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Histoire de sexe de Véronique : Ma collègue de bureau partie 5

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Histoire de sexe de Véronique : Ma collègue de bureau partie 5

Samedi 9 septembre

Quand la sonnette de l’entrée me signale que Nathalie et Romain sont arrivés, je sors de l’eau et m’enroule dans un paréo pas trop transparent pour commencer soft, mais en faisant un peu exprès de ne pas trop m’essuyer. J’ouvre la porte et les fais entrer :

– Ah, enfin je fais ta connaissance, Romain. Ta tante m’a tellement dit du bien de toi.

Je m’approche de ce grand blondinet que je viens de découvrir et lui fais la bise. Il est un peu étonné par ma tenue car si le paréo est relativement opaque, il n’est pas très épais. De plus il dévoile bien que je n’ai pas grand-chose dessous. Je l’ai noué guère au-dessus de mes tétons que l’on voit certainement pointer à travers l’étoffe humide. Pendant qu’ils me suivent à travers la maison, je sens que le tissu me colle bien aux fesses et doit leur révéler le relief de la ficelle du string que je porte dessous.

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Nous débouchons sur la terrasse où Loïc est déjà en train de préparer les braises pour le barbecue. Tel qu’il est positionné, il est de face à rapport à nous, derrière l’appareil, et il porte un tablier pour se protéger des projections d’éventuelles brindilles enflammées. Donc nous ne voyons pas ce qu’il porte dessous. Il nous fait signe et nous annonce :

– Il y en a pour un bon moment encore avant que les braises soient au top. Vous pouvez vous mettre à l’aise et vous baigner en attendant. Ensuite on prendra un apéro.

Je les ramène à l’intérieur et les installe, Romain dans la chambre à côté de la nôtre et Nathalie en face comme la semaine dernière. Je les laisse se mettre à l’aise et retourne à l’extérieur où je tombe le paréo avant de me poser sur un transat qui fait face au soleil et en même temps à la baie vitrée du salon.

Romain revint assez vite dans un short de bain assez ample. Effectivement, il correspond à un étudiant, svelte et musclé.

Il découvre enfin mes seins qui lui sont exposés et le minuscule triangle avant de mon string. Je me lève et lui tourne le dos pour aller vers la piscine. Il peut donc profiter de la vision certainement agréable pour un garçon de son âge que représentent mes fesses séparées par une simple ficelle coincée au milieu. Je me glisse dans l’eau et lui propose de me rejoindre. Il marque le pas puis vint me rejoindre, pile ou sa tante fait son apparition.

Elle a tenu parole car elle a enfilé le string bandeau lié sur les côtés par des nœuds que je lui avais préparé sur son lit. Et pourtant, contrairement à ce que je lui avais annoncé, même si l’arrière n’est pas une ficelle, la bande de tissu n’est pas trop large et rentre bien entre ses fesses. Son neveu ne voit donc rien de spécial quand elle arrive face à nous. Mais quand elle se retrouve avec nous dans la piscine et qu’elle lui tourne enfin le dos qu’il s’aperçoit de sa tenue minimaliste, inédite pour lui. Je note qu’elle est un peu gênée dans ses mouvements à cause de cette situation nouvelle pour elle et son neveu encore plus. Il n’arrive pas à empêcher ses yeux de revenir sur la poitrine et les fesses de sa tante qu’il n’avait jusqu’à présent pu qu’imaginer et qu’il a là, juste sous son nez. Ça ne lui fait certainement pas le même genre de sensation car son short dont le tissu mouillé lui colle à la peau, ou une bosse s’est formé. J’attends que ma collègue se soit acclimatée et détendue pour lui souffler discrètement à l’oreille :

– Je crois que tes fesses font de l’effet à ton neveu…

– Arrête, Véronique, tu vas me faire regretter de t’avoir suivie.

– Mais non, je suis même sûre que ça t’excite de savoir qu’il te mate.

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Pour détendre un peu l’atmosphère, je les éclabousse et lance quelques plaisanteries. Ça marche car je sens que les deux se décontractent peu à peu.

