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Le soleil se lève sur la banlieue lilloise en ce jour d’automne, Édouard boit son café tout en regardant les informations du jour sur sa tablette.

Édouard a 28 ans, il est professeur de Français dans un lycée public à Lille. Il vit avec sa femme Ilenia dans une petite maison des années 70, qu’ils ont acheté peu de temps après leur mariage il y a deux ans.

Ilenia est d’origine italienne, Ils se sont rencontrés à la FAC. Après plusieurs boulots dans l’immobilier elle a décidé de postuler à la ville sous les conseils d’Édouard.

Édouard saisi les clés de sa voiture et se dirige vers leur chambre.

— Bonne journée ma chérie, à ce soir.

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Il lui parle à voix basse tout en l’embrassant, Ilenia s’étire avec un sourire pour son mari.

— Bonne journée mon chéri.

30 minutes plus tard elle se lève. Étant à la maison elle continue les travaux de rénovation de leur maison. Aujourd’hui c’est peinture dans la deuxième chambre.

A 26 ans elle aimerait avoir son premier enfant, l’idéal serait d’obtenir un CDI à la ville avant.

Dans la salle de bain elle passe son short en jean taché de peinture et silicone et son haut moulant blanc, elle se regarde dans la glace et tourne sur elle-même. Elle aime voir sa poitrine généreuse, ses yeux descendent.

— Tu as vraiment un gros cul, mais les mecs l’adorent.

Elle rigole toute seule.

Dans l’après-midi Ilenia termine le troisième pan de mur quand une notification retentie dans la pièce.

E-mail : Jean Cornet/Bonjour Édouard, dans le cadre de la mission mineurs isolés, une réunion s’est tenue entre les cadres du syndicat hier soir et j’ai une proposition à te faire/Cordialement/Jean.

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Après la lecture du mail elle a repris sa peinture.

A 18 h Édouard est rentré à la maison, il a descendu l’escalier qui mène au sous-sol. Ils ont acheté une maison de type nantaise.

— Salut ma chérie, tu fais quoi ?

— Je nettoie le rouleau.

— Ça a été ta journée ?

— Oui, j’ai fini la peinture des murs dans la chambre.

— OK cool, je remonte.

Tous les deux dans la cuisine à préparer le repas, Ilenia se souvient du message.

— Édouard, tu as vu le mail d’un certain Jean Car.. ???

— Jean Cornet.

— Oui c’est ça, il veut quoi ? Et c’est qui ?

— C’est le trésorier de section et je vais l’appeler maintenant.

Édouard est membre d’un syndicat qui regroupe plusieurs pôles professionnels publique et il a émis le souhait de s’investir dans les activités du syndicat, cette démarche lui a été suggéré par Jean pour faciliter son ascension professionnelle. Jean a rapidement vu en Édouard un jeune séduisant, intelligent, avec un bon niveau d’étude.

Ilenia regarde Édouard déambuler dans le salon le téléphone à l’oreille.

— Très bien Jean, OK, D’accord, Bonne soirée à demain soir.

— Alors, c’est quoi cette proposition ?

— Je n’ai pas tout compris, c’est sur le programme des mineurs isolés et il souhaite que je participe à la commission. Il vient demain soir pour me l’expliquer en détail.

— D’accord.

A 21 h ils sont tous les deux au lit, Ilenia regarde sa série sur la télé avec le son pas trop fort car Édouard corrige des copies sur son PC portable. Ilenia vient de finir un épisode, Édouard retire ses lunettes en se frottant les yeux, il ferme son portable en le posant sur la table de chevet.

Il rentre sous la couette en venant se blottir contre son amour, il passe sa main sous la chemise de nuit en soie et vient poser ses doigts sur le ventre d’Ilenia.

— Alors ma belle peintre, tu as bien travaillé aujourd’hui.

Elle lui répond tout en passant sa main sur son boxer.

— Ce n’est pas avec ce petit pinceau que j’aurai fini la chambre aujourd’hui.

Elle a éclaté de rire et Édouard pour se venger la chatouille sur tout le corps.

— Arrête !!! Arrête !!! Arrête !!!

Ilenia a repris son souffle quand Édouard est venu devant son visage.

— Je t’aime ma chérie.

— Je t’aime mon chéri.

Édouard a saisi le gros sein de sa femme tout en l’embrassant, sa langue a traversé ses lèvres pour un baisé humide. Sa main a caressé son ventre pour suivre le chemin de sa culotte, sans s’arrêter il a traversé la toison taillée pour insérer son majeur entre ses lèvres. Il a ouvert cette vulve parfaitement fermée, La pulpe de son doigt a ressenti l’humidité.

Ilenia, la tête en arrière et les yeux fermés est concentrée sur les trois doigts tournants sur ses lèvres et son clitoris. Édouard regarde son visage et il est excité par les sons émis par sa femme.

— Haaaa ! Haaa ! Haaaa !!

De son autre main, Édouard retire son boxer et vient présenter sa verge entre les cuisses d’Ilenia.

— Tu le veux quand même mon petit pinceau.

— Ho oui mon chéri, je le veux !!!

Le pénis d’Édouard a pénétré Ilenia sans aucune difficulté, le va et vient a été lent et tendre jusqu’à ce que Édouard accélère, car il aime regarder les seins de sa femme balloter sous ses coups de queue. Après quelques minutes Ilenia est venue s’asseoir sur le pénis Édouard. C’est sa position préférée, il peut voir et saisir à pleine main ses seins. Après 30 minutes les testicules d’Édouard se sont vidés dans le vagin d’Ilenia. Les deux amoureux se sont endormis paisiblement.

