Histoire de sexe hardcore Vous êtes prévenus avant de lire et de râler ;)
Le début de la transformation.
Max travaille pour un laboratoire pharmaceutique. Un soir, après le travail, il boit un verre avec Léo un collègue chimiste. Il est très doué en génétique. Après trois verres, Max s’épanche sur sa vie de couple. Il lui raconte les saillies de sa femme avec son chien et ses demandes pour agrandir son chenil. Léo lui propose d’inhiber l’addiction de sa femme envers les chiens. Max ravit, accepte sa proposition, malgré que le stage risque de durer une bonne quinzaine de jour.
Léo invite un soir Max à souper en compagnie d’un chercheur. Il fait des recherches sur les primates. Il a découvert une hormone de type nouveau. Il l’a modifié pour qu’elle inhibe l’agressivité des primates. Il en a développé un sérum pour apprivoiser les animaux les plus sauvages et leur faire oublier toutes leurs addictions.
En réalité, l’ami chercheur de Léo recherche un cobaye pour ses expériences non déclarable au pouvoir public. Il se cache bien de le dire à Max. Le lendemain, Léo appelle Max pour finaliser le projet. Quatre jours plus tard, ils mettent au point l’admission au stage sans que Marie en soit informée.
Le matin du jour dit : Max accroche la laisse au collier de sa femme et la tire hors de la maison. – Allé, ma chienne ? On va faire un tour en voiture ? Tu vas rencontrer de nouveau partenaire ? Lui ment son mari pour qu’elle monte dans la voiture habillée comme à son habitude. Elle monte allègrement dans la voiture et ne s’offusque pas que son mari attache la laisse à la ceinture de sécurité avec un cadenas.

Ils arrivent devant une maison isolée. Ils entendent des aboiements venant de derrière la maison. Ce qui confirme à Marie, qu’elle va rencontrer des chiens.
Léo les accueille et les fait descendre dans la cave. Léo tend un collier métallique à Max pour qu’il le change avec celui qu’elle porte. Un clic sinistre se fait entendre, quand Max referme le collier autour du cou de sa femme. Ensuite, Marie est attachée à un anneau fixé au mur. – Alors ? C’est toi le chienne qui veut plusieurs mâles à sa disposition ? Elle regarde son mari d’un air interrogateur avant de secouer la tête en signe d’approbation.
Léo invite Max a venir se désaltérer à l’étage au dessus. Marie les regarde monter l’escalier, elle n’ose pas manifester son angoisse de rester seul dans cette cave sombre. Max, va prendre la petite valise de Marie dans l’auto.
– Tu peux remettre la valise dans ta voiture, elle aura tout le nécessaire sur place, elle ne manquera de rein. En plus tu n’as rien à payer, nous faisons passer ça dans les frais de laboratoire de la boite.
Après avoir bu son verre, Max part rassuré. Il va patienter en attendant le retour de sa femme.
Sitôt Max partit, Léo donne un verre de jus de fruit à Marie. Il remet le boîtier sur le collier autour de son cou. Ensuite, il détache Marie et en tirant sur sa laisse, il la fait remonter à l’étage.
– On va voir les chiens ? Ou est Max ? – Oui ! On va voir des chiens, mais pas ici. Max est déjà sur place, alors tu montes dans la voiture et on va le rejoindre.
Ils montent dans la voiture de Léo et prennent la route. Après une heure de trajet, ils arrivent devant le laboratoire du fameux chercheur. Ils rentrent dans le bâtiment par une porte dérobée. Léo guide Marie dans le dédale de couloir en la tenant par la laisse. Ils pénètrent dans une pièce ou les attend le soi-disant chercheur. Âgé d’une cinquantaine d’années, avec des cheveux grisonnants. Il porte une blouse blanche sur un pantalon noir.