Pendant ce temps, le barbecue est bien avancé et Loïc me demande de m’occuper de l’apéro pendant que lui, va mettre en route les grillades et finir d’installer les assiettes, les couverts et ustensiles posés en attente sur la table de jardin. Je sors de la piscine et je cherche le nécessaire : boissons, olives, salés et autres amuse-gueules. Donc forcément je montre bien en contre-plongée mon postérieur pratiquement nu à nos invités.

En revenant, je constate qu’ils ont forcément aussi vu la tenue exacte de Loïc puisqu’il a fait le déplacement vers la table et leur tourne maintenant le dos. Ainsi ils savent qu’il est lui aussi en string ficelle, le tablier ne masquant que le devant. Je propose à nos deux spectateurs de sortir pour pouvoir passer à la suite.

Nathalie profite d’une occasion de ne pas être entendue par son neveu pour me souffler :

– J’aurais dû me douter que tu ne mettrais pas le plus large de tes strings.

– Tu vois, tu me connais bien. Et je crois que ton neveu apprécie celui-là.

– Forcément, à son âge. Et ton mari ?

– Ah, là je t’arrête. Nous n’avons pas parlé de sa tenue.

– OK, c’est vrai.

– Allez, laisse-toi aller. Déjà tu as réussi à te mettre en string devant ton neveu.

– Ouais, je me demande comment j’ai fait…

– Pff, je pense qu’en réalité ça te plaît bien. Et à lui aussi…

Elle ne réplique pas et nous nous installons dans les transats. Romain a droit à un pastis bien frais, comme Loïc tandis que Nathalie et moi attaquons directement au rosé glacé. Après deux tournées, Loïc reprend sa place au service pour nous apporter les saucisses pendant qu’il laisse les côtes d’agneau grésiller encore un moment sur le gril. Il a enlevé son tablier et Nathalie paraît rassurée de voir que le triangle du string qu’il porte n’est pas trop mini car il cache presque entièrement son pubis épilé. Presque, car on aperçoit tout de même le haut de sa petite bande de poils au-dessus de l’élastique.

À table, Nathalie et moi faisons face respectivement à Loïc et Romain. Je note que ce dernier est bien intéressé par ma poitrine juste devant ses yeux, mais qu’il porte son regard plus souvent encore vers celle de sa, tante qui est plus lourde et ballotte plus que la mienne. À une occasion où je vais chercher quelque chose en cuisine, je jette un coup d’œil rapide qui me permet de vérifier que c’est le cas car son short fait une belle bosse devant. Au passage, je fais en sorte qu’il s’aperçoive que je l’ai vu et il a l’air gêné.

Puis nous sommes de nouveau tous les quatre dans la piscine. Il a réussi à faire en sorte de ne pas montrer à sa tante l’ampleur de son trouble et la fraîcheur relative de l’eau lui permet de dégonfler, tout au moins suffisamment pour que ce soit plus visible dans l’ampleur du caleçon. En étant la première à sortir pour aller se poser sur un transat , Nathalie me donne l’ouverture pour aller un peu plus loin. Je demande discrètement à Loïc de sortir lui aussi et je m’occupe immédiatement de Romain avant qu’il ne se sauve.

– Dis-moi, tout à l’heure, c’est ta tante qui te faisait bander ou bien moi ?

– Euh…

– Ou les deux peut-être ? Allez, tu peux m’en parler, c’est tout à fait naturel.

– Ben oui, c’est la première fois que je vois deux femmes presque entièrement nues. Et en plus d’aussi près. Et une des deux c’est ma tante. Je ne l’avais jamais vue en string.

– Eh bien profites-en, c’est toujours ça de pris. Dis donc, rien que d’en parler ça te fait de l’effet !

– Euh, pardon, je ne peux pas me contrôler.

– T’excuse pas, je t’ai dit que je trouvais ça naturel. Fais voir…

J’envoie une main sur son paquet-cadeau qui est bien garni. Il panique un peu quand mes doigts se referment sur son manche à travers le short. Je lui suggère un deal :

– Mmm, pas mal ! Tiens, je vais te proposer un moyen de te contrôler. OK ?

