Histoire de sexe de Véronique : Ma collègue de bureau partie 6
Tout reste calme même pendant l’apéro car je me retiens volontairement de faire des provocations. Il vaut mieux ne pas titiller Romain pour éviter qu’il rebande à nouveau et laisser Nathalie se rassurer. Tout au moins pas avant la fin du dîner. Ça ne l’empêche pas d’avoir un nouveau début d’érection lorsqu’il louche sur le cul de sa tante en la suivant quand nous rentrons nous mettre à table. Elle remarque sa bite presque à l’horizontale quand il contourne la table pour se mettre en face d’elle et le lui fait savoir :
– Décidément, tu pourrais te retenir un peu…
– Euh, je ne fais pas exprès, Marraine…
– Je l’espère bien.

Pendant cet échange dont Loïc et moi ne nous mêlons pas, ils sont restés debout et je note que cette fois, elle garde bien son regard sur l’objet du conflit jusqu’à ce qu’ils s’assoient. Pendant le repas, Nathalie se laisse aller à boire un peu, comme elle l’a déjà commencé pendant l’apéro. Je suppose que c’est pour essayer de ne pas trop penser à l’appareillage de son neveu. Comme elle vient m’aider à débarrasser, j’attends que nous soyons à la cuisine pour lui parler, histoire de la chauffer un peu :
– Tu as vu comme il est bien monté, Romain ?
– Euh… Si on parlait d’autre chose ?
– Allez avoue : tu aimerais bien y goûter, non ?
– Ça ne va pas, c’est mon neveu, tout de même.
– Et si ce n’était pas le cas ? C’est une belle bite tu dois reconnaître.
– Oui, c’est vrai, mais bon.
– Allez, dis le clairement : j’ai envie de cette grosse queue.
– J’ai envie…

– Vas-y !
– J’ai envie de cette grosse queue. Voilà tu es contente ?
– Bravo ! Tu ne peux pas le nier, tes tétons dressés te trahissent.
– Mais c’est mon neveu, donc ne rêvons pas.
– Moi je ne rêve pas, j’ai déjà touché.
– Oui, je sais, merci de me le rappeler…
Je la laisse redescendre un peu tandis que nous retournons au salon. Loïc est en train de mettre en route le home cinéma en nous annonçant qu’une exclusivité est diffusée, le dernier Kubrick, Eyes Wide Shut.
Nous nous installons tous les quatre dans le canapé en nous serrant un peu entre les accoudoirs. Loïc est à gauche, moi à droite, et au milieu nous avons Romain à côté de moi et Martine entre lui et Loïc. Évidemment, dès les premières scènes à forte tension érotiques les effets secondaires ne tardent pas à se faire ressentir. Il faut dire que Kidman nue, c’est déjà assez excitant. Mais les situations le sont encore plus.
Les deux mâles de l’assistance n’essaient même pas de se retenir et arborent rapidement un grand mat bien droit au-dessus du niveau de flottaison. Nathalie essaie de se concentrer sur le film pour éviter de trop regarder ces deux piliers turgescents qui l’entourent. Mais entre ça et l’érotisme torride du film, ses tétons la trahissent en pointant bien durs. Loïc n’hésite pas à se décalotter et à garder sa main sur ses couilles qu’il masse doucement. Du coup, Guillaume qui doit guetter tout ça du coin de l’œil en fait de même. Pour ma part, je me caresse tranquillement avec un doigt dans ma fente humide.
Au bout de deux heures trois quarts, le film prend fin et j’éteins les appareils dans un silence que personne ne rompt. Pour éviter de se manifester sur notre état, Nathalie se lève et annonce qu’elle va aux toilettes car elle se retient depuis un moment. Profitant de ce qu’elle n’est pas là pour un court moment nous attaquons Romain. Loïc se branle juste un peu pendant que j’attrape la queue de mon jeune voisin en lui disant :
– Bon, voilà : tu vas être le premier à aller dans ta chambre, ensuite tu sortiras par la porte-fenêtre derrière et tu attendras en silence devant celle de notre chambre.
– Euh…
– À moins que ça ne t’intéresse pas de t’amuser un peu avec nous.
– Non, non, c’est bon. Bien sûr que ça me dit.