Le lendemain Édouard a repris le chemin du lycée et Ilenia a continué les travaux de peinture. Vers 15 h 30 elle a reçu un message d’Édouard :

— Je rentre.

Quand Édouard est rentré, il s’est dirigé vers la chambre. Il regarde Ilenia chevauchant l’escabeau en train de peindre le plafond.

— Tu as bien fait de protéger tes cheveux ma chérie.

Elle lui a tiré la langue en lui demandant de lui préparer un thé.

Quelques minutes plus tard la sonnette a retenti dans la maison.

Ilenia a entendu Édouard ouvrir la porte.

— Bonjour, vous êtes déjà là ?!

— Oui, je m’excuse Édouard, j’ai profité d’une réunion à côté de chez toi pour passer directement. Je ne te dérange pas ?

— Non du tout, entrez.

Ilenia s’est rendue dans le salon.

— Bonjour monsieur.

— Bonjour madame.

— Je m’excuse de me présenter comme çà devant vous, on est en travaux.

Jean, proche des 60 ans, de taille moyenne, pas très séduisant. Son apparence ne l’aide pas, dégarnie, le collier de barbe grisonnant et surtout sa tenue vestimentaire d’une autre époque avec un pantalon en velours marron, le pull col en V posé sur une chemise marron clair.

Par contre Jean est ravi de regarder Ilenia, ses belles jambes, son soutien-gorge gonflé en dentelle qui apparait sous son haut blanc taché de peinture.

Ils se sont assis autour de la table.

— Donc je viens vous voir suite à la conversation téléphonique que nous avons eue. Voila ! Je participe à une commission à la mairie concernant les mineurs isolés venant de l’étranger pour X raisons. Vous savez que dans quelques mois ce sont les élections et le maire nous a demandé à nous, les partenaires sociaux, de proposer des solutions pour héberger les dits mineurs isolés.

— Des centres par exemples ?

— En effet Édouard, mais !! Pour faire plaisir à la communauté nous avons souhaité proposer quelque chose de plus chaleureux, de plus humain et c’est pour cela que je suis devant vous aujourd’hui, je recherche des familles, des couples souhaitant accueillir un de ces jeunes. Voila.

Édouard et Ilenia se sont regardés ne sachant que répondre.

— Les dépenses concernant l’hébergement, la nourriture et la locomotion sont pris en charge par la mairie. Je conçois que ma demande soit soudaine et peu commune, je vous laisse réfléchir. Mon cher Édouard peux-tu me raccompagner à ma voiture s’il-te-plait ?

— Oui, bien sûr.

Une fois sortie de la maison Jean a expliqué la situation à Édouard.

— Édouard, je tiens vraiment à ce que tu participes toi et ta femme au programme pour ces jeunes, j’ai tellement de projets pour toi, ton avenir et celui de ta famille. Tu es brillant, tu peux grimper rapidement dans l’échelle sociale !! Mais il faut montrer ton investissement et tu seras récompensé. Ta femme a envoyé une candidature pour un poste à la mairie ?

— Oui, en effet.

— Tu sais qu’ils reçoivent des centaines de demande par mois et le fait de participer au programme pourra mettre son dossier en avant. Cela sera plus facile pour moi d’en faire la promotion auprès de Mr le Maire.

— Je vous remercie pour votre attention Jean, je ne vais pas vous décevoir.

— Très bien, très bien. Tiens-moi au courant dès que vous avez pris votre décision.

Pendant le repas Édouard a essayé de convaincre Ilenia avec les arguments que Jean lui a exposés. Le lendemain ils ont appelé Jean pour donner leur décision.

— Bonjour Jean, on accepte votre demande.

— Je suis content de l’entendre !

— C’est bien un jeune par foyer ???

— Oui, oui, oui, de toute façon il y a un dossier à remplir et vous avez surement plein de questions, ce sera un plaisir d’y répondre.

Pendant le mois d’attente le couple a fini les travaux dans la deuxième chambre et la mairie a fourni du mobilier pour l’aménager.

Salim, le jeune que doivent accueillir Ilenia et Édouard arrive cet après-midi, ils ne sont pas très à l’aise avec cette situation mais ils font confiance en Jean.

Il est 15 h, Édouard anxieux, tourne devant la fenêtre donnant sur leur entrée de maison. Tout à coup plusieurs voitures s’arrêtent dans leur rue.

— Chérie vient voir, il y a au moins une quinzaine de personnes.

Le couple sort de sa maison et descend les marches, Jean vient à leur rencontre.

— Bonjour ! Ça fait du monde ! Le Maire a souhaité marquer l’événement en convoquant la presse, c’est politique…

Mr le Maire un homme grand et séduisant, la quarantaine, est venu avec un grand sourire saluer le couple devant les journalistes.

— Cela fait chaud au cœur de compter parmi nos concitoyens des personnes doté d’une telle générosité, je suis fier de vous présenter Salim avec qui vous avez fait le choix de partager votre foyer.

Ils ont découvert le jeune qui allait partager leur vie un certain temps.

A sa vue le couple s’est regardé et sans se parler, la même phrase leurs a traversé l’esprit : IL EST MINEUR !!!

Salim fait la taille d’Édouard 1 m 76, il a la peau noire comme du charbon en contraste avec ses belles dents blanches, il a le crane totalement rasé, il n’est pas très beau, mais ce qui laisse perplexe le couple c’est sa carrure et sa petite barbe naissante. Cela n’a rien d’un adolescent.