– Euh, oui, ça m’arrangerait bien. Mais tu peux me lâcher s’il te plaît ?

– Oh oui, pardon, voilà ! Mais pour te montrer mon idée, nous serons mieux à l’intérieur.

– D’accord, et nous faisons quoi ?

– Ne sois pas impatient, suis moi et tu me laisses faire.

Je sors de la piscine et il me suit, en faisant attention à ne pas se montrer de face à sa tante et il prend une serviette qui était au bord pour faire mine de s’essuyer afin de masquer l’ampleur de son émoi. Nathalie nous voit partir vers l’intérieur et demande :

– Dites, vous rentrez déjà ?

– Non, c’est juste que j’ai parlé à ton neveu d’un truc qui devrait l’intéresser. Je lui montre et nous revenons dans un moment.

– Quel truc ?

– Tu verras, nous reviendrons probablement avec.

Elle n’insiste pas et se recouche sur son transat. Tout va pour le mieux. J’emmène Romain dans notre chambre et je ferme la porte. Je farfouille dans un tiroir et sors un string de bain de Loïc qui est plutôt bandeau, donc assez large, que je lui tends :
– Tiens, enfile ça, tu seras à égalité avec nous !

– Euh… Je crois que ça ne va pas se faire, surtout dans mon état…

– Ah oui, commençons par ça. Je t’avais promis une méthode infaillible.

– Oui, c’est quoi au fait ?

– Commence par enlever ton maillot.

– Euh, me mettre nu devant toi ?

– Oui, nu, comme je le suis presque moi-même. Et en érection, je sais, c’est pour cela que nous sommes là. Tiens si ça peut t’aider et te prouver que ça ne me gêne pas, j’enlève moi aussi mon string. Vas-y, j’ai déjà vu des sexes masculins en pleine action, tu sais…

Il hésite un moment, restant ébahi devant l’épilation radicale qu’il découvre alors que je lui fais face dans ma nudité totale. Mais finalement l’idée de pouvoir m’exhiber en toute impunité sa bite en érection devant une nana mure pour la première fois l’emporte et il enlève son short. Il me dévoile une bite de bonne taille et déjà bien raide surmontant des couilles qui ne pendent pas, le tout enveloppé par un duvet aussi blond que ces cheveux. Je suis agréablement surprise par l’ensemble et je lui fais savoir :

– Ben dis donc, en voilà une belle queue. Aussi longue et presque aussi large que celle de mon mari. En tout cas, bien supérieure à la moyenne. Par contre tes grelots n’ont rien à voir avec les grosses cloches de Loïc. Mais c’est mignon. Bon, suis-moi.

– Comme ça ?

– Oui, comme ça. Ta tante ne peut pas te voir depuis la terrasse.

Il me suit jusqu’à la salle de bains heureusement assez proche et là je lui dis :

– Bon, maintenant, occupons-nous de ton problème ! Montre-moi comment tu te branles.

– Euh… Là devant toi ?

– Ben oui, tu ne vas pas me dire que tu ne t’es jamais fait plaisir devant une photo de nana en imaginant qu’elle était en vrai, hein ?

– Euh oui, j’avoue que ça m’aide bien.

– Eh bien, là, c’est en vrai. Donc au travail ! Et si ça peut t’aider un peu, regarde-moi bien.

Je commence par m’asseoir sur le bord de la baignoire en me basculant en arrière, jambes écartées pour qu’il ait une bonne vue sur ma fente. Il ne résiste pas et fort de ma permission, il commence à se secouer doucement la queue. Voyant qu’il essaie tout de même de faire durer le plaisir en n’accélérant pas trop son mouvement, au bout d’un moment je me retourne et me penche complètement sur la baignoire pour lui présenter mon côté pile. J’en rajoute un peu en passant deux doigts de mon clito à ma rondelle brune. J’entends que dans mon dos il s’agite de plus en plus nerveusement. Je préviens :

– Attention, n’en mets pas partout ! Vise la baignoire quand ça vient.