– Bon, alors c’est OK. En attendant, fait un peu comme Loïc pour narguer ta tante. Mais pas de trop, garde tes munitions ! Et je te promets une bonne surprise…
Je libère sa queue qu’il s’empresse de prendre en main pour la caresser assez tranquillement pendant que mon doigt continue à s’activer en douceur sur mon clito. C’est dans cette configuration que Nathalie nous trouve à son retour des toilettes :
– Ah ben, ne vous gênez surtout pas ! Et toi tu les laisses faire.
– Allez, laisse-les. Avec ce film, c’est normal que nous soyons excités. Pas toi ?
– Ce n’est pas la question. Romain, franchement, faire ça devant moi…
– Euh oui… Excuse-moi, Marraine. Je vais aller dans ma chambre.
Il se lève, la tige bien raide au-dessus de l’horizontale et se dirige vers le couloir des chambres. Ce qui l’amène vers sa tante à côté de laquelle il doit passer. En route, il reprend son engin en main et remet en route de lents allers-retours. Nathalie est tellement abasourdie qu’elle ne lui dit rien et même se tourne un peu lorsqu’il l’a dépassée pour continuer à le suivre du regard. Il disparaît enfin et elle nous prend à témoin ;
– Non mais vous avez vu ce qu’il ose faire devant moi, et devant vous ?
– Oh, ça va, n’y a pas mort d’homme. Il a forcément des besoins naturels à son âge.
– Je veux bien, mais tout de même, il peut faire ça sans nous en faire profiter.
– Moi ça ne me gêne pas, et Loïc non plus.
– Oui, je me doute, il fait pareil, alors forcément ! Et toi tu l’as déjà aidé…
– Allez, dis-nous sans mentir que le film ne t’as pas excitée.
– Bon, c’est vrai, mais…
– Nous nous sommes bien rendu compte, tes tétons étaient raides. Et sa queue, elle te tente non ?
– Oh, allons, je te l’ai déjà dit…
– Oui, je sais, c’est ton neveu. Mais ne me dit pas que tu ne la regardes pas avec envie. Tes cabochons clignotent encore. Je parie que tu mouilles.
– Oui, bon, j’avoue que ça me trouble un peu l’esprit. Mais tout de même.
Nous nous levons, nous approchons d’elle pour l’entourer et je lui suggère :
– Et si on allait calmer un peu tout ça ensemble dans notre chambre ?
Ce disant, je lui pince un de ses cabochons qui continue à pointer et Loïc lui prend la main pour la poser sur sa hampe. Elle ne s’insurge pas et même la fait aller et venir machinalement. Toutefois elle hésite encore et nous le fait savoir :
– Putain oui, j’ai vraiment envie de baiser, mais il est à côté.
– Et alors, de toute façon, même si nous n’allons que nous deux dans notre chambre, nous n’allons pas nous priver de se donner à fond, et Romain doit déjà être aux aguets pour nous écouter et se masturber. Il ne pourra pas imaginer que tu sois avec nous, vu que tu as cassé l’ambiance chaque fois que ça virait au sexe. Nous resterons discrets du point de vue vocal.
Pendant que j’argumente, je lui frictionne l’entre jambes qu’elle a bien trempée comme nous nous en doutions. Ainsi elle monte dans les tours et finalement elle cède à ses pulsions. Pour donner le change, je lui propose un stratagème. J’ouvre sa porte et dis clairement :
– Bonne nuit, Nathalie !
– Bonne nuit vous deux !
Je ferme sa porte un peu bruyamment en lui faisant un clin d’œil et ça semble la rassurer par rapport à son neveu. Nous entrons tous les trois dans notre chambre. Mon premier regard en entrant va vers les rideaux qui sont tirés pour ne pas montrer que la porte-fenêtre est ouverte. Si Romain est bien derrière, dans tous les cas cela ne se voit pas car la nuit est bien noire et les rideaux sont assez opaques.
Dans tous les cas, Nathalie n’a pas le temps de faire un tour d’inspection car nous l’enlaçons tout de suite pour une petite séance de baiser et de caresses, tous les trois debout dans le grand espace entre la porte et le lit. Puis une fois que nous sommes bien chauds, Loïc demande à Nathalie et à moi de nous faire un peu plaisir entre nous pendant qu’il nous regarde faire. Je pousse ma collègue sur le lit et monte dessus tête bêche pour entamer un soixante neuf. Nous montons progressivement en régime.