Édouard est sollicité par les journalistes et en profite pour montrer sa facilité à communiquer, il ne manque pas de féliciter Mr le Maire à plusieurs reprises.

Jean accompagne le couple et Salim dans la maison, on entend dehors les voitures des politiques et journalistes partir.

En voyant l’intérieur de la maison Salim est ravi, il remercie le couple avec un accent très fort, il est francophone. Ilenia l’accompagne à sa chambre pour qu’il dépose ses affaires.

— Jean ? Vous êtes sûr qu’il est mineur ?

— Oui, je sais beaucoup de migrants entre sur notre territoire avec ce statut, et pour ne pas froisser nos élites aucun test n’ai fait. Mais ne t’inquiète pas, comme je t’ai dit, courant du premier trimestre il quitte votre maison.

— OK, merci Jean.

Les deux premières semaines se sont bien passées, Salim c’est bien intégré, ils ont du faire attention à la nourriture mais cela a permis à Ilenia de cuisiner de nouveaux plats. Pendant la semaine Salim à des cours dans un centre et le weekend il aide à la maison ou fait du sport.

La semaine suivante Salim a demandé à aller à la mosquée, un copain du centre passe le prendre pour s’y rendre.

C’est le weekend, Ilenia est dans sa chambre à ranger le linge et Édouard prépare des cours dans le salon.

— Édouard ! Tu peux venir !

— Qu’est ce qu’il y a ?

— Tu as tapé dans la commode en te levant ?

— Non ???

— Tu as touché à mes affaires ?

— Non ????? Pourquoi ?

— Mes affaires ont bougé, certaine de mes culottes ne sont plus à leurs places.

— Tu as du les bouger par inadvertance.

— Oui surement.

Cela a quand même mit le doute à Édouard et dans la semaine, étant seul à la maison, il a voulu dissiper ce doute. Il est entré dans la chambre à Salim et a commencé à fouiller en essayant d’être discret.

Et c’est dans sa trousse de toilette qu’il a trouvé une culotte en dentelle bleu, il l’a remise à sa place et s’est rendu directement à la commode, il a un soutien-gorge avec le même tissu.

Le soir quand ils se sont retrouvés tous les deux au lit, Edouard lui a demandé.

— Pour ce que tu m’as demandé ce matin, il ne te manque rien.

— Si, une culotte bleue a disparue il y a deux semaines.

— OK, peut-être la machine à laver ?

— Oui, c’est possible.

Édouard a décidé d’être plus attentif aux gestes et attitudes de Salim. Il a pu remarquer que les yeux du jeune se baladent de temps à autre sur les fesses d’Ilenia, mais c’est normal de regarder sa belle femme.

Ce soir le geste de Samir a été plus direct, il a pris la direction de sa chambre et il est tombé sur Ilenia sortant de la salle de bain en peignoir, elle l’a salué et quand elle s’est retournée pour rejoindre leur chambre, il a saisi son entre jambe pour se frotter la verge.

Mais le plus étonnant, c’est qu’Édouard a senti son caleçon gonfler devant cette scène.

Pendant le repas du soir Édouard a demandé à Salim si sa journée c’est bien passée.

— Si tu veux tu peux inviter un ami un après midi.

— OK, merci Édouard.

Et pour le taquiné il a ajouté :

— Ou une copine !

Ils ont tousles trois rigolé.

Le soir dans le canapé Édouard a demandé à Ilenia ce qu’elle pense de la présence de Salim dans leur maison.

— Ça va depuis trois semaines, il est gentil, il nous aide. Le seul point négatif c’est que je dois faire attention à ce que je porte quand je sors de la chambre ou de la salle de bain et que je ne dois pas exprimer trop fort l’excitation que me provoque mon chéri dans le lit.

Il a passé sa main dans le tee-shirt d’Ilenia.

— Si on allait dans la chambre pour que tu m’exprimes ton excitation.

— Oui ! Avec plaisir !

En passant dans le couloir, Édouard voit une faible lumière sous la porte de Salim, il doit être sur son téléphone pense-t-il.

En rentrant dans la chambre Ilenia ferme la porte, Édouard regarde la porte fermée.

— Mince j’ai oublié d’éteindre mon PC, glisse-toi sous la couette ma chérie, j’arrive !!!

En revenant il voit juste les yeux d’Ilenia dépasser de la couette, il la regarde avec un air coquin, il éteint la lumière et pousse la porte. Il se glisse sous la couette et l’embrasse.

— Tu as bien fermé la porte.

— Oui ma chérie.

Ilenia l’embrasse et descend sur son torse, elle embrasse ses abdominaux, saisi sa verge et le masturbe. Quelques secondes plus tard les lèvres d’Ilenia embrassent le gland décalotté et la queue d’Édouard disparait dans sa bouche.

Édouard ne lâche pas des yeux la porte. Sa queue humide se tend quand il voit la porte bouger de quelques millimètres.

De l’autre côté de la porte, les yeux de Salim s’habituent au noir et l’éclairage fourni par l’heure du radio réveil l’aide a distingué le couple dans ses ébats.

Il voit la couette monter et descendre sur la queue d’Édouard.

Ilenia se relève et vient positionner la queue d’Édouard à l’entrée de son vagin, elle se laisse descendre dessus avec un léger bruit. Salim la regarde descendre et monter pendant plusieurs minutes, il est frustré de la voir de dos.