Sitôt dit sitôt fait ; il éjacule intempestivement à côté de moi une belle quantité de sperme. Je tourne la tête pour voir les dernières giclées tomber sur la faïence. J’enchaîne sans le laisser souffler. Je me redresse et attrape sa bite, le prenant un peu au dépourvu :

– Bravo, c’est un bon début, mais ce ne sera pas suffisant. Passons à la suite du traitement…

Je commence par passer ma main en mouvement vrillé sur son gland et jusqu’en bas de sa hampe pour bien lubrifier le tout en me servant des coulures de son liquide séminal. De l’autre main j’empoigne ses couilles, ce qui me confirme l’impression de fermeté qu’elles présentaient au regard. Puis je me mets à genoux pour continuer à le masturber en serrant bien mes doigts pour le pousser dans ses derniers retranchements. Il essaie de résister, mais je sens les premiers soubresauts de sa queue et ses halètements qui annoncent son arrivée imminente. J’accélère le mouvement et il explose une nouvelle fois en grognant de jouissance. Cette fois, comme il est en face de moi, forcément je reçois toutes les giclées sur ma poitrine. Je continue à l’essorer jusqu’à ce qu’il ne sorte plus rien du méat et que je sente sa queue dégonfler dans ma main. Je le lâche enfin :

– Voilà, ça devrait aller mieux maintenant. Tu as aimé, j’espère ?

– Ah oui, je ne m’attendais pas du tout à ça. Mais c’était excellent.

– Et tu vois ça ne remonte pas tout de suite comme au premier coup. Maintenant il ne te reste qu’à faire un tout petit nettoyage, à l’eau froide évidemment, et tu es paré !

Il s’exécute et savonne ses outils avant de les rincer à l’eau fraîche et de les essuyer ? Nous retournons maintenant dans la chambre sans qu’il n’y ait d’alerte bandaison de sa part et il peut maintenant enfiler sans problème le string.

Parés de son string nous retrouvons Loïc et Nathalie sur la terrasse où sa nouvelle tenue est immédiatement remarquée. Avant que Nathalie ne réagisse, je prends les devants :

– Et voilà la surprise ! Maintenant nous sommes tous à égalité.

Ma collègue ne sait plus quoi dire, d’autant que son neveu a l’air de ne pas se sentir gêné le moins du monde ? Du coup elle garde pour elle les réserves qu’elle allait émettre. Je me pose dans le transat à côté du sien.

Profitant peu après que les deux hommes sont dans la piscine, elle me rebranche :

– Dis donc, vous en avez mis du temps pour juste passer un string.

– Ben justement, tu imagines que ça posait un problème, non ?

– Euh, je vois de quoi tu parles…

– Il a fallu que je calme son érection intempestive pour qu’il puisse tenir dedans.

– Et comment tu as fait ? Tu l’as sucé peut-être ?

– Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

– C’est Loïc qui me l’a suggéré quand je lui ai dit que c’était un peu long.

– Et que vous étiez en train de faire quoi, de votre côté ?
– …

– Oh, ça va, je me doute bien qu’il a dû te proposer de profiter de l’absence de ton neveu.

– Oui bon, c’est vrai. Et c’est là qu’il m’a dit que tout dépendait du temps que tu mettrais à faire éjaculer Romain en le suçant.

– Et pour passer le temps vous avez fait quoi, exactement ?

– Il m’a pris en levrette et ensuite je l’ai sucé pour qu’il gicle sans laisser de traces.

– Eh bien bravo ! Par contre, de mon côté, ni baise ni sucette.

– Vous n’avez rien fait, finalement…

– Ben non, ou presque. Juste une bonne branlette. Et même deux pour bien le vider.

– Mouais, tu m’étonnes. Tu n’as vraiment pas de limites. Juste à côté avec mon neveu…

– Allez, ne fais pas ta mère la pudeur. Je parie que là tu nous imagines dans cette situation. Que ça te plaît de savoir qu’il bande en matant tes seins et tes fesses. La preuve, tu as les tétons qui commencent à pointer…

Nous arrêtons là cette discussion pour aller rejoindre les mâles dans l’eau. Dans l’intervalle, j’ai noté que Loïc avait profité quand il avait rattaché le string de Nathalie après l’avoir baisée pour refaire les nœuds différemment, de ceux qui sont faciles à détacher.

