Bonjour,
Je m’appelle Gabriel, sobriquetené Gaby.
Polygamie accidentelle en famille nucléaire.
C’est le thème de mon histoire taboue.
Tany. Garçon de 17 ans, Amandine sa sœur de 15 ans et 6 moi, et Hélène leur maman de 34 ans.
Ces 2 orphelins et leur maman veuve vivaient paisiblement après le décès d’Ernest le chef de la famille. Les 2 orphelins sont chassés du lycée faute de paiement des redevances scolaires. Tany s’est retrouvé chef de famille en allant travailler dans un garage, gagner un salaire, suffisant pour nourrir la petite famille.
Malgré son jeune âge, Tany était expérimenté et compétent sur certains moteurs, si bien que le chef de garage l’a confirmé au poste de mécanicien à titre définitif. Ce fut une grande joie pour la famille.
Petit bonheur après deux années d’enfer. Aucun oncle ni tante ne s’approchait d’eux pour les soulager. Maintenant que le ciel a intervenu, la petite famille s’organise : créer des réserves, garnir les comptes bancaires, achats de champs et appareils électroménagers, etc.
Les petites voisines commencent à mâter des yeux Tany. Par contre, Hélène et sa fille commencent de leur côté à ériger des barricades infranchissables autour de Tany.
Pas question d’amener une fille à la maison ni ailleurs. Tany est surveillé 24h sur 24. Question de maîtriser les finances et les revenus de la famille et non par une femme prédatrice extérieure à la famille.
Exaspéré, Tany commence à s’inquiéter, et étudier comment déjouer ces orchestrations.
Un jour, une idée inattendue s’est emparée de lui. “Puisque ma mère et ma sœur sont implacablement opposées à mon défoulement, je me rabattrai sur elles. Tant pis pour les doctrines de la société et leurs conséquences morales”, s’est résolu Tany.
Au retour du garage ce soir-là, il a acheté 3 petites boîtes de yogourt. L’une des 3 boîtes est droguée de somnifère. A l’heure d’aller dormir, la boîte dopée est remise à sa mère. Elle a pris pour aller dormir comme une brique lourde. Les 2 autres boîtes intactes sont prises par Tany et sa sœur Amandine.
Une fois la porte principale fermée, chacun dans sa chambre pour s’endormir. Quarante minutes plus tard, Tany ressort au salon, essuie-main autour de la taille avec rien dessous, traverse toute la salle et entre dans la chambre d’Amandine couteau en main. Celle-ci dort sur le dos, pagne autour de la taille. Tany ferme la porte à double tour, laisse tomber la serviette, défait doucement le pagne, baisse lentement le slip d’Amandine jusqu’aux chevilles et l’enlève. La voilà toute nue et touffue.
Tany ecarte doucement les jambes de sa sœur de part et d’autre, se place par-dessus elle, frotte lentement son gland à l’entrée du vagin d’Amandine, pousse à petits va-et-vient jusqu’à ce son penis disparaisse complètement à l’intérieur d’Amandine.
Commencent alors des petits va-et-vient, couteau toujours en main, tout en surveillant le visage d’Amandine au cas où elle se réveillerait.
Lorsqu’Amandine s’est réveillée au sursaut, Tany l’a constri de toutes parts, couteau placé à la gorge d’Amandine. Terrifiée, elle n’osait crier ni se débattre, et s’est laissée faire. Tany dit: “Inutile de crier ou de te débattre car maman ne peut pas se réveiller maintenant quelque soit le bruit. En plus, vous m’empechez d’avoir une femme. Vous êtes maintenant mes femmes pour gérer les biens de la famille ou je vous égorge et je me suicide. Terminé.”
Amandine répond: “Ça y est, ne nous tue pas. Fais ce que tu veux. Tany a laissé tomber le couteau et ils se sont accouplés jusqu’à l’aube. Le lendemain, chacun reprend sa chambre et Hélène ne sait encore rien de ce qui s’est passé. “Tu ne diras rien sur ce sujet pour l’instant”, ordonne Tany à Amandine.
Il prend son petit déjeuner et part au travail. Après le dîner de ce soir là, chacun dans sa chambre. À 22:00, tout le monde s’est endormi, Tany ressort couteau en main et serviette autour de la taille entre dans la chambre d’Hélène sa mère. Il la trouve endormie sur le côté, la retourne doucement, défait son pagne, baisse son slip jusqu’à l’enlever, et découvre sa mère touffue.
Il fait tomber la serviette, écarte les jambes d’Hélène et se plonge par-dessus elle. La main gauche de Tany saisit son penis, frotte son gland à l’entrée du vagin d’Hélène, commence des tout petits va-et-vient, jusqu’à ce que son penis disparaisse complètement à l’intérieur du vagin de sa mère.
La main droite continue de tenir le couteau tout en surveillant le visage d’Hélène au cas où elle se réveillerait. Commencent alors des petits va-et-vient jusqu’à ce qu’Hélène se réveille avec un grand sursaut. Tany l’a serré contre lui, et a placé le couteau sur sa gorge en disant : ” Si tu cries ou te débats, je t’égorgerai toi et Amandine, parce que vous vous opposez à moi d’être avec une femme. Vous êtes maintenant mes femmes pour gérer les biens de la famille. Terminé. Pas un mot dessus à quiconque de la grande famille, des amis et du voisinage. Ce jour-là où j’en entendrai parler de ça, sera le jour où nous mourrons tous. Est-ce clair ?, dit Tany. Hélène répond à son fils : “Ça y est, ne nous tues pas, s’il te plaît, fais ce que tu veux”.
Cette nuit-là, ils se sont accouplés jusqu’à l’aube. Amandine a tout entendu. Elle a fait son entrée dans la chambre de sa mère, l’a encouragé, tout en confirmant son cas similaire qui s’est déjà passé la nuit précédente. Tandis que Tany continue de pilonner Hélène sous les yeux d’Amandine et sans complexe.
La famille s’est agrandie; Hélène en a eu 7 enfants avec son fils et Amandine 13 enfants avec son frère. La famille africaine est toujours comme ça et il n’en a aucun problème. La famille a déménagé dans la maison plus grande dans un quartier très éloigné où personne ne l’a connaît.
L’histoire de cette famille n’est pas connue de ces progénitures. Les premiers enfants son à la fac, d’autres au lycée, à l’école primaire et d’autres aux centres de formation professionnelle.
J’espère que vous aimez bien ma petite histoire.
Gaby
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