Édouard est raide comme du chêne sachant que le voyeur le regarde prendre sa femme. Il accélère le mouvement pour faire sortir des petits cris de la bouche d’Ilenia.

Salim se masturbe en regardant et écoutant la scène.

Édouard veut éjaculer en sachant que Salim voit sa femme nue, il saisit les hanches d’Ilenia et la force à se retourner, elle n’est pas contre mais c’est la première fois qu’il demande cette position. Elle se lève et se retourne, dévoilant ses gros seins et sa chatte à Salim.

Elle saisit de nouveau le pénis d’Édouard et se l’introduit totalement. Salim ne résiste pas quand il voit la grosse poitrine balloter, il éjacule dans sa main en pinçant ses lèvres pour rester le plus discret.

Édouard est sûr qu’il a offert sa femme en spectacle et il ne tarde pas à se vider dans le vagin d’Ilenia.

Le lendemain matin Salim croise Ilenia qui se dirige vers la cuisine pour prendre son petit déjeuner.

— Bonjour Salim, tu as passé une bonne nuit ?

— Une très bonne nuit.

— Tu as déjà déjeuné ?

— Oui, je vais prier dans ma chambre.

— Ha ?! OK.

Pendant qu’elle range la cuisine, son téléphone sonne.

— Bonjour ma chérie.

— Salut mon chéri, tu m’as embrassé ce matin ?

— Oui ! Tu dormais bien, peut-être fatiguée des folies de ton corps.

— Surement !!!

— Dans deux jours je dois aller à Paris me présenter à des personnes du syndicat et je vais passer 2 nuits sur place, est ce que ça pose un problème ?

— Non, ça va aller.

— OK, Jean m’a demandé si tout se passait bien concernant Salim, je lui ai répondu que oui. D’ailleurs il m’a dit de l’appeler s’il y avait le moindre problème. Fais-moi penser à te laisser son numéro.

— Oui, d’accord.

— A ce soir, je t’aime.

— Je t’aime.

Ilenia se prépare pour aller faire des courses.

— Salim !! Je vais faire des courses, as-tu besoin de quelques choses ?

— Non, mais peux-tu me déposé au centre ? Il pleut et je suis en vélo.

— Oui Bien sûr.

Sur le trajet, Salim regarde les cuisses d’Ilenia cachées par un collant noir, il regarde ses seins séparés par la ceinture de sécurité. Il pense à hier soir oὺ il a vu sa chatte écartée.

Il est réveillé par des hommes vêtus de qamis qu’il aperçoit dans la rue.

— Tu les connais ?

— Oui, ce sont des responsables de la mosquée.

Ce jour, Édouard prépare sa valise, il prend le train en début d’après-midi. Il regarde Ilenia sortir de la chambre avec des chemises qu’elle pose dans la valise.

Il la saisit par le bras et l’enlace.

— Tu vas me manquer ma chérie.

Il pose ses mains sur ces fesses et remonte sa robe.

— Arrête !! S’il sort de sa chambre !! Tu veux lui montrer mon cul ?

Si tu savais, pensa Édouard.

— Non, j’ai juste envi de ma chérie.

— Tu devras attendre. Là ! Tu as ton train à prendre. Et ne regarde pas les parisiennes !

— Promis.

Ilenia est seule à table avec Salim pour le diner.

— Tu t’es levé tôt ce matin.

— Oui, j’ai la prière.

— Ha OK, je suis désolée, je n’y connais pas grand-chose.

— Je me suis recouché après. Il a souri.

Ilenia le regarde manger. Depuis presque un mois qu’il est là, elle n’a jamais osé lui demander son âge. Elle ne veut pas le mettre mal à l’aise, ou lui causer des ennuis.

Il est 23 h, Ilenia regarde la télé, quand elle voit Salim approcher.

— Bonne nuit Ilenia

— Bonne nuit Salim.

— Je vais tacher de ne pas te réveiller demain matin.

— Non, ne t’inquiète pas, d’habitude je dors. Ce soir je regarde ma série jusqu’à 1 h du matin, alors à 6 h je devrais dormir profondément.

Avant de dormir, il s’est masturbé en pensant au spectacle de la veille.

5 h 45 le téléphone de Salim sonne, il se lève pour sa prière. 15 min plus tard il se dirige vers la cuisine pour prendre un verre d’eau. Il rentre dans sa chambre pour se recoucher quand il regarde la porte de chambre du couple, sa queue devient dure.

Il s’approche, elle est fermé. Il pose la main sur la poignée, la baisse et il ouvre doucement. Il voit Ilenia allongée sur le dos, il fait bon dans la chambre, elle a la couette jusqu’au milieu du ventre.

Salim s’introduit dans la chambre en refermant derrière lui. Il est devant Ilenia.

Il contemple la nuisette en satin rouge avec le contour en dentelle noire.

Il voit les tétons d’Ilenia soulever le tissu fin, il approche son doigt et avec la pointe de son ongle il vient frotter son téton droit, tout en regardant son visage, il recommence et voit l’œil d’Ilenia bouger sous la paupière.

Il fait le tour de son téton avec le bout du doigt et l’interaction est directe.

Voyant qu’Ilenia dort profondément, il saisit la bretelle de la nuisette et la descend sur son bras jusqu’à ce que son sein soit totalement découvert.

Voyant ce gros sein, il sort son pénis et il se masturbe, de l’autre main il saisit le sein d’Ilenia et le pétrie doucement.

