rien brusquer et va se doucher quand nous revenons toutes fraîches au salon. Pendant qu’il se refait beau, je prépare l’apéro.
Nous avons fait tout naturellement de rester nus et elle nous a imités sans questions, s’y étant bien habituée. Nous relâchons totalement toute pression érotique jusqu’à la fin du barbecue, en veillant évidemment à bien faire boire Nathalie, sans aller jusqu’à la mettre hors d’état. Juste ce qu’il faut pour la désinhiber et attaquer la suite.
La suite, c’est un film dans le salon sur notre home cinéma qui fascine Nathalie avec la taille de l’écran et le son fabuleux qu’il délivre. En fouillant dans nos DVD, nous avons trouvé la série Emmanuelle avec Sylvia Kristel, film érotique et qui se présentait un film idéal pour ne pas effaroucher notre invitée.
Bien installés dans le canapé moelleux, Loïc au milieu, nous entamons la projection avec devant nous encore quelques digestifs et des boissons fraîches histoire de rester dans l’ambiance. Effectivement, ce film nous l’avons visionné de nombreuses fois en nous procurant toujours la même excitation. Vers la fin du film, c’est Loïc qui commence les grandes manœuvres. Il se laisse aller à bander doucement, puis sa tige se dresse franchement. Prise par le film, Nathalie ne porte même pas cas à ce mouvement pas assez important dans le bas de son champ de vision.
Je descends ma main sur la bite de Loïc et l’empoigne doucement, rien de plus au début. Toujours aucune réaction. C’est quand je me mets à le branler un peu qu’elle finit par s’apercevoir du mouvement. Mais comme elle ne dit toujours rien pour le moment, je continue. Maintenant elle n’a plus de doute sur le fait que je le masturbe sous son nez.
J’y vais tranquillement, juste en rythme de croisière, tandis que le film prend fin. Apparemment dans l’indifférence totale, surtout pour Nathalie qui a depuis un moment un autre centre d’intérêt. Loïc se lève pour rallumer un lampadaire dont l’abat-jour prodigue une lumière diffuse pendant que j’arrête la projection avec les télécommandes. Puis il revient s’asseoir, précédé par son gland décalotté qui attire irrésistiblement le regard de Nathalie. Il ne fait rien pour le cacher et je referme à nouveau mes doigts autour pour continuer ma petite branlette. Elle finit enfin par réagir.
– Euh, ne vous gênez pas, surtout, faites comme si je n’étais pas là…
– Merci, j’avais peur que ça te gêne !
– Euh… C’était sarcastique, juste pour faire remarquer que ce que tu fais n’est pas normal.
– Comment pas normal ? Nous regardons un film érotique , mon mari bande, je m’en occupe. C’est normal, non ?
– Euh, oui… Mais si vous êtes tous les deux, pas en présence d’autres personnes !
– Oh, dis, tu nous as déjà vus faire tout à l’heure, et on s’est douchées ensemble…
– Oui, mais…
– Mais quoi ? Ça te fait des choses ? Dis-moi que mon massage t’a pas fait mouiller !
– Oh, tu exagères…
– Dis moi aussi : ça fait combien de temps que tu n’as pas fait des choses depuis que tu as quitté ton dernier copain, même une simple branlette ?
– Euh, oui, bon…
– Et dis-moi que ça ne t’excite pas de nous voir faire !
– Bon, c’est vrai que c’est un peu excitant, mais…
– Alors pas de mais, profite, masturbe toi aussi. Mieux, comme je ne suis pas jalouse et que j’’aime bien partager avec les amis, tu peux faire ce que tu veux avec Loïc !
– Quoi ?
Je ne lui réponds pas et lui prends d’autorité la main pour la poser sur la tige de Loïc qui n’attendait que ça. Je referme ses doigts dessus et lui imprime le mouvement au début. Quand je sens qu’elle continue de son plein gré, je la laisse faire seule. Je me lève et vais derrière le canapé m’occuper de ses seins que je malaxe, surtout ses tétons qui pointent pour me confirmer son accord total tandis que Loïc envoie un doigt en direction de son clito. Quand elle est bien lancée, Loïc la fait mettre à genoux devant lui et elle ne marque aucune retenue quand elle se trouve en face de ce gland qui la nargue. Elle le lèche avec appétit puis le gobe pour le faire coulisser entre ses lèvres.