– Voilà votre cobaye prof, je vous la livre à vos bons soins comme convenu. Malgré le tranquillisant que Léo avait ajouté dans son jus de fruit, Marie réagit vivement. Elle s’adresse à Léo. – Mais ? C’est pour avoir deux chiens que nous sommes venus vous voir ? Et ? Où est Max ? Proclame Marie en essayant de retirer le collier métallique autour de son cou. Soudain une décharge électrique venant du collier la secoue intensément. Elle s’écroule au sol tremblant de spasmes.
L’assistant du prof fait irruption dans la pièce par une porte d’où l’on entend des cris d’excitation de grands singes. Léo lui tend la télécommande du collier qui s’en saisit tout de suite. Le prof dit à Léo. – Merci Léo, tu seras récompensé comme il se doit ! Marie se relève péniblement et regarde avec effroi partir Léo. L’assistant s’approche de Marie en agitant la télécommande du collier. Il sort un ciseau d’une poche de sa blouse et découpe la robe de Marie de bas en haut. Elle apparaît en guêpière et bas. – Retirez moi ça ? Commande le prof et pendant qu’elle se déshabille, il s’adresse à son assistant. – Je te rappelle Jojo ? Que pendant toute la durée de l’expérience de sa transformation, tu ne dois plus la considérer comme une femme. Elle n’est rien que le cobaye de notre expérience génétique. Elle va subir le dressage ainsi que la transformation pour être la femelle de nos primates que l’on garde ici. Donc, agit avec elle comme une guenon et rein d’autre.
Marie est terrifiée parce qu’elle vient d’entendre. Elle va devenir le cobaye de ce Prof, sans que lui demande son avis. Mais ? Où est Max ? Pourquoi est elle là dans ce laboratoire d’où on entend des cris de singes venus d’à côté.
– Voilà les vingts doses à lui injecter chaque matin. Dans quatre jours, on doit commencer à voir le changement de sa morphologie. Si ça ne va pas asse vite, j’augmenterai la dose. Ça ne lui fera pas mal avec aucun effet néfaste ? Je crois ! Proclame en s’approchant de Marie avec une grande seringue pleine.
– Après la première dose, elle verra les choses à notre façon ?
Marie veut se dérober à l’injection, mais elle reçoit une décharge électrique dans son cou qui la dissuade de se rebeller. Le prof enfonce la seringue dans le cou de la femme cobaye. – Nous avons vu des primates les plus sauvages devenir doux comme des agneaux. Ils faisaient n’importa quoi pour nous quelques jours seulement après l’infection. Mais pour ce qui est de toi ? Le sérum fera beaucoup plus que cela. Nous te laissons découvrir par toi même ta transformation. Le prof retire la seringue vide du cou de Marie. Elle est là, nue, avec son collier métallique autour du cou. Elle a la chair de poule, non pas de froid, mais de crainte. Elle sent quelque chose d’indéfinissable et de spécial, allait se passer.
En prenant la laisse des mains de l’assistant, il emmène Marie dans la pièce à côté et la fait coucher sur une table d’examen équipé d’étriers. Ou prof enfile des gants stériles et il lui fait écarter les jambes, un talon dans chaque étrier. Il tire sur les grandes lèvres intime de Marie avant d’enfoncer deux doigts dans son vagin. Il les remue en disant que c’est bien plus agréable qu’avec les habituelles guenons.
– Elle mouille déjà ? Bon pas bougé ? Il enfonce quelque chose de dur et d’épais dans son vagin jusqu’à ce que l’objet le fond de son utérus. Elle soulève son fessier et gémi. Il ressort l’objet pour le mesurer et enregistrer la profondeur de son vagin.
Ensuite, il lui enfonce un gros thermomètre dans l’anus en répétant, pas bougé ! Cela fait tout drôle à Marie, de l’entendre lui donner des ordres comme on le fait à un animal. Il va parler avec son assistant, puis revient sortir le thermomètre de l’anus de Marie, pour noter la température. Ensuite, il enduit sa rosette d’une crème et la pousse vers l’intérieur avec son doigt. Sous la surprise de l’acte, elle se soulève et pousse un petit râle.