En même temps qu’il la touche il regarde se visage réagir aux attouchements, ça l’excite de la voir légèrement sourire aux palpations.

Après quelques minutes à lui caresser le sein, il se déplace et il vient soulever la couette, son membre devient encore plus raide quand la culotte associée à la nuisette apparait.

Il vient poser le majeur entre les cuisses d’Ilenia, il glisse sur le tissu et ressent les deux lèvres, la bouche d’Ilenia s’ouvre, il saisit le côté de sa culotte et dévoilé la chatte poilue, en passant de nouveau le doigt entre les lèvres, il ne peut se retenir, le jet de sperme part sur les cuisses d’Ilenia et deux autres sur la chatte.

Il a retiré les dernières gouttes de sperme en se nettoyant le gland sur la couette.

En voyant Ilenia bouger il rabat la couette et il sort de la chambre.

A 9 h 30, Ilenia à lever les bras pour s’étirer en regardant le soleil traverser les volets.

Elle baisse les yeux en regardant sa poitrine.

— Et bien tu veux aller oὺ toi ? Parlant à son sein.

Elle remonte sa bretelle en se levant et découvre sa vulve à l’air et en remettant sa culotte, ses doigts sont devenus tout humide. Elle passe de nouveau ses doigts entre ses cuisses et un filet gluant a suivi sa main.

— Mais qu’est-ce que c’est que ça ????

Elle porte ses doigts à son nez.

— Ho non, c’est du sperme.

L’angoisse la saisie, un nœud est apparu dans son ventre.

— Salim ????

Ses jambes ont failli la lâcher quand elle se pose la question, m’a-t-il pénétré.

Sa main se dirige entre ses cuisses et elle s’introduit un doigt dans le vagin.

— OUFFFF !!!

Elle sort de la chambre, pas de bruit dans la maison. Elle saisit la poignée de porte de la chambre de Salim, un grand stress l’envahi. Il lui a fallu beaucoup de courage pour constater qu’elle est vide.

— Le téléphone, il faut que je téléphone.

Elle a tout suite été dans ses favoris.

— Edouard, Edouard… Allez répond, répond… MERDE !!!!

Ses yeux se sont remplis de larmes, après un deuxième essai infructueux.

— Je ne vais pas appeler la police ????? Jean !! Je vais appeler Jean !!!

— Oui, allô.

— Jean ???

— Oui, c’est qui ?

— Jean c’est Ilenia.

— Haaa !! Bonjour Ilenia.

— Il m’a touché.

Ilenia est partie en sanglot

— Ilenia !!! Que se passe-t-il.

— Salim, il m’a touché pendant la nuit.

— Ho nooon !!!

— Vous êtes seule dans la maison ?

— Oui.

— Avez-vous prévenu quelqu’un d’autre ?

— Je n’arrive pas à joindre Edouard et je ne savais pas si je devais appeler la police.

— Surtout pas la police !!! Euuu… ce que je veux dire… J’arrive, je suis chez vous dans moins de 30 minutes.

— Merci Jean, je vous attends.

— Vous n’appelez personne d’autre. OK ?

— OK.

Après avoir raccroché, elle lance la cafetière et se dirige vers la salle de bain, en marchant elle sent le sperme gluant sur sa peau et à d’autre endroit le sperme séché lui tire la peau.

Sortie de sa douche, elle se dirigé vers sa chambre, elle voit la couette tachée de sperme. Elle retire les draps. Elle entend une voiture rouler sur les graviers.

Elle laisse tomber sa sortie de bain et enfile un pantalon de jogging et un haut à bretelle. Arrivée dans le salon elle saisit son gilet et se dirige vers la porte d’entrée.

Elle ouvre légèrement la porte et voit avec soulagement Jean monter les marches.

— Ilenia ! Ma pauvre Ilenia.

— Allez-y, entrez.

— Merci.

Jean s’assoit sur une chaise autour de la table.

— Vous voulez un café ?

— Volontiers.

Après avoir servie Jean, elle prend sa tasse et s’assoit dans le canapé face à lui, croisant les jambes et fermant son gilet.

— Si je comprends bien, vous m’avez dit au téléphone que Salim vous a touché.

— Oui.

— Je m’excuse de vous poser cette question, mais qu’est-ce qui vous permet de l’affirmer ? Vous l’avez surpris ? Désolé pour cette question, j’essaie de comprendre.

— Comme vous le savez Édouard est à Paris.

— Oui je sais, il revient demain.

— Quand je me suis réveillée… Heuuu… Ce n’est pas facile.

— Prenez votre temps.

— Quand je me suis réveillée, j’ai baissé la tête et… Ma nuisette était baissée, un de mes seins était apparent.

Jean sent son slip prendre du volume.

— Il y a eu autre chose ? Car cela a pu arriver en bougeant pendant votre sommeil.

— Oui, j’ai pensé la même chose et j’ai remonté ma bretelle, mais quand j’ai soulevé la couette j’ai constaté que… que… ma culotte avait été déplacé sur le côté et mon… mon… sexe était à l’air.

Vous allez me dire que le tissu a pu bouger pendant mon sommeil, mais j’ai ressenti quelque chose sur mes jambes et quand j’ai passé ma main, c’était gluant et je l’ai porté à mon nez et cela sentait fortement le… le… sperme. Et il avait du sperme sur mon sexe également.

Jean referme son blouson ¾ sur le haut de ses jambes pour cacher sa forte érection.

— En effet c’est grave.