Nous nous prélassons dans l’eau pour nous rafraîchir et je me positionne à côté d’elle pour tirer doucement sur un des brins. Le nœud magique est tellement bien fait qu’il cède immédiatement et que les lanières se mettent à flotter librement sans que Nathalie ne le sente. Loïc a vu ma manœuvre et en fait de même presque simultanément de l’autre côté. Comme elle ne se rend compte toujours de rien, je la chante un peu pour s’asperger d’eau le visage et elle entre dans cette petite bataille. Dans le mouvement, le string qui n’est plus du tout attaché se libère enfin de son entrejambe. Loïc le récupère dans son dos et en fait une boule qu’il garde dans sa main et sort pour se diriger vers les transats. Pour que Romain qui l’a vu faire ne vende pas la mèche, il lui fait aussitôt un clin d’œil accompagné d’un pouce en l’air et c’est bon, il ne dira rien à sa tante.

Je sors à mon tour, suivie par Romain et nous nous essuyons pour nous installer au soleil afin de nous sécher. Pendant ce temps, je mets Romain discrètement au courant de ce que nous comptons faire après. Nathalie nous emboîte le pas et en montant l’échelle, elle jette un œil machinalement vers le bas pour voir ou elle pose son pied. Elle s’aperçoit enfin qu’elle ne porte plus rien sur elle et redescend dans le bassin. Elle commence à chercher en scrutant le fond, mais comme le fond est bleu turquoise et que le string est noir elle se rend très vite à l’évidence qu’il a disparu. Loïc ne la laisse pas douter longtemps et brandit le morceau de tissu :

– C’est ça que tu cherches ?

– Oh, c’est toi qui me l’as enlevé ?
– Non, il a dû se défaire tout seul. Je l’ai juste récupéré, il flottait.

– Tu aurais pu me le dire !

– Ah non, c’était beaucoup plus amusant comme ça.

– Bon, maintenant, rend le moi…

C’est à mon tour d’intervenir dans ce débat :

– Et si au contraire on en profitait pour tous se mettre dans la tenue de naturiste ? Qui est pour ?

Loïc lève immédiatement la main avec moi, suivi rapidement de Romain qui obéit sans scrupule à mon précédent briefing. Je suis donc la première à soulever un peu mes fesses pour enlever mon string, suivie par Loïc et notre jeune complice qui se dépêche de nous imiter avant de changer d’avis. Nathalie barbotte toujours dans l’eau et je la nargue :

– Allez, ne fais pas là, rabat-joie, maintenant nous sommes tous à poil. C’est bon tu peux sortir !

Elle se décide enfin et nous rejoint vite pour prendre sa serviette et s’en draper pour se sécher avant de s’asseoir comme ça sur le dernier transat libre, entre Loïc et Romain, moi mème étant à droite de ce dernier. Elle ne manque pas en route de noter que son petit-neveu a bien grandi, surtout à certains endroits. Puis enfin elle se fait une raison :

– Bon, vous avez gagné, laissons-nous aller !

Elle enlève sa serviette, s’abandonnant sans plus de résistance aux rayons du soleil. Tout se passe bien dans un premier temps, et ça semble la rassurer totalement. Toutefois, Romain jette de petits regards furtifs vers le ticket de métro de sa tante qu’il vient tout juste de découvrir et qui doit forcément l’intéresser au plus haut point.

Mais comme je trouve que ça traîne un peu trop en longueur, je me lance dans la suite. Je me lève pour me coucher à plat ventre sur un matelas de plage et je demande :

– Dis-moi, chéri, tu voudrais bien me passer de l’huile dans le dos ?

– Ça tombe mal, comme je commence à avoir soif, et je suppose que c’est pareil pour tout le monde, j’allais me lever pour ramener de quoi boire. Attends que je revienne.