N’étant plus utile derrière le canapé, je fais le tour et vais me mettre derrière elle pour lui entreprendre d’abord les seins que je masse longuement sans qu’elle s’en plaigne. Ainsi je passe à son centre de gravité que je trouve en pleine ébullition et humide à souhait. Là elle désembouche Loïc et proteste un peu pour la forme, mais finalement elle me laisse lui doigter le clito et la fente pendant qu’elle reprend la fellation.
Elle est à fond dedans quand Loïc la fait se relever et la guide au-dessus de lui pour qu’elle s’empale sur sa bite. Elle s’y cloue jusqu’à la garde puis entame une belle chevauchée. Pour ma part, je lui caresse maintenant l’anus et quand je sens qu’elle se décontracte de ce côté j’y aventure la première phalange de mon majeur qui est absorbée sans délai. Comme je l’ai bien lubrifiée auparavant avec ma mouille, je vais plus loin et elle l’accepte jusqu’au bout. Je lui branle le cul pendant qu’elle se démène sur Loïc et elle finit par gueuler sa jouissance bien fort.
Histoire de la laisser récupérer, je l’aide à se déplanter du pieu de Loïc et la fais asseoir à ses côtés. Il n’y reste pas longtemps car il se lève et me fait mettre en levrette devant ma collègue. Pendant qu’il me pistonne, je vais un peu plus loin avec elle en lui caressant bien le clito et la fente. Encore étourdie par son orgasme, elle n’a plus de réticence. J’y mets donc la langue et elle se laisse faire.
Après un petit moment dans cette combinaison, nous changeons encore de position. Je prends la place de Nathalie sur le canapé pendant qu’il la fait mettre à genoux devant moi et qu’il la prend sans attendre en levrette. Elle repart illico alors qu’il la bourre dans toute sa longueur. Dans cette position, les seins de Nathalie se balancent largement d’avant en arrière sous les coups de reins de Loïc qui vient claquer ses cuisses contre ses fesses.
Quand je juge qu’elle est assez partie pour la suite, je prends sa tête pour l’attirer vers ma fourche grande ouverte. Je sens dans mes mains qu’elle hésite un peu, mais j’insiste et elle plaque ses lèvres sur mon abricot. Au début elle n’en fait pas trop, puis elle se met à me lécher de plus en plus franchement. Je ressens les secousses que lui impose Loïc dans son dos directement par l’intermédiaire de sa langue sur mon clito.
Elle jouit à nouveau et Loïc la fait se retourner et la mettre à genoux pour lui présenter sa bite à sucer. Elle ne fait pas de manières et gobe le gland tout en attrapant sa tige pour le branler en même temps. Il ne résiste pas et lui lâche tout dans sa bouche. Je constate avec plaisir qu’elle aime vraiment ça car elle fait en sorte de bien garder ses lèvres serrées autour de sa queue pour ne rien perdre. Elle avale entièrement la copieuse livraison.
Après ces grandes manœuvres, nous nous octroyons un moment de repos, tous les trois emmêlés sur le canapé. Pendant que Loïc lui caresse un téton, elle me demande :
– Dis, je suppose que ce n’est pas la première fois que vous faites ça avec une invitée ?
– Non, comme tu t’en doutes.
– Et vu que tu as aussi fait mettre Mireille nue au bureau et qu’elle est venue ici…
– Bingo ! Eh oui, elle s’est aussi défoulée avec nous.
– Eh bien, vous y allez fort.
– En fait, la première fois où j’ai fait ça avec une collègue de travail, c’était en 1990 au bureau où je travaillais dans les Vosges.
– Ouais, donc une longue expérience, je vois…
– En fait je parle de collègues de travail. Sinon, déjà deux ans avant avec ma cousine.