— Je ne sais pas quoi faire. Sanglote Ilenia.

— Salim est parti au centre pour les cours ?

— Oui je suppose.

Jean se lève de sa chaise et vient s’assoir à côté d’Ilenia tout en restant sur le bord du canapé, il frotte son collier de barbe. Ilenia prend des gorgés de café, les mains dans les manches de son gilet.

— Ilenia, il n’y a que deux options qui s’offrent à nous. Soit on va voir la police et vous leurs expliquer ce que vous venez de me dire. Soit on gère entre nous.

— Comment ça entre nous !

— Si vous contactez la police. Voilà ce qui va se passer, il va y avoir une enquête, je vous rappelle qu’il est mineur, ce sera sa parole contre la vôtre.

— Mais il m’a agressé !!

— Je sais ! Moi ! Je vous crois. Mais le juge. Salim va-t-il avouer sachant qu’il ne risque rien en tant que mineur.

— Il m’a éjaculé dessus, si on ne fait rien demain il va violer ! On sait tous les deux qu’il a plus de 18 ans.

Jean a retiré la tasse d’Ilenia des mains pour la posé sur la table et il revient s’assoir en lui prenant la main.

— Ecoutez-moi Ilenia, vous voulez qu’Édouard ait une belle carrière.

— Oui. Répond Ilenia en se frottant les yeux et reniflant.

— Très bien, maintenant si nous révélons l’affaire, tout ce que nous avons mis en place va s’effondrer, vous vous rappelez les journalistes le jour ou Salim est arrivé.

— Oui.

— Et bien ils vont révéler l’affaire, les gens vont vous regarder dans la rue. Le maire va être trainé dans la boue par l’opposition. Et le maire c’est la carrière d’Edouard, c’est moi et surtout c’est VOUS !! Ilenia.

— Moi ???

Ce que ne voit pas Ilenia blottie dans son gilet, c’est que Jean défait sa ceinture et ouvre son pantalon caché par son blouson.

— Oui, vous ! Je lui ai parlé de votre candidature.

— C’est vrai !

Jean monte sa main dans les cheveux d’Ilenia qui sanglote encore, il s’enfonce dans le canapé à côté d’elle.

— C’est bien je vois un petit sourire.

Jean lui passe la main dans les cheveux.

— Alors, voulez-vous que je vous aide Ilenia.

— Oui, s’il vous plait.

— On va gérer ça entre nous ?

— Oui, d’accord.

Jean saisit l’épaule d’Ilenia et la rapproche de lui, elle a sa tête sur son épaule.

— Vous êtes prête à faire des sacrifices !?

— Oui

— Des sacrifices pour la carrière d’Edouard !! ?

— Oui

— Des sacrifices pour votre carrière !!!!?

Jean lui frotte la tête doucement.

— Pour cela vous voulez que je vous aide, que je m’investisse pour vous ?

Ilenia renifle et sanglote en répondant aux questions de Jean.

— Oui s’il vous plait, aidez nous.

Sur ces mots Jean ouvre sa veste et descend la tête d’Ilena entre ses cuisses.

— Je vais vous aidez, je vais vous aidez, il faut faire des sacrifices.

Il appui doucement sur sa tête et elle avale la petite queue tendue.

— Voila c’est bien ! Suce ! HAAAaaa… Je vais vous aider.

Jean se relâche dans le canapé, sa queue au chaud dans la bouche d’Ilenia. Il passe sa main dans son dos et constate qu’elle n’a pas de soutient gorge. Il redescend sa main sur son ventre et lui saisit un sein.

— Comment ils sont gros tes nichons, salope !!! Pense-t-il.

Il joue avec son téton tout en la regardant monter et descendre sur sa queue.

— C’est bien ma petite, continue. Je vais vous aider…

Il passe de nouveau sa main dans les cheveux d’Ilenia et appuie sur sa tête pour lui donner un rythme plus soutenu.

Après quelques minutes il lui saisit fortement le sein, Ilenia ressent les spasmes dans la verge.

— Haaaa… HAAAaaa… HaaaaAAAAA.

Le sperme se déverse sur sa langue.

— HOoo, c’est bon ma petite.

Jean se relève et referme son pantalon, Ilenia passe la manche de son gilet sur sa bouche tout en avalant le sperme de Jean.

Il lui pose les mains sur les épaules.

— Je vais passer voir Salim, d’accord ?

Elle fait un signe positif de la tête.

Il se rapproche d’elle et l’embrasse sur la bouche tout en lui passant la main sur les seins.

— Ne t’inquiète pas je m’occupe de tout.

— OK.

Il regarde Ilenia dans les yeux attendant une autre réponse.

— Merci Jean.

— Allez bonne journée.

Jean se dirige vers la porte et se retourne soudainement.

— Il serait judicieux de ne rien dire à Édouard.

— Très bien.

Sur le chemin du retour, Jean s’arrête an centre éducatif. En descendant de sa voiture, il aperçoit Salim discutant avec des hommes barbus vêtus de qamis. Il lui fait signe de la main. Salim s’approche.

— Salut Salim.

— Bonjour.

— Ce sont des amis à toi ?

— Oui, de la mosquée.

— OK. J’arrive de ta maison d’accueil, j’ai discuté avec Ilenia. Tout va bien avec eux, tu n’as aucune demande, remarque… Ils sont gentils avec toi ?

— Oui tout va bien avec eux, ils sont sympas avec moi.