Loïc juge que c’est le moment de passer à autre chose. Il me fait signe de descendre et fait retourner Nathalie pour la positionner en levrette. Elle n’attendait visiblement que ça :
– Oh oui, viens me prendre fort !
Il ne se fait pas prier et dans le mouvement, il lui fait tourner le dos à la fenêtre, pour être plus tranquille. Comme ça, elle ne peut pas voir son neveu quoi qu’il arrive. Pendant qu’il la pénètre, je fais le tour et au passage, j’écarte légèrement le coin du rideau et tombe nez à nez avec Romain à son poste de voyeur, bite en main. Je lui souffle à l’oreille :
– Arrête un peu de te tripoter, garde tes munitions. Dans un moment je pense que tu vas pouvoir te joindre à nous et baiser ta tante. En attendant, tu peux regarder par le bord du rideau, elle ne peut pas te voir comme nous l’avons positionnée. Mais, ne fait pas de bruit…
Puis je continue mon trajet et reviens me rasseoir sur le lit devant Nathalie pour qu’elle continue à me bouffer le clito. Loïc lui donne de bons coups de bélier qui la font buter de menton dans ma fourche. Elle est apparemment aux anges, vu qu’elle ne pense plus du tout à se retenir dans ses râles qui augmentent de plus en plus et culminent quand elle jouit enfin. Loïc me fait signe et je me dégage pour lui laisser la place. Nathalie a bien compris ce qu’il attendait d’elle puisqu’elle se retrouve avec le gland pile devant son nez. Et comme elle adore ça, elle le tète directement sans qu’il ait à le lui demander. Pendant qu’elle le pompe avec gourmandise, prenant son temps, je vais prendre mon strapon sur la commode et l’enfile dans le champ de vision de notre partenaire en commençant un dialogue où pour chaque réplique à mes questions elle recrache son sucre d’orge :
– Je pense que tu aimerais que je te baise pendant que tu le suces, non ?
– Oh oui, donne-moi ta queue, saute-moi !
– Ça te dirait d’imaginer que c’est Romain qui est à ma place ?
– Mmmm…
– Allez, lâche-toi, je sais que tu fantasmes sur sa bite !
– Bon OK, j’admets. Jouons un peu, fais comme si tu étais lui.
– Non, pas comme ça. Demande-le à lui, et sois bien cochonne.
– Viens ici Romain, je veux que tu me mettes ta bite bien profond !
– Voilà qui est mieux ! J’arrive, Marraine, gare à tes fesses.
Et je m’écarte de son champ de vision pendant qu’elle se reconcentre sur sa fellation. Dès que je suis derrière elle, je fais signe à Romain de venir en silence vers nous. Je caresse un peu la fente de sa tante avant de le faire mettre en position de tir. Je lui fais poser une main à la place de celle que j’avais sur une des hanches de Nathalie et je sors mes doigts de son sillon poisseux pour prendre la hampe de Romain et pointer son gland contre l’entrée des artistes. Puis je le lâche et le laisse faire. Il pose son autre main sur l’autre hanche et il pousse, se retrouvant sans effort au fond du vagin. Je commente :
– Oh, putain, Marraine, comme c’est bon, comme tu es chaude !
Et c’est moi qui continue ce dialogue en pointillé pour donner le change. Elle est persuadée que c’est moi qui m’active en elle et répond toujours entre deux sucettes :
– Oh oui, elle est bonne ta queue, mon filleul !
– Je vais t’exploser la chatte, Marraine !
– Vas-y, bourre-moi à fond !
Je m’aperçois qu’elle repart pour un nouvel orgasme car elle s’occupe de moins en moins de Loïc pour se consacrer de plus en plus à ce qu’elle prend par-derrière. Et effectivement, elle explose une deuxième fois tandis que Romain qui essayait de se retenir n’y arrive plus et éjacule en se collant au maximum aux fesses de sa tante en lâchant :
– Ouiiii, Marraine, je viens. C’est trop bon !