Effectivement ; il se lève et passe à côté de moi. Il stoppe juste le temps de dire :

– Ou sinon, peut-être que Romain peut te rendre ce service ?

Je me tourne vers l’intéressé qui regarde vers sa tante comme pour demander une permission, mais comme elle ne se manifeste pas, il se lève et balbutie :

– Euh, volontiers…

Il vient s’agenouiller à côté de moi, dos à sa tante, prend de l’huile solaire dans ses mains pour me tartiner en premier les épaules et la nuque. Il descend ensuite le long de mon dos et s’arrête sagement au niveau de mes reins. Puis il se déplace latéralement pour se trouver au niveau de mes jambes. Je jette un coup d’œil pour vérifier qu’il est maintenant en grande érection, non visible par Nathalie dans cette position et je lui suggère :

– Tu serais certainement mieux placé pour mes jambes si tu te mettais carrément derrière, à cheval au-dessus de mes chevilles.

Je sens qu’il hésite à se mettre comme ça, ce qui le placerait de profil par rapport à sa tante. Mais finalement il doit trouver ça amusant de se montrer à elle dans cet état car il le fait et j’ai confirmation de mes suppositions car elle laisse échapper un petit ‘’Oh’’ de réprobation que je perçois, bien qu’elle l’ait presque murmuré. Je sens les mains remonter sur mes jambes puis mes cuisses que j’écarte ostensiblement de plus en plus, lui dévoilant progressivement ma fente que je sens déjà humide. Enfin il arrive à mes fesses et ne se prive pas de bien les malaxer, rassuré sur le fait que je ne vais pas me plaindre. Je sens même un doigt commencer à s’aventurer autour de mon entrée arrière. C’est à ce moment que Loïc revient. Il ne se prive pas pour exprimer ce que Nathalie n’osait pas dire :

– Ouah, Romain, tu m’as l’air en pleine forme !

– Euh, pardon, je…

– Mais non, c’est normal, moi aussi je banderais à ta place en tripotant ses fesses.

Et il finit sa trajectoire en posant le plateau supportant les verres et les bouteilles sur le sol devant les transats. Il fait comme si de rien n’était et propose à chacun de choisir sa boisson. Nathalie se dépêche de demander un grand jus d’orange pour ne pas trop montrer son trouble. Son neveu semble décider que sa séance est finie car il profite de la diversion pour retourner s’asseoir, disant qu’il prend la même chose. Je préfère une boisson gazeuse et Loïc en sert une autre pour lui avant de s’asseoir lui aussi dans un transat. Pour boire plus aisément je me redresse et me mets en tailleur face à eux. Un silence s’impose un petit moment, puis comme Romain est affalé sur son siège avec sa bite toujours tendue mais toujours pas décapuchonnée qui repose sur son ventre, sa tante lance enfin :

– Dis donc, tu pourrais au moins mettre quelque chose dessus pour ne pas nous gêner.

C’est moi qui réponds en premier, relayée par Loïc :

– Oh, ça va, nous ne sommes pas choqués. Après tout, c’est naturel de bander à cet âge.

– Oui, ne dramatise pas, Nathalie, sinon tu vas le culpabiliser. Ce n’est pas de sa faute.

– Écoute n’y pense plus et ça va te passer. Tu es chez nous, on te donne l’autorisation.

– Exactement ! Et si ça peut te rassurer, je vais te tenir compagnie.

Effectivement, Loïc se laisse un peu aller à penser à des choses certainement aussi excitantes que moi, car une érection se développe doucement mais sûrement sur son bas-ventre. L’érection rampe un peu avant de s’élever franchement. Lui par contre complète l’opération en décalottant son gland et ma collègue se retrouve entre deux belles bites dressées en se rendant compte qu’elle n’aura pas son mot à dire si tout le monde se ligue contre elle. Ainsi elle se résigne et essaie de ne pas y faire attention. C’est suffisant pour qu’au bout d’un temps pas trop long les deux colonnes grecques redeviennent des polochons bien mous posés sur leurs matelas. Elle à l’air de souffler après cette alerte.

À suivre…

 

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