— Content de l’entendre. Si toutefois tu n’as pas le moral, n’hésite pas à les solliciter, à discuter avec eux. Rapproche toi d’Ilenia si tu as le cafard, elle peut te faire un… un… un câlin. OK ?!

— OK, merci monsieur.

Vers 17 h, Salim est rentré à la maison. Ilenia est au téléphone avec Édouard qui l’a rappelée dès qu’il a vu les appels en absence d’Ilenia. Elle a juste prétexté, qu’il lui manque et qu’elle a hâte qu’il rentre. Cet appel lui a fait du bien.

Le repas du soir est assez froid, Ilenia n’ose pas aborder le sujet. Mais le soir elle est devant la télévision, Salim vient à la cuisine se servir un verre d’eau.

— Salim, tu as deux minutes ?

— Oui ?!

— Assieds-toi.

Elle lui fait signe de s’asseoir à côté d’elle.

— Je veux te dire que cela ne fait pas longtemps que tu es parmi nous, et que tu ne connais pas toutes nos façons de vivre, nos coutumes, les relations avec les femmes, les lois. Donc si tu as des questions n’hésites pas, Édouard et moi on est là pour t’aider ! OK ?!

— Oui, merci.

Salim a ouvert ses bras, et il est venu se blottir contre Ilenia. Elle a été surprise mais elle a refermé ses bras sur Salim, lui tapotant le dos.

Salim s’est redressé légèrement, faisant un bisou sur la joue à Ilenia tout en lui saisissant un sein et le malaxant.

— Non Salim !!!!! Arrête !!!!

Elle l’a repoussé fortement et il a pris la direction de sa chambre. Elle est bouleversée par cette nouvelle atteinte sexuelle.

— Je pense que le fais de le repousser, il a maintenant compris !? Pense-t-elle.

Ilenia a entendu Salim au téléphone en allant se coucher, elle n’a pas pu comprendre la conversation. Elle est entrée dans sa chambre, bloquant la porte avec une chaise.

Le lendemain c’est avec une grande joie qu’elle accueil Édouard, il est lui-même surpris.

— Tout ces baisés ? J’ai l’impression d’avoir été absent 1 mois.

— Tu m’as manqué mon chéri.

— Moi aussi ! Ça s’est bien passé avec Salim ?

Après un petit blanc.

— Heuuu… Oui.

Vers 23 h Salim a pu se masturber en écoutant Ilenia fêter le retour d’Édouard dans leur chambre.

Devant son petit déjeuné Ilenia décachette le courrier reçu ce jour.

— Tient une convocation de la mairie ? Des services sociaux ?

Elle appelle Édouard.

— Édouard, on vient de recevoir une convocation des services sociaux.

— Des services sociaux ?

— Oui, je pense que c’est pour faire un point sur l’accueil de Salim.

— Oui, surement. Et c’est quand ?

— Demain matin.

— Ils abusent ! Ils pourraient prévenir avant, tu vas être obligée d’y aller toute seule, je suis en examen demain.

— OK.

Malgré l’attitude de Salim le jour précédant, Ilenia a renoué le dialogue à table, le soir. Elle a profité de la présence d’Édouard pour qu’ils discutent ensemble.

Le lendemain elle se présente à la mairie ou elle est dirigée vers un bureau, Une femme la reçois.

— Bonjour madame, merci d’avoir répondu à notre convocation.

— Je suppose que je suis là concernant l’accueil de Salim ?

— Oui en effet.

— Je tiens à vous spécifier que cet entretien est juste verbal, mais si cela venait à se reproduire nous devrions vous reconvoquer et là, je devrais établir un procès-verbal.

— Comment ça ? Se reproduire ?

— Et bien nos services ont eu l’information suivante par laquelle vous ne donniez pas assez d’attention à son égard, le manque d’affection a été souligné.

— Je ne comprends pas, nous nous occupons bien de lui. Certes, il a fallu lui expliquer que les règles sont différentes que celles de son pays d’origine, mais doucement il s’intègre.

— Oui, je sais que ce sujet est compliqué, mais essayez, vous et votre mari d’être plus ouvert à ses demandes. OK ? Et je vous le répète, il serait dommage que je vous revoie pour ce sujet, je suis sûre que vous êtes quelqu’un de bien. Voila.

— Très bien, au revoir.

Devant la mairie, elle appelle Édouard.

— Ça s’est bien passé ma chérie ?

— Oui, ils nous demandent d’être vigilants à ses demandes.

— D’accord.

Pendant le retour, Ilenia se doute que Salim s’est plein à une personne des services sociaux.

Le soir, elle fait bonne figure et ils ont avec Édouard une discussion brève sur le sujet. Après manger, Édouard est sur la table du salon à corriger des copies.

— Tu travailles mon chéri ?

— Oui, j’ai plein de copies à corriger.

— Bon courage ! Je vais prendre un bain.

Ilenia se dirige vers la salle de bain et voie de la lumière sous la porte.

— Salim, je peux entrer pour faire couler l’eau ?

— Oui, je me brosse les dents.

Ilenia ouvre le mitigeur et quitte la salle de bain pour aller prendre ses affaires dans la chambre. A son retour, elle constate que Salim est toujours là.

— Tu en as pour longtemps ? Je voudrais prendre mon bain.

— Tu peux te déshabiller, ça ne me dérange pas.

— Je ne vais pas me déshabiller devant toi !?

— Je croyais que je faisais partie de votre famille, vous ne m’aimez pas !

— Mais si, on t’apprécie. Mais ça ne se fait pas de…

— Vous ne m’aimez pas, je ne fais pas partie de votre famille, je vais devoir…

— Non, non, non !! OK, je vais…

Ilenia passe la tête par la porte et vérifie qu’Édouard est toujours dans ses corrections, elle a le cœur qui bat fort, elle approche ses mains de son chemisier et le déboutonne doucement en regardant Salim dans le miroir qui se lave le visage. Elle pose son chemisier.

Sa queue se rigidifie quand il la voie en soutien-gorge.

Elle déboutonne son pantalon et le laisse tomber au sol, elle est maintenant en sous-vêtements devant lui.

C’est avec une respiration courte qu’elle passe sa main dans son dos et dégrafe son soutien-gorge, elle le retire tout en cachant ses seins avec sa main et son avant-bras. Elle retire sa culotte dos à Salim et entre dans son bain moussant.

Il se retourne regardant Ilenia dans son bain, le corps immergé sous la mousse.

Elle voie directement le membre tendu à travers le sur vêtement.

— Il n’est vraiment pas beau, mais il a l’air bien monté !! Pense-t-elle.

— Je me sens bien chez vous.

— Contente de l’entendre Salim, pourrais-tu me laisser prendre mon bain, s’il te plait.

— Ho pardon !!

— Je te remercie.

Salim a quitté la salle de bain refermant la porte derrière lui. Ilenia est contente qu’il n’ait pas essayé de la toucher.

Le lendemain matin, Ilenia se lève, passe sa robe de chambre et rejoint la cuisine.

— Bonjour Salim.

— Salut.

— Tu vas au centre aujourd’hui.

— Oui

Elle se prépare son petit déjeuné en regardant par la fenêtre la pluie tombée, quand tout à coup :

— Aïe !!! Aïee !!!! Aïe !!!!!!

— Qu’est ce qui se passe Salim !!!

— J’ai renversé mon thé sur mes jambes.

— Viens mettre de l’eau ! Vite !

Il a baissé son bas de sur vêtement jusqu’aux genoux, elle a commencé à tapoter l’éponge sur ses cuisses, elle ne pouvait voir de rougeurs ou brulures sur cette peau noir charbon. Par contre elle a très bien vu le gros membre contenu dans le boxer.

— J’ai mal là aussi.

Montrant du doigt le boxer trempé.

Ne souhaitant pas renouveler l’altercation de la veille et surtout ne pas être convoquer à nouveau à la mairie, elle a saisi le boxer et la descendu sur le bas de sur vêtement, dans la précipitation, elle a bien constaté qu’il est humide mais pas chaud.

En relevant les yeux, elle a vu le beau membre pendant entre ses cuisses, il n’est pas démesuré, mais sans aucun doute plus gros que la queue d’Édouard.

— Aïe !! J’ai mal !!

— Oui, attends.

L’éponge est venue tapoter le pénis et les testicules, Ilenia a rapidement vu la queue de Salim prendre du volume. Elle a reculé sa main la voyant se dresser.

Salim a posé sa main sur l’épaule d’Ilenia lui intiment de s’agenouiller.

— Mais Salim, non… ?!!

— Fait moi du bien à mes douleurs.

A genoux devant Salim, le visage devant son pénis. Elle s’est dite :

— Elle est définitivement plus grosse que celle d’Édouard !!

— Suces moi ! Fais-moi du bien.

Ilenia s’est rapproché doucement, elle a saisi la queue de Salim. Le gland de Salim s’est posé sur sa lèvre inférieure pour ensuite disparaitre dans sa bouche.

— OOOuuuu !!! C’est bon !!! Je sens la chaleur de ta bouche sur ma queue.

Salim regarde la belle Ilenia monter et descendre sur sa queue luisante de salive, il avance son bassin pour voir si elle peut l’accepter dans sa gorge et il est aux anges quand il constate qu’elle avale son pénis au plus profond sans vomir.

— Tu es une bonne blanche, qui suce bien. Tu es ma blanche maintenant !

Elle est étonnée de cette remarque, mais elle n’a pas le temps d’y réfléchir.

Salim lui saisit les cheveux pour lui baiser la bouche, c’est la première fois qu’elle subit cela. Elle se sent humiliée par cet acte sauvage, il rentre profondément dans sa gorge avec violence, elle ouvre la bouche pour respirer.

Salim lui inflige une gifle.

— Qu’est-ce que tu fais ???!!!

— Tu ouvriras la bouche quand j’aurai fini de te baiser.

Après 10 minutes de calvaire, les yeux vitreux. Elle sent le membre se figer dans sa gorge et déverser le sperme chaud dans son œsophage.

Salim a regardé sa queue sortir doucement de la bouche d’Ilenia, il l’a prise en main pour poser les derniers filets de sperme sur ses lèvres.

— Nettoies la bien, que je ne sente pas le sperme en sortant.

Elle a repris son pénis en bouche pour le laver.

— Ça te change de la petite bite de ton mari ?

Elle l’a regardé sans répondre avec sa queue toujours dans sa bouche. Attendant une réponse, il lui donne une nouvelle gifle.

— Ça te change de la petite bite de ton mari ??!!!

— Oui la bite d’Édouard est toute petite.

— Je m’en doutais. En fait je l’ai vu te baiser l’autre soir.

Salim a pris la direction de sa chambre pour se changer et il est partit au centre.

Ilenia assise devant son café pense au changement de comportement de Salim qui s’est opéré en 30 minutes.

— C’est un tortionnaire, un sadique.

A suivre…

Blois

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