Sur le visage de Nathalie passe une ombre. Elle a forcément senti les giclées de foutre avec les soubresauts de queue qui l’accompagnent, ce que ne fait pas un strapon en général. Et au cas où elle aurait encore un doute, c’est bien la voix de son neveu qui a gueulé à l’instant. Mais elle est tellement démontée par ses deux orgasmes si proches qu’elle reste allongée sur le ventre, oubliant complètement sa fellation en cours. Romain se retire pendant qu’elle se laisse descendre sur le ventre. Elle finit par dire faiblement :
– Romain ? C’est toi qui…
Je prends le jeune dépucelé par la main et l’emmène s’asseoir avec moi à côté de sa tante ? Elle nous voit donc maintenant tous autour d’elle et le doute devient une certitude. Pour éviter des mauvais retours, je prends l’initiative du débriefing :
– Alors, tu vois que tu en avais envie. Et lui aussi, d’ailleurs. Alors pourquoi se priver ?
– Tout de même vous m’avez bien eue, là. Ce n’est pas bien, c’est mon neveu…
– Mais non, ce sont des idées. Personne ne fait de tort ou de mal à personne. Alors profitez.
Pendant cet échange, elle se retourne et se trouve de flanc suer une hanche et sur un coude face à nous. Privilège de la jeunesse, son neveu est déjà en train de développer une nouvelle érection juste en face de son visage. Contrairement à ce qu’on aurait pu redouter, elle ne se dérobe pas et garde ses yeux braqués sur le gland qui la nargue. Alors je sais que c’est le moment de faire basculer la situation définitivement. Je prends la bite en main et commence à la parcourir lentement devant elle en lui disant :
– Allez, lâche-toi, occupe-toi de lui à ma place.
– Bah, au point où nous en sommes, je crois que ce n’est plus la peine de s’en priver…
Comme hypnotisée, elle lance sa main libre pour me remplacer sur la tige juste quand je lâche et continue la masturbation que j’avais entamée. Romain est aux anges et se délecte de la vue de ma tante en train de le branler. Ça lui donne envie de plus :
– Dis, Marraine, tu veux bien me sucer ?
– Euh, si ça ne te fait rien, je préférerais que tu m’appelles Nathalie dans ces moments-là…
– Bon d’accord, tout ce que tu veux, Nathalie !
Et elle se positionne plus confortablement pour enfin gober son gland. Comme ils sont sur les rails, je m’occupe un peu de Loïc qui s’impatiente. Je le suce un peu pour le remettre en grande forme, bien qu’il n’en ait pas besoin, puis il vient me prendre en levrette à côté de Nathalie. J’ai donc en vue directe la fellation magistrale qu’elle prodigue à son neveu.
Ma collègue a définitivement largué tous ses préjugés car je la vois soudain se redresser et pousser son neveu pour le faire mettre sur le dos. Elle se positionne au-dessus de lui et prend sa bite en main pour s’empaler sans hésiter sur lui et entamer un rodéo. Elle prend son régime de course et finit par s’arrêter bien enfoncée sur sa monture en gueulant son orgasme. J’atteins le mien presque en même temps.
Un petit moment de flottement nous permet de reprendre nos esprits. Je sens que Loïc sort de mon vagin pour promener son gland sur ma rosette et il pousse doucement, le faisant passer par la petite porte. Pendant ce temps, Nathalie se dégage de son axe conducteur avec un bruit de ventouse et constate que cette fois son neveu a tenu plus longtemps puisqu’il est encore en pleine érection. Pour l’aider à finir, elle s’empresse de le prendre en bouche tout en le branlant nerveusement. Je la regarde faire tout en savourant la sodomie paresseuse que Loïc me procure. Romain attrape la tête de sa tante pour le garder en place :
– Oh oui, c’est trop bon, continu !
Elle n’a pas besoin de ça car visiblement elle compte tout avaler. Loïc profite de ce qu’elle est toute à sa fellation pour me quitter et aller se placer derrière elle pour l’enculer sans trop de ménagements. Elle marque juste un peu le coup puis le laisse lui ramoner le conduit anal tout en se consacrant à son neveu. Et enfin celui-ci annonce :
– Ah, oui, ah, je viens !