– Tout doux ? Tout doux ! Surtout pas bougé ? Même si ça chauffe ? Faut que ça s’ouvre ?
Il laisse son doigt dans son cul ? Ça chauffe de plus en plus fort. Elle respire par saccades, son anus s’ouvre, car elle ne sent plus son doigt. Par contre, à la place de son doigt, il lui enfonce le même objet que dans son vagin. Elle le sent pénétrer sans difficulté dans son rectum. Elle a le cul qui la brûle et elle commence à transpirer et haleter. – C’est bon, ça va aller, on recommencera tous ça dans quelques jours. Elle sera bonne pour Sodo ! Elle a la bonne dimension. Il a retiré l’objet du cul de Marie pour le mesurer lui aussi et l’assistant note tout ce que lui dicte le prof.
Ensuite, il mesure son tour de poitrine, il inspecte ses auréoles et ses tétons. Il palpe ses seins et il mesure aussi l’épaisseur et la longueur de ses tétons. L’assistant, prend des photos de toutes les parties du corps de Marie. Il a aussi pris en gros plan la vulve et l’anus de Marie. Ensuite, le prof se saisit des lèvres intimes de la Marie et fait sortir son clitoris de son capuchon. Il le triture, l’étire et sous ses doigts le clitoris se gonfle d’une façon étonnante. Il tire dessus sans ménagement, la Marie pousse des râles d’approbations.
– Ils vont être satisfait de l’avoir comme femelle. Ses dernières paroles font peur à la Marie.
S’adressant à Jojo l’assistant, le prof lui donne quelques consignes. – Tu la fais boire ça et tu l’enfermes dans sa cage. A demain, Jojo.

L’assistant fait boire le verre d’eau à Marie qui lui trouve un drôle de goût. Il conduit la marie dans une autre grande pièce, ou se trouve une grande cage. L’assistant ouvre la porte, détache la laisse du collier de la Marie et la pousse à l’intérieur. Ensuite, il referme la porte à clef. Marie se saisit des barreaux et proteste véhément. Une décharge électrique dans son cou la jette au sol pour un quart d’heure. L’assistant sort de la pièce, Marie convulse sur le sol de béton de la cage.
Quand marie, refait surface, elle regarde autour d’elle. Il y a une couchette avec une sorte de tapis de judo dans un coin, il y a aussi un WC en acier. Dans un autre coin, il y a une tablette en fer fixée sur des barreaux avec au dessus une ouverture cadenassée. Aux quatre coins, il y a une caméra fixée au plafond.
Marie, se couche sur la banquette lit et s’endort rapidement, malgré qu’il soit midi au soleil.
Dans la soirée, l’assistant réveille la Marie et lui désigne la tablette ou trône un plateau avec une assiette garnit de légumes cuites et de trois fruits. Un petit pichet d’eau avec toujours ce goût bizarre.
Comme il n’y a pas de chaise dans la cage, Marie mange accroupi. Elle doit manger avec ses doigts, car il n’y a pas de couverts sur le plateau. Elle mange de bon cœur tout ce qui se trouve sur le plateau et vide aussi le pichet d’eau. Lorsqu’elle a fini de vider le contenu du plateau, Jojo, l’assistant lui fait signe qu’il a sorti sa bite de son pantalon. Il bande bien dur. Marie a compris ce qu’il désire et de la tête, elle lui fait le signe que non.
Une légère impulsion électrique parcourt son cou. Elle comprend vite que si elle n’obtempère pas, la prochaine décharge sera terrible.
Marie est morte de honte, mais sous la contrainte, elle finit par ouvrir la bouche et engouffre sa queue bien dure. L’assistant lui touche les seins comme un malade en les malmenant et leur donnant des claques. Puis, il lui l’attrape par la nuque pour plaquer le visage de Marie sur son pubis, elle l’avale en gorge profonde.
Quelle honte. Si elle pouvait passer entre les barreaux, elle se serait envolée comme un papillon affolé.