– Ta cousine, carrément !
– Eh oui. Et toi ?
– Ben moi, c’était une première. Aussi bien de faire l’amour avec une autre femme que de le faire à trois. Je ne le regrette pas, c’était si bon, d’autant plus que ça faisait longtemps…
Pendant ce temps, Loïc a continué à la chauffer et sa bite a elle aussi retrouvé de la vigueur. Je lui demande de me laisser de la place et j’annonce à Nathalie :
– Bon puisque cela t’a plu, approfondissons un peu la question !
Je la fais allonger sur le canapé et viens me mettre tête bêche au-dessus d’elle en commençant sans attendre à lui lécher le clito tout en lui présentant le mien juste contre sa bouche ? Cette fois elle y va franchement et me rend la pareille. Loïc est dans mon champ, et je lui fais comprendre que j’ai besoin de certains accessoires. Il s’éclipse et revient avec des vibros de divers calibres et mon strapon. Je lui fais un clin d’œil et en prends un moyen que je mets en route pour le promener sur la fente de Nathalie. Celle-ci grogne un peu pour manifester son approbation pendant que je sens Loïc venir pointer son gland dans ma raie où il commence à balader de haut en bas jusqu’à s’intercaler entre les lèvres de notre partenaire et mon abricot bien lubrifié. Je sens qu’elle lui tète un peu le gland au passage, puis enfin il s’introduit dans mon vagin et s’active.
De mon côté, j’ai aussi investi celui de Nathalie avec le gode que j’ai mis en route sur des vibrations lentes et j’imprime un mouvement synchronisé avec celui de mon mari. Nous restons tous en phase un moment, puis il décide de changer de trou. Comme je n’attends que ça, le gland passe la porte sans heurt et le reste suit en douceur. Ma collègue est aux premières loges pour voir ça. Je prends mon pied tranquillement et Nathalie aussi jouit à nouveau sous les ronronnements de l’engin qui lui parcourt l’intérieur.
Nous ne la laissons pas refroidir ? Je la fais mettre à quatre pattes sur le canapé pendant que Loïc se fait une petite toilette avec des lingettes qu’il avait ramenées en même temps que les jouets. De nouveau bien propre et toujours en grande érection, il lui présente son gland qu’elle connaît maintenant bien et qu’elle gobe illico. Pendant ce temps je reprends mes manœuvres avec un petit vibro que je promène dans la fente de Nathalie pour bien le lubrifier puis je m’attarde un peu plus sur sa rosette. N’entendant pas de protestations, je pousse un peu et j’ai la bonne surprise de voir qu’elle prend ça comme tout à l’heure elle a accepté mon doigt. Je décide donc d’aller directement plus loin. Je fais signe à Loïc , mais il a bien vu ce que je faisais et comprend que le moment est venu de prendre ma place.
Il quitte la bouche de Nathalie et vient se mettre derrière elle pour la prendre en levrette dans un premier temps. Juste quelque aller-retour pour bien graisser son engin et il le présente devant l’autre trou. Il force à peine et le gland passe le seuil. Il attend un peu pour aller plus loin mais c’est elle qui pousse en arrière pour s’empaler sur sa tige jusqu’à la garde. Elle a l’air d’avoir l’habitude. Il le lui fait remarquer :
– J’ai cru comprendre que tu aimes ça…
– Oh oui, encule-moi ! Oui, fort !
– OK, puisque tu le demandes !
Il se cramponne à ses hanches et la pistonne amplement. De mon côté je passe mon strapon pour lui présenter ma bite factice à sucer. Elle le fait sans plus s’étonner de rien et ne me lâche que pour bramer sa jouissance. Loïc n’attend guère plus et lui lâche tout au fond du boyau.
Après une telle séance, tout le monde est plus ou moins essoré, il est donc temps d’aller dormir. Pour qu’elle récupère tranquillement, nous l’installons dans la chambre d’amis et la laissons après l’avoir bordée. Nous en faisons de même, satisfaits de notre journée.
À suivre…
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