Dans un long râle il éjacule à nouveau. Sa tante recueille ses giclées sans en perdre une goutte. Étant plus libre de ses mouvements, elle se repositionne bien à quatre pattes pour que Loïc puisse la pistonner à grands coups de reins sans risque de dé culer. Romain étant abandonné et encore un peu dans les nuages suite à son orgasme, je le tire à moi pour qu’il puisse profiter de la vue de l’action en cours. Il pensait certainement que Loïc la prenait en levrette car il est tout éberlué de voir que c’est dans l’autre trou qu’il s’active et que sa tante semble y prendre un immense plaisir. Comme en même temps je lui commente tout ça à l’oreille et que je lui masse les couilles et le gland, il reprend de la vigueur assez vite, aidé par sa jeunesse.
Nathalie prend encore son pied et Loïc se retire pour terminer en lui inondant la raie du cul et les fesses avec son sperme bien abondant. Je lui fais signe de se pousser et tire Romain par la queue pour le mettre à sa place. Je promène son gland dans le foutre de Loïc et le pointe sur l’anneau encore ouvert et palpitant de Nathalie, puis je le laisse continuer seul en lui faisant signe de la tête d’y aller. Il hésite un peu et demande :
– C’est vrai, Nathalie ? Je peux moi aussi te…
– Oui, vas-y, encule-moi, j’adore ça !
Du coup il ne calcule plus et enfonce son gland dans cet anneau foncé et dégoulinant qui l’attire au plus haut point. Ça rentre sans effort car outre le fait qu’elle est encore dilatée, son outil est un peu moins imposant que celui de son prédécesseur. Ainsi il est tout de suite au fond et empoigne sa tante par les hanches pour aller et venir de bout en bout en venant claquer contre ses fesses à chaque coup avec un clapotis occasionné par la quantité de sperme qui tapisse son postérieur. Loïc présume que ça va durer un certain temps et va vite à la salle de bains pour se faire un brin de toilette après son exploration culière de notre amie. Quand il revient, la scène en est toujours au même point, Romain n’ayant même pas accéléré pour faire durer le plaisir. Il me présente sa bite à laquelle il a un peu redonné vie pour que je l’aide à atteindre une consistance honnête.
Quand il est plus que suffisamment durci, il va se glisser sous Nathalie dans le tunnel que forment ses quatre membres et réussit à la faire descendre s’empaler sur lui sans que l’équipier arrière ne soit éjecté. Nathalie peut enfin goûter à un vrai sandwich tout en viande d’homme, et à entendre ses onomatopées et soupirs. Ce spectacle m’excite aussi et je m’installe confortablement pour les regarder s’activer tout en me masturbant avec un vibro.
La tension monte graduellement et Nathalie a deux orgasmes successifs. Moi-même je jouis en douceur en les contemplant. Je me lève et je vais me placer derrière Romain pour lui caresser les couilles tout en glissant jusqu’à la fente de Nathalie, bien trempée entre les deux tiges qui la perforent. Puis avec ce lubrifiant, je fais tourner mes doigts dans la raie de Romain, insistant de plus en plus sur son anus. Je sens qu’il se laisse faire, alors je rentre une phalange et continue jusqu’à ce que mon doigt soir entièrement absorbé. Je lui fais un massage interne qui enfin le déclenche, lâchant ses dernières réserves au fin fond du cul de sa tante.
Loïc étant le seul à n’avoir pas encore terminé, il ne me surprend pas en demandant à Nathalie de le finir avec une bonne branlette espagnole. Elle se dévoue volontiers et je constate que cette combinaison intéresse Romain qui découvre décidément beaucoup de choses depuis ce matin. Il ne fait pas trop attendre sa masseuse mammaire et lui lâche une quantité encore appréciable de sperme sur les seins et le cou.
Cette fois, tout le monde est rassasié et suffisamment fatigué pour que la séance s’arrête tacitement, personne ne prenant l’initiative de relancer un nouveau round. Prenant de l’avance sur une éventuelle demande de son neveu, Nathalie annonce qu’elle préfère dormir seule pour mieux récupérer et s’éclipse en passant d’abord par la salle de bains pour se débarrasser des liquides qui la maculent de haut en bas devant et derrière afin de ne pas rester collé dans les draps. Du coup, Romain rejoint lui aussi sa chambre, en passant par le couloir cette fois puisqu’il n’a plus à se cacher. Dodo bien mérité pour tous !
À suivre…
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