Jojo fait coulisser la bouche de la Marie sur sa queue en la tenant par ses cheveux. Rapidement, son sperme jaillit au fond du palais de Marie. Elle l’avale tant qu’elle le peut.
Elle se dit, non, intérieurement, mais en même temps, elle le fait. Elle tète sa queue jusqu’à la dernière goutte. Il lui tient toujours sa tête plaquée contre son pubis. Elle plaque avec sa langue, la bite molle contre son palais. Celle ci a soudain des soubresauts ?
Jojo, l’assistant urine dans la bouche de la Marie qui est contrainte d’avaler sa pisse sous peine d’être étouffée et noyée.
Après avoir vidé ses couilles et sa vessie dans la bouche du cobaye. Jojo sort de la cage en refermant la porte. Marie éructe, crache pour évacuer ce goût prenant de l’urine. Elle se passe la main sur la tête et constate qu’elle n’a plus un cheveu ? Elle regarde entre ses cuisses et là aussi plus un poil et nulle part, ils sont tombés pendant qu’elle dormait. Ça lui fait comme un électrochoc. A présent, elle se reproche son attitude ?
Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n’ai-je pas refusé, pourquoi ne l’ai-je pas mordu ? Elle n’en sait rien. Au lieu de ça, elle a accepté de sucer sa bite qui se présentait devant sa bouche.
Ce qui la trouble le plus, c’est qu’elle a senti monter en elle une onde de plaisir malsain.
Marie va s’asseoir sur la cuvette des WC. Elle y reste un bon moment en regardant les caméras, qui l’empêche de faire ses besoins. En se concentrant sur le sol, elle y arrive enfin. Ensuite, elle retourne se coucher sur la couchette et s’endort rapidement.
Le lendemain matin, c’est une douleur sur une fesse qui l’attire de son sommeil profond. Une main dans ses reins, la plaque ventre sur la couchette. Jojo, lui administre son injection journalière. Il la maintient ainsi le temps qu’elle reparte dans les bras de Morphée.
C’est vers midi qu’elle se réveille naturellement. Il y a sur la tablette un plateau repas garnit de légumes cuits et de fruits avec le pichet d’eau au goût bizarre. Marie a faim, mais avant de manger, elle va faire ses besoins et en s’essuyant la vulve, elle constate que ses lèvres intimes sont plus volumineuses ? Elle les tâte, les pince ? Elles sont vraiment plus développées qu’avant ? Elle passe deux doigts sur son anus qui lui aussi n’est plus serré comme avant ? Il s’entrouvre au passage de ses doigts ?
Mais ? Que lui arrive-t-il ? Ses seins aussi sont un peu plus fermes. Elle frissonne, et remarque son corps est recouvert, comme qui dirait, d’un minuscule duvet.
Après s’être sustenté, Jojo vient à côté d’elle la bite a l’air. Comme hier, elle s’accroupit devant l’assistant et lui taille une pipe. Elle avale sa semence et après son urine. Ensuite, elle retourne s’allonger, car elle est fatiguée, alors qu’elle n’a pas d’activité ? Peut être l’effet de l’injection. Le lendemain, même rituel, sauf que ce n’est que la queue de Jojo qu’elle doit satisfaire. Ce sont trois disons assistant qui la bite a l’air viennent accompagné de Jojo dans la cage. Là ? D’un claquement de doigt
Marie vient immédiatement gober la première bite à sa portée.
C’est quatre bites qu’elle suce et avale leur sperme, et aussi trois vessies se vident dans sa gorge. Elles n’a plus de complexe à faire ses besoins devant les caméras. Ses oreilles s’agrandissent légèrement, ses seins se raffermissent un peu plus encore, ainsi que sa peau. Les lèvres de sa vulve se sont encore plus développées. Elle n’ose pas toucher son trou du cul.
Pour une femme de trente ans qui n’a pas encore enfanté, elle trouve que son corps devient plus ferme. Malgré que sa vulve et son anus la démange, elle a une terrible envie de faire l’amour avec n’importe qui. Elle en oublie qu’elle est mariée avec Max.
Sam